• DESCRIPTION DU TROISIEME ET QUATRIEME MOUVEMENT  (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le vendredi 27 novembre 2009 18:15

     III - Allegro molto e vivace

    C'est le mouvement le plus original de la symphonie. Malgré son intitulé, c'est un véritable scherzo.

    L'Allegro molto e vivace est d'ailleurs un tempo trop rapide pour un menuet. Le thème du menuet est développé, puis repris sous une forme variée. Celui du trio est un deuxième scherzo enchâssé dans le premier et qui adopte la même structure que le précédent.

     IV - Adagio – Allegro molto e vivace

     

    L'Allegro molto e vivace de forme sonate débute par un court Adagio, montée progressive de la gamme de sol.

    C'est un mouvement dans le plus pur style haydnien. Les deux thèmes sont allègres, en notes piquées et répétées pour le premier, en dialogue syncopé pour le second. Le développement est exclusivement sur le premier thème, lequel sera écourté dans la réexposition alors que le deuxième thème est allongé et suivit d'une coda.

    Beethoven livre sa première symphonie en pleine maturité, il a 30 ans et a déjà produit quelques chefs-d'œuvre (concertos, sonates pour piano, trios et quatuors). Élève de Joseph Haydn et admirateur de Mozart, il reste marqué par leur influence dans l'écriture de la première symphonie comme la seconde qui restent proche de l'esthétique classique du XVIIIe siècle.

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    L'ECRITURE BEETHOVENIENNE (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le vendredi 27 novembre 2009 18:21

    Blog de colinearcenciel :BIENVENUE DANS MON MONDE MUSICAL, L'ECRITURE BEETHOVENIENNE

    Beethoven emprunte à Haydn son sens du motif. Ainsi, une cellule rythmique de deux mesures sert de matériau à tout le premier mouvement de la Cinquième symphonie. N'oublions pas que Haydn est le père de la symphonie.

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    SYMPHONIE N° 1 de Ludwig van BEETHOVEN - Premier Mouvement (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le jeudi 10 février 2011 11:11

     

    « Cher Beethoven, vous allez à Vienne pour réaliser un souhait depuis longtemps exprimé : le génie de Mozart est encore en deuil et pleure la mort de son disciple. En l'inépuisable Haydn il trouve un refuge, mais non une occupation ; par lui, il désire encore s'unir à quelqu'un. Par une application incessante, recevez des mains de Haydn l'esprit de Mozart. »

    Waldstein

    SYMPHONIE N° 1

    PREMIER MOUVEMENT

    Ludwig van BEETHOVEN

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    SYMPHONIE N° 1 de Ludwig van BEETHOVEN - Deuxième Mouvement (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le jeudi 10 février 2011 11:16

     

    Haydn, vers 1793 :

    « Vous avez beaucoup de talent et vous en acquerrez encore plus, énormément plus. Vous avez une abondance inépuisable d'inspiration, vous aurez des pensées que personne n'a encore eues, vous ne sacrifierez jamais votre pensée à une règle tyrannique, mais vous sacrifierez les règles à vos fantaisies ; car vous me faites l'impression d'un homme qui a plusieurs têtes, plusieurs cœurs, plusieurs âmes. »

    SYMPHONIE N° 1

    DEUXIEME MOUVEMENT

    Ludwig van BEETHOVEN

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    SYMPHONIE N° 1 de Ludwig van BEETHOVEN - Troisième Mouvement (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le jeudi 10 février 2011 11:21

     

     Czerny déclare en 1790 :

    « Son improvisation était on ne peut plus brillante et étonnante ; dans quelque société qu'il se trouvât, il parvenait à produire une telle impression sur chacun de ses auditeurs qu'il arrivait fréquemment que les yeux se mouillaient de larmes, et que plusieurs éclataient en sanglots. Il y avait dans son expression quelque chose de merveilleux, indépendamment de la beauté et de l'originalité de ses idées et de la manière ingénieuse dont il les rendait ».

    Cette interprétation de cette symphonie se joue avec les instruments authentique de l'époque de Beethoven.

    SYMPHONIE N° 1

    TROISIEME MOUVEMENT

    Ludwig van BEETHOVEN

    SYMPHONIE N° 1 de Ludwig van BEETHOVEN - Quatrième Mouvement (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le jeudi 10 février 2011 11:27

     

    Beethoven, le 6 octobre 1802 dit ceci :

    « Ô vous, hommes qui pensez que je suis un être haineux, obstiné, misanthrope, ou qui me faites passer pour tel, comme vous êtes injustes ! Vous ignorez la raison secrète de ce qui vous paraît ainsi. [...] Songez que depuis six ans je suis frappé d'un mal terrible, que des médecins incompétents ont aggravé. D'année en année, déçu par l'espoir d'une amélioration, [...] j'ai dû m'isoler de bonne heure, vivre en solitaire, loin du monde. [...] Si jamais vous lisez ceci un jour, alors pensez que vous n'avez pas été justes avec moi, et que le malheureux se console en trouvant quelqu'un qui lui ressemble et qui, malgré tous les obstacles de la Nature, a tout fait cependant pour être admis au rang des artistes et des hommes de valeur. »
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    |SYMPHONIE n° 2 - LUDWIG VAN BEETHOVEN - Ier Mouvement page 769 (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le samedi 05 décembre 2009 18:00

     

     

    SYMPHONIE

     

    n° 2

     

    en D Majeur Op. 36

     

     

    LUDWIG VAN BEETHOVEN

     

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    SYMPHONIE N°2 de Ludwig van BEETHOVEN - Mouvement I / 2 (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le mercredi 09 février 2011 20:17

     
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    HISTOIRE DE LA SYMPHONIE N° 2 EN Ré MAJEUR de Ludwig van BEETHOVEN (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le samedi 05 décembre 2009 18:06

    Blog de colinearcenciel :BIENVENUE DANS MON MONDE MUSICAL, HISTOIRE DE LA  SYMPHONIE N° 2 EN Ré MAJEUR de Ludwig van BEETHOVEN

     Testament de Heiligenstadt rédigé par Beethoven le 6 octobre 1802. Désemparé par sa surdité débutante, il y expose à la fois son désespoir et sa volonté de continuer.

    La Symphonie n° 2 en ré majeur, opus 36, la seconde des neuf symphonies deLudwig van Beethoven, fut composée à Vienne en 1801-1802.

    C'est probablement la moins jouée de ses symphonies (avec sa huitième).

    Elle est dédiée au prince Carl von Lichnowsky, mécène du compositeur. Son manuscrit a été perdu. Elle a été composée alors que la surdité du musicien se déclarait, aboutissant à une remise en question profonde de son art et à une dépression perceptible dans le Testament de Heiligenstadt.

    Curieusement, l'écoute de l'œuvre ne témoigne guère des tourments contemporains de l'artiste.

    En 1803, Beethoven a fait lui-même une transcription de cette symphonie pour trio avec piano, violon et violoncelle.

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    SYMPHONIE N°2 de Ludwig van BEETHOVEN - Mouvement II / 1 (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le mercredi 09 février 2011 20:24

     

     

    IIème Mouvement de la

    SYMPHONIE N° 2

    de

    Ludwig van BEETHOVEN

    SYMPHONIE N°2 de Ludwig van BEETHOVEN - Mouvement II / 2 (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le mercredi 09 février 2011 20:27

     
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    INSTRUMENTATION DE LA 2ème SYMPHONIE de BEETHOVEN page 770 (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le samedi 05 décembre 2009 18:12

    Blog de colinearcenciel :BIENVENUE DANS MON MONDE MUSICAL, INSTRUMENTATION DE LA 2ème SYMPHONIE de BEETHOVEN page 770

     

     

    Instrumentation de la deuxième symphonie
    Bois
    flûtes, 2 hautbois,

    clarinettes en la, 2 bassons

    Cuivres
    cors en ré et en mi,

    trompettes en ré

    Percussions
    timbales (la & ré)
    Cordes
    premiers violonsseconds violonsaltos,

    violoncellescontrebasses

    Source Wikipedia

     

     

    La création eut lieu le 5 avril 1803 au Theater an der Wien sous la direction du compositeur, en même temps que celle de son troisième concerto.

     

    L'accueil fut mitigé.

     

    Elle reste très classique dans son écriture, ce qui contraste avec les symphonies suivantes.

     

    Elle comporte cependant des éléments novateurs comme l'apparition d'unscherzo remplaçant le traditionnel menuet mozartien, la présence d'un contraste dynamique important, la liaison entre les différents mouvements pour en faire un tout.

     

     

     

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    LA STRUCTURE DE LA DEUXIEME SYMPHONIE DE BEETHOVEN (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le samedi 05 décembre 2009 18:18

    Blog de colinearcenciel :BIENVENUE DANS MON MONDE MUSICAL, LA STRUCTURE DE LA DEUXIEME SYMPHONIE DE BEETHOVEN

    DEUXIEME MOUVEMENT

    Elle comprend quatre mouvements et son exécution dure un peu plus d'une demi-heure.

      I Adagio molto
    Allegro con brio
    - 3/4 -
    - 4/4 -
    croche = 84
    blanche = 100
    ré majeur
      II Larghetto - 3/8 - croche = 92 la majeur
    Scherzo III Allegro - 3/4 - blanche pointée = 100 ré majeur
    Finale IV Allegro molto - 2/2 - blanche = 152 ré majeur
    Source wikipedia
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    LES QUATRE MOUVEMENTS DE LA DEUXIEME SYMPHONIE DE BEETHOVEN (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le samedi 05 décembre 2009 18:25

    Blog de colinearcenciel :BIENVENUE DANS MON MONDE MUSICAL, LES QUATRE MOUVEMENTS DE LA DEUXIEME SYMPHONIE DE BEETHOVEN

    1 - Adagio molto - Allegro con brio

    Le mouvement débute par une longue introduction lente adagio molto qui affirme immédiatement la tonique par un fortissimo. Elle est suivi d'una allegro con brio de forme sonate. Le premier thème est énergique et plein d'entrain; le second, amorcé en octave ascendante, a un caractère martial. Le développement s'appuie sur les deux groupes thématiques. La réexposition offre peu de différence hors la transposition tonale classique. Le mouvement se termine par une coda très développée comportant une marche harmonique et des arpèges gammées sur la tonique Ré.

    2 - Larghetto

    Le larghetto, de forme sonate, est le mouvement le plus réussi de la symphonie. Il présente une grande richesse mélodique que l'on retrouvera dans la symphonie pastorale. Beethoven y adopte une forme binaire (exposé de chaque thème, suivi d'une reprise variée) tout au long du mouvement. Dans le développement, le caractère se fait plus sombre avec des motifs plus courts sur un rythme obsédant. Le retour du cantabile à la réexposition est saisissant. Beethoven reprend la même structure binaire, mais les thèmes sont plus ornés qu'à l'exposition. Le mouvement se termine par une brève coda qui met le travail de la flûte en relief.

    3 - Le scherzo

    Le scherzo est plein de vigueur et de fantaisie avec des alternances de nuancepiano et forte. Le trio conserve la même allure légère et gaie

    4 - Allegro molto

    Le finale allegro molto a également un caractère enjoué. Ces deux derniers mouvements d'humeur joyeuse équilibrent la nature calme et sereine de l'ample Larghetto. La forme sonate est plus libre et la courte reprise dans la tonalité principale au début du développement et de la coda lui donne un petit air de rondeau. Le premier thème de l'exposition commence par un motif court et scandé, alors que le second thème confié aux vents est très cantabile. Le développement est très court et repose exclusivement sur le premier thème. Il se termine par un dialogue animé entre les violons et les bois. La coda avec développement terminal est plus longue que l'exposition. Cette nouveauté, très critiquée lors de la première, deviendra l'une des caractéristiques du style beethovénien. Après la reprise du premier thème, un intermède plein de douceur intervient avant que n'éclate une fanfare fortissimo. Puis Beethoven revient sur une évocation du premier motif avant les accords conclusifs.

     

     

    Les critiques contemporains ont accueilli la symphonie avec froideur trouvant le final "confus", "tapageur", voire "barbare".

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    SYMPHONIE N°2 de Ludwig van BEETHOVEN - Mouvement III (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le samedi 05 décembre 2009 19:51

     

     

    Mouvement III

    SYMPHONIE N° 2

    Ludwig van BEETHOVEN

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    SYMPHONIE N°2 de Ludwig van BEETHOVEN - Mouvement IV (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le mercredi 09 février 2011 20:47

     

     

    MOUVEMENT IV

    SYMPHONIE N° 2

    Ludwig van BEETHOVEN

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    L'ENFANCE TRISTE DU MAITRE BEETHOVEN page 771  (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le samedi 05 décembre 2009 20:12

    Blog de colinearcenciel :BIENVENUE DANS MON MONDE MUSICAL, L'ENFANCE TRISTE DU MAITRE BEETHOVEN page 771

    C'est bientôt l'anniversaire de Beethoven car il est né le 16 décembre 1770, il aurait donc 239 ans cette année !

    Son grand-père, Louis van Beethoven est né à Malines en Belgique et il était allé à Bonn se fixer en tant que musicien. Cet homme a épousé une femme qui est devenue alcoolique et leur fils Johan deviendra alcoolique comme sa mère. Johan épousa une femme, Maria Magdalena Keverich qui mourra de la tuberculose. Ils eurent sept enfants dont trois survécurent : Ludwig, Karl et Johann.

    Son père brutal, lui donna une éducation musicale in cohérente et triste et il aurait pu dégoûter le jeune enfant de la musique ; à l'âge de onze ans, l'intruction général de Ludwig était quasi nulle et on lui fera abandonner toute scolarité normale.

    Mais deux rencontres vont lui faire trouver son chemin : la première rencontre fut Christian Gottlob Neefe qui devient alors son  professeur en 1782 et lui donne le Clavier bien tempéré chaque jour et le pousse à composer : c'est ainsi qu'à l'âge de 11 ans Beethoven  publie sa première oeuvre : Neuf variations pour clavier sur une marche de Dressler.

    Une deuxième rencontre importante pour lui fut un jeune étudiant en médecine Franz Gerhard Wegeler, de cinq ans son aîné qui l'introduit dans un milieu cultivé : il l'accueille comme un enfant de la maison. C'est là qu'il va découvrir les grands écrivains allemands de l'Aufklärung et du Sturm und Drang : Klopstock, Goethe et Schiller.

     

     

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    BEETHOVEN A L'AGE DE TREIZE ANS (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le samedi 05 décembre 2009 20:39

    Blog de colinearcenciel :BIENVENUE DANS MON MONDE MUSICAL, BEETHOVEN A L'AGE DE TREIZE ANS

    A l'âge de 13 ans Ludwig obtient un titre de second organiste de la cour, organiste adjoint et répétiteur au théâtre et musicien d'orchestre, une partie de ses revenus est prélevés sur les revenus de son père. Pour équilibrer le budget, il enseigne aux élèves de son père.

     

     

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    LE JEUNE BEETHOVEN RECOMMANDé A MOZART mais...  (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le samedi 05 décembre 2009 20:46

    Blog de colinearcenciel :BIENVENUE DANS MON MONDE MUSICAL, LE JEUNE BEETHOVEN RECOMMANDé A MOZART mais...

    Les dons du jeune Beethoven sont remarqués par l'archiduc Maximilien Franz et le jeune comte Waldstein. Celui-ci l'envoye à Vienne en espérant que Beethoven deviendrait l'élève de Mozart.

    Mais la rencontre entre les deux génies ne donne rien, car Mozart ne fait pas attention à lui. Le voyage de Beethoven est écourté car sa mère se meurt et il retourne à Vienne au chevet de sa mère mourante.

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    BEETHOVEN AIME LA LITTERATURE (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le samedi 05 décembre 2009 20:52

    Blog de colinearcenciel :BIENVENUE DANS MON MONDE MUSICAL, BEETHOVEN AIME LA LITTERATURE

    En 1789, Beethoven s'inscrit à l'université de Bonn pour y suivre des cours de littérature.

    Il ne s'intéresse pas seulement aux écrivains allemands il va bien au-delà puisqu'il lit avec enthousiasme Shakespeare, Homère, Plutarque, et plus tard, les écrivains mystiques de l'Inde.

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    BEETHOVEN, UN GRAND PENSEUR, CONSCIENT  (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le samedi 05 décembre 2009 21:03

    Blog de colinearcenciel :BIENVENUE DANS MON MONDE MUSICAL, BEETHOVEN, UN GRAND PENSEUR, CONSCIENT

    Beethoven est conscient de son identité et capable de forger un langage qui entraînera les communautés humaines : il médite beaucoup et se concentre sur ses rêves et ceux-ci l'amèneront vers son originalité sans aucune concession et sans la moindre affectation.

    Nous mettrons encore par la suite des citations de ce Maître, mais nous allons voir comment il fut traité et parfois bien humilié car, Beethoven parlait pourtant avec les autres mais il n'était pas toujours conscient de la vilenie des gens ; il était sincère et d'une certaine naïveté ce qui faisait que l'on se moquait souvent de lui et de ses problèmes personnels.

