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    Giuseppe Verdi (1813-1901)

     

     

     


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    TROIS PREMIERS MOUVEMENTS du REQUIEM dirigé par Herbert von Karajan

     Giuseppe VERDI surnorm Le cygne de Busseto

     

     

     

     

    REQUIEM

    de

    VERDI

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    Verdi - Requiem
    Trois premiers mouvements de ce Requiem

    Requiem & Kyrie II Dies irae
    Dies irae
    Tuba mirum

    Choeur et Orchestre du "Teatro alla Scala "
    dirigés par Herbert von Karajan
    Enregistrement de 1967 ...

    Leontyne Price - Soprano
    Fiorenza Cossotto - Alto
    Luciano Pavarotti - Tenor
    Nicolaï Ghiaurov - Basse

    L'une des premières apparitions filmées de Luciano Pavarotti . Remarquez l'absence de sa barbe légendaire et de son écharpe ....

    La carrière de Luciano Pavarotti à l'opéra débute concrètement le 29 avril 1961 avec le rôle de Rodolfo dans La Bohème, en Émilie-Romagne. Dès ce triomphe, Luciano Pavarotti commence à se faire un nom dans toute l'Europe. Les choses évoluent très vite lorsque, un certain soir de 1963, on lui propose de remplacer à pied levé le ténor Giuseppe Di Stefano: le public du Covent Garden de Londres est sous le choc. Luciano Pavarotti a relevé le défi de main de maître. La Scala de Milan lui ouvre ses portes en 1965 grâce au majestueux chef d'orchestre Herbert von Karajan à qui il dit tout devoir.

    Je vous mets également deux articles de presse de l'époque . Dans l'un on peut remarquer l'absence du nom de Luciano Pavarotti ..Le journaliste ne croyait peut être pas au Talent de ce dernier ....il s'est trompé !

    L'apogée du week-end fut atteint par le Requiem de Verdi. Une telle émission fait croire à la perfection absolue. Les plus belles voix de notre temps, Leontyne Price, Fiorenza Cossotto, Ghiaurov, la baguette de Karajan, méritaient les caméras d'Henri-Georges Clouzot. Il les mit avec une grande díscrétion au service entier de la musique. Jamais elle ne fut aussi poignante qu'à la télévision.
    Record Review / France-Soir / 01 October 1967

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    Cette Messe de Requiem a été vue par Clouzot comme un opéra dont Herbert von Karajan serait le médium. D'admirables mouvements de caméra, des rapports fulgurants créés par la composition des plans et le montage entre le chef, les musiciens, les choeurs et les solistes, donnent à cette représentation une flamme lyrique extraordinaire.

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    La première fois que j'entendis cette oeuvre, elle me fascina et aujourd'hui encore : je la trouve très inspirée, divine et remarquable. C'est pourquoi j'y reviendrai avec plus de détails.

    Bonjour à vous qui passez par ici. Musicalement.

    Colinearcenciel

     

     


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