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    | BEETHOVEN DANS UN DESSIN ANIME | LA CINQUIEME |  (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le vendredi 15 septembre 2006 01:26

     

     

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    LUDWIG VAN BEETHOVEN - CELLO SONATA N°4  (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le lundi 18 septembre 2006 01:00

    Blog de colinearcenciel :BIENVENUE DANS MON MONDE MUSICAL, LUDWIG VAN BEETHOVEN - CELLO SONATA N°4

     

    Ludwig Van Beethoven

     

    Cello Sonata n° 4 

     

     part I

    Avec Glenn Gould et Léonard Rose

     

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    LUDWIG VAN BEETHOVEN - CELLO SONATA IN° 4 II & III page 44 (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le lundi 18 septembre 2006 01:05

     

     

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    Cello Sonata

     

    N° 4 part II and III

     

     

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    OUVERTURE de Ludwig Van BEETHOVEN | SYMPHONIE N° 4 |  (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le lundi 09 octobre 2006 01:52

    Blog de colinearcenciel :BIENVENUE DANS MON MONDE MUSICAL, OUVERTURE de Ludwig Van BEETHOVEN | SYMPHONIE N° 4 |

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    OUVERTURE

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    SYMPHONIE N° 4

    Cette Symphonie fut écrite par Beethoven à un moment paisible de sa vie : on dit d'ailleurs que ses symphonies paires sont tranquilles et paisibles ce qui n'est pas le cas de ses symphonies impairs. Il dédie cette symphonie au Comte Frans Von Oppersdoff qui était un parent de son protecteur le prince Lichnowski. 30' 40" de musique...

     

     

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    PASSION POUR BEETHOVEN (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le mardi 24 octobre 2006 13:13

    Blog de colinearcenciel :BIENVENUE DANS MON MONDE MUSICAL, PASSION POUR BEETHOVEN
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    | MA PASSION POUR BEETHOVEN | LE CLAIR DE LUNE |  (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le mardi 24 octobre 2006 13:17


     

    MA PASSION POUR Ludwig Van BEETHOVEN rejaillit au travers de ces diaporamas que j'ai créé ce jour pour lui rendre hommage... D'autres pages de ce blog sont consacrées à la musique du Maître.

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    MA PASSION POUR LUI  (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le mardi 24 octobre 2006 13:38

    Blog de colinearcenciel :BIENVENUE DANS MON MONDE MUSICAL, MA PASSION POUR LUI
     
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    MON AMOUR DE BEETHOVEN - Page 45 (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le mardi 24 octobre 2006 13:41

    Blog de colinearcenciel :BIENVENUE DANS MON MONDE MUSICAL, MON AMOUR DE BEETHOVEN - Page 45
     
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    | UN PORTRAIT DE LUDWIG VAN BEETHOVEN |  (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le mercredi 25 octobre 2006 09:17

     

    Ludwig van Beethoven peint par Joseph Karl van Stielen

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    | Ludwig van BEETHOVEN | Liens sur nos blogs |  (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le jeudi 14 décembre 2006 00:26

    Blog de colinearcenciel :BIENVENUE DANS MON MONDE MUSICAL, | Ludwig van BEETHOVEN | Liens sur nos blogs |

    Lien pour écouter le Maître :

    Sonate pour piano n°8 en ut mineur, "Pathétique", Op.13 - 2ème mouvement

    et Menuet en sol majeur

    Cliquez sur le lien ci-dessous dans Classique Passionnément :

    http://wolfy.musicblog.fr/De+Colinearcenciel++à+Wolfy-7316/

    3ème mouvement de la sonate LA TEMPETE

    Interprété par le pianiste et compositeur  Dominique Salloum   :

    http://dominiquesalloum.musicblog.fr

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    APPASSIONATA Sonate n° 23 de Ludwig van BEETHOVEN  (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le mardi 02 janvier 2007 01:03

     

    s.

    Beethoven

    Sonate Nº 23 op 57 "Appassionata"

    I allegro assai

    II. Andante con moto-attaca
    III. Allegro ma non troppo-Presto

     

     

     

     

    Third movement Allegro, ma non troppo - Presto.

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    A L'EPOQUE DU CONCERTO DE L'EMPEREUR page 120  (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le samedi 31 mars 2007 21:56

    Blog de colinearcenciel :BIENVENUE DANS MON MONDE MUSICAL, A L'EPOQUE DU CONCERTO DE L'EMPEREUR page 120
     
     
    Beethoven en 1820
    Historiquement, la  ville de Vienne se fait bombarder en 1810 et est occupée par les forces françaises. Par conséquent, la monnaie Autrichienne s'effondre en 1811 et du même coup la rente annuelle de 4000 florins de Beethoven qui lui était allouée par l'Archiduc Rodolphe est réduite à néant. Son neveux Karl est placé ce qui va engendrer une série de procès. A cette triste époque Beethoven tombe malade mais, vous constaterez qu'il continue son travail avec une courageuse persévérance et un génie extraordinaire. 

               

     

     

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    CONCERTO DE L'EMPEREUR I | LUDWIG VAN BEETHOVEN au piano GLENN GOULD  (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le samedi 31 mars 2007 21:44

     

     

     

    Un des plus beaux concerto de

    Ludwig Van Beethoven

     

    Il a bercé mon adolescence

     

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    Le quatrième concerto prend naissance au moment où le compositeur s’affirme dans tous les genres, avec la composition des quatuors Razoumovski, à la sonate Appassionata, à la symphonie héroïque et à son opéra Léonore.
    De ces cinq concertos, le cinquième concerto est le plus typique du style beethovénien. Sous-titré « L’empereur », il est composé à partir de 1808, période de troubles politiques dont on retrouve les traces sur son manuscrit avec des annotations comme « Auf die Schlacht Jubelgesang » (« Chant de triomphe pour le combat »), « Angriff » (« Attaque »), « Sieg » (« Victoire »).
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    CONCERTO DE L'EMPEREUR II de Ludwig van BEETHOVEN au piano GLENN GOULD  (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le samedi 31 mars 2007 21:45

     

     

    Le concerto pour piano en mi bémol majeur op 73 est le dernier des cinq concertos pour piano de Ludwig van Beethoven. Sa composition commence vers 1808-1809 et est à peu près contemporaine de celle de sa cinquième et de sa sixième symphonie. Il a été créé par l'orchestre du Gewandhaus de Leipzig le 28 novembre 1811. Le soliste étant Friedrich Scheneider, la surdité du compositeur étant trop avancée. La première viennoise est donnée le 11 février 1812 avec Carl Czerny au piano.

    Il est dédié à l'archiduc Rodolphe d'Autriche, son élève, dédicataire également de son quatrième concerto. Il nécessite un orchestre comportant, outre les cordes, deux flûtes, deux hautbois, deux clarinettes, deux bassons, deux cors, deux trompettes et des timbales.

    Le titre « concerto Empereur » n'a pas été choisi par le musicien mais probablement par l'un de ses amis. Beethoven n'avait d'ailleurs guère de sympathie pour Napoléon Bonaparte à cette époque.

    Il comprend trois mouvements dont l'exécution dure un peu plus d'une demi-heure :

    Allegro

    Adagio un poco moto - attacca:

    Rondo. Allegro ma non troppo

    Ce concerto plus encore que tous les autres fait figure de symphonie avec piano orchestral.