     

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    LA PREMIERE PAGE ORIGINALE DE LA SYMPHONIE n°3 de LUDWIG VAN BEETHOVEN page 772 et suivantes (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le lundi 07 décembre 2009 08:54

    Blog de colinearcenciel :BIENVENUE DANS MON MONDE MUSICAL, LA PREMIERE PAGE ORIGINALE DE LA SYMPHONIE n°3 de LUDWIG VAN BEETHOVEN page 772 et suivantes
     
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    LA SYMPHONIE n° 3 de Ludwig van BEETHOVEN  (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le lundi 07 décembre 2009 08:43

    Blog de colinearcenciel :BIENVENUE DANS MON MONDE MUSICAL, LA SYMPHONIE n° 3  de Ludwig van  BEETHOVEN

    La Symphonie n° 3 en mi bémol majeur, opus 55, de Ludwig van Beethoven(communément appelée Eroica - l'italien pour Héroïque) est une œuvre écrite entre 1803 et 1804, que plusieurs considèrent comme annonciatrice de l'aube du romantisme musical.

     

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    LA SYMPHONIE N°3 - Mouvement I - de Ludwig van BEETHOVEN page 922 (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le lundi 07 décembre 2009 09:02

     

    Elle est écrite pour orchestre symphonique et dure entre 44 et 55 minutes. Elle fut inspirée par l'arrivée de Napoléon Ier en qui BEETHOVEN avait mis sa confiance : elle fut appellée de ce fait  LA SYMPHONIE HEROIQUE  ; il fut, plus tard, fortement déçu lorsque Napoléon Buonaparte pris le titre d'Empereur.

     

    Le Chef d'orchestre est

    MARK AYCOCK

    Wiener KammerOrchester

    Mouvement I

    ALLEGRO CON BRIO

     

     

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    LA DESCRITION du Mouvement I de la SYMPHONIE N° 3 de Ludwig van BEETHOVEN  (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le jeudi 10 février 2011 12:06

    Blog de colinearcenciel :BIENVENUE DANS MON MONDE MUSICAL, LA DESCRITION du Mouvement I de la SYMPHONIE N° 3 de Ludwig van BEETHOVEN

    PREMIER MOUVEMENT

    Deux accords brefs et théâtraux de mi bémol majeur introduisent l'oeuvre avant la première exposition du thème principal "héroïque" aux violoncelles puis aux violons, les bois ensuite se relaient sur ce thème avant qu'un crescendo le porte aux cors et trompettes.

    Le doux deuxième thème, long d'une mesure seulement, subit un traitement analogue et est suivi par un assez long passage orchestral energique dont le caractère est véritablement héroïque, comportant une variation sur le thème principal, ce passage est ensuite modifié et repris plus calmement avant qu'un nouveau crescendo emporte le tout vers six accords de dominante lourdement assénés par l'orchestre, un "pont" nous conduit au développement où le thème principal est omniprésent et où les passages énergiques de l'exposition sont repris et enrichis, le milieu du développement est remarquable car c'est une succession d'une cinquantaine d'accords dissonants fortissimo produisant un effet d'insistance véhémente.

    Un très beau thème mélodique aux bois s'ajoute alors et tous les échanges orchestraux qui suivent mènent à un descrescendo aboutissant à la fameuse fausse entrée du cor quatre mesures avant l'accord fortissimo (voir la rubrique Anecdotes) annonçant la réexposition qui semblable au début dans sa structure comporte quelques modifications d'ordre mélodique et d'orchestration, enfin une longue coda arrive où le motif héroïque continue de résonner avant de s'éteindre.

    Des réminiscences de la réexposition envahissent les cordes avant que le motif héroïque revienne en mineur aux hautbois et clarinettes en crescendo et decrescendo tandis que les cordes deviennent nostalgiques. Le basson entonne de nouveau le motif héroïque en majeur en crescendo, contrepointé par les motifs vifs des cordes puis un imposant ostinato rythmique des cors et trompettes, jusqu'au fortissimo général plein de magnificience où sont clamés avec force le motif héroïque et l'ostinato, enfin un passage de l'exposition initiale mène à une série d'accords parfaits conduisant à la cadence parfaite finale.

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    SYMPHONIE N° 3 de Ludwig van BEETHOVEN - L'instrumentation (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le jeudi 10 février 2011 12:13

     

     

    Instrumentation de la troisième symphonie
    Cordes
    premiers violons, seconds violons, altos,

    violoncelles, contrebasses

    Bois
    2 flûtes, 2 hautbois,

    2 clarinettes en si♭, 2 bassons

    Cuivres
    3 cors en mi♭ et en ut,

    2 trompettes en mi♭ et en ut

    Percussions
    2 timbales (mi♭ et si♭)

    Image de wikipedia

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    SYMPHONIE N°3 dite l'HEROIQUE - Ludwig van BEETHOVEN - IIème Mouvement  (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le lundi 07 décembre 2009 09:15

     

     Le deuxième mouvement, une marche funèbre, est souvent joué lors d'occasions commémoratives ; l'œuvre entière est parfois même exécutée.Serge Koussevitzky la dirigea à la mort du président Franklin Delano Roosevelt, et Bruno Walter fit la même chose pour Arturo Toscanini.

    DEUXIEME MOUVEMENT

    Marcia funebre

    Adagio assai

     

    Le deuxième mouvement fut utilisé comme hymne funèbre lors de la cérémonie commémorative qui suivit le Massacre de Munich, attaque terroriste qui eut lieu durant les Jeux Olympiques d'été de 1972.

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    LA SYMPHONIE N° 3 L'HEROIQUE de Ludwig van BEETHOVEN - Suite du IIème Mouvement  (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le lundi 07 décembre 2009 09:22

     

    La pièce, comme la plupart des symphonies, est en quatre mouvements :


    .
    I Allegro con brio - 3/4 - blanche pointée = 60 mi♭majeur
    Marcia funebre II Adagio assai - 2/4 - croche = 80 do majeur
    do mineur
    Scherzo III Allegro vivace
    Alla breve
    Tempo primo
    - 3/4 -
    - 2/2 -
    - 3/4 -
    blanche pointée = 116
    ronde = 116 (4 mes.)
    blanche pointée = 116
    mi♭majeur
    Finale IV Allegro molto
    Poco Andante
    Presto
    - 2/4 - blanche = 76
    croche = 108
    croche = 116
    mi♭majeur

    Note : Dans le premier mouvement, à la fin de l'exposition, Beethoven indique une reprise. Elle était généralement omise jusqu'à la fin des années 1950, mais elle est maintenant habituellement incluse.

    Source : wikipedia pour tous les articles concernant la majorité des données sur les symphonies de Beethoven : merci à wikipedia

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    LA SYMPHONIE N° 3 appellée l'HEROIQUE - LUDWIG VAN BEETHOVEN- IIIème Mouvement  (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le lundi 07 décembre 2009 09:31

     

    La symphonie héroïque ne s'appellait pas au départ comme cela mais bien la Symphonie Bonaparte comme nous l'avons vu dans des articles précédents (voir la rubrique consacrée à Beethoven) : c'est à cette époque qu'une nouvelle période commence, jamais vue dans l'histoire de la musique, avec cette symphonie justement.  C'est un véritable cycle épique qui commence dont l'impact est bouleversant depuis près de deux siècles.

    TROISIEME MOUVEMENT

    SCHERZO

     

     

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    LA SYMPHONIE N° 3 - L'HEROIQUE de Ludwig van BEETHOVEN - IVème Mouvement  (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le lundi 07 décembre 2009 09:45

     

    Beethoven dit :"Ah, le monde, je voudrais l'étreindre, si j'étais délivré ! Ma jeunesse, je le sens bien, elle prend son essor juste maintenant.... Je veux saisir le Destin à la vie, de la vivre mille fois ! Une vie tranquille ? Non, je ne suis guère fait pour cela!".

     

    Ce cycle épique dont nous parlions dans l'article précédent durent de l'an 1802 à l'an 1804. Le prince Linowsky alloue une rente annuelle à Beethoven ce qui permet à celui-ci de créer librement autant qu'il le veut.

    Le processus créateur de Beethoven est profondément cérébral et il a une magistrale maîtrise architecturales et cohérentes, inébranlables : jamais rien n'est laissé au hasard : il a élaboré un langage orchestral d'une richesse extraordinaire avec un style propre, unique en son genre.

    Ses sources d'inspirations sont principalement l'oeuvre de Mozart et de Haydn.

    QUATRIEME MOUVEMENT

    FINALE

    Première partie

     

    LA SYMPHONIE N° 3 EROICA de Ludwig van BEETHOVEN - Mouvement IV FINALE (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le lundi 07 décembre 2009 09:47

     

     

    QUATRIEME MOUVEMENT

    FINALE

    Deuxième partie

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    APPLAUDIR DEBOUT CES MERVEILLES : LES SYMPHONIES de BEETHOVEN (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le lundi 07 décembre 2009 09:56

    Blog de colinearcenciel :BIENVENUE DANS MON MONDE MUSICAL, APPLAUDIR DEBOUT CES MERVEILLES  : LES SYMPHONIES de BEETHOVEN

    Oui, ce travail gigantesque des symphonies, celles de Ludwig van Beethoven en particulier, voilà ce que fait cette salle !

    Comment ne pas être ému par de telles émotions exprimées dans la musique avec autant de brio, d'imagination féconde, de mouvements violents dans les sentiments, et d'éléments musicaux juxtaposés d'une manière judicieuse dans une architecture monumentale !

    Mon admiration pour Beethoven est sans limite ! Non seulement pour le prodigieux musicien qu'il est mais aussi pour l'homme qu'il fut et qu'il est encore.

    ColinearCenCiel

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    Sur la SYMPHONIE N° 3 de BEETHOVEN ...  (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le lundi 07 décembre 2009 08:48

    Blog de colinearcenciel :BIENVENUE DANS MON MONDE MUSICAL, Sur la SYMPHONIE N° 3 de BEETHOVEN ...

    Cette symphonie est l'une des œuvres les plus populaires de Beethoven. Elle fut tout d'abord nommée Sinfonia grande, intitolata Bonaparte, dédiée ainsi àNapoléon Bonaparte, que le compositeur admirait en tant qu'incarnation des idéaux de la Révolution française.

    Cependant, quand Napoléon fut proclamé empereur des Français en mai 1804, Beethoven fut apparemment si dégoûté qu'il effaça le nom Bonaparte de la page titre avec une force telle qu'il brisa sa plume et abîma le papier. Plus tard, lorsque l'œuvre fut publiée en 1806, Beethoven y inscrivit le titre Sinfonia eroica, composta per festeggiare il sovvenire d'un grand'uomo (Symphonie Héroïque, composée en mémoire d'un grand homme).

    En fin de compte elle sera dédiée au grand mécène de Beethoven, le Prince de Lobkowicz.

     

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    LA PREMIERE REPETITION de l'Héroïque de BEETHOVENT FUT TERRIBLE ! (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le lundi 07 décembre 2009 09:59

    Blog de colinearcenciel :BIENVENUE DANS MON MONDE MUSICAL, LA PREMIERE REPETITION de l'Héroïque de BEETHOVENT  FUT TERRIBLE !

    Un moment particulièrement sublime dans le premier mouvement arrive juste avant la récapitulation, quand le cor d'harmonie fait son entrée en solo sur le thème principal, en légère dissonance avec le reste des instruments, quatre mesures avant la « vraie » entrée. Le disciple de Beethoven, Ferdinand Ries, racontait :

    « La première répétition de la symphonie fut terrible, mais le corniste entra pile au moment prévu. Je me tenais à côté de Beethoven et, croyant que le musicien avait fait une entrée hâtive, je dis : « Ce maudit corniste ! Ne sait-il pas compter ? Cela sonne affreusement faux ! » Je crois que j'ai été à deux doigts de me faire chauffer les oreilles. Il a fallu un long moment avant que Beethoven ne me pardonne. »

     

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    BEETHOVEN ET LES POETES (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le lundi 07 décembre 2009 11:50

    Blog de colinearcenciel :BIENVENUE DANS MON MONDE MUSICAL, BEETHOVEN ET LES POETES

    Beethoven aime lire mais en plus il dira souvent que la poésie le stimule et lui donne l'imagination de composer. Il aime particulièrement Goethe et Schiller. Il appellait celui-ci le poète des sons !

    Sa musique exprime les sentiments et les aspirations du coeur humains, elle est romantique et il consacre toute sa vie à la musique impérieusement, avec passion et fougue et son ambition est de traduire comme une révélation tous les sentiments humains les plus intérieurs, les plus dramatiques et les plus ardents.

    Et, sa violence se marquera dans son côté révolutionnaire qu'il traduira par sa musique avec un dynamisme extraordinaire.

    A l'âge de vingt ans, il n'est pas encore un compositeur affirmé, il est peu précoce pour l'époque mais, sa personnalité démontre un homme déjà accompli.

     

     

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    ON SE MOQUAIT DE BEETHOVEN PARFOIS BIEN MECHAMMENT ! (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le lundi 07 décembre 2009 12:40

    Blog de colinearcenciel :BIENVENUE DANS MON MONDE MUSICAL, ON SE MOQUAIT DE BEETHOVEN PARFOIS BIEN MECHAMMENT !

    Beethoven en 1792, revoit Haydn, qui auparavant n'avait pas fait attention à lui. Mais Haydn prend connaissance d'une des premières cantate de Beethoven et incite son auteur à continuer à travailler.

    Par la suite, Haydn le prendra comme élève lorsque Beethoven eut 22 ans. Il s'en occupera mais pas  à fond, aussi Beethoven prit d'autres professeurs : Albrechtsberger pour la composition et Krumpholz pour la technique du violon, Salieri pour celle du chant ainsi que d'autres professeurs.

    Il est souvent déçu par l'aspect trop scolaire des leçons qu'il reçoit, et son tempérament très original est assez inadapté aux enseignements.

    De leur côté certains professeurs prennent distance avec lui et Haydn, bienveillant pourtant l'appelle souvent "Le Grand Mongol" ce qui n'est pas très aimable ! et marquait souvent sa désapprobation devant les oeuvres que lui présentait Beethoven.

    Quant à Albrechtsberger il est encore plus agressif et dira de Beethoven :"c'est un exalté, un libre-penseur musical" ajoutant aux autres élèves :"ne le fréquentez pas : il n'a rien appris et ne fera jamais rien de propre !".

    Il y a de quoi rester pantois lorsque l'on entend dire cela du grand Maître Beethoven ! Et pourtant, c'est bien ce qu'il s'est passé à l'époque.

    Toute la documentation mise sur cet espace ne vient pas uniquement de wikipedia mais de diverses lectures et donc, prise de-ci, de-là ou me souvenant de quelques détails.

     

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    SYMPHONIE n° 4 de Ludwig van BEETHOVEN - Mouvement I (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le mercredi 09 décembre 2009 13:37

     

     

    SYMPHONIE n°4

    La Symphonie n° 4 en si bémol majeur, opus 60, de Ludwig van Beethoven fut écrite en 1806. Cette œuvre fut dédiée au comte Franz von Oppersdorff et son exécution dure environ 33 minutes.

    ______________

    Certaines personnes prétendent que les symphonies « impaires » de Beethoven sont majestueuses, tandis que ses symphonies « paires » sont tranquilles ou paisibles. C'est tout spécialement le cas de la 4e symphonie en si bémol majeur, puisqu'elle est très en contraste avec l'héroïque 3e symphonie en mi bémol majeur et la 5e symphonie en ut mineur.

     

    Robert Schumann disait que cette pièce était « une menue dame grecque prise entre deux dieux nordiques. »

    Cela s'explique facilement : lorsque Beethoven écrivit cette symphonie en 1806, il vivait le moment le plus paisible de sa vie.

    SYMPHONIE N° 4

    Ludwig van BEETHOVEN

    Premier Mouvement

    Ludwig van Beethoven (1770 † 1827)

    Work: Symphony No.4 in B flat major, Op.60

    1.Movement: Adagio - Allegro vivace

    Dedication to Count Franz von Oppersdorff
    Was written in 1806. It was premiered in March of 1807 at a private concert of the home of Prince Franz Joseph von Lobkowitz. The Coriolan Overture and the fourth piano concerto were premiered in that same concert

    Scored for flute, 2 oboes, 2 clarinets in B flat, 2 bassoons, 2 horns in B flat and E flat, 2 trumpets in B flat and E flat, timpani and strings.

    Conductor: Roger Norrington
    The London Classical Players

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    La STRUCTURE des 4 MOUVEMENTS de la SYMPHONIE N° 4 de BEETHOVEN (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le mercredi 09 décembre 2009 15:07

    Blog de colinearcenciel :BIENVENUE DANS MON MONDE MUSICAL, La STRUCTURE des  4 MOUVEMENTS de la SYMPHONIE N° 4 de BEETHOVEN
    • Premier mouvement : Suit la structure sonate. La partie adagio, servant d'introduction, rend une atmosphère mystérieuse et silencieuse. Toutefois, lorsque la partie allegro vivace commence, le mode devient rapidement actif et joyeux. Ce mouvement est très rythmique, et il se termine, après la récapitulation raccourcie, par une coda très chargée.
    • Second mouvement : Suit la structure sonate. Une belle et calme mélodie donne à tout ce mouvement une atmosphère lyrique qui nous engloutit dans une émotion sublime et élégante. La mélodie est jouée par les premiers violons tandis que le deuxième thème est joué par les clarinettes.
    • Troisième mouvement : Suit la forme scherzo. Ce mouvement se développe librement et avec humour. Un mouvement énergique en général.
    • Quatrième mouvement : Suit la forme sonate. Sur un tempo rapide, ce mouvement pousse l'atmosphère allègre et vivante à un niveau supérieur. Une vivacité et un sentiment de bonheur extrêmes se poursuivent jusqu'à la coda.

     

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    SYMPHONIE n° 4 de Ludwig van BEETHOVEN - Mouvement II (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le dimanche 13 février 2011 16:15

     

     

    SYMPHONIE N° 4

    Ludwig van BEETHOVEN

    Mouvement II

    Adagio

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    SYMPHONIE n° 4 de Ludwig van BEETHOVEN - Mouvement III page 775 (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le dimanche 13 février 2011 16:21

     

     

    SYMPHONIE N° 4

    Mouvement III  Allegro vivace

    Dedication to Count Franz von Oppersdorff
    Was written in 1806. It was premiered in March of 1807 at a private concert of the home of Prince Franz Joseph von Lobkowitz. The Coriolan Overture and the fourth piano concerto were premiered in that same concert

    Scored for flute, 2 oboes, 2 clarinets in B flat, 2 bassoons, 2 horns in B flat and E flat, 2 trumpets in B flat and E flat, timpani and strings.

    Conductor: Roger Norrington
    The London Classical Players

     

    Ludwig van BEETHOVEN

    SYMPHONIE n° 4 de Ludwig van BEETHOVEN - Mouvement IV (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le dimanche 13 février 2011 16:35

     

     

    SYMPHONIE N° 4

    Mouvement IV

    Allegro ma non troppo

    Ludwig van BEETHOVEN

     

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    SYMPHONIE N° 4 de Ludwig van BEETHOVEN - LES INSTRUMENTS de cette Symphonie  (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le mercredi 09 décembre 2009 14:19

     

     

    Instrumentation de la quatrième symphonie
    Cordes
    premiers violonsseconds violonsaltos,

    violoncellescontrebasses

    Bois
    flûte, 2 hautbois,

    clarinettes en si♭, 2 bassons

    Cuivres
    cors en si♭ et en mi♭,

    trompettes en si♭ et en mi♭

    Percussions
    timbales (si♭ et fa)

     

     

     

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    La dédicace de la SYMPHONIE N° 4 de BEETHOVEN  (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le mercredi 09 décembre 2009 14:24

    Blog de colinearcenciel :BIENVENUE DANS MON MONDE MUSICAL, La dédicace de la SYMPHONIE N° 4 de BEETHOVEN

    Le comte Franz von Oppersdorff était un parent du protecteur de Beethoven, le prince Lichnowsky dont le portrait se trouve ci-dessus.

    Alors que le comte séjournait à la résidence d'été de Lichnowsky, il put rencontrer le compositeur, qui était en vacances au même endroit. Von Oppersdorff entendit la 2e symphonie en ré majeur et l'aima tellement qu'il lui offrit une importante somme d'argent pour qu'il lui en compose une nouvelle.

    Le compositeur s'attela à la tâche, utilisant le même ton joyeux que celui la deuxième symphonie. La dédicace fut faite « au noble comte silésien, Franz von Oppersdorff ».

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    LES 4 MOUVEMENTS de la SYMPHONIE N° 4 de Ludwig van BEETHOVEN| (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le mercredi 09 décembre 2009 15:05

     

      I Adagio
    Allegro vivace
    - 4/4 -
    - 2/2 -
    noire = 66
    blanche = 80
    si♭ majeur
      II Adagio - 3/4 - croche = 84 mi♭ majeur
    Scherzo III Allegro molto e vivace
    Un poco meno Allegro
    Tempo primo
    - 3/4 - blanche pointée = 100
    blanche pointée = 88
    blanche pointée = 100
    si♭ majeur
    Finale IV Allegro ma non troppo - 2/4 - blanche = 80 si♭ majeur

     

    Ref: widipedia

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    Sur la SYMPHONIE N° 4 de BEETHOVEN ...et LE MATIN LE PLUS TRAGIQUE de BEETHOVEN  (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le dimanche 13 février 2011 16:48

    Blog de colinearcenciel :BIENVENUE DANS MON MONDE MUSICAL, Sur la SYMPHONIE N° 4 de BEETHOVEN ...et LE MATIN LE PLUS TRAGIQUE de BEETHOVEN

    La Symphonie no 4 en si bémol majeur, opus 60, de Ludwig van Beethoven fut écrite en 1806. Cette œuvre fut dédiée au comte Franz von Oppersdorff (comme nous l'avons dit dans un article précédent) et son exécution dure environ 33 minutes.

    Certaines personnes prétendent que les symphonies « impaires » de Beethoven sont majestueuses, tandis que ses symphonies « paires » sont tranquilles ou paisibles. C'est tout spécialement le cas de la 4e symphonie en si bémol majeur, puisqu'elle est très en contraste avec l'héroïque 3e symphonie en mi bémol majeur et la 5e symphonie en ut mineur. Robert Schumann disait que cette pièce était « une menue dame grecque prise entre deux dieux nordiques. » Cela s'explique facilement : lorsque Beethoven écrivit cette symphonie en 1806, il vivait le moment le plus paisible de sa vie.

    Ci-dessous un extrait du matin le plus tragique que le Maître eut connu et si bien traduit pas le film UN GRAND AMOUR DE BEETHOVEN.

    SYMPHONIE n° 5 LA SYMPHONIE DU DESTIN ou de Ludwig van BEETHOVEN| (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le jeudi 17 décembre 2009 23:06

     

    La symphonie no 5 en ut mineur, op. 67, dite Symphonie du Destin, a été écrite par Ludwig van Beethoven en 1805-1807 et créée le 22 décembre 1808 au Theater an der Wien de Vienne. Le compositeur a dédié l'œuvre au prince Lobkowitz et au comte Razumovsky, un diplomate russe qui avait commandé trois des quatuors à cordes de Beethoven.

    Cette symphonie, qui est au fil du temps devenue l'une des compositions les plus populaires de la musique classique, est fréquemment exécutée et enregistrée.

    Elle a acquis une grande renommée dès les premiers temps qui ont suivi sa première exécution, le 22 décembre 1808 au Theater an der Wien de Vienne : E.T.A. Hoffmann l'a alors décrite comme l'« une des œuvres les plus marquantes de l'époque ».

    Ce mouvement est l'un des plus intenses de l'histoire de la musique. On retrouvera cette intensité dans les œuvres de Beethoven en do mineur, son troisième concerto pour piano et son quatuor opus 18 no 4. Mais tout le génie de Beethoven se remarque surtout dans cette symphonie, composée en même temps que la suivante en fa majeur, "pastorale", et que la fantaisie opus 80 pour chœur, piano et orchestre, où Beethoven manifeste déjà l'envie d'ajouter la voix à sa symphonie.

    SYMPHONIE DU DESTIN

    SYMPHONIE N° 5 

    Ludwig van BEETHOVEN

    Chef d'orchestre

    Bruo Weil

    PREMIER  MOUVEMENT

     

     

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    LE PREMIER MOTIF DU PREMIER MOUVEMENT de la SYMPHONIE N° 5 de BEETHOVEN  (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le jeudi 17 décembre 2009 23:25

    Blog de colinearcenciel :BIENVENUE DANS MON MONDE MUSICAL, LE PREMIER MOTIF DU PREMIER MOUVEMENT de la SYMPHONIE N° 5 de BEETHOVEN

    Le motif par lequel débute le premier mouvement (Allegro con brio) est l'un des plus célèbres de la musique occidentale : ces huit notes (sol-sol-sol-mi bémol, auxquelles répondent fa-fa-fa-) jouées fortissimo, symbolisent bien le caractère révolutionnaire de la musique de Beethoven, pleine de puissance et de passion romantique.

    Ces portées musicales (voir image ci-dessus) ont été conçues par From German Wikipedia, author Mezzofortist.

     

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    SYMPHONIE N° 5 de Ludwig van BEETHOVEN - Mouvement II (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le mardi 15 février 2011 22:44

     
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    LA SYMPHONIE N° 5 de LUDWIG VAN BEETHOVEN - Ses QUATRE MOUVEMENTS  (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le jeudi 17 décembre 2009 23:19

    La cinquième symphonie est classiquement composée de quatre mouvements. Le troisième et le quatrième s'enchaînent et s'imbriquent même l'un dans l'autre, Beethoven reprenant le thème du scherzo avant la réexposition du dernier mouvement.


    .
    I Allegro con brio - 2/4 - blanche = 108 do mineur

    .
    II Andante con moto
    piu moto
    tempo I
    - 3/8 - croche = 92croche = 116croche = 92 la♭ majeur
    Scherzo III Allegro - 3/4 - blanche pointée = 96 do mineur
    do majeur
    do mineur
    Finale IV Allegro
    Tempo I (scherzo)
    Allegro
    Sempre più Allegro
    Presto
    - 4/4 -
    - 3/4 -
    - 4/4 -

    - 2/2 -
    blanche = 84
    blanche pointée = 96
    blanche = 84
    (accel. 9 mes.)

    ronde = 112
    do majeur
    (do mineur)
    do majeur
    .
    .
    .
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    L'EXTRAORDINAIRE CINQUIEME SYMPHONIE du MAITRE BEETHOVEN -PAGE 856  (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le jeudi 17 décembre 2009 23:35

    Blog de colinearcenciel :BIENVENUE DANS MON MONDE MUSICAL, L'EXTRAORDINAIRE CINQUIEME SYMPHONIE du MAITRE BEETHOVEN -PAGE  856

    Le premier biographe de Beethoven, Anton Schindler, aurait qualifié ce motif comme étant : « Le destin qui frappe à la porte », ce qui explique le sous-titre parfois employé (officieusement) pour parler de la cinquième : la symphonie du Destin. En aucun cas, Beethoven sous-titrait lui-même ses symphonies, son esprit de composition (ainsi que celui de l'époque) étant d'avantage tourné vers la technique que vers l'anthropomorphisation.

    En raison de sa ressemblance avec la lettre « V » (...-) du code Morse, William Stephenson eut l'idée d'utiliser ce motif comme une sténographie du mot « Victoire » pour ouvrir l'émission radio de la BBC pendant la Seconde Guerre mondiale.

    J'ai une documentation personnelle sur cette symphonie qui me ravit à chaque fois que je l'entends ! Je la mettrai par la suite, mais pour avoir toutes les symphonies qui se suivent et beaucoup d'oeuvres du Maître Beethoven : tout se suit bien dans la rubrique consacrée au Maître dans cet espace musical : à gauche, vous avez toutes les rubriques. Certaines ont été reprises deux fois, avec des interprétations différentes par différents chefs d'orchestre.

    Wikipedia est très bien documenté au niveau musical, je les remercie.

    Coline

     

     

     
     
     

     


    votre commentaire
  • SYMPHONIE N° 5 du Maître Ludwig van BEETHOVEN - L'INSTRUMENTATION (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le jeudi 17 décembre 2009 23:16

    Blog de colinearcenciel :BIENVENUE DANS MON MONDE MUSICAL, SYMPHONIE N° 5 du Maître Ludwig van BEETHOVEN - L'INSTRUMENTATION

    Voici la couverture originale de la Cinquième Symphonie de Beethoven.Écrite pour orchestre symphonique, l'œuvre voit son instrumentation étoffée par rapport aux quatre premières symphonies : un piccolo pour l'aigu, un contrebasson pour le grave et trois voix de trombone (alto, ténor et basse) pour les cuivres sont ajoutés pour la première fois, ils n'interviennent que dans le finale.

     

    Instrumentation de la cinquième symphonie
    Cordes
    premiers violons, seconds violons, altos,

    violoncelles, contrebasses

    Bois
    1 piccolo, 2 flûtes, 2 hautbois,

    2 clarinettes en si ♭, 2 bassons, 1 contrebasson

    Cuivres
    2 cors en mi♭ et en ut, 2 trompettes en ut

    3 trombones (alto, ténor et basse),

    Percussions
    2 timbales (sol et do)

    Document de wikipedia

     

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    SYMPHONIE N° 5 de Ludwig van BEETHOVEN - Mouvement I (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le mardi 15 février 2011 22:57

     

    La voici interprétée avec Arturo Toscanini cette magnifique et superbe symphonie.

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    LA SYMPHONIE N° 5 de LUDWIG VAN BEETHOVEN - MOUVEMENT II (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le mardi 15 février 2011 23:00

     

     

    SYMPHONIE N° 5

    SYMPHONIE DU DESTIN

    Ludwig van BEETHOVEN

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    SYMPHONIE N° 5 de Ludwig van BEETHOVEN - Mouvement III (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le mardi 15 février 2011 23:02

     

     

    SYMPHONIE N° 5

    SYMPHONIE DU DESTIN

    Ludwig van BEETHOVEN

    Mouvement III

     

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    SYMPHONIE N° 5 de Ludwig van BEETHOVEN - Mouvement IV (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le mardi 15 février 2011 23:04

     

     

    SYMPHONIE N° 5

    SYMPHONIE DU DESTIN

    Mouvement IV

    Ludwig van BEETHOVEN

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    LA SYMPHONIE n° 6 de Ludwig van BEETHOVEN - Mouvement I page 929 (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le dimanche 27 décembre 2009 02:47

     

    La symphonie n° 6 en fa majeur, opus 68, de Ludwig van Beethoven, fut composée entre 1805 et 1808 simultanément à la Cinquième. Beethoven l'intitula Symphonie pastorale et la co-dédia au prince Lobkowitz et au comte Razumovsky. L'œuvre fut créée le 22 décembre 1808 au Theater an der Wien de Vienne.

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    LA SYMPHONIE N° 6 de Ludwig van BEETHOVEN : LA PASTORALE - SON THEME  (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le dimanche 27 décembre 2009 03:08

     

    Donc Beethoven écrit la Sixième Symphonie tout en écrivant la cinquième dont une partie du premier mouvement est entendu sur son portrait sur cette remarquable vidéo.

    S Y M P H O N I E  A  T H E M E

    LA  PASTORALE

    Tranchant avec les autres symphonies du compositeur, c'est sa seule symphonie à programme : alors que la très grande majorité des œuvres de Beethoven relèvent de la musique pure, cette symphonie est écrite en référence explicite à des phénomènes du monde réel, et évoque en l'occurrence le thème de l'expérience de la nature, d'où son nom de « pastorale ». La forme de cette symphonie est caractéristique de la musique à programme : ce n'est plus la structure fixe de la symphonie classique en quatre mouvements prédéterminés, mais une forme en cinq mouvements, adaptée au thème.

    Beethoven était un artiste et créateur complètement pur dans le sens où il créait pour créer sans faire attention à ce qu'on allait penser de lui d'où son originalité et une rénovation dans la musique où il a joué un rôle précurseur.

     

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    LA SYMPHONIE N° 6 dite LA PASTORALE : les 5 Mouvements - Ludwig van BEETHOVEN  (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le dimanche 27 décembre 2009 03:13

     

     

    Chaque mouvement illustre un épisode particulier de la vie à la campagne :

    1. Allegro ma non troppo (2/4, blanche = 66, fa majeur)
    Erwachen heiterer Empfindungen bei der Ankunft auf dem Lande(Éveil d'impressions agréables en arrivant à la campagne)
    2. Andante molto moto (12/8, noire pointée = 50, si♭ majeur)
    Szene am Bach (Scène au bord du ruisseau)
    3. Allegro (3/4, blanche pointée =108, fa majeur) - Allegro (2/4, noire = 112) - (mesure et tempo primo)
    Lustiges Zusammensein der Landleute (Joyeuse assemblée de paysans)
    4. Allegro (4/4, blanche = 80, fa mineur)
    Gewitter - Sturm (Tonnerre - Orage)
    5. Allegretto (6/8, noire pointée = 60, fa majeur)
    Hirtengesang. Frohe und dankbare Gefühle nach dem Sturm.(Chant pastoral. Sentiments joyeux et reconnaissants après l'orage)

     

    Les deux premiers mouvement sont autonomes ; le troisième s'achève sur un accord de septième de dominante et doit donc s'enchaîner au suivant (cadence rompue de "ut +7" sur un trémolo de ré♭ des violoncelles/contrebasses, prémices de l'orage).

    Le fondu enchaîné des deux derniers mouvements est assuré par une gamme de la flûte finissant l'allegro à 4/4 et aboutissant sur le premier thème de l'allegretto à 6/8 confié à la clarinette.

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    LA SYMPHONIE N°5 de Ludwig van BEETHOVEN : L'INSTRUMENTATION (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le dimanche 27 décembre 2009 03:19

    Blog de colinearcenciel :BIENVENUE DANS MON MONDE MUSICAL, LA SYMPHONIE N°5 de Ludwig van  BEETHOVEN  :  L'INSTRUMENTATION

    La Symphonie Pastorale est écrite pour orchestre symphonique. Ici on entend le deuxième mouvement.

    Les parties de violoncelles et de contrebasses se séparent de plus en plus souvent et dans le deuxième mouvement, le pupitre de violoncelles se divisent en deux solistes et le tutti avec les contrebasses à l'octave inférieure.

    Le piccolo et les timbales n'interviennent que dans le quatrième mouvement, les trombones dans le quatrième et le cinquième, les trompettes dans le troisième, quatrième et cinquième.