    ......

     

      Fichier:Beethoven.jpg

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    | CONCERTO DE L'EMPEUR III | BEETHOVEN | GLENN GOULD | (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le samedi 31 mars 2007 21:49

     

     

    ....

     

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    | CONCERTO DE L'EMPEREUR IV | BEETHOVEN | GLENN GOULD | (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le samedi 31 mars 2007 21:55

     

     

     

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    LA SYMPHONIE HEROIQUE SYMPHONIE N° 3 de LUDWIG VAN BEETHOVEN - MVT I Page 135  (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le mardi 08 mai 2007 01:20

     

    LA

    SYMPHONIE

    HEROIQUE

     

    BERNSTEIN dirige

    l'orschestre philharmonique de

    New York

     

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    LA SYMPHONIE HEROIQUE SYMPHONIE N° 3 de LUDWIG VAN BEETHOVEN MVT I & II  (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le mardi 08 mai 2007 01:29

     

           La Symphonie apparaît vers 1750 en Europe.  Cette période marque un changement important dans la musique par son changement de style. La symphonie commence dans la période classique , la période romantique commence, elle, en 1800 jusque 1900.

    Vienne est la capitale à ce moment-là des grands compositeurs qui ont alors des mécènes qui vont leur permettre de composer et particulièrement sous la domination de la  cour impériale des Hasbourgs car Vienne est la capitale de cet empire. Les principaux compositeurs de Symphonie sont :

    J. Haydn (1732-1809)

    Appelé le père de la symphonie. Il compose cent sept plus ou moins élaborées qui n'atteignent pas les proportions de la 9e de Beethoven.

     

    W. A. Mozart (1756-1791)

     

    L. von Beethoven (1770-1827)

    Beethoven casse toutes les formes imposées et ouvre la voie du romantisme. 

    En Allemagne et pays germaniques (19e s et début 20e s))

    F. Schubert (1797-1828)

    F. Mendelssohn (1809-1847)

    R. Schumann (1810-1856)

    F. Liszt (1811-1886)

    A. Bruckner (1824-1896)

    J. Brahms (1833-1897) "3e B allemand après Bach et Beethoven".

    G. Mahler (1860-1911)

     

    En France (19e et 20e s)

    H. Berlioz (1803-1869)

    C. Franck (1822-1890) d'origine belge. Une seule symphonie.

    E. Lalo(1823-1892)

    C. Saint Saëns (1835-1921) Symphonie pour orgue

    G. Bizet (1838-1875) compose une seule symphonie qui est un chef d'oeuvre.

    C. Debussy (1862-1918) compose La Mer, esquisse symphonique (4 mvts). Rompt avec tous les genres. Lié au mouvement impressionniste en peinture

    O. Messiaen (1908-1992)

     

    En Russie (19e et 20e s)

    P. Tchaïkovski (1840-1893) Symphonie pathétique

    S. Rachmaninov (1873-1943)

    D. Chostakovitch (1905-1975)

    S. Prokofiev (1891-1953) connu aussi pour Pierre et le Loup

    I. Stravinsky (1882-1971) connu aussi pour Le Sacre du Printemps

     

    En Finlande (à cheval 19e – 20e)

    J. Sibelius (1865-1957)

     

    Compositeurs contemporains

    L. Berio (1925)

    K. Stockhausen (1928)

    Ch. Ives (1874-1954)

    L. Bernstein (1918-1990), grand chef d'orchestre, auteur de West Side Story.

     

              Blog de colinearcenciel : BIENVENUE DANS MON MONDE MUSICAL, LA SYMPHONIE HEROIQUE  SYMPHONIE N° 3 de LUDWIG VAN BEETHOVEN  MVT I  & II

                        NAPOLEON  BUONAPARTE

             

    Il semble que Ludwig van Beethoven ne soit pas insensible à l'avènement d'un certain Napoléon Bonaparte et sa Symphonie Héroïque serait en relation directe avec le futur Empereur des français qui lui a inspiré cette Symphonie.

     

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    LA SYMPHONIE HEROIQUE SYMPHONIE N° 3 de LUDWIG VAN BEETHOVEN MVT II (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le mardi 08 mai 2007 01:39

     

                 La symphonie prend une forme typiquement romantique durant tout le XIXème siècle et tout compositeur se devait de composer une première symphonie et arriver à neuf, comme Beethoven, la référence absolue.

     

    Au XXème siècle la composition de la Symphonie garde sa forme avec des compositeur très audacieux. 

     

    Tout est beau dans ce deuxième mouvement, il y a des passages très doux qui touchent au coeur : toutes les symphonies de Beethoven me touche mais celle-ci a ce quelque chose où on sent l'espoir du compositeur à un monde meilleurs au travers de l'arrivée de Bonaparte.

     

     

                   

     

     

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    LA SYMPHONIE HEROIQUE SYMPHONIE N° 3 de LUDWIG VAN BEETHOVEN MVT II III & IV  (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le mardi 08 mai 2007 01:44

     

         

    La symphonie regroupe différentes formes musicales : le concerto, l'opéra, les oeuvres de musique de chambre, sonate, et Lied (en Allemagne), mélodie (en France)

     

    La différence entre la symphonie et le concerto c'est que les effectifs en musiciens et le même mais dans le concerto il y a un instrument pour un soliste qui prend la place principale


    Concerto vient de l'italien concertare qui signifie dialoguer ; d'où dialogue de l'instrument soliste avec un groupe d'instruments ou avec l'orchestre.

     

    La Symphonie, le concerto et la sonate ont en commun d'être de la musique instrumentale et de comporter une succession de mouvements.

     

    D'où vient le fait que la symphonie recèle plusieurs mouvements ?

     La musique était un support pour la danse et ne se suffisait pas à elle-même, contrairement à d'autres oeuvres comme une symphonie de Brahms que l'on écoute pour elle-même, on l'écoute, et ses différents mouvements nous permettent de retrouver des thèmes qui racontent une histoire et nous permettent de l'apprécier et, de connaître la suite au fur et à mesure, parfois c'est complètement enchanteur et profond.

             

          

     

            Napoléon et Joséphine 

                           Blog de colinearcenciel : BIENVENUE DANS MON MONDE MUSICAL, LA SYMPHONIE HEROIQUE SYMPHONIE N° 3 de LUDWIG VAN BEETHOVEN MVT II III & IV

     

     

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    LA SYMPHONIE HEROIQUE SYMPHONIE N° 3 de LUDWIG VAN BEETHOVEN MVT IV (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le mardi 08 mai 2007 01:52

     

        Blog de colinearcenciel : BIENVENUE DANS MON MONDE MUSICAL, LA SYMPHONIE HEROIQUE SYMPHONIE N° 3 de LUDWIG VAN BEETHOVEN MVT IV

     

           

     

                            

     

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    1782

     

    1803-1804
    [opus 53 ] Sonate pour piano n° 21 (do majeur) dite Waldstein, édité à Vienne 1805, dédicacé au comte Ferdinand de Waldstein

    1804
    [opus 54 ] Sonate pour piano n° 22 (fa majeur), édité à Vienne 1806

    1804-1805
    [opus 57 ] Sonate pour piano n° 23 (fa mineur) dite Appasionata, édité à Vienne 1807, dédicacé à Franz von Brunswik