     

    Instrumentation de la Symphonie pastorale
    Cordes
    premiers violons, seconds violons, altos,

    violoncelles (dont deux solistes), contrebasses

    Bois
    1 piccolo, 2 flûtes, 2 hautbois,

    2 clarinettes en si♭, 2 bassons

    Cuivres
    2 cors en fa et en mi♭, 2 trompettes en ut et en mi♭

    2 trombones (alto, ténor),

    Percussions
    2 timbales (fa et do)
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    LA SYMPHONIE n° 6 de Ludwig van BEETHOVEN - Mouvement III & IV (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le dimanche 27 décembre 2009 03:26

     

     

     

    SYMPHONIE N° 6

    dite

    LA PASTORALE

    Ludwig van BEETHOVEN

    Mouvement III et IV

     

    BEETHOVEN en images  (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le mercredi 03 septembre 2014 19:57

     



      GRANDE SONATE

    .
      PATHETIQUE N° 8                            Allegro di molto con brio

     




      
          Blog de colinearcenciel : BIENVENUE DANS MON MONDE MUSICAL, BEETHOVEN en images 


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    |SYMPHONIE n° 7 | PREMIER MOUVEMENT POCO SOSTENUTO VIVACE | LUDWIG VAN BEETHOVEN  (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le vendredi 15 janvier 2010 20:19

     

     

    Blog de colinearcenciel :BIENVENUE DANS MON MONDE MUSICAL, TOCCATA de la Vème SYMPHONIQUE DE WIDOR Opus 42 No1 

     

    Cette symphonie en la majeur dans un tonalité lumineuse comporte quatre mouvements. Le premier mouvement :

    POCO SOSTENUTO VIVACE

    commence par une introduction assez longue, complètement dans l'esprit du Père de la symphonie Haydn.  Il y a des accords d'instruments à vent auxquels répondent les cordes.

    Le hautbois, la flûte, le basson sont présents, reprenant le thème principal.

     

    Cette Symphonie porte aussi le nom de LA SYMPHONIE DE LA DANSE.  Elle commence par une forme sonate. Il y a des rythmes pointés comme les ouvertures françaises et on reconnaît la signature de Beethoven.

     

     

     

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    SYMPHONIE n° 7 de Ludwig van BEETHOVEN  (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le jeudi 14 janvier 2010 11:56

    Blog de colinearcenciel :BIENVENUE DANS MON MONDE MUSICAL, SYMPHONIE n° 7  de Ludwig van  BEETHOVEN

     

    LA SEPTIEME SYMPHONIE

    L

    u

    d

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    a

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      BEETHOVEN

     

     

    .

    La symphonie n° 7 en la majeur, op. 92, de Ludwig van Beethoven a été composée parallèlement à la 8e Symphonie en 1811 à Teplitz en Bohême (une période de soins au cours de laquelle il rencontra Goethe) et terminée en1812. Elle marque un retour vers une forme strictement classique après les écarts des précédentes, une composition purement musicale sans message d'éthique, dédiée au comte Moritz von Fries.

     

    Elle est structurée en quatre mouvements, formant une succession de danses, de colorations et de rythmes différents, une « apothéose de la danse » selonRichard Wagner :


    .
    I Poco sostenuto
    Vivace
    4/4
    6/8
    noire = 69
    noire pointée = 104
    la majeur

    .
    II Allegretto 2/4 noire = 76 la mineur
    la majeur
    la mineur

    Scherzo
    III Presto
    Assai meno presto
    Presto
    Assai meno presto
    3/4 blanche pointée = 132
    blanche pointée = 84
    blanche pointée = 132
    blanche pointée = 84
    fa majeur
    fa majeur
    fa majeur
    fa majeur

    Finale
    IV Allegro con brio 2/4 blanche = 72 la majeur
    do majeur
    la majeur

    Beethoven en dirigea la première avec une autre de ses compositions, laVictoire de Wellington, le 8 décembre 1813 à Vienne au profit des soldats Autrichiens et Bavarois blessés à la bataille de Hanau.

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    SYMPHONIE n° 7 | DEUXIEME MOUVEMENT ANDANTE SCHERZANDO| LUDWIG VAN BEETHOVEN |  (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le vendredi 15 janvier 2010 20:32

     

     

    Blog de colinearcenciel :BIENVENUE DANS MON MONDE MUSICAL, TOCCATA de la Vème SYMPHONIQUE DE WIDOR Opus 42 No1 

     

    LE DEUXIEME MOUVEMENT est très célèbre.

    ANDANTE SCHERZANDO

     

    Il est rempli de très belles variations et c'est une passacaille.Berlioz

    Le rythme est  simple comme celui du premier morceau, mais d’une forme différente, est encore la cause principale de l’incroyable effet produit par l’allegretto. Il y un thème de petite fugue dans les instruments à cordes ainsi que dans les cordes graves des altos, des contrebassese et des violoncelles avec du piano : mystère et mélancolie s'y rencontrent.

     

    Les seconds violons prennent leur place pendant que les violoncelles chantent une sorte de lamentation dans le mode mineur ; la phrase rythmique s’élevant toujours d’octave en octave, arrive aux premiers violons qui, par un crescendo, la transmettent aux instruments à vent dans le haut de l’orchestre, où elle éclate alors dans toute sa force.

     

    Là-dessus la mélodieuse plainte, émise avec plus d’énergie, prend le caractère d’un gémissement convulsif ; des rythmes inconciliables s’agitent péniblement les uns contre les autres ; ce sont des pleurs, des sanglots, des supplications ; c’est l’expression d’une douleur sans bornes, d’une souffrance dévorante... Mais une lueur d’espoir vient de naître : à ces accents déchirants succède une vaporeuse mélodie, pure, simple, douce, triste et résignée comme la patience souriant à la douleur. Les basses seules continuent leur inexorable rythme sous cet arc-en-ciel mélodieux .

     

    Les basses donnent le rythme.

    Timbales avec les basses.

    Lamentations des violoncelles passées maintenant à la flûte.

    Variation pure avec les violons qui jouent les doubles-croches.

    Fugue pure.

    Doubles-croches maintenant aux vents : flûtes, hautbois, clarinettes.

    Deuxième thème : plus lumineux.

    Manipulation des deux thèmes pour en faire un beau mouvement.

    Berlioz dit ceci :

    Les flûtes et les hautbois reprennent le thème d’une voix mourante, mais la force leur manque pour l’achever ; ce sont les violons qui la terminent par quelques notes de pizzicato à peine perceptibles ; après quoi, se ranimant tout à coup comme la flamme d’une lampe qui va s’éteindre, les instruments à vent exhalent un profond soupir sur une harmonie indécise et... le reste est silence.

    Pizzicato des cordes

    Beaucoup de silence.

     

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    SYMPHONIE n° 7 | QUATRIEME MOUVEMENT | LUDWIG VAN BEETHOVEN |  (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le samedi 16 janvier 2010 13:27

     

     

    Blog de colinearcenciel :BIENVENUE DANS MON MONDE MUSICAL, TOCCATA de la Vème SYMPHONIQUE DE WIDOR Opus 42 No1 

     

    L'allegro du final avec beaucoup  de cuivres, des trompettes et des cors, donne un sentiment fort d'exaltation.

     

    Instrumentation de la Septième symphonie
    Cordes
    premiers violons, seconds violons, altos,

    violoncelles, contrebasses

    Bois
    2 flûtes, 2 hautbois,

    2 clarinettes en la, 2 bassons

    Cuivres
    2 cors en la, en mi et en ré, 2 trompettes en ré
    Percussions
    2 timbales (la et mi)
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    SYMPHONIE n° 8 - LUDWIG VAN BEETHOVEN  (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le dimanche 17 janvier 2010 15:16

     

    La symphonie n° 8 en fa majeur, op. 93, est la huitième symphonie deLudwig van Beethoven composée en 1812.

    Il a toujours été difficile pour les musicologues de ranger Ludwig vanBeethoven parmi les « classiques » ou parmi les« romantiques »cependant il est clairement établi que Beethoven fait partie du mouvement romantique. Tout au long de sa vie, le compositeur a oscillé entre ces deux tendances, sans nette évolution, de telle sorte qu’il est impossible à classer dans un courant musical.

    Sa production symphonique est symptomatique de cet « enjambement » entre l’élégance et la rigueur classiques, et l’exaltation et la poésie romantiques.

    Ainsi, après avoir réalisé trois chefs d’œuvres de la musique romantique, les Cinquième, Sixième et Septième Symphonies, Beethoven écrivit, en 1812, cette nouvelle symphonie qui s’éloigne clairement des trois précédentes.

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    SYMPHONIE n° 8 - PREMIER MOUVEMENT : ALLEGRO VIVACE E CON BRIO  (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le dimanche 17 janvier 2010 15:24

    Blog de colinearcenciel :BIENVENUE DANS MON MONDE MUSICAL, SYMPHONIE n° 8 - PREMIER MOUVEMENT : ALLEGRO VIVACE E CON BRIO

    Son découpage en quatre mouvements est :

    1. Allegro vivace e con brio
    2. Allegretto scherzando
    3. Tempo di menuetto
    4. Allegro vivace

    Cette œuvre, plus courte et plus légère que les autres œuvres symphoniques du Maître, peut être qualifiée d’ « hommage au classicisme ».

    On y retrouve en effet à la fois dans la forme et dans le fond, des éléments mozartiens, voire haydniens : la précision d’horloger du mouvement lent, le semblant de menuet (un style XVIIIe siècle très revisité) qui compose le troisième mouvement en lieu et place du scherzo habituel chez Beethoven, la prééminence du finale sur le reste de l’œuvre (qui évoque beaucoup la Symphonie n° 40 « Jupiter » de Mozart), tout ceci concourt à faire de la Huitième un drame plus classique que romantique.

    Pour cette raison, la « Petite symphonie » (comme disait lui-même Beethoven) ne remporta pas le même succès que la Septième, écrite quelques semaines auparavant ; elle ne fut reconnue comme chef d’œuvre qu’à partir de la guerre par un public dont le goût romantique n’était plus au goût du jour.

    Cependant, une analyse musicale plus fine met à mal l’idée d’une symphonie de régression vers un âge plus spirituel et élégant. Le premier mouvement et le finale sont ainsi des miracles de pensée musicale, faisant intervenir l’un un thème principal rythmiquement très dynamique, l’autre un ut dièse étranger qui installe un tumulte, et un mélange structurel des formes sonate et rondo d’inspiration géniale.

    PREMIER MOUVEMENT

    Elle début par un thème serein et joyeux et puis un deuxième thème s'ajoute plus long que le premier.

    Cette symphonie, la moins révolutionnaire de toute est née dans un contexte de vie plus sereine chez Beethoven : il était tombé amoureux d'une chanteuse notamment.

     

     

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    SYMPHONIE n° 8 Le deuxième MOUVEMENT : ALLEGRETTO SCHERZANDO  (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le dimanche 17 janvier 2010 15:24

     

     

     

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    SYMPHONIE n° 8 - PREMIER MOUVEMENT : ALLEGRETTO SCHERZANDO - AUTRE INTERPRETATION| (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le dimanche 17 janvier 2010 15:30

     

    Une interprétation très brillante aussi ! Très belle !

    La Huitième symphonie de Beethoven, si elle n’est pas une œuvre majeure, est toutefois un modèle de subtilité piquante et joyeuse que le public de l’époque ne sut malheureusement pas reconnaître.

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    SYMPHONIE n° 8 de Ludwig van BEETHOVEN - IIème MOUVEMENT : ALLEGRETTO SCHERZANDO (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le dimanche 17 janvier 2010 15:35

     

     

    L'esprit scherzando évoque le badinage avec une note d'humour ; une partie joyeuse.

     

    Berlioz dit ceci de ce deuxième mouvement :

    " L’andante scherzando est une de ces productions auxquelles on ne peut trouver ni modèle ni pendant : cela tombe du ciel tout entier dans la pensée de l’artiste ; il l’écrit tout d’un trait, et nous nous ébahissons à l’entendre. Les instruments à vent jouent ici le rôle opposé de celui qu’ils remplissent ordinairement : ils accompagnent d’accords plaqués, frappés huit foispianissimo dans chaque mesure, le léger dialogue des violons et des basses. C’est doux, ingénu et d’une indolence toute gracieuse, comme la chanson de deux enfants cueillant des fleurs dans une prairie par une belle matinée de printemps."

    Cette symphonie est composée avec une précision d'horloger et dans un esprit de divertissement.

     

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    SYMPHONIE n° 8 - QUATRIEME MOUVEMENT : ALLEGRO VIVACE (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le dimanche 17 janvier 2010 15:49

     

    Avec cette autre interprétation, nous entrons réellement dans le quatrième mouvement, car dans l'article précédent, il s'y trouve déjà ; il faut bien suivre les vidéos pour reconnaître où commence chaque mouvement.

    QUATRIEME MOUVEMENT

    C'est le mouvement le plus développé de la symphonie avec des passages très rapide ; le rondo avec le refrain tout au long du mouvement et ces mouvements se rapproche de la Vème et VIIème symphonie.

    Blog de colinearcenciel :BIENVENUE DANS MON MONDE MUSICAL, TOCCATA de la Vème SYMPHONIQUE DE WIDOR Opus 42 No1

     

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    SYMPHONIE n° 8 - Ludwig van BEETHOVEN IIIème MVT : TEMPO DI MENUETTO  (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le dimanche 17 janvier 2010 15:42

     

    Quelques remarques sur la symphonie (tirées du chapitre consacré à la huitième symphonie dans l'excellent livre de Michel Lecompte: Guide illustré de la musique symphonique de Beethoven, ed.Fayard)

    • C'est la seule symphonie du compositeur (et peut-être la seule dans l'histoire de la symphonie en quatre mouvements) à ne pas comporter de mouvement lent ce qui confirme sa réputation d'oeuvre légère car il est substitué par un allegretto scherzando pétillant, fantaisiste, et comique (comme le fortissimo inattendu des violons à la mesure 23), d'ailleurs ce mouvement a pour thème un charmant canon composé quelques temps auparavant par Beethoven pour l'anniversaire de son ami Maelzel! (l'inventeur du métronome).
    • C'est la seule symphonie de Beethoven qui comporte un menuet, les huit autres comportant des scherzos (le "menuet" de la première symphonie est en réalité un scherzo, son tempo étant beaucoup trop rapide pour une gracieuse danse à trois temps).
    • Le finale ("prodigieux finale, une des pages les plus hardies de Beethoven" dixit Igor Markevitch) est peut-être le mouvement le plus réussi de la symphonie. On peut noter que Beethoven s'écarte temporairement du système tonal autour des mesures 307-336 en employant des modes anciens, anticipation du mode lydien utilisé plus tard dans l'adagio du quinzième quatuor. Sa coda rappelle enfin, de manière plus condensée et moins spectaculaire, celle de la fameuseCinquième par sa succession d'accords de tonique.

    Le troisième mouvement  est un menuet typique viennois dans l'esprit de Haydn, plus simple par rapport à ses autres compositions.

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    ODE A LA JOIE - SYMPHONIE n° 9 de Ludwig van BEETHOVEN  (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le dimanche 17 janvier 2010 16:08

     

    Quelle émotion ! Me retrouver face à la Neuvième Symphonie de Beethoven, à plus de 5000 article  : c'est magnifique ! Pourquoi ? Parceque Ludwig van Beethoven est le musicien qui a le plus marqué ma vie et justement avec ses neuf symphonies ! Comme, tout le long de cet espace, je vous livre quelques fragments de ma vie, c'est mon père qui m'a fait découvrir ces oeuvres magnifiques ; nous les écoutions ensemble des soirées entières ! Mon père avait fait toutes ses classes de violon : il adorait la musique classique et possédait les oeuvres les plus extraordinaires au niveau musical dans ses disques et une chaîne stéréo des plus prestigieuses et, le soir, en Afrique, notre living et même notre jardin était envahi par la musique et notamment ces symphonies : il battait la musique comme un chef d'orchestre des heures durant et moi j'écoutais ravie ces merveilles !

    Ce sont des moments que je n'oublierai jamais car, dans la famille, on nous traitait de fou tous les deux ! Nous étions les seuls à apprécier et à pouvoir rester des heures à écouter religieusement ces oeuvres ; et oui, dans les moments les plus exaltants, lui se levait pour battre la mesure : c'était une joie incommensurable de l'âme que nous partagions ensemble somptueusement !  Voici donc la SYMPHONIE n° 9 de Ludwig van Beethoven, appellée L'HYMNE A LA JOIE. Nous nous attarderons dans les articles qui suivent sur la splendeur de cette oeuvre !

    ps : ce 25/09/2014, des articles précédents ont dû être ôté et reposté, environ 200. Néanmoins, à l'origine de cet espace, cette symphonie se trouvait à la page 1000  (-:

     

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    SOMPTUEUSE SYMPHONIE n° 9 de Ludwig van BEETHOVEN  (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le dimanche 17 janvier 2010 17:06

    Blog de colinearcenciel : BIENVENUE DANS MON MONDE MUSICAL, SOMPTUEUSE SYMPHONIE n° 9 de Ludwig van BEETHOVEN - Page 1010 

    Blog de colinearcenciel :BIENVENUE DANS MON MONDE MUSICAL, TOCCATA de la Vème SYMPHONIQUE DE WIDOR Opus 42 No1

     

    NEUVIEME

     

     SYMPHONIE

     

     

    Ludwivan

    .

     

     BEETHOVEN

     

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    L'Ode à la Joie

    Blog de colinearcenciel : BIENVENUE DANS MON MONDE MUSICAL, SOMPTUEUSE SYMPHONIE n° 9 de Ludwig van BEETHOVEN - Page 1000- Art. 5000

     

     

    L'Ode à la joie — appelé également Hymne à la joie — est un poème deFriedrich von Schiller écrit en 1785. Il est surtout connu comme pièce chantéedu quatrième et dernier mouvement de la neuvième symphonie deBeethoven. Son titre original est An die Freude, mais il est souvent appelé Ode an die Freude.

    Le poème célèbre l'idéal de l'unité et de la fraternité humaines (« Millions d’êtres, soyez tous embrassés d’une commune étreinte ! »).

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    SYMPHONIE N° 9 de Ludwig van BEETHOVEN - Part I  (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le vendredi 11 juin 2010 21:31

     

    La symphonie n° 9 en  mineur, op. 125, de Ludwig van Beethoven, est une symphonie en quatre mouvements pour grand orchestre, solos et chœur mixte composée de la fin de 1822 à février 1824, créée à Vienne le 7 mai 1824et dédiée au roi Frédéric-Guillaume III de Prusse. Son finale, aussi long que laHuitième symphonie tout entière, introduit des sections chantées sur l'Ode à la joie (Ode an die Freude) de Friedrich von Schiller.

    Cette œuvre monumentale, en laquelle Wagner voyait « la dernière des symphonies », marqua un tournant décisif dans ce style musical et est souvent considérée comme un grand chef-d'œuvre du répertoire occidental et l'une des plus grandes symphonie et musique de tous les temps.

     

    LA SYMPHONIE N° 9 de LUDWIG VAN BEETHOVEN - I&IIème MOUVEMENT - Part II  (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le vendredi 11 juin 2010 21:35

     

    La composition de la Neuvième symphonie s'étala de la fin de 1822 au début de 1824, ce qui fait d'elle une contemporaine de la Missa Solemnis op. 123, des 33 Variations sur une valse de Diabelli op. 120 et de La Consécration de la maison op. 124. Œuvre de la dernière période créatrice de Beethoven, elle eut une genèse extrêmement complexe, dont la compréhension nécessite de remonter à la jeunesse du compositeur et de bien distinguer l'élaboration des trois premiers mouvements de celle du quatrième et de son Hymne à la Joie, dont la synthèse s'est opérée très tardivement.

    Nous entendons la fin du premier mouvement et puis le deuxième mouvement qui s'entame.

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    SYMPHONIE N° 9 de Ludwig van BEETHOVEN -Mouvement II - Part 3 (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le vendredi 11 juin 2010 21:39

     

    Dans les ouvrages consacrés à la Neuvième symphonie il est fréquent de lire Ode à la joie pour le poème de Schiller et Hymne à la joie pour la musique de Beethoven, mais il ne semble pas exister de règle absolue à ce sujet. Cependant pour davantage de clarté c'est cette distinction de terminologie qui sera employée dans l'article.

    L'Universalité d'un Artiste et la VERTU en parlant de Ludwig van BEETHOVEN (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le mercredi 30 mars 2011 14:32

     

    Tout d'abord, cette musique que vous entendez le CONCERTO DE L'EMPEREUR comprend trois mouvements :

    Il comprend trois mouvements dont l'exécution dure à peu près quarante minutes: nous entendons l'Adagio et ici l'Allegro.

    Allegro

    Adagio un poco moto - attacca:

    Rondo. Allegro ma non troppo

    "La grandeur implique l'universalité. Personne, et l'artiste moins que quiconque, ne peut aspirer à la grandeur s'il lui manque l'essentiel des vertus et de l'expérience humaine " écrit Carl von Pidoll à propos de BEETHOVEN.

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    Je ne peux en aucun cas renier BEETHOVEN - LE CONCERTO N°5 (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le mercredi 30 mars 2011 14:38

     

    Non, je ne peux en aucun cas renier que BEETHOVEN est le musicien qui m'a le plus marqué et qui m'émeut toujours autant et lorsque j'ai crée la rubrique le concernant je l'avais nommé MON AMOUR de BEETHOVEN ! Il y a très peu de temps j'ai appris qu'un film du maître avec été réalisé dans les années 1930 appellé "Un très grand amour de BEETHOVEN " dont j'ai pu mettre deux extraits dans la rubrique qui est dédié au grand maître. Ce grand Concerto apparaît également dans GLENN GOULD qui lui l'interprète (voir la rubrique), cette version-ci reflète l'excellence d'une interprétation !

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    AU TRAVERS DE CE CONCERTO : Le Pur Génie de BEETHOVEN !  (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le mercredi 30 mars 2011 14:41

     

    Tout y est beau et excellent : quelle délice ! Musicalement, un chef d'oeuvre dont on ne se lasse jamais et quelle délicatesse au piano ! Une véritable exaltation que l'on peut ressentir en soi à l'écoute de ce chef d'oeuvre incontestable et universel !

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    La GRIFFE beethovénienne dans le CONCERTO n° 4 moins connu mais si émouvant  (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le mercredi 30 mars 2011 14:50

     

    Oui c'est du BEETHOVEN allons-nous nous exclamer ! Et pourquoi ? Les intonations particulières, les répétitions, les coups de boutoir, les élans et les répétitions tout comme dans la cinquième symphonie : ta ta ta ta taaaaaaaaaaaam ! Il vous fait des finales avec une série de ronde sur au moins une dizaine de portées ! Personne jusque-là n'avait osé... ce qu'il a osé avec ses tripes ! Il dit et répète lui-même ces mots : " Quand vous écoutez ma musique, je ne vous demande pas de "penser", je vous demande de "sentir". Si vous ne la "sentez" pas, c'est que je suis un bousilleur, ou bien que vous êtes des philistins...".

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    L'ESSENCE DE LA MUSIQUE avec Ludwig van BEETHOVEN - Concerto n° 4 II (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le mercredi 30 mars 2011 14:55

     

    Ecouter, c'est entendre les accents de ce langage, le langage de Beethoven c'est la musique, une musique qui parle et nous raconte une histoire peu banale et nous enmène en réalité dans l'univers que nous connaissons bien : le nôtre...

     

    Blog de colinearcenciel :BIENVENUE DANS MON MONDE MUSICAL, TOCCATA de la Vème SYMPHONIQUE DE WIDOR Opus 42 No1 

     

    Partition du IVème mouvement écrite de la main du Maître

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    SYMPHONIE N° 9 de Ludwig van BEETHOVEN - Part 4  (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le vendredi 11 juin 2010 21:43

     

    Bien avant le finale de la Neuvième symphonie, Beethoven mit en musique des bribes du poème de Schiller. En 1798 il nota dans un cahier d'esquisses une musique sur le vers Muß ein lieber Vater wohnen (Solomon,p. 427). Entre 1799 et 1803, selon son ami Ferdinand Ries, Beethoven aurait écrit un lied entier sur le poème de Schiller (Ibid.p. 427). Enfin, et c'est certainement l'exemple le plus connu, il utilisa le troisième vers de la deuxième strophe, Wer ein holdes Weib errungen, pour l'épilogue triomphant de Fidelio en 1805.

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    UN BEAU LIVRE A LIRE  (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le vendredi 26 novembre 2010 00:08

    Blog de colinearcenciel :BIENVENUE DANS MON MONDE MUSICAL, UN BEAU LIVRE A LIRE

    Grâce à un de mes professeurs, j'ai pu entendre des extraits d'un livre que l'on m'a offert et, je voudrai vous le faire connaître car il est excellent ! Il s'agit de "Quant je pense que BEETHOVEN est mort alors que tant de crétins vivent..." Ce livre est accompagné d'un CD et il absolument intéressant, émouvant, amusant et très explicatifs ; de plus, il peut être lu à un enfant qui comprendra mieux la musique et l'esprit du grand maître que fut et est encore Ludwig van Beethoven.

    Bien à vous et belle journée.

    Coline

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    UN GRAND AMOUR DE BEETHOVEN, un film sur la vie de Ludwig van Beethoven (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le vendredi 28 janvier 2011 08:11

    Blog de colinearcenciel :BIENVENUE DANS MON MONDE MUSICAL, UN GRAND AMOUR DE BEETHOVEN, un film sur la vie de Ludwig van Beethoven

    Le titre du plus ancien film réalisé sur la vie de Ludwig van Beethoven et que j'ai loué à la médiathèque : j'ai vu la moitié du film hier et continuerai à regarder la deuxième moitié de ce film qui est très beau et très sensible ! Je vous le conseille vivement ! Ce qui m'a frappé c'est que l'on montre beaucoup la nature sous différents aspects. Je vous disais précédemment, lorsque vous écoutez une symphonie, regardez la nature et vous verrez qu'il y a un lien entre sa musique et la nature : ce film le démontre merveilleusement !L'ancienneté du film encore en noir et blanc nous montre de somptueux décors et son histoire est émouvante, reprenant des éléments tangibles de sa vie et notamment le drame de l'atteinte à la surdité de ce musicien totalement exceptionnel ! Bonne journée à vous mes amis.

    Blog de colinearcenciel : BIENVENUE DANS MON MONDE MUSICAL, UN GRAND AMOUR DE BEETHOVEN, un film sur la vie de Ludwig van Beethoven

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    De L'HEROIQUE, la IIIème Symphonie de BEETHOVEN à la huitième page 1024 (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le mercredi 30 mars 2011 01:02

     

    Comme le grand maître Ludwig van Beethoven admirait Napoléon comme nous en avons déjà parlé, cette symphonie fut dédiée à ce grand révolutionnaire qui semblait représenter ce que le génie souhaitait pour une vie plus juste pour tous et une nation idéale où l'égalité règnerait. C'est en dix années qu'il composa les symphonies III, IV, V, VI, VII et VIII c'est à dire de 1802 à 1812, donc il y a deux cent ans il composait ces chefs d'oeuvre luttant contre la surdité dont il était atteint. Mais ce que les médecins avaient prédit fort heureusement fut moins rapide dans l'évolution de celle-ci.  Ces dix années furent gouvernées pour lui par cette rigoureuse volonté, discipline exigente, inébranlable de tirer de lui-même et le plus vite possible en se mettant à rude épreuve toutes les énergies vitales dont il était habité pour oeuvrer de manière magistrale pour cette oeuvre grandiose en signification et, dès lors, il pensait que lorsque sa fin viendrait il trouverait un refuge dans la consolation dans le désespoir par cette oeuvre par le fait d'avoir accompli un travail complet, pleinement accompli en somme.

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    CES HOMMES A L'INTELLIGENCE SUPERIEURE ici, BEETHOVEN (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le mercredi 30 mars 2011 01:13

     

    Les gens se disaient que "Beethoven avait un talent tout à fait extraordinaire, vous savez..." sans se rendre compte vraiment de la monumentalité de son oeuvre !.

    Les hommes de très hautes intelligences, de ces intelligences supérieures et universelles nous suprennent par le fait de leur sensibilité et une grande expérience de la vie et de constater qu'ils ne remarquent rien de ce qui se passe devant eux alors qu'ils assistent à un drame sans doute bien particulier et unique et qui ne se demande même pas comment une telle chose a pu se produire... Donc de 1802 à 1812, il  composa chefs d'oeuvre sur chefs d'oeuvre avec une merveilleuse abondance dans son travail créateur il réalisait la promesse de donner une musique complètement neuve dans sa forme notamment. Mais personne à l'époque ne se rendit compte de la somme incroyable de recherches et de réussites artistiques. Tout le monde s'accordait à dire que "Beethoven avait un talent tout à fait extraordinaire, vous savez..." et c'est tout et ces mots ne signifiaient rien car cela semblait normal et sans plus. En réalité ces créations, cette oeuvre fut pour le maître une lutte de tous les instants.

     

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    Petites oeuvres outre les grandes oeuvres au cours de ces dix ans de la vie du Maître BEETHOVEN  (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le mercredi 30 mars 2011 01:18

     

    Mais en plus sur les dix années de l'Héroïque à la Huitième Symphonie, il composa aussi FIDELIO, deux concerto pour piano, un concerto pour violon, un triple concerto pour piano, violon et violoncelle, des sonates pour piano, des sonates pour violon, des trios, des quatuors et de nombreuses ouvertures. Il composa des oeuvres de grandes importances, des petits trésors, écrites en guise de délassement..

    Ici  Walter Gieseking plays Beethoven Sonata No. 27 in E minor Op. 90

    I. Mit Lebhaftigkeit und durchaus mit Empfindung und Ausdruck
    II. Nicht zu geschwind und sehr singbar vorgetragen

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    OUVERTURE FIDELIO de Ludwig van BEETHOVEN, et ce que le Maître estimait de son oeuvre !  (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le mercredi 30 mars 2011 01:36

     

    Et bien savez-vous que ces fameuses dix années de création sont uniques dans l'histoire de tous les artistes ? Du fait de l'effort intense au niveau intellectuel et artistique !. Par exemple l'Héroïque fut composée au printemps 1803 et en été de cette année-là, la première oeuvre dans une forme immortelle que nous lui connaissons aujourd'hui. Il est arrivé à maturité en 1802 après une période de crise.

    Beethoven considéra parmi toutes ses oeuvres la IIIème symphonie, l'HEROIQUE, comme étant la meilleure de ses oeuvres ! Et ce malgré la Neuvième Symphonie !

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    Du ROSSINI à l'époque de notre grand BEETHOVEN - OUVERTURE  (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le mercredi 30 mars 2011 11:36

     

    Comment les viennois en ce début du XIXème considérait la musique du grand maître ? Eh bien, ils s'ennuyaient à baîller aux corneilles tandis que l'on ne parlait que de Rossini, Rossini et encore Rossini ! Les viennois de 1830 manquaient complètement de discernement quant à l'oeuvre du génie. A quel point en effet, puisque quelque part dans la même Vienne se mourait un jeune homme dont les oeuvres se couvraient de poussières, aucune éditées et ce dans la maison de son frère et des oeuvres encore jamais jouées : il s'agit de Franz Schubert.

    Les pianistes disaient qu'ils se désarticulaient les doigts en jouant Beethoven et qu'il ferait baîller le public en apprenant donc inutilement ses oeuvres. Ce n'est qu' une petite poignée de personnes, environ une quarantaine, des hommes réfléchit et plus âgés, qui comprirent le génie de Beethoven.

    Le "contrat" de Ludwig van BEETHOVEN (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le mercredi 30 mars 2011 11:44

     

    Nous avons entendu dans l'article précédent l'Ouverture Léonore du maître et ici nous entendons l'Ouverture KING STEPHEN Op 117.  Trois personnes et viennois de la haute société octroyèrent une pension à Beethoven de six mille florins à la seule condition qu'il demeure à Vienne et poursuive son oeuvre de création musicale. Ces mécènes ne savaient même pas si ces oeuvres leur rapporterait quoi que ce soit ce qui est étonnant de la part de personnes riches qui se séparent difficilement de leur argent de telle façon et sans aucun calcul. On ne peut penser d'une telle situation que ces mécènes croyaient en l'art de Beethoven et qu'ils y croyaient fermement en la soutenant pécuniairement.

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    AUTOUR DE BEETHOVEN, DES MUSICIENS PAUVRES - KING STEPHEN Op. 117  (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le mercredi 30 mars 2011 11:51

     

    Outre que si Beethoven n'avait reçu ce mécenat il n'aurait pu faire ce qu'il a réalisé en ayant la tranquillité de l'esprit nécessaire aux créateurs de génie et à tous les créateurs.  Des musiciens pauvres et talentueux se mettaient gracieusement à la disposition de Beethoven pour exécuter ses oeuvres et ils étaient fiers de servir cet incomparable génie.

    Nous entendons dans cet article la IIème partie de l'Ouverture KING STEPHEN Op. 117 où un chorale d'homme chante.

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    LUDWIG VAN B au XVIIIème siècle (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le mercredi 30 mars 2011 12:09

     

    Quelles que soient les critiques que l'on puisse donner à ce XVIIIème siècle, ce siècle fut cependant une période rare qui a placé l'homme et sa dignité intrinsèque au centre de tout système et comme le critère de toues les valeurs où le concept de liberté est synonyme de discipline morale, et que si l'homme veut seulement donner à cette notion sa véritable et entière signification, il n'a besoin d'aucune abstraction pour le guider vers l'Eternité et ver la foi libératrice qui efface tous les doutes et toutes les souffrances sans avoir besoin d'adjuvant des dogmes religieux, sectes, obscurantisme. L'homme du XVIIIème siècle vraiment représentatif est celui qui se sent lié  à Dieu, à  l'Eternité et il les porte en  lui en vivant d'un principe spirituel d'où lui est venue sa dignité humaine.

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    OUVERTURE des RUINES D'ATHENES de Ludwig van BEETHOVEN  (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le mercredi 30 mars 2011 12:39

     

    Nous sommes ici, au milieu de la description de la vie du maître et de son XVIIIème siècle, dans les écoutes de différentes de ses Ouvertures qui toutes sont particulièrement belles et toutes porte la "griffe" du maître et du génie.

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    LES RUINES D'ATHENES, OUVERTURE et CHORAL I de Ludwig van BEETHOVEN page 1025  (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le mercredi 30 mars 2011 12:18

     

    "Le grand idéal de l'être humain considéré pour sa valeur et sa dignité personnelle, de sa force morale, de son aptitude au bonheur et de son lien avec l'Eternité, tout ceci se trouve dans la musique de BEETHOVEN. L'homme du XVIIIème siècle connaissait le respect et non la crainte ; la fierté et non la vanité ; il connaissait la liberté et non la licence ; la pouvoir mais non la tyrranie : il savait que le destin peut réserver de terribles adversités, mais il savait également ce dont il était capable pour supporter ces adversités et en triompher. Tout cela constituait un idéal qu'il croyait possible de pouvoir atteindre - possible à chaque individu, comme à l'humanité dans son ensemble".