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    LISTE CHRONOLOGIQUE DES OEUVRES DE BEETHOVEN IX  (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le mardi 08 mai 2007 10:29

    1809
    [opus 73 ] Concerto n° 5 (mi bémol majeur) pour piano et orchestre diteL'empereur, création 28 novembre 1811, édité à Londres 1810 ; Leipzig 1811, dédicacé à l'archiduc Rudolph
    [opus 74 ] Quatuor pour cordes Harpe n° 10 (mi bémol majeur), publié à Leipzig & Londres 1810, dédicacé au prince Lobkowitz
    [opus 75 ] 6 lieder (voix, piano). 1- Mignon : Kennst du das Land (la majeur) sur un poème de Goethe ; 2- Neue Liebe, neues Leben : Herz, mein Herz, was soll das geben ? (do majeur) sur un poème de Goethe ; 3- Es war einmal ein Konig (sol mineur) sur un extrait de Faust de Goethe ; 4- Gretels Warnung : Mit Liebes lick und Spiel und Sang (la majeur) sur un poème de G. A. von Halem ; 5- An den fernen Geliebten : Einst wohnten susse Ruh (sol majeur) sur un poème de C. L. Reissig ; 6- Der Zufriedene : Zwar schuf das Gluck hienieden (la majeur) sur un poème de C. L. Reissig
    [opus 76 ] 6 variations (ré majeur), pour piano sur un thème original (re-utilisé comme Marche turque dans Les Ruines d'Athènes opus 113), édité à Londres et Leipzig en 1810, dédicacé à Franz Oliva
    [opus 77 ] Fantaisie en sol mineur (et si majeur) pour piano, dédié au
     comte Franz von Brunsvik (édité à  Leipzig et Londres 1810)
    [opus 78 ] Sonate n° 24 (fa# majeur) pour piano, édité à Leipzig et Londres 1810, dédicacé à Therese von Brunswik
    [opus 79 ] Sonate n° 25 (sol majeur) pour piano, édité à Leipzig et Londres 1810
    [opus 82 ] 4 Arietten und ein Duetto (4 ariettes et un duo) pour soprano avec accompgnement de piano sur des poèmes de Métastase. 1- Hoffnung en la majeur; 2- Liebsklage ré majeur ; 3- Stille Frage en mi bémol majeur ; 4 - Liebes-Ungeduld; 5-
     Lebens-Genuss
    [WoO 18] (1809, révisé en 1810) Marche für die böhmische Landwehr en fa majeur, publié à Prague 1809 ? ; à Berlin 1818-819, dédicacé à l'archiduc Anton d'Autriche [trio en si bémol majeur, vers 1822]


     

    1809-1810
    [opus 81a] Sonate n° 26 (mi bémol majeur) pour piano dite Les Adieux ( Das Lebewohl, Abwesenheit und Wiedersehn = Les adieux, l'absence, le retour), édité à Leipzig et Londres 1811, dédicacé à l'archiduc Rudolph

    1810
    [opus 84] Egmont, musique sur la tragédie de Goethe
    [opus 95] Quatuor pour corde n° 11 (fa mineur), création mai 1814, publié à Vienne 18916, dédicacé à Zmeskall von Domanovecz
    [opus 83 ] 3 lieder avec accompagnement de piano sur des poèmes de Goethe. 1-Wonne der Wehmuth en mi majeur ; 2- Sehnsucht en si mineur ; 3- Mie einem gemalten Band en fa majeur
    [WoO 19] Marche en fa majeur, publié à Vienne 1810, dédicacé à l'archiduc Anton (sur le manuscit seulement) [trio vers 1822]
    [WoO 21] Polonaise en ré majeur pur vents
    [WoO 22] Écossaise en ré majeur pour vents 
    [WoO 23] Écossaise en sol majeur pour vents, édité en réduction pour piano par Czerny, Musikalisches Pfennig-Magazin (1). Vienne 1834
    1810 [WoO 20] Marche en do majeur pour vents [trio vers 1822]

    1810-1811
    [opus 97 ] Trio n° 6 (si bémol majeur) pour piano, violon et violoncelle; diteL'archiduc, création 11 avril 1814, édité à Londres et Vienne 1816, dédicacé à l'archiduc Rudolph 

    1811
    [opus 113 ] Die Ruinen von Athen, ouverture et 8 numéros pour choeur et orchestre. Texte d'August von Kotzebue
    [opus 117 ] Konig Stephan, ouverture en mi bémol majeur (9 numéros). Texte d'August von Kotzebue

    1811-1812
    [opus 92 ] Symphonie n° 7 (la majeur) création 8 décembre 1813, édité à Vienne 1816, dédicace comte Moritz von Fries ; réducion pour piano, piano quatre mains, deux piano dédicacé à Elisabeth de Russie.

    1812
    [opus 93 ] Symphonie n° 8 (fa majeur), création février 1814, édité à Vienne

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    LISTE CHRONOLOGIQUE DES OEUVRES DE BEETHOVEN X  (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le mardi 08 mai 2007 10:30

    1817
    [opus 96 ] Sonate n° 101 (sol majeur), pour violon et piano, création 29 décembre 1812, édité à Vienne et Londres en 1816, composé pour Pierre Rode, dédicacé à l'archiduc Rudolph
    [WoO 30] (novembre 1812) Trois pièces pour 4 trombones en ré mineur, ré majeur, si bémol majeur, transcrit pour 4 voix masculines par I. von Seyfried (joué aux funérailles de Beethoven), publié à Vienne 1827
    [WoO 39] Allegretto,en si bémol majeur pour trio avec piano, édité à Frakfurt 1830, dédicacé à Maximiliane Brentano 

    1813
    [opus 91 ] Wellingtons Sieg [ La Victoire de Wellington] ou Die Schlacht bei Vittoria [ La Bataille de Victoria] pour orchestre (piccolo, flûte, hautbois, clarinette, basson, contre-basson, cor, trompette, trombone, tymbale), création 8 décembre 1813, édité à Vienne 1816 [réduction pour piano, Londres et Vienne 1816], Dédicace régent d'Anleterre, futur George IV [version originale pour lepanharmonicon de Maelzel]

    1814
    [opus 89 ] Polonaise en do majeur pour piano, dédicacé à l'impératrice Elisabeth de Russie (édité à Vienne en 1815)
    [opus 90 ] Sonate n° 27 (mi mineur) pour piano, édité à Vienne 1815, dédicacé à  Moritz Lichnowsky
    [opus 100 ] Merkenstein: Merkenstein ! wo ich wandle denk ich dein (fa majeur), pour 2 voix et piano sur un poème de Johann Baptist Rupprecht
    [opus 136 ] Der glorreiche Augenblick, cantate pour 4 voix solistes, choeur, orchestre sur un texte de Aloys Weissenbach
    [opus 118 ] Elegischer Gesang: Sanft wir du lebtest (mi majeur) pour 4 voix et quatuor de cordes

    1814-1815
     [opus 115 ] Ouverture Namensfeier en do majeur, création décembre 1815, édité à Vienne 1825, dédicace prince Anton Heinrich Radziwiłł