    Carl von Pidoll, Extrait de Eroïca, le roman d'un génie

    LE MESSAGE D'UNE MUSIQUE, celui de Ludwig van BEETHOVEN  (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le mercredi 30 mars 2011 12:32

     

    Nous entendons ici cette oeuvre LES RUINES D'ATHENES, la IIème partie et nous revenons sur ce XVIIIème siècle et ses idéaux, l'homme placé au centre des préoccupations, sa dignité, le sens du respect, ses hauts idéaux.

    La seule raison d'être de la musique de BEETHOVEN englobe tous ces aspects et de proclamer au monde cet idéal, et de le réaliser, et, par le fait de l'avaoit atteint, de prouver aux hommes que ce n'était pas une ombre, mais une réalité et sans doute la seule réalité qui existe : celle de l'Esprit, de l'Eternel et de l'Absolu.

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    LE FINAL des RUINES D'ATHENES - Ludwig van BEETHOVEN et la révolution française  (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le mercredi 30 mars 2011 13:39

     

    La révolution française fut aussi une tentative de faire passer ces idéaux du XVIIIème siècle qui hantait la pensée de l'homme, une entreprise héroïque inspirée par une foi sincère. Il fallait mettre fin au chaos en rétablissant le droit et l'ordre et il n'existait aucun autre moyen d'utiliser l'armée et la discipline militaire dans ce seul but : Napoléon surgissant il ne fallait plus soumettre le pays à une autorité absolue. Beethoven rejoingnait donc cet idéal et percevait Napoléon comme un sauveur de valeurs fondamentales pour l'homme et comme nous l'avons vu précédemment, il fut la source principale de sa Symphonie III L'HEROIQUE.  Malheureusement, comme nous le montre de multiples faits dans l'histoire, la puissance et la force sont intimement liées et l'homme se trouvant au centre en possession de cette puissance en vient ensuite à la violence et la violence appelle la violence et l'on peut donc conclure que règna alors la désolation, l'épuisement, les misères et le chaos matériel qui entraîne le chaos spirituel et la ruine des idéaux premiers. On ne doutait pas de la sincérité de Napoléon au départ jusqu'au moment où il devient Empereur. BEETHOVEN fut mortifié de ce choix, lui le grand révolutionnaire dont la musique traduit ces mouvements toujours tendus vers ces idéaux premiers.

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    De LOUIS XIII à NAPOLEON, l'ambiance de l'époque Beethovénienne  (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le mercredi 30 mars 2011 13:57

     

    Voici une musique directement inspirée des batailles de Napoléon. Carl von Pidoll, ami de Ludwig exprime bien le ressenti de l'époque par ces mots :"En France, nous avons eu la farce grâce à laquelle un Louis XVIII a pu remonter sur le trône de ses pères lorsqu'il eut signé, et juré de respecter une constitution qui porte toutes les marques de la phraséologie révolutionnaire, une constitution qui fait fi de tout ce que lui, le roi, et les traditions qui lui sont attachées, représentent. Il n'est pas étonnant que cette farce éclata, voici quelques mois, comme une bulle de savon.

    Le reste de l'Europe durant ce temps, l'Europe de la Sainte-Alliance, est gouvernée par cette même force brutale que les ennemis vainqueurs de Napoléon proclamaient vouloir combattre. L'Europe d'aujourd'hui est mise sous le joug de cette tyrannie insidieuse et adroite qui, à la longue, jettera le discrédit sur la liberté, et la supprimera. Cette tyrranie obscurantiste est apparemment celle qui convient le mieux pour direiger un monde épuisé et sans espoir".

    Fichier:Metternich by Lawrence.jpeg

    ll ajoute "Pourquoi en voudrai-je à Metternich de n'être rien d'autre qu'un mélange à la fois du duc d'Otrante et du comte de Talleyrand dépourvu toutefois du cynisme du premier et de l'intelligence remarquable du second. Pas plus que je n'en veux au peuple après ce qu'il a enduré, d'avoir permis à un homme tel que Metternich de s'instituer maître de ses destinées. Mais je refuse de considérer la situation actuelle de l'allemand, autrement que comme pitoyable, et à ne pas voir qu'il s'agit là d'un mal temporaire, je l'espère, amené par le découragement, par un reflux des forces spirituelles, des forces essentielles".

    Ci-dessus un portrait de Clément-Wenceslas-Népomucène-Lothaire, comte puis 2e prince de Metternich-Winneburg-Beilstein (en allemand  : Klemens Wenzel Nepomuk Lothar Fürst von Metternich-Winneburg zu Beilstein), né le  15 mai 1773 à Coblence et mort le 11 juin 1859 à Vienne, est un diplomate et un homme politique autrichien.  Il consacra sa vie au maintien de la société d'ancien régime face au bouleversement qu'engendra la Révolution française puis au maintien de la position autrichienne et de l'équilibre des puissances.

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    L'AMI de Ludwig van BEETHOVEN (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le mercredi 30 mars 2011 14:17

    Selbstbildnis Carl von Pidoll, Kunstmaler

    Je pense que voici le portrait du fidèle ami de Ludwig van BEETHOVEN, soit Carl von Pidoll, je l'espère car l'on trouve très peu de documentation et trop peu sur ce vénérable personnage qui fut fidèle toute sa vie au génie Ludwig et qui écrivit plusieurs ouvrages sur le musicien car il connaissait tout de son ami et nous le partage.

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    LE CONCERTO n°5 dit " L'EMPEREUR" de Ludwig van BEETHOVEN - Mais pourquoi ?  (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le mercredi 30 mars 2011 14:11

     

    Le concerto pour piano en mi bémol majeur op 73 est le dernier des cinq concertos pour piano de Ludwig van Beethoven. Sa composition commence vers 1808-1809 et est à peu près contemporaine de celle de sa cinquième et de sa sixième symphonie. Il a été créé par l'orchestre du Gewandhaus de Leipzig le 28 novembre  1811, le soliste étant Friedrich Schneider, la surdité du compositeur étant trop avancée. La première viennoise est donnée le 11 février 1812 avec Carl Czerny au piano !!!.

    Il est dédié à l'archiduc Rodolphe d'Autriche par le maître BEETHOVEN, son élève, dédicataire également de son autrième concerto. Il nécessite un orchestre comportant, outre les cordes, deux flûtes, deux hautbois, deux clarinettes, deux bassons, deux cors, deux trompettes et des timbales.

    Le titre « Concerto Empereur » n'a pas été choisi par le maître mais probablement par l'un de ses amis. Car, si dans l'espoir de l'élan  Napoléon inspira l'HEROIQUE pourquoi aurait-t'il créé L'EMPEREUR lorsqu'il en fut amèrement déçu ? Beethoven n'avait plus guère de sympathie pour Napoléon Bonaparte à cette époque. N'empêches que ce Concerto est l'un des plus beaux du monde n'est ce pas ...

     

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  • L'HOMME BEETHOVEN A l'AGE DE 40 ans - CONCERTO n° 4 II  (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le mercredi 30 mars 2011 15:54

     

    Ce concerto je le découvre avec vous et il m'émeut extrêmement, me secoue émotionnellement, j'en ai même les larmes aux yeux !    En 1802 Beethoven avait les cheveux noirs, les yeux brillants, l'allure bien jeune mais lorsqu'il eût fait son parcours des dix années de création intense, ses cheveux étaient devenus gris, son teint terne, il paraissait las et épuisé. Il n'y a d'explication en cela nullement le fait de sa course contre la surdité et certainement aucun élément de vice, mais évidemment un travail intense et, de plus, ce que nous ne savons pas c'est qu'il veillait fort sur ses amis et s'en souciait énormément. La somme de travail qu'il exerçà put expliquer ce vieillissement prématuré chez un homme qui avait à peine atteint l'âge de 40 ans et tous les sujets autres que l'on comméra soit excès de boisson et de femmes ne furent jamais une réalité. Il considérait son corps comme une simple machine soumis à l'intelligence, à l'esprit et à l'âme.

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    Les logements de Beethoven et ses querelles ! - CONCERTO n° 4 III (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le mercredi 30 mars 2011 16:03

     

    Beethoven n'eût jamais, oui vous lizez bien, il n'eût jamais de logement confortable ! Il louait des appartements, un peu au hasard et en changeait sous le moindre prétexte. Souvent, il en occupait deux à la fois. Les problèmes de surdité le tourmentant on estimait qu'il était un locataire difficile ce qui lui ferma la location de nombreuses maisons avant même qu'il en ait fait la demande. Il se querellait souvent avec les domestiques ou les gens qui s'occupaient de lui et se querellait aussi avec des gens avec qui il se trouvait face à face et que ces gens-là lui mentaient, le volaient ou le trompaient mais il lui arrivait aussi de faire une querelle non justifiée et c'est pour cela que ses serviteurs ne restaient pas longtemps chez lui aussitôt, Beethoven cherchait un remplaçant.

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    Ludwig van BEETHOVEN et ses habitudes culinaires... - CONCERTO n° 4 IV  (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le mercredi 30 mars 2011 16:08

     

    Beethoven ne réussit pas à se ranger dans une vie bourgeoise : il n'y réussit que bien rarement. Car s'il commandait son dîner à six heures, il rentrait à dix heures. Par contre, il préférait manger quant il le voulait et c'est pour cela qu'il préférait aller au restaurant ; n'oublions pas que cet homme n'eût jamais de femme à ses côtés. Après des heures de travail intense où il perdait toute notion du temps, il mangeait des repas avec des menus compliqués et irrationnels qui pouvaient l'indisposer... De ce fait ensuite il s'invectivait contre ceux qui lui avait fait une détestable cuisine !

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    De qui BEETHOVEN s'est - t'il inspiré ? - CONCERTO n°1 Mouvement I (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le mercredi 30 mars 2011 20:58

     

    Devinez ? Je ne l'ai lu nul part jusqu'à présent, aussi je viens sur le sujet car en général tout musicien a une admiration particulière pour tel ou tel musicien et s'en inspire ; Beethoven a bien sûr étudié des maîtres de musique mais j'ai été suprise un jour d'entendre HAYDN ... et j'ai découvert ... un début de BEETHOVEN... Mais qui sait cela fera peut-être le sujet d'un prochain article ... On sent dans ce Concerto un Beethoven timide mais déjà ses intonations sont bien reconnaissables à l'ouïe.

     

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    Les malaises de Ludwig van BEETHOVEN - CONCERTO n° 3 page 1125 (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le jeudi 31 mars 2011 23:02

     

    Le maître BEETHOVEN souffrait souvent de malaise et notamment de coliques assez graves et parfois il devait rester des semains alités ! Il suivait scrupuleusement ce que le médecin lui avait indiqué mais aussitôt qu'il se sentait mieux Et il reprenait ses mauvaises habitudes et de ce fait, il est possible que la maladie du foie qui l'emporta pourrait être dû à toutes ces imprudences.

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    La façon de s'habiller du Maître et ses excentricités ! - BEETHOVEN - ROMANCE pour VIOLON  (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le jeudi 31 mars 2011 23:12

     

    Sacré Beethoven ! Décidémment, il était original ! Dans sa manière de s'habiller il était tout aussi négligent ! Il arrivait plus d'une fois qu'il revenait trempé jusqu'au os après avoir subit une bonne pluie car il ne se souciait pas du temps qu'il faisait lorsqu'il sorti et puis il se mettait au travail sans même se changer et, lorsqu'il achetait de nouveaux vêtements des plus disparates il disait qu'il n'aurait plus à s'occuper de cela durant au moins trois ou quatre ans ! Mais il s'apercevait alors en public que sa tenue manquait parfois de correction et même de la plus simple correction. Il portait chez lui une robe de chambre vieille et toute usée. Et, lorsqu'il se rasait, ce qu'il ne faisait que peu, il passait plus de temps  à soigner ses coupures qu'il n'avait mis de temps à se raser !

    Partout dans son appartement les meubles, les étagères croulaient sous les piles de manusrits et des papiers de musique et les visiteurs qui arrivaient ne trouvaient même pas à s'asseoir. Le musicien l'emportait toujours sur l'homme au milieu de toutes ces excentricités !

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    Comment l'entourage percevait le Maître BEETHOVEN- CONCERTO POUR VIOLON Op. 61  (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le jeudi 31 mars 2011 23:23

     

    Ah que bien sûr on le traitait de fou, on voyait des traces de folies dans sa façon de vivre chez les esprits mesquins, malveillants, superficiels, ils le traitaient de détraqué ! Mais ceux qui venaient de loin pour leur montrer son estime et leur admiration comprenait parfaitement que tout était investi dans la musique et certains étaient navrés de le voir vivre dans cet état-là.

    Beethoven savait tout cela et ne se laissait pas impressionner, il répondait avec la brusquerie qu'on lui connaît et parfois d'ailleurs il se mettait en furie contre de telles sottises basses et pitoyables ! Carl von Pidoll se réjouissait dans ces cas-là de le voir en colère car il pensait que, bien évidemment devant de telles gens, c'était la seule façon d'imposer sa personnalité.

    Beethoven ne souffrait pas de cette existence "déréglée et pénible" ; il n'en souffrait absolument pas car c'est à peine s'il s'en rendait compte car il était tendu vers son seul but : la musique et de ce fait de ce qui le regardait que lui-seul et qu'on ne le dérange surtout pas !

    Apprécions ici ce concerto interprété par le virtuose merveilleux que Léonid Kogan dont nous avons déjà évoqué l'existence dans ce même espace. Il suffit de taper son nom dans "recherche" que vous trouverez à droite de cette page.

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    Les promenades du maître - CONCERTO POUR VIOLON avec Leonid KOGAN II (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le jeudi 31 mars 2011 23:32

     

    Beethoven dormait comme un bébé, il bénéficiait d'un sommeil profond et réparateur, sans cauchemar et il se promenait au grand air plusieurs heures par jour ; il se promenait souvent sur les remparts luttant contre pluie et vent et comme nous l'avons vu précédemment, lorsque les jours meilleurs arrivaient il partait à la campagne depuis mai jusqu'à la mi-novembre dans un petit village des environs de Vienne. Là-bàs il s'en allait se promener des journées entières et parfois même des nuits entières à travers champs et forêts et dormant et s'étendant en plein air là où il se sentait si bien. La Pastorale ou Symphonie n°6 montre cette quiétude et cette communion qu'il entretenait avec la nature et ses forces et fort heureusement qu'il y trouvait cette énergie sans cela il n'eût pas tenu et supporter tout le travail et les si importants efforts que cela lui demandait dans la monumentalité de ses oeuvres !

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    LORSQUE LA SURDITE VINT POUR BEETHOVEN ... - CONCERTO POUR VIOLON Op.61 III  (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le jeudi 31 mars 2011 23:41

     

    Le grand bouleversement de l'apparition de la surdité transforma l'âme de BEETHOVEN du tout au tout ! La surdité totale ! Celle qui devait-t'il "le condamner" ! Mais surprenant ce qui se passe fut exactement le contraire ... Et ce fut une surprise pour le maître lui-même car, à sa plus grande joie, il se mit à créer de plus belle avec une forme musicale neuve, une oeuvre importante et sans doute plus importante encore que les années précédentes et ceci tient du miracle ! Nous allons en parler dans les articles qui suivent...

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    Pour certains il fallait détruire les oeuves du Maître BEETHOVEN !!- CONCERTO POUR VIOLON Op. 61 IV (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le jeudi 31 mars 2011 23:53

     

    Pour certains, même un passage de la Neuvième symphonie, ou la Sonate pour piano Op. 106 ou encore le second mouvement de la Sonate Op. 111 ou encore les Variations de Diabelli et les cinq quatuors à cordes n'y voyaient que des extravagances et non l'oeuvre d'un génie ! Pour eux, il fallait tout simplement détruire ces oeuvres !

     COMMENT EST NEE LA SONATA PATHETIQUE ... de BEETHOVEN - Page 1030  (BEETHOVEN LUDWIG VAN)

    posté le vendredi 01 avril 2011 00:25

     

    No comment... ce document vous livre tout ...

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    LA SONATE PATHETIQUE - SONATE pour piano n° 8 - Ludwig van BEETHOVEN (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le vendredi 01 avril 2011 00:31

     

    SONATE PATHETIQUE

    Ludwig van BEETHOVEN

    Le contexte de sa création dans l'article précédent extrait du film "UN GRAND AMOUR DE BEETHOVEN".

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    LA SONATE DE LA TEMPETE - SONATE n° 17 Op. 31 de Ludwig van BEETHOVEN (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le vendredi 01 avril 2011 00:40

     

    C'est au travers de cette musique que nous sentons Ludwig se promenant chaque jour dans la nature et s'y ressourçant, y trouvant la paix, le bonheur des mouvements de la nature tout comme dans sa SYMPHONIE n° 6 LA PASTORALE.

    Pourtant notre BEETHOVEN n'était pas exempt d'épreuves et de soucis car il eut des ennuis de tous genres. Il travaillait à trois ou quatre oeuvres en même temps parachevant certaines, il en commençait d'autres. Il vivait dans une sorte de grande tension intellectuelle si bien que les choses matérielles l'agaçait plus que tout autre mais il n'était pas exempt de blessures morales et notamment par le décret financier de 1811  ce qui ôtait son revenu fixe, vu la chute de la monnaie à l'époque mais une révision de sa pension fut quant même accordée par ses trois riches personnes qui souhaitaient qu'il ne cessa de créer son oeuvre et, lorsque nous y réfléchissons, si de telles personnes n'eût existé, son oeuvre dont nous savourons la beauté ne nous serait sans doute jamais parvenue.

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    BEETHOVEN se retrouve sans le sou !!! - SA SONATINE "ROMANCE" en G Majeur (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le vendredi 01 avril 2011 00:51

     

    Beethoven suite à cette crise financière se retrouva sans le sou durant plusieurs mois mais il continua à créer et fut certainement aidé par quelques amis pour avoir son pain sur la table. Il s'était révolté contre ses mécènes d'une manière forte, car ceux-ci n'étaient pas obligés e quoi que ce soit et néanmoins sa pension fut augmenté au cours du temps, mais il faut savoir aussi que BEETHOVEN avait aussi des revenus liés à ses oeuvres qui avaient un prix. Pour montrer l'état d'esprit du maître à l'époque : lorsque son médecin lui proposa de faire une cure de repos car il avait des ennuis d'estomac assez important, BEETHOVEN lui répondit textuellement ceci :" Me prenez-vous pour un de ces Rothschild de Francfort ? Je ne suis qu'un pauvre musicien et rien d'autre ! Où trouverai-je l'argent me permettant d'aller perdre mon temps dans un de ces endroits très à la mode et très chers ? Est ce que vous ne vous rendez pas compte que nous vivons des temps effroyables ?".

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    UNE JEUNE FILLE EPERDUMENT AMOUREUSE de BEETHOVEN (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le vendredi 01 avril 2011 20:40

     

    Un ami de Ludwig lui fit faire connaissance avec une famille aimant la musique ; des personnes de haut rang sans goût ni connaissance élaborée de la musique. Il y avait deux jeunes filles et l'une d'elle tombât éperdument amoureuse de BEETHOVEN. Elle était charmante, sensible et très belle,  d'une grande bonté de coeur. Et BEETHOVEN s'en aperçut et ils purent s'en parler et même élaborer des projets. Ils s'écrivaient souvent. Mais un jour le père tombât sur une lettre du Maître et, entra dans une colère folle : il avait décidé que sa fille ne pouvait épouser un tel homme et il renvoya la lettre à son destinataire. Or BEETHOVEN et cette jeune fille avait fait projet de se retrouver. Malheureusement, BEETHOVEN ayant pourtant que cette façon de procéder ne venait pas de la jeune fille mais des parents, s'en alla passer un temps chez son frère, il était blessé dans sa fierté aussi. La jeune fille le chercha partout et se confia à son ami, désespérée et lui raconta tout. Et cet ami lui dit qu'il était impossible que cela se termina de cette façon mais la jeune fille lui raconta que deux semaines plus tard, elle réussit à s'échapper de la maison en tentant de se débarrasser de ce cauchemar et en pensant rencontrer ce visage, cet homme qu'elle aimait tant. En effet, elle le vit et ils se retrouvèrent face à face... Et voici ce qu'il se passa :

    "Beethoven ?" s'écria t'elle ? "Oui" répondit-t'il et il la prit tendrement dans ses bras mais davantage comme un père que comme un amoureux et tout en murmurant :"ma pauvre enfant, ma pauvre enfant ! Quel mal vous ont-t'ils fait !". Elle se mit à sangloter.  Lui la pressa de partir avec lui immédiatement. Mais elle ne l'écoutâ pas car elle avait si peur de sa famille, qu'on se mette à sa recherche et qu'elle n'avait pris aucun effet personnel. Elle n'eût pas le courage de le suivre immédiatement. Elle se laissa tomber sur un banc en disant "non Ludwig, je ne peux pas, je ne peux pas...". Mais lorsqu'elle releva les yeux, Ludwig s'éloignait d'un pas rapide et décidé et il semblait fort en colère. Elle sut qu'en le voyant ainsi continuer à avancer les bras croisés derrière le dos, elle sut que tout était fini.

    Elle supplia son ami de l'aider à retrouver BEETHOVEN mais cet ami lui répondit :"Beethoven ne pardonne jamais car pour lui pardonner signifie accepter l'imterfection".

    Elle écrivit alors à BEETHOVEN une longue lettre où elle racontait tout ce qu'il y avait dans son coeur mais, il utilisa le même procédé et renvoya la lettre sans l'avoir même lue...

    ps : ci-dessus, un extrait du film UN AMOUR DE BEETHOVEN

    Le sens de l'honneur de la famille et BEETHOVEN  (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le vendredi 01 avril 2011 20:51

     

    Oui, il était très attaché à sa famille et s'occupa de ses deux frères et dès que sa situation financière le lui permit, il les fit venir à Vienne. Il répétait souvent à son ami qu'il n'avait pas une grande confiance en ses frères mais il voulait "garder un oeil sur eux" ; ainsi il fit jouer des influences et noua des relations en leur faveur afin de leur assurer à tous les eux une existence convenable. Il fit tout pour cela mais les deux frères le considéraient comme inférieur à eux et ils abusaient de sa confiance assez honteusement. L'entente n'était donc guère facile et tout monde conseillait à BEETHOVEN de les abandonner à leur destinée si peu intéressante. Ils en firent voir à BEETHOVEN de toutes les couleurs par beaucoup de tromperies et par leurs comportements et façon de vivre.

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    L'EXTRAVAGANCE D'UN GENIE - BEETHOVEN  (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le dimanche 10 avril 2011 13:50

     

    Voici Beethoven affligé d'une tragique infirmité : la surdité et pourtant, oui, pourtant il continue à composer notamment la neuvième symphonie, mais aussi la Sonate pour piano Op. 106, le second mouvement de la Sonate Op. 111 et les variations de Diabelli dont nous entendons ici la première partie.

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    LES VARIATIONS DE DIABELLI de BEETHOVEN écoutée en notation (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le dimanche 10 avril 2011 13:55

     

    Quand on pense que l'on discernait soit disant des indices de folies chez BEETHOVEN durant son époque et que cela se répétait de l'un à l'autre... On disait même qu'il avait le cerveau malade... mais personne ne relevait que durant sa dernière période avec les oeuvres citées dans l'article précédent que ce génie les compose en état de totale surdité !

     

     

    Et voici la IVème partie

     

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    L'INFAMIE de BEETHOVEN : sa "SCHANDTAT"  (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le dimanche 10 avril 2011 16:40

     

    Beethoven passa une terrible crise où il ne recevait plus d'inspiration pour écrire des oeuvres et puis il écrivit une Cantate à laquelle ne croyait y compris les musiciens professionnels. Il confiait tout à son ami Carl van Spidel. Et il lui dédia cette oeuvre qu'il appellait lui-même "son infamie" et en remettant ses pages à son ami, il y avait glissé un petit mot :"La Voix est revenue..."

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    LA SONATE PATHETIQUE de Ludwig van BEETHOVEN I  (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le dimanche 10 avril 2011 16:50

     

    Nous avons vu précédemment dans quelle circonstance est née cette Sonate en trois parties. Cette Sonate qui marque aussi l'après "de la Voix qui s'est tue"... Cette "stérilité dura quatre années". On peut mettre cela sur le compte de l'épuisement intellectuel et physique du maître. Il semblait avoir tout exprimé. Il faut savoir que Beethoven ne composa jamais pour "faire de la musique" mais pour délivrer un message. Les deux périodes créatrices de Beethoven furent donc de 1802 à 1812 et de 1816 jusqu'à sa mort.

    SONATE N°8 PATHETIQUE II - LE MESSAGE du MAITRE  (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le dimanche 10 avril 2011 16:55

     

    Le message de BEETHOVEN au travers de sa musique est certainement le mieux décrit par son ami de toujours Carl von Pidoll  :

    "Voici l'Homme face à son Destin ! La capitulation est inconcevable ! L'Homme doit être fier, joyeux, militant, et il triomphera finalement - en dépit de tout ! L'Homme est bon et fort ! Il choisira entre Dieu et Satan ! Son âme est un champ de bataille où se livre le combat éternel entr le bien et le mal, la vérité et le mensonge, l'honneur et l'infamie, et c'est sur ce champ de bataille seulement que le Destin décide entre la lumière l'obscurité !".

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    LA SONATE PATHETIQUE n° 8 III - LE MESSAGE DES DERNIERES OEUVRES DE BEETHOVEN  (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le dimanche 10 avril 2011 17:03

     

    Le message des dernières oeuvres de BEETHOVEN se résume au fait que son thème est l'élévation de l'âme jusqu'à ses sommets où Dieu et Satan, l'honneur et l'infâmie, ne sont plus que des antithèses ! car éclairé par la lumière de l'Etre unique et indivisible, vers lequel nous aspirons tous  est la fin et le but ultime de notre vie. L'élévation des âmes oui est bien le thème des dernières oeuvres de BEETHOVEN.

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    SOURD IL ECRIT CECI ...  (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le dimanche 10 avril 2011 22:28

     

    Il faut être un génie pour créer notamment une oeuvre pareille pour ne plus avoir d'ouïe et tout noter, bien sûr il possédait une oreille parfaite : vous trouvez dans cet espace toutes les symphonies du maître en tapant dans recherche ici c'est le tout début du Premier Mouvement.

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    LES VERS D'ALFRED DE MUSSET consacré à BEETHOVEN et la VALSE 2 du Maître  (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le mercredi 17 août 2011 18:41

     

    L'homme est un apprenti, la douleur est son maître, Et nul ne se connaît, tant qu'il n'a pas souffert.

    Ces deux vers du poète, d'une philosophie si profonde et si cruellement vraie, évoquent à notre esprit la vie de travail et d'amour au sein de la souffrance artiste que fut Beethoven.

    Certes oui, il a peiné, dès l'âge de quatre ans jusqu'à sa mort ; nul plus que lui n'a aimé aussi profondémment les siens et les autres, et nul non plus n'a comme lui entrepris du fond d'un abîme de douleur, de  célébrer la joie.

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    LA VALSE n° 9 de Ludwig van BEETHOVEN  (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le mercredi 17 août 2011 19:20

     

    L'interprétation est bonne même si le son n'est pas celui que l'on souhaite. Beethoven ayant toutes les raisons de gémir, de pleurer et de maudire, il préféra, comme il le dit lui-même, - broyer une délicieux nectar pour l'humanité, donner aux hommes "la divine frénésie de l'esprit".

    SIX VARIATIONS de Ludwig van BEETHOVEN "NEL COR PIU NON MI SENTO"  (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le mercredi 17 août 2011 19:27

     

    Beethoven du fait de son état d'esprit dans les remous de sa vie répandit ainsi ses oeuvres impérissables de par le monde, les flots d'une musique incomparable, qui restera un éternel monument de beauté sublime et d'expression supra-terrestre.

    Ici c'est une jeune fille de huit ans à peine qui joue cette oeuvre !

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    LA SONATE en G Majeur interprétée merveilleusement par un enfant prodige RINKA, 8 ans page 1189  (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le mercredi 17 août 2011 19:32

     

    Beethoven disait :"La musique est la grande introductrice des mondes supérieurs". Aussi, nul n'a remué plus profondément l'âme humaine. Par cela même, il a marquée la puissante eauté de sa force morale et l'étendue de son abnégation en même temps que son prestigieux talent musical et l'énergie de sa race.

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    LES QUATRE VERS PILIER de Ludwig van BEETHOVEN  (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le mercredi 17 août 2011 19:46

     

    Faire tout le bien que l'on peut

    Aimer la liberté par dessus tout

    Et quand ce serait pour un trône

    Ne jamais trahir la vérité"

    Voici ces quatre vers traduit de l'allemand où il traduit son idéal et en s'évertuant toute sa vie à en respecter les règles. Une pensée empreinte d'une haute sagesse qu'il a complétées par cette autre :"Quiconque agit bien et noblement, peut, par cela même, supporter ce malheur".

    Vous entendez ici l'andante de la Sonate n° 19  de Ludwig van BEETHOVEN interprété par Arrau.

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    LE NOBLE TRAVAIL de BEETHOVEN et le RONDO Allegro de la SONATE N° 19 Op. 49  (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le dimanche 21 août 2011 12:51

     

    Beethoven ne fut pas ménagé par ses proches et son sort fut assez cruel quant à la façon dont on le traitait, on lui rendait la vie rude et difficile et dès son enfance, il ne connût pas la douceur du foyer et ni la chaleureuse affection de ses parents. Né au sein de la pauvreté, son père était alcoolique et sa mère tuberculeuse et elle souffrait autant de la brutalité et des excès du chef de famille. A peine rentré dans la vie, celle-ci se présente à lui sous un jour triste et rempli d'amertume : telle fut la condition première de l'enfant en qui sommeillait un musicien génial.

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    LES COURS GRATUITS DONT BEETHOVEN BENEFICIE - Suite de la Sonate n° 13 (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le dimanche 21 août 2011 13:11

     

    L'organiste de la Cour triompha des répugnances de son élève par une patience habile et il lui vit faire des progrès rapides au point qu'à l'âge de 13 ans, le petit musicien composa trois quatuors ! Et remplissait en plus la fonction d'organiste adjoint. Le jeune homme supporta couragement tout ce travail très écrasant pour son jeune âge et sa santé fragile mais hélàs, il perdit sa mère cette année-là en 1787 : sa maman qui était son ange consolateur.

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    L'ENFANT BEETHOVEN et la SONATE n° 13 Op. 27 I et IIème Mouvement (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le dimanche 21 août 2011 13:04

     

    Le père de Beethoven bien qu'alcoolique, était ténor à la Chapelle de l'Electeur de Cologne et voulant exploiter les dispositions musicales de son fils et l'exhiver comme petit prodige, il le cloue durant des heures devant son piano et l'enferme avec son violon et l'accable de travail. Le jeune enfant pouvait donc éprouver un dégoût et le père usa de violence pour qu'il s'appliqua à la musique : son humeur s'en ressenti et devint capricieuse, fantasque et colère. Mais son être finit par remonter à la surface et sous le souffle magique de la volonté et tout ce qu'il y avait de bon en lui remonta en surface. Pourtant les responsabilités étaient lourdes pour cet enfant et elles pouvaient paralyser ses bonnes intentions : les préoccupations matérielles, le souci à gagner, les tâches trop précoces. Il eut pour maître d'abord son père et puis le chef d'orchestre dont il faisait partie.

    C'est lorsqu'il eut 11 ans qu'il reçut la proposition de recevoir des leçons gratuites de l'organiste de la Cour.

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    Ce que BEETHOVEN disait de sa Maman |SONATE N° 26 LES ADIEUX I page 1190 (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le mercredi 31 août 2011 14:07

     

    Tout en travaillant laborieusement, à l'âge de 11 ans, un labeur écrasant pour ses maux, il perdit sa mère en 1887. Cette Maman, sa consolation, l'ange du foyer, sa seule façon de vivre ! Et voici ce qu'il en dit : " Elle m'était si bonne, si digne d'amour, ma vieille amie ! Oh ! qui était plus heureux que moi quand je pouvais prononcer son doux nom de mère et qu'elle pouvait l'entendre !".

    La Sonate pour piano n° 26 en mi bémol majeur, opus 81a, de Ludwig van Beethoven,  fut composée entre 1880 et 1810. Beethoven la dédia à son élève et ami l'archiduc Rodolphe d'Autriche, plus jeune frère de l'Empereur. Son sous-titre de sonate « Les adieux » (en allemand  Lebewohl) se réfère au départ de l'archiduc Rodolphe en 1809, contraint de quitter Vienne   occupée avec sa famille suite à la guerre de Wagram .

    Cette sonate, postérieure de deux ans à la Cinquième Symphonie, fut contemporaine du Cinquième Concerto pour piano et du quatuor "Les Harpes". 

    Le premier mouvement symbolise l'exil et les regrets. Il débute par l'égrenage lent de trois notes descendantes sous-titrées par le compositeur lui-même le-be-wohlallegro le thème principal, toujours construit sur le même motif rythmique de trois notes symbolisant le mot Lebewohl. Les deuxième et troisième mouvements, intitulés respectivement L'absence et Le retour ont été écrits peu après le retour de l'archiduc dans la capitale autrichienne. Le troisième mouvement est joyeux et expressif. (adieux). Après seize mesures débute

    La sonate comprend trois mouvements et son exécution dure environ vingt minutes :

    1. Adagio — Allegro
    2. Andante espressivo
    3. Vivacissimamente

     

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    Quatuor à cordes n° 10 en mi bémol Op. 74 de Ludwig van BEETHOVEN (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le mercredi 28 septembre 2011 12:19

     

    Le Quatuor à cordes n° 10 en mi bémol majeur, op. 74, de Ludwig van Beethoven,  fut composé en 1809  et publié en 1810 avec une dédicace au prince Lobkowitz. Les abondants pizzicati  de son premier mouvement lui ont valu le surnom de quatuor « Les Harpes ».

     
     

    Composé pendant la guerre de Wagram  contre la France, le dixième quatuor est contemporain du Cinquième Concerto pour piano et de la Sonate  et partage avec ces deux œuvres la tonalité chaleureuse de mi bémol majeur. Dans le troisième mouvement apparaît pour la dernière fois dans l'œuvre de Beethoven la cellule rythmique de la Cinquième Symphonie. 

    Il comporte quatre mouvements :

    Poco adagio — Allegro

    Adagio ma non troppo

    Presto

    Allegretto con Variazioni

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    QUATUOR n°9 Op. 59 Razumovsky de LUDWIG VAN BEETHOVEN  (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le mercredi 28 septembre 2011 12:43

     

    Le Quatuor à cordes n° 9 en do majeur, opus 59 n° 3, de Ludwig van Beethoven, composé en 1806 est publié en janvier 1808.  Il est le dernier des trois quatuors dédiés au prince Andreï Razoumovski  dont il porte le nom.