    1815
    [opus 102 ] 2 sonates pour violoncelle et piano. n° 4 (do majeur) ; n° 5 (ré majeur), édité à Bonn 1817, dédicavé à la comtesse Erdödy
    [opus 94 ] An die Hoffnung : Ob ein Gott se i? ... Die du so gern in heil'gen Nachten feierst (sol majeur) pour voix et piano sur un poème de C. A. Tiedge (seconde version)
    [opus 112 ] Meeresstille und gluckliche Fahrt. 2 lieder en ré majeur pour 4 voix et orchestre sur des textes de Goethe

    1816
    [opus 98 ] An die ferne Geliebte, 6 lieder avec accompagnement piano sur des poèmes d'Aloys Jeitteles.  1- Auf dem Hugel sitz' ich spahend (mi bémol majeur) ; 2- Wo die Berge so blau (sol majeur) ; 3- Leichte Segle (la bémol majeur) ; 4-Diese Wolken in den Hohen (la bémol majeur) ; 5- Es kehret der Maien, es bluhet die Au (do majeur) ; 6- Nimm sie hin denn, diese Lieder (mi bémol majeur)
    [opus 99 ] Der Mann von Wort : Du sagtest, Freund, an diesen Ort komm ich zuruck (sol majeur), pour voix et piano sur un poème de Friedrich August Kleinschmid
    [opus 101 ] Sonate n° 28 (la majeur) pour piano, édité à Vienne 1817, dédicacé à Dorothea Ertmann
    1816, [WoO 24] Marche en ré majeur pour vents, édité à Vienne 1827

    1817
    [opus 104] Quintette, en do mineur (2 violons, 2 altos, violoncelle ; re-utilisation trio n° 3 opus 1), création décembre 1818, publié à Vienne 1919 [oeuvre de Kaufmann revue par Beethoven]
    [opus 137] Fugue en ré majeur pour quintette de cordes, publié à Vienne 1827
    [Hess 40] Prélude en ré mineur pour quintette de cordes, Puboié dans  «Schweizerische Musikzeitung / Revue musicale suisse» (95) 1955

    1817-1818
    [opus 67 ] Symphonie n° 5 (do mineur), création 22 décembre 1818, edité à Leipzig 1809, dédicace au p
    rince Lobkowitz et au comte Andreas Rasumovsky
    [opus 106]Sonate n° 29 (si bémol majeur) pour piano dite Hammer-Klavier Sonate, édité à Vienne et Londres 1819, dédicacé à l'archiduc Rudolph   

    1818
    [opus 108 ] 25 Airs écossais pour une et deux voix, petit choeur, piano, violon et violoncelle
    [WoO 60] Bagatelle en si majeur

    1818-1819
    [opus 105 ] 6 Airs nationaux pour flûte ou violon et piano, édité à Londres, Edinburgh et Vienne 1819
    [opus 107 ] 10 Airs nationaux et variations pour flûte ou violon et piano, édité à Londres, Edinburgh et Vienne (n° 2, 6, 7) ; Bonn et Köln 1820 (au complet)

    1819
    [WoO 17], 11 danses : Mödlinger Tänze, pour 2 flûtes, 2 clarinettes, 2 cors, basson, 2 violons, basse (publié à Leipzig en 1907)

    1820
    [opus 109 ] Sonate n° 30 (mi majeur) pour piano, édité à Berlin 1820, dédicacé à Maximiliane Brentano 

    1820-1821
    [Hess 65] Concert Finale en do majeur (édité par F. Starke « Wiener Piano-Forte-Schule» (3) Vienne 1821 [arrangement de la coda du concerto pour piano opus 37]

    1820-1822
    [opus 119 ] 12 nouvelles bagatelles pour piano, sol mineur, do majeur, ré majeur, la majeur, do mineur, sol majeur, do majeur, do majeur, la mineur, la majeur, simajeur (

    1821
    [WoO 61] Allegretto en si mineur (édité par Robitschek, «Deutscher Kunst- und Musikzeitung» 15 mars 1893), dédicacé à Ferdinand Piringer

    1821-1822
    [opus 110 ] Sonate n° 31 (la bémol majeur), pour piano, édité à Paris, Berlin, Vienne 1822 ; Londres 1823
    [opus 111 ] (vers 1801-1802), Sonate n° 32 (do mineur) pour piano, édité à Paris, Berlin, Londres 1823, dédicacé à l'archiduc Rudolph (à Antonie Brentano dans l'édition de Londres)
    [opus 114 ] Marche avec choeur en mi bémol majeur (re-utilisation du n° 6 de l'opus 113]
    [opus 121b ] Opferlied : Die Flamme lodert, milder Schein (mi majeur), pour soprano, choeur, avec orchestre Texte: Friedrich von Matthisson
    [opus 122 ] Bundeslied : In allen guten Stunden (si bémol majeur), pour 2 voix de soprano, d'alto,choeur à 3 voix, 2 clarinettes, 2 cors et 2 bassons, sur un texte de Goethe
    [opus 123 ] Missa solemnis, messe, en ré majeur, pour 4 solistes, choeur et orchestre
    [opus 124 ] Ouverture Die Weihe des Hauses (do majeur)
    [WoO 3]
     Gratulations-Menuet en Mi bémol majeur, création 3 novembre 1822, édité à Vienne 1832, composé pour Carl Friedrich Hensler, dédicace de l'éditeur : Karl Holz
    [WoO 34] Duo en la majeur ( 2 violons), publié dans T. von Frimmel, «Ludwig van Beethoven», Berlin 1901, dédicacé à Alexandres Boucher

    1822-1824
    [opus 125 ] Symphonie n° 9 (ré mineur), pour orchestre, voix solistes, choeur, création 7 mai 1824, édité à Mains 1826, dédicace à Friedrich Wilhelm III de Prusse 

    1823
    [opus 120 ] (1819 & 1823) 33 variations (do majeur) pour piano sur une valse de Diabelli

    1824
    [opus 126 ] 6 Bagatelles pour le piano : sol majeur, sol mineur, mi bémol
     majeur, si mineur, sol majeur, mi bémol majeur, (édité à Mainz 1825)
    [WoO 84] Waltz en mi bémol majeur (publié à Vienne en 1824) 

    1825
    [opus 127 ] Quatuor n° 12 (mi bémol majeur), création mars 1825, édité à Mainz 1826, dédicacé au prince Nikolay Golitsïn
    [opus 132 ] Quatuor n° 15 (la mineur), création 6 novembre 1825, édité à Paris & Berlin 1827, dédicacé au prince Nikolay Golitsïn
    [WoO 61a] Allegretto quasi andante en sol mineur dédicacé à Sarah Burney Payne (publié dans  « Neue Zeitschrift für Musik » (117) 1956)
    [WoO 85] Waltz en ré majeur (publié à Vienne 1825) dédicacé par l'éditeur à la Duchesse Sophie d'Autriche 
    [WoO 86] Ecossaise en mi bémol majeur (édité à Vienne 1825)  dédicacé par l'éditeur à la Duchesse Sophie d'Autriche

    1825-1826
    [opus 130 ] Quatuor n° 13 (si bémol majeur), création en mars 1827 et le 22 avril 1827 avec un nouveau final, édité à Vienne 1827, dédicacé au prince Nikolay Golitsïn [première version avec l'opus 133 comme final ; nouveau final composé en 1826]
    [opus 131 ] Quatuor n° 14 (do dièse mineur), piublié à Mainz 1827, dédicacé au baron Joseph von Stutterheim
    [opus 133 ] Grande fugue en si bémol majeur pour quatuor de cordes, création 21 mars 1826, publié à Vienne 1827, dédicacé à l'archiduc Rudolph [à l'origine, final de l'opus 130]

    1826
    [opus 134 ] Grande fugue en si bémol majeur, pour piano 4 mains (arrangement du quatuor opus 133)
    [opus 135 ] Quatuor n° 16 (fa majeur), création mars 1828, édité à Berlin & Paris 1827, dédicacé à Johann Wolfmayer

    1823-1827
    [Hess 41] Quatuor de cordes en do majeur (fragment, conservé par la transcription pour piano WoO 62), édité à Vienne 1838

    Sans date
    [WoO 17] 11 danses pour cordes et vents
     Mödlinger Tänze
    [WoO 29] Marche en si bémol majeur (2 clarinettes, 2 cors, 2 bassons) pour vents seuls et avec cordes.