    Ce quatuor est composé au cours de la très fertile année 1806 qui voit également la composition des deux autres quatuors du même opus (n° 7 et n° 8)  ; du Quatrième Concerto pour piano  ; de la Quatrième Symphonie et du Concerto pour violon. Il est créé par le quatuor de Schuppanzigh. 

    C'est le seul des trois quatuors Razumovsky à avoir été accueilli favorablement par la critique : « Il doit plaire à tout esprit cultivé par sa mélodie originale et sa puissance harmonieuse », écrit un critique de l'Allgemeine Musikalische Zeitung. Incontestablement, Beethoven délivre là une démonstration de sa maturité dans l'écriture pour le quatuor.

    Le quatuor en do majeur est le plus puissant et le plus enjoué desRazumovsky. Il est aussi le seul à ne pas contenir de thème russe. Après une mystérieuse introduction qui frôle parfois l'atonalité, l'Allegro vivace du premier mouvement se développe dans une joie exubérante. Le second mouvement est le plus tendu et le plus méditatif. Le finale, dans un style fugué, offre à l'œuvre une conclusion véritablement déchaînée.

    Il comporte quatre mouvements (les deux derniers étant enchaînés) et son exécution dure environ 30 minutes :

    1. Introduzione : Andante con moto — Allegro vivace
    2. Andante con moto quasi allegretto
    3. Menuetto (Grazioso) & Trio
    4. Allegro molto
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    BEETHOVEN a 17 ans - LE QUATUOR n° 12 Op. 127  (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le mercredi 28 septembre 2011 12:59

     

    Chétif à l'âge de 17 ans, il souffrait de mélancolie et cela ajoutait à ses souffrances physiques. Son père, alcoolique et brutal fut mis à la retraite après le décès de sa mère. C'est ainsi qu'il devint chef de famille à cette époque et fut chargé de l'éducation de ses deux frères. Son coeur était vide d'affection et il avait tendance à se replier dans la solitude mais heureusement une famille de Bonn lui donna un appui affectueux.

    BEETHOVEN si jeune en pleine révolution - QUATUOR n° 12 Part II Andante  (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le mercredi 28 septembre 2011 12:59

     

    Ayant trouvé cette famille affectueuse, une nouvelle peine vient accabler Beethoven. Il doit s'expatrier à Vienne en 1792 et doit donc s'éloigner de sa chère ville où il était né pour se rendre dans une ville qui était la métropole musicale de l'Allemagne. Et la révolution venait d'éclater en France et conquérait le monde. Beethoven en est subjugué et devient alors républicain. C'est à ce moment-là qu'il devient conscient de sa force où il est dominé par la confiance en soi que rien ne pourra plus jamais altérer. "Courage, s'écrie t'il, malgré toutes les défaillances de mon corps, mon génie triomphera. Vingt cinq ans, les voici venu, je les ai... il faut que cette année même, l'homme se révèle tout entier".

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    LE SCHERZANDO VIVACE du QUATUOR n° 12 de Ludwig van BEETHOVEN (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le mercredi 28 septembre 2011 13:00

     

    Le Quatuor à cordes n° 12 en mi bémol majeur, op. 127, du maître Beethoven , fut composé entre 1823 et 1824 et publié en 1826  avec une dédicace au prince Galitzine.  Il est le premier des cinq derniers quatuors  de Beethoven.

    Postérieur de quatorze ans au Onzième Quatuor,  le douzième inaugurait la série des derniers quatuors de Beethoven qui sont bien souvent considérés comme les plus grandes révélations de toute sa vie créatrice. Comme le Treizième et le Quinzième il répondit à une commande du prince Galitzine.Sa composition fut contemporaine de l'achèvement de la Neuvième Symphonie et il fut créé le 6 mars 1825  par Schuppanzigh et son quatuor, sans succès. Comme les autres quatuors de cette période, le Douzième fut longtemps incompris du public.

    L'Adagio,  ma non troppo e molto cantabile est le plus long mouvement de toute l'œuvre de Beethoven, avec ceux du Septième Quatuor  et de laNeuvième Symphonie.

    Il comporte quatre mouvements :

    1. Maestoso — Allegro
    2. Adagio, ma non troppo e molto cantabile
    3. Scherzando vivace
    4. Finale
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    FINAL du QUATUOR n° 12 de Ludwig van BEETHOVEN  (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le mercredi 28 septembre 2011 13:00

     
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    La Bonté du Maître BEETHOVEN Quatuor n° 13  (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le mercredi 28 septembre 2011 13:53

     

    Louis, Ludwig, paraissait être orgueilleux mais ce n'était qu'une apparence qui cachait une grande bonté. Une lettre écrite de sa main le montre bien :

    "Par exemple, je vois un ami dans le besoin ; si ma bourse ne me permet pas de lui venir en aide, je n'ai qu'à me mettre à ma table de travail, et en peu de temps, je l'ai tiré d'affaire... Tu vois comme c'est charmant" et il ajoute " Mon art doit se consacrer au bien des pauvres". Un autre fois il écrit :"Aucun de mes amis ne doit manquer de rien, tant que j'ai quelque chose".

    Le Quatuor à cordes n° 13 en si bémol majeur, op. 130, de Ludwig van Beethoven fut achevé en novembre 1825 et publié en 1827 avec une dédicace au prince Nicolaï Galitzine. Il est chronologiquement le troisième des cinq derniers quatuors  de Beethoven.

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    LE QUATUOR à CORDE n° 13 de Ludwig van BEETHOVEN Part II Page 1085 (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le mercredi 28 septembre 2011 13:53

     

    Bien que la numérotation l'ait placé après le Douzième, le Treizième Quatuor fut postérieur au XVème.  Sa création par le quatuor de Schuppanzigh le 21 mars 1826 ne fut qu'un semi-succès, seuls les deuxième et quatrième mouvements (les plus courts) ayant été applaudis au point d'être bissés. Beethoven se faisant raconter la scène par son neveu Karl se mit en colère et déclara : « Les bœufs ! Les ânes ! oui, ces friandises ! ils se les font resservir encore une fois ! Pourquoi pas plutôt la fugue ? Elle seule aurait dû être rejouée. »

    Fichier:Beethoven op 130.jpg

    La page originale de l'oeuvre à sa publication en 1827, en français

    Long de six mouvements, le Treizième Quatuor s'achevait au départ avec la Grande Fugue. Mais devant l'incompréhension du public et sur insistance de son éditeur  Artaria, Beethoven se résolut à séparer la fugue du reste du quatuor et composa à l'automne 1826  un finale de substitution qui resta sa dernière œuvre achevée.

    La somptueuse cavatine  qui tient lieu de cinquième mouvement est quant à elle le sommet dramatique de l'œuvre et« qu'il avait composé cette cavatine véritablement dans les pleurs de la mélancolie » et que « jamais sa propre musique n'avait fait sur lui une telle impression » la page la plus pathétique jamais écrite par Beethoven, le compositeur ayant avoué.

    LTreizième Quatuor est sans doute le plus abouti des quatuors de Beethoven avec le XIVème. C'est en tout cas le plus tendu et le plus introspectif. Ici nous pouvons écouté le IIème Mouvement le Presto.

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    Presto du Quatuor n° 13 de Ludwig van BEETHOVEN  (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le mercredi 28 septembre 2011 13:53

     

    Ludwig bien généreux envers ses amis connut très tôt la douleur qui dès 1796 frappa à sa porte pour ne plus jamais en sortir car c'est cette année-là qu'il connu les premiers chagrins de la surdité qui commençait ses ravages.

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    L'ANDANTE du QUATUOR n° 13 de Ludwig van BEETHOVEN  (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le mercredi 28 septembre 2011 13:54

     

    Les oreilles lui bruissèrent le jour et c'est à cette époque que naissèrent les trois premières sonates en 1796 et de cela on peut en conclure que pratiquement toute l'oeuvre de Beethoven est l'oeuvre d'un musicien sourd.

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    En 1801, BEETHOVEN délivre son secret QUATUOR n° 13 ALLEGRO ASSAI (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le mercredi 28 septembre 2011 13:54

     

    Pendant des années, Louis garda pour lui tout seul ce terrible secret. Mais en 1801, il se confia à deux amis et dit à l'un d'eux :"Sache que la plus noble partie de moi-même, mon ouïe a beaucoup baissé. Je dois éviter tout ce que j'aime et tout ce qui m'est cher et cela dans un monde si misérable et si égoïste... Triste résignation où je dois me réfugier. Sans doute, je me suis proposé de me mettre au-dessus de tous ces maux, mais comment cela sera-t'il possible ?".

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    ADAGIO MOLTO ESPRESSIVO du QUATUOR n° 13 de Ludwig van BEETHOVEN  (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le mercredi 28 septembre 2011 15:19

     

    Ludwig écrit encore vers 1796 :" Je mène une vie misérable ; j'évite toutes les sociétés, parce qu'il ne m'est pas possible de causer avec les gens ; je suis sourd. Dans mon métier, quelle terrible situation !... Bien souvent, j'ai maudit mon existence... Plutarque m'a conduit à la résignation. Je veux, si toutefois cela est possible, je veux braver mon destin : mais il y a des moments de ma vie où je suis la plus misérable créature de Dieu... Résignation ! Quel triste refuge ; et pourtant c'est le seul qui me reste".

    Cette tristesse du Maître se traduira dans quelques oeuvres dont la troisième sonate et la sonate pathétique en 1799. Mais vers 1800 son oeuvre reflète  un caractère plus juvénil d'insouciance. Il dit :"Il faut du temps à l'âme pour s'habituer à la douleur : elle a un tel besoin de la joie que, quand elle ne l'a pas, il faut qu'elle la crée ; quand le présent est trop cruel, elle vit sur le passé". Seul et malheureux à Vienne Beethoven se réfugie dans les souvenirs du pays  natal ; sa pensée d'alors en est toute imprégnée.

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    Le Visage Ludwig van BEETHOVEN (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le samedi 27 octobre 2012 23:40

    Blog de colinearcenciel :BIENVENUE DANS MON MONDE MUSICAL, Le Visage Ludwig van BEETHOVEN

    QUELQUES PAROLES de l'infortuné Maître BEETHOVEN page 1094 (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le mardi 11 octobre 2011 08:39

     

    Les souffrances physiques de Ludwig s'ajoutait aux troubles amoureux car il aima et chaque fois ses espérances s'évanouissaient du fait d'une situation peu brillante ou encore ses infirmités qui l'accablaient. Son coeur en était meurtri : il rêvait de bonheur mais il fut à chaque fois déçu et dans toutes ces souffrances amères, il trouva l'inspiration de ses grandes oeuvres avec une grande diversité d'émotions où la vie se manifeste dans sa plus haute expression ; la vie qui s'exalte et prend corps sous sa puissante pensée.

     

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    CETTE IDEE D'UNE TACHE A REALISER qu'il avait en lui BEETHOVEN (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le mardi 11 octobre 2011 08:47

     

    Voici une série de documents retraçant la vie du Maître tout en continuant de mon côté à vous confier le fruit de mes lectures à son sujet. Il faut savoir que Beethoven était profondémment soutenu en lui-même par le sens de la tâche musicale qui lui était imposé non pas que ce fut une idée imposée extérieurement mais bien une idée imposée intérieurement. Voici qu'on l'entend s'exclamer "O Providence !  Fais-moi apparaître une fois, un jour de vraie joie ! Il y a si longtemps que le son de la vraie joie m'est étranger ! Quand donc, oh ! Mon Dieu ! Pourrai-je la rencontrer ?... Jamais?... Non, ce serait trop cruel !"

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    Ce mal dont Beethoven ne fut jamais délivré...  (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le mardi 11 octobre 2011 08:55

     

    "Ah si j'étais délivré de ce mal, j'embrasserai le monde... Point de repos. Je n'en connais pas d'autre que le sommeil ; et je suis assez malheureux de devoir lui accorder plus de temps qu'autrefois. Je veux saisir le destin à la gueule. Il ne réussira pas à me courber tout à fait. Oh ! cela est si beau de vivre la vie mille fois" s'exclamait-t'il !

    Ludwig ne pouvait admettre de succomber à l'épreuve, il ne se résigna jamais ; il dit :"Ma force physique croit plus que jamais avec ma force intellectuelle... Ma jeunesse oui je le sens, ne fait que commencer. Chaque jour me rapproche du but que j'entrevoirs sans pouvoir la définir...".

    Ci-dessus une série de sept documents sur la vie du maître qui retrace tout ce dont nous avons déjà parlé et que vous reconnaîtrez dans ce document en langue anglaise.

     

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    LE COURAGE de Ludwig van BEETHOVEN  (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le mardi 11 octobre 2011 09:11

     

    Beethoven on remarque ces alternances entre révolte et douleurs, accablements et ces émotions se retrouvent dans les oeuvres écrites en 1802 et 1803 et puis on voit que la volonté reprend le dessus et qu'une force balaye les pensées tristes et l'on est frappé de constater dans plusieurs de ses oeuvres l'énergie et l'insistance des rythmes de marche et de combat.

    En 1816 vient la gloire, il est seul certes mais il a conscience de sa force, c'est à cette époque qu'il dit cette fameuse phrase :"Je ne reconnais pas d'autres signes de supériorité que la bonté". C'est surtout en 1814 qu'il fut une gloire européenne au Congrès de Vienne. Les princes lui rendaient hommage, il participait à de nombreuses fêtes ! Mais vint ensuite la période la plus triste de sa vie et la plus misérable que l'on puisse imaginer.

    Vienne ne lui avait jamais été sympathique : il fit tout de même quelques nobles dilettantes avec une pension qui lui fut attribuée, annuelle mais il devait rester en Autriche. Beethoven affirmait que l'homme ne peut entièrement se vouer à son art qu'à la condition d'être libre de tout souci matériel, et que ce n'est qu'alors qu'il peut produire ses oeuvres sublimes qui sont la gloire de l'art, il avait été pris  la résolution de mettre Beethoven à l'abri du besoin et d'écarter ainsi tous les obstacles misérables qui pourraient s'opposer à l'essor de son génie" et c'est ainsi que se mit en place cette assurance de non souci matériel pour le maître grâce au génie qu'on lui reconnaissait. Mais pour comble de malheur, les généreux protecteurs se dispersèrent et moururent ! Beethoven se retrouve seul accablé cette fois d'une surdité quasi complète.

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    LES RENCONTRES MUSICALES de Ludwig van BEETHOVEN  (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le mardi 11 octobre 2011 09:24

     

    Dans le document précédent on voit Ludwig rencontrer Joseph HAYDN, le père des Symphonies ! Que peut-t'on dire de cette rencontre ? Reprenons son parcours et ses rencontres musicales.

    "Ludwig van Beethoven est né à Bonn le 17 décembre 1770. Sa famille est originaire de Hollande où les ancêtres de Ludwig ont cultivé la terre et tenu de petits commerces. Il était le fils d'un ténor de la chapelle de l'Électeur de Cologne. Celui-ci était semble-t-il un homme violent et buveur mais néanmoins remarqua ses dons et lui imposa des leçons de violon et de piano. Fils ainé de la famille, il adeux frères : Kaspar et Nicolas. Malgré la rigueur de son père, Ludwig se montre très appliqué. L'enseignement de l'organiste Christoph Gootlob Neefe l'initie à l'oeuvre de BACH dès l'âge de sept ans. Il fait preuve très tôt de talents exceptionnels sans avoir le génie de la musique comme Mozart. Ses premières cours de musique lui sont prodigués par un certain Pfeifer qui habitait dans la même maison. Aucun de ses professeurs ne l'influencera à l'exception de Neefe qui considérait Ludwig comme un jeune génie. Au collège, il est mauvais élève et son éducation est négligée. Neefe lui obtient un poste dans l'orchestre de la Cour. Le nouvel Electeur Maximilien François lui accorde une bourse de 170 florins. Il compose alors ses premiers concertos et quatuors à cordes.

    Son premier voyage à Vienne à lieu en 1787. Le but est d'y rencontrer MOZART mais celui-ci vient de perdre son père et la rencontre se produit à un mauvais moment. Blog de colinearcenciel : BIENVENUE DANS MON MONDE MUSICAL, LES RENCONTRES MUSICALES de Ludwig van BEETHOVENCe dernier, malgré un accueil très réservé, aurait dit : "Remarquable ! ce jeune homme fera parler de lui." Mozart aurait été impressionné par sa capacité d'improvisateur. D'ailleurs, Beethoven remporte de nombreux concours à Vienne notamment en surclassant Gelinek un pianiste très renommé de l'époque. De mauvaises nouvelles arrivent de Bonn. Sa mère est très malade et il est obligé de rentrer à Bonn. Elle meurt de la tuberculose en juillet 1787. Lorsque son père, veuf, perd son emploi, Ludwig, âgé de 19 ans, a la charge de ses frères et doit faire appel au protecteur de son père (l' Electeur de Cologne) pour subvenir aux besoins de sa famille. Il donne des leçons de musique et assiste son professeur Neefe comme organiste et altiste dans l'orchestre de l'Opéra de Bonn. En décembre 1792, c'est son père qui décède à son tour et la même année Joseph HAYDN rencontre Beethoven à Bonn et semble impressionné par les oeuvres et le talent du jeune homme et l'invite à venir prendre des leçons à Vienne. Beethoven quitte Bonn et s'installe définitivement à Vienne en 1793. malheureusement Mozart est mort depuis plus d'un an." Extrait du site : http://membres.multimania.fr/magnier/composit/beethove.html

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