      

    © Jean-Marc Warszawski 2002-2006
    Références / Musicologie.org

    Les oeuvres en bleu on peut les entendre dans la rubrique PASSION BEETHOVEN de mon blog

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    TRES BELLE ROMANCE DU MAITRE BEETHOVEN  (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le mardi 08 mai 2007 12:31

     

     

    ROMANCE

     

    L. Van Beethoven

    .

    Orchestre philarmonique

    de Berlin

    Louis Abbado

     

     

     

    Romance n°2

     pour Violon and Orchestre No.1 in G Major

     

     

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    | L'ALLEGRO DE LA SYMPHONIE n° 7 | LUDWIG VAN BEETHOVEN |  (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le mardi 08 mai 2007 12:42

     

            

              

    .....

     

    SYMPHONIE

     

           SEPTIEME

            

            Ludwig

     

    Van Beethoven,

     

    L'Allegro

     

    Plus loin dans cet espace, cette symphonie en entier avec explication et ceci dans la rubrique consacrée au maître.

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    HISTORIQUE DE LA SEPTIEME SYMPHONIE DE BEETHOVEN (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le mardi 08 mai 2007 12:54

    Blog de colinearcenciel :BIENVENUE DANS MON MONDE MUSICAL, HISTORIQUE DE LA SEPTIEME SYMPHONIE DE BEETHOVEN

    La Septième Symphonie de Beethoven est un peu,

     pour l’anecdote historique, le pendant de la Troisième. L’Héroïque,on s’en souvient, avait d’abord été composée en hommage à Bonaparte – puis Beethoven, furieux de voir le cours que prenait la politique guerrière de Napoléon, s’était hâté d’enlever sa dédicace.

    On était alors dans les années 1804-1805. Huit ans plus tard, c’est le début de la fin pour l’Empereur. Les Français subissent d’importants revers en Autriche, et on organise des concerts de charité pour subvenir aux besoins des veuves et des orphelins des soldats autrichiens morts au combat.

    C’est dans le cadre de l’un de ces concerts, organisé le 8 décembre 1813 à l’Université de Vienne par Johann Nepomuk Mälzel, inventeur du métronome et ami de Beethoven, que furent créés la Septième Symphonie et la Bataille de Victoria.

    La bataille de Hanau venait d’avoir lieu. Beethoven était au pupitre, Salieri, Spohr et Meyerbeer dans l’orchestre.

    La symphonie n’a cependant aucun rapport avec ces circonstances, ni avec la guerre, ni avec la célébration d’un quelconque grand homme, même si elle contient, comme la Troisième Symphonie, une marche funèbre en guise de mouvement lent.

                

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    Ludwig Van Beethoven  (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le mardi 08 mai 2007 13:04

                            

     

                                    
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    LA PASTORALE ou SYMPHONIE N° 6 de LUDWIG VAN BEETHOVEN | 1 | page 137 (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le lundi 14 mai 2007 00:08

     

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    LA PASTORALE

    Chef d'orchestre

    Herbert von Karajan

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    LA PASTORALE ou SYMPHONIE N° 6 de LUDWIG VAN BEETHOVEN | 2 | (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le lundi 14 mai 2007 00:17

     

     

    Symphonie n°6 en fa majeur "Pastorale" Opus 68

    .

    Le titre de pastorale a bien été donné par Beethoven lorsqu'il édite la partition chez Breitkopf et Härtel en 1809 (avec la cinquième symphonie). Seule oeuvre qui comporte un programme explicite, Beethoven donna lui-même à chaque mouvement un sous-titre :

    1 - Éveil d'impressions agréables en arrivant à la campagne

    2 - Scène au bord du ruisseau

        

    3 - Joyeuse assemblée des paysans

    4 - Orage, tempête

    5 : Chant pastorale, sentiments joyeux et reconnaissant après l'orage

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    LA PASTORALE ou SYMPHONIE N° 6 de LUDWIG VAN BEETHOVEN | 3 | EXTRAIT DE VIE DE BEETHOVEN |  (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le lundi 14 mai 2007 00:30

     

     Extrait du "Roman d'un génie" de Carl Von Pidoll qui a bien connu Beethoven et qui écrivit ce livre à l'âge de 70 ans (suite)-

    "Le lendemain, ayant été retenu par mon travail, j'arrivais en retard au palais des Lichnowski. On me présenta le jeune homme dont nous allions juger le talent. J'eus l'impression qu'il ne voyait pas plus qu'il ne voyait les autres personnes autour de lui ; à tout ce qui l'entourait, en vérité, il ne semblait pas attacher la moindre attention.  A peine m'eût il donné la main qu'il retourna au piano, devant lequel il se tenait au moment ou j'étais entré, l'air taciturne, distant, presque hostile...

    Sans un mot, sans même s'incliner, pour remercier la princesse, il s'installa au clavier, leva les yeux au plafond  pour un dernier et court reccueillement, puis ses doigts écrasèrent littéralement les touches. Les cordes vibrèrent, leurs sons nous parurent discordants- l'instrument tout entier semblait gémir.  Nous nous regardions consternés, et Lichnowski eut un brusque mouvement, voulant protester contre un traitement aussi barbare infligé à son piano ! Mais la princesse l'arrêta à temps en lui posant la main sur le bras. Quarante années se sont écoulées depuis cette après-midi là et de tous ceux qui étaient réunis chez le prince, je suis le seul survivant.  Pourtant, je me souviens, comme si c'était hier, des sentiments que j'éprouvais.

     

    D'abord, j'étais mi-indigné, mi-amusé. " Vandale ! m'écriai-je à part moi, quel rustre est-ce là, qui ne connaît ni style ni mesure !"  Ensuite, je me dis qu'il ne fallait peut être pas conclure trop rapidement. Bien malgré moi, je commençais à me sentir sous le charme, et je me le reprochais. Je luttais, décidé à ne pas me laisser aller à ces fallacieuses émotions. Je trouvais humiliant que ce garçon pût me jouer pareil tour !

    Mais peu à peu je n'essayais plus de résister... j'oubliais tout pour m'abandonner complètement à l'enchantement où me plongeait le jeu du pianiste, et sentant d'instant en instant grandir la puissance de cet enchantement.

    J'ignore combien de temps il joua. Le soir tombait lorsqu'il termina.  La tête inclinée et les mains jointes entre les genoux, il resta assis au piano, regardant dans le vide. Des mèches emmêlées de ses cheveux noirs lui cachaient une partie du visage.

    Personne ne bougeait ni ne parlait.

    Enfin en soupirant profondément, la princesse se leva et alla au piano.

    - Je ne puis vous dire à quel point vous nous avez émus. Vraiment, vous avez l'inspiration divine...

     

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    LA PASTORALE ou SYMPHONIE N° 6 de LUDWIG VAN BEETHOVEN | 5 | (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le lundi 14 mai 2007 01:01

     

    Je vous convie à écouter cette symphonie notamment en regardant la nature : le vent dans les arbres par  exemple...  Vous pourrez constater un parfaite Harmonie entre les mouvements des branches, des feuilles ou tout autres mouvements de la nature avec cette musique

                 

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    LA PASTORALE ou SYMPHONIE N° 6 de LUDWIG VAN BEETHOVEN | 6 | (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le lundi 21 juin 2010 00:50

     
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    LE CONCERTO N° 4 de LUDWIG VAN BEETHOVEN page 140  (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le lundi 14 mai 2007 01:12

     

     

    CONCERTO N° 4

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  • PORTRAIT DE BEETHOVEN  (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le lundi 14 mai 2007 01:13

    Blog de colinearcenciel :BIENVENUE DANS MON MONDE MUSICAL, PORTRAIT DE BEETHOVEN

     

     

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    LA PASTORALE ou SYMPHONIE N° 6 de LUDWIG VAN BEETHOVEN | 7 | (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le lundi 21 juin 2010 00:52

     

     

     

     

     

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    SONATE POUR VIOLON ET PIANO en G Ma jeur ALLEGRO ASSAI de LUDWIG VAN BEETHOVEN  (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le lundi 14 mai 2007 06:28

     

    SONATE

    POUR 

    VIOLON EN G MAJEUR

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       Blog de colinearcenciel : BIENVENUE DANS MON MONDE MUSICAL, SONATE POUR VIOLON ET PIANO  en G Ma jeur ALLEGRO ASSAI de LUDWIG VAN BEETHOVEN

     

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    Blog de colinearcenciel : BIENVENUE DANS MON MONDE MUSICAL, SONATE POUR VIOLON ET PIANO  en G Ma jeur ALLEGRO ASSAI de LUDWIG VAN BEETHOVEN

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    GROSSE FUGUE - BEETHOVEN (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le mercredi 16 mai 2007 00:04

          

      GROSSE FUGUE 

        Beethoven    

     

     

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    BEETHOVEN, UN EXTRAIT DE SA VIE "LE ROMAN D'UN GENIE " page 141 (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le lundi 21 mai 2007 19:56


     

    Extrait  de "Roman d'un génie" Carl Von  PIDOLL

    "Suite à sa première prestation chez la princesse Lichnowski, Beethoven s'en alla très vite avec ces mots :"Permettez-moi de m'en aller car  je suis incapable de parler pour le moment. Veuillez m'excuser je vous prie".

    Sans attendre aucune réponde, il se dirigeai vers la porte.

    Un invité s'exclama : "Juste ciel ! Quel rustre !"

    - Un rustre, répondit la princesse, mais un génie ! Il remédierait bientôt à son manque de manières, si seulement il s'en souciait un peu. Je crains fort que ce soit pas les bonnes manières qui lui fassent le plus défaut.  Mais il est grand temps que les autres songent à mettre dans sa vie un peu d'affection, un peu de chaleur humaine...  Cela fend le coeur de sentir les difficultés et la solitude dans lesquelles il vit....

    Même ceux qui n'approuvaient pas la technique de Beethoven n'hésitaient pas à reconnaître que son travail était remarquable ! "

    Beethoven avait improvisé durant sa prestation : il ne pensait jamaiscomposer.

    L'auteur, rappellons-nous, un ami direct de Beethoven qui le suivit du début jusqu'à la fin de sa vie...

    "A cette première audition je fus heurtée de prime à bord

    son jeu révélait un mépris total de certaines règles, un acte de folie révolutionnaire pourrat-on dire, ube chose qui dépassait toute limite établie, comme le Raüber de Schiller ou les Confessions de Rousseau.C'est l'époque aussi qui faisait que nous n'étions pas prêt et pourtant ce sont les Maître Mozart et Haydn qui nous conduirent droit vers Beethoven.

                               ___________________

    Sonate

      pour piano

     et

     Cor en fa Majeur

     dédiée à la Baronne de Braun.

    Voici le premier mouvement sur cette page.

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    LA BEAUTE DE CETTE NATURE .... CLAIR DE LUNE ET MAGNIFIQUES GUITARES (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le vendredi 18 mai 2007 02:19

    Sur la belle musique du Clair de Lune de Beethoven avec une interprétation particulière de guitares exceptionnelles.

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    LE VISAGE DU GENIE IMMORTEL (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le dimanche 31 août 2014 16:02

    Blog de colinearcenciel :BIENVENUE DANS MON MONDE MUSICAL, LE VISAGE DU GENIE IMMORTEL

    Le masque du génie

    Le haut-relief polychrome de Beethoven exécuté par Franz von Stuck devait prendre place dans la Villa que le peintre avait fait construire et meubler à Munich en 1897-1898 d’après ses propres plans. A l’intérieur de cette villa se trouve un salon de musique où il avait d’abord prévu des effigies de compositeurs célèbres parmi lesquels Beethoven . Ce portrait a été inspiré directement par le « masque de vie » ( moulé sur le visage du musicien en 1812), mais Franz von Stuck lui a apporté trois éléments importants : la couleur, la chevelure et le regard. Le contraste entre le fond rouge brun, la chevelure noire et le visage blanc, fantomatique, évoque une apparition soudaine : la face de Beethoven semble surgir de la pierre. Les cheveux ébouriffés et abondants, souvent représentés de cette manière, figurent l’énergie indomptable, la fougue et la liberté de l’artiste. La chevelure encadre un visage résolu, extrêmement concentré, presque méchant : les sourcils sont froncés, les lèvres serrées, le nez légèrement gonflé. Beethoven semble possédé par une force qui doit se décharger de façon imminente. Mais ce sont surtout les yeux qui sont remarquables : tandis que sur le « masque de vie » les yeux de Beethoven étaient clos, Franz von Stuck choisit de les sculpter et de leur conférer une puissance magnétique, si bien que la fixité de ce regard hypnotise le spectateur.

    Le portrait de Beethoven par Bourdelle est contemporain de la sculpture de Franz von Stuck. Il s’agit là de l’un des très nombreux portraits que le sculpteur a réalisés jusqu’à sa mort dans tous les matériaux possible (bronze, granit, pierre, marbre, terre cuite). Impressionné par le visage de Beethoven, Bourdelle ne cesse (à partir de 1887-1888) de dessiner, peindre et sculpter le comspositeur. Le visage de Beethoven ici représenté évoque de nouveau le « masque de vie » de 1812 : cette fois, le musicien garde les yeux fermés. La concentration extrême de ses traits et ses yeux clos peuvent être interprétés comme le symbole du monde intérieur que Beethoven, qui était sourd et souffrait de cet enfermement, chercherait à exprimer dans ses œuvres. L’énergie accumulée se libère dans la chevelure désordonnée, qui semble vivre de sa propre vie et submerger le visage du compositeur. Cette image tourmentée forme un contraste avec le socle cubique et dépouillé, sur lequel Bourdelle a gravé cette phrase : « Moi je suis Bacchus qui pressure pour les hommes le nectar délicieux. Beethoven ». Bourdelle assimile par conséquent le musicien au dieu de la danse et de l’ivresse, à Bacchus-Dionysos, que Nietzsche déjà, dans La Naissance de la tragédie (1872) avait rapproché de l’auteur de l’« Hymne à la joie ». Beethoven est un génie bienfaisant, un être divin qui apporte aux hommes, par la grâce de sa musique, le « nectar » des dieux antiques, sans commettre d’ailleurs de sacrilège comme Prométhée ou Tantale. - See more at: http://www.histoire-image.org/site/etude_comp/etude_comp_detail.php?i=1239#sthash.C9Ux4D0V.dpuf

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    BEETHOVEN, EXTRAIT II DE SA VIE - SONATE POUR PIANO ET COR (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le lundi 21 mai 2007 22:55


     

    Sonate

      pour piano

    et

     Cor en fa Majeur

     

    Qui comporte trois mouvements :

    • 1) Allegro moderato
    • 2) Poco adagio, quasi andante
    • 3) Rondò - Allegro moderato

    "Tandis que je me promenais ce soir-là, je me souviens de certaines questions qui me venaient :"Qui donc lui a donné le droit d'émouvoir, d'aller au plus profond des coeurs, sans même en demander la permission ?...  A t'on le droit de se mettre ainsi à nu ?  N'est ce pas courir tout droit au chaos et à l'anéantissement de tout genre artistique que de jouer comme ce garçon le fait ?  Ce la ne mène t'il pas au relâchement des contraintes, au mépris des principes ?"

    Autant de questions auxquelles mon coeur seul pouvait suggérer la réponse - à savoir que ce jeune homme qui venait de Bonn était un génie extraordinaire, qu'il valait beaucoup mieux pour moi que je lui donne ma confiane et que j'écoute attentivement ce q'uil avait à nous apprendre au lieu de me perdre en vaines et sottes critiques.

    Au moment où Beethoven faisait sa premièe apparition chez les Lichnowski, on recevait de Paris de très mauvaises nouvelles : le  roi était prisonnier du temple et l'on craignait pour le roi et la reine l'échafaud : la révolution sévissait. Tous ceux qui comprenaient que le jeune musicien personnifiait précisémment les idées qui, au sentiment général, avaient engendré les terribles événements survenus en France, ceux-là devaient tout de même avoir un certain courage pour accueillir ce musicien. Lichnowski fut critiqué pour recevoir un "Jacobin" et cela, surtout après l'exécution de Louis XVI et de Marie-Antoinette.

    Néanmoins, là sous les remparts durant ma promenade, j'avais compris que cet homme n'était pas seulement un génie de la musique mais aussi un être tout à fait exceptionnel - un homme dont l'amitié serait précieuse."

                         

                                             Marie-Antoinette

        Blog de colinearcenciel : BIENVENUE DANS MON MONDE MUSICAL, BEETHOVEN, EXTRAIT II DE SA VIE - SONATE POUR PIANO ET COR

                         Louis XVI

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    BEETHOVEN EXTRAIT IV DE SA VIE - SONATE POUR PIANO ET COR (III) (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le lundi 21 mai 2007 23:15


     

    Troisième partie de sa Sonate pour Cor et Piano

                       Blog de colinearcenciel : BIENVENUE DANS MON MONDE MUSICAL, BEETHOVEN EXTRAIT IV DE SA VIE - SONATE POUR PIANO ET COR (III)

    "Soudain, je me trouvais devant lui là où était un banc placé entre deux tilleuls. Après quelques mots échangés je fus marqué par son fort accent rhénans. Je lui fis savoir que je jouais du violoncelle et que je composais des quatuors. Il me lança un regard pénétrant et pris un ton plus affable. ... Puis soudain Beethoven fit quelques pas, les mains serrées derrière le dos, comme s'il trouvait tout naturel que je l'accompagne dans sa promenade.  Et le jeune homme me parla ainsi : "Voyez-vous Monsieur le violoncelle, je voudrais faire de grandes choses ! J'ai des chose à dire que personne n'a dites avant moi - non, ni Haydn, ni Mozart ! Et je voudrais les dire d'une façon neuve, comme on ne l'a jamais fait auparavant. Cela doit aller de mon coeur à vos coeurs, directement, sans rien entre eux !  Aucune de ces stupidités que l'on nomme la forme, la symétrie, l'élégance, la contrainte ! Quand la tempête mugit en secouant la cîme des arbres ou quand la foudre fend de toute sa longueur le troc d'une chêne, la tempête et la foudre ne demandent pas auparavant si cela nous convient, ni si cela ne dérange pas Frau Baronin ! Non ! Lorsque je m'assieds au piano, c'est le moment où je dois remuer les coeurs, pas celui où je pose des questions ! Je joue, et je vous subjugue tous, tous autant que vous êtes ! Personne ne peut m'échapper ! Et plus longtemps, plus souvent vous m'écouterez, moins il vous sera possible, de m'échapper ! parceque j'aurai toujours quelque chose de différent à dire - quelque chose de neuf chaque fois ! Et parce que vous apprendrez de plus en plus, de mieux en mieux, à me comprendre !"

    Je l'invitais à soûper et nous appréciâmes ensemble les différentes qualités des vins dont la campagne environnante nous avait largement doté. Il n'aborda aucun sujet sérieux et se montra d'une gaieté enfantine, se plaisant à faire participer à notre conversation ceux qui se trouvaient là et prouvant qu'il n'était pas homme à s'effrayer d'une plaisanterie un peu osée.

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    SERENADE POUR FLUTE ET VIOLON ALTO I - BEETHOVEN  (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le lundi 21 mai 2007 23:42


     

    .....

     

    Arrangement de l'opus 25

    Sérénade pour Flûte

     

     et

     

     Violon alto.


    en ré  Majeur

    Sérénade en ré majeur pour piano et flûte, tirée de la Sérénade pour flûte, violon et alto, opus 25, été 1803, publiée à Leipzig, par Hoffmeister et Kùhnel, décembre 1803

    MP3 A AJOUTE

    SERENADE POUR FLUTE ET VIOLON ALTO II - BEETHOVEN  (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le lundi 21 mai 2007 23:58


     

    Deuxième partie de cette Sérénade

                        

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    LE VISAGE DU MAITRE LUDWIG VAN BEETHOVEN  (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le dimanche 31 août 2014 16:06

    Blog de colinearcenciel :BIENVENUE DANS MON MONDE MUSICAL, LE VISAGE DU MAITRE LUDWIG VAN BEETHOVEN

    Voici le visage de Ludwig van Beethoven dont se fut inspiré Bourdelle pour réaliser son magnifique bas-relief. Ne reconnaissons-nous pas ce regard enflammé de droiture et de génie ; ce regard clairvoyant sur la nature humaine ; ce regard lucide transperçant les âmes ? Nul besoin d'essayer de paraître devant cet homme, sa biographie et tout ce que l'on décrit de lui, démontre à quel point il fut juste et ses propos écrits le confirment.

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    SERENADE POUR FLUTE ET VIOLON ALTO III - LUDWIG VAN BEETHOVEN (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le mardi 22 mai 2007 00:03


     

    Sérénade

    Troisième partie

                               

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    SERENADE - 4ème partie  (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le mardi 22 mai 2007 00:12


     

    Sérénade

    Quatrième partie

                    

         

     

                                

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    SERENADE - 5ème partie  (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le mardi 22 mai 2007 00:23


     

    Sérénade

    Cinquième partie

         

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    SERENADE - 6ème partie BEETHOVEN page 151  (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le mardi 22 mai 2007 00:27


     

    Sérénade                                               Blog de colinearcenciel : BIENVENUE DANS MON MONDE MUSICAL, SERENADE - 6ème partie BEETHOVEN page 151    

    Sixième partie

                         Blog de colinearcenciel : BIENVENUE DANS MON MONDE MUSICAL, SERENADE - 6ème partie BEETHOVEN page 151

                      

                                   

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    ALLEGRETTO POUR VIOLON ET VIOLONCELLE - BEETHOVEN (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le mardi 22 mai 2007 00:39


     

     

    ;

    ALLEGRETTO pour

     piano, violon et

     violoncelle

    Premier mouvement

    Je découvre ces Oeuvres de Ludwig Van Beethoven que je ne connaissais absolument pas et cela en même temps que vous peut être...

    Blog de colinearcenciel : BIENVENUE DANS MON MONDE MUSICAL, ALLEGRETTO POUR VIOLON ET VIOLONCELLE - BEETHOVEN

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    BEETHOVEN - Une citation (suite de sa biographie)  (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le mardi 22 mai 2007 01:24

    Blog de colinearcenciel :BIENVENUE DANS MON MONDE MUSICAL, BEETHOVEN - Une citation (suite de sa biographie)

    "Etudier, disait-il souvent, ne signifie pas faire ce que l'on sait déjà, on ce que l'on fait facilement. Cela signifie faire ce que l'on ne sait pas, ou ce que l'on trouve difficile".

    "Il y a chez certains êtres, un quelque chose de sublime qui vient d'ailleurs : j'aime à regarder les yeux de ces personnes car c'est en eux que l'on perçoit ce mystère et cette force et cette perfection générés par  des qualités hors du commun : la sincérité du coeur, l'authenticité, l'ouverture au monde subtil, la volonté du beau et du bon et autres multiples !

    Lorsque j'ai la chance de me trouver avec l'un d'eux : je me tais, je contemple et mon coeur sourit si fort que mes lèvres ne savent pas s'empêcher de suivre le mouvement de mon coeur.  Parfois, il y a des êtres qui se déguisent pour tenter de faire passer extérieurement, artistiquement ces valeurs qu'ils ne possèdent pas, rongés par l'ambition, immanquablement, leurs regards qui semblent purs cachent de bien grandes failles et vilenies : jamais ils ne savent résister à ce qui se lit dans leur coeur endurcit par des conceptions surrannées et stupide vanité. La vanité n'est pas le fait de l'élégance extérieure ou d'une attitude de bonne composition, la vanité commet des actes hideux pour se tenir à la première place : il n'y a point d'universalité à cela : l'égo est un bloc de béton et la nature s'y est figée : nulle inspiration ne s'y engouffre !"ColinearCenCiel

    Nous allons profiter durant la suite du récit de la vie de Beethoven d'écouter tout en même temps les trente deux Sonates qu'il a créé.  Ces oeuvres sont séquencées sur fichier midi par Bunji Hisamori.

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    SONATES DE BEETHOVEN - SUITE DE SA BIOGRAPHIE  (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le mardi 22 mai 2007 07:50


     

    Vous pouvez via ce lien écoutez les trente deux sonates de Beethoven et les enregistrer.

    http://www.lvbeethoven.com/Oeuvres/Midi-Mp3-SonatesPiano.html#Opus26

     

    "Le lendemain, nous avions une séance de quatuor chez le Comte Lichnoski et nous étions en train de jouer un Adagio de Mozart lorsque Beethoven entra. Lorsque nous eûmes terminé ils'approcha sans nous saluer au préalable :"Très très beaumorceau ! Très bien exécuté aussi !".  Cependant, il se mit à nous donner quelques conseils pour jouer mieux tel ou tel passage, et prenant l'alto des mains de celui qui le tenait, il reprit une certaine phrase dont l'exécution n'avait pas été à son goût.

    Lichnowski avait été un ami de Mozart et grand amateur de musique, il attachait beaucoup d'importance au fait de jouir de la considération et de l'estime des musiciens. 

    Ensuite, nous jouâmes avec Beethoven au piano un trio de Haydn. A notre grande surprise, et si l'on songeait à sa manière de jouer telle qu'il nous l'avait révélée la veille, Beethoven respecta entièrement la grâce très délicate de sa partie. La princesse lichnowski arriva et Beethoven s'efforça de la saluer avec la plus grande courtoisie.  De toute évidence, il était de très bonne humeur.

    De sorte que je me tournais vers la princesse et lui demandai si elle permettait que Monsieur Van Beethoven nous jouât quelque chose. "Cette fois, ajoutais- je voudrai lui rendre la tâche plus difficile et lui demander d'improviser sur un ou deux thèmes que nous lui dicterions". Chacun applaudit à cette proposition, et Beethoven me tendit un cahier et un crayon, demandant que l'on y inscrivit trois thèmes.

    Il resta un instant à examiner les trois motifs et puis levant les yeux, il demanda :"puis-je en ajouter un ?".  Nous fûmes d'accord, et lorsqu'il eut noté un court motif qui lui servirait de quatrième sujet, il passa la feuille au prince et s'installa au piano

    Son exécution surpassa de loin celle de la veille, etdepuis, je l'ai rarement vu s'élever si haut.  Ce que ses doigts faisaient surgir du piano était une sorte de feu d'artifice où se mêlaient l'enthousiasme, l'intelligence, la sensibilité - un véritable triomphe de l'art !  Ce fut avec une étonnante série de variations qu'il interpréta les thèmes que nous lui avions imposés ; il jonglait avec eux comme avec des boules multicolores : il les prenait et les reprenait en leur donnant les expressions les plus étonnantes ; et finalement il improvisa avec une parfaite  maîtrise une fugue libre qu'il couronna en y introduisant son propre sujet, triomphal et radieux.

    Alors qu'il jouait encore, son auditoire n'avait pu s'empêcher de s'exclamer d'admirationEt lorsqu'il eut terminé, tout le monde, transporté de joie, entoura  le piano pour féliciter l'artiste : personne ne savait comment le remercier ou   l'applaudir assez après le rare plaisir qu'il venait de nous procurer. Ce jour-là, Vienne sut qu'une autre étoile d'un éclat extraordinaire s'était levée au ciel de sa musique.

    Linochnowski exultait. Il était allé de l'un à l'autre répétant sans cesse : "Cethomme va prendre la  place de Mozart ! Il vient pour nous consoler de la mort prématurée de Mozart ! C'est un nouveau Mozart !" En parlant ainsi, il oubliait bel et bien que, dans le réel et profond chagrin qu'il avait éprouvé à la mort de son professeur et génial ami, il avait, durant toute une année, déclaré à qui voulait l'entendre, que aussi longtemps que l'on ferait de la musique en ce monde, il n'y aurait jamais un autre Mozart.

                   

                    

     

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    MARTHA ARGERICH JOUE BEETHOVEN (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le lundi 16 juillet 2007 01:32


     Martha Argerich est la pianiste que je préfère parmi toutes les pianistes virtuoses : elle est magnifique, elle joue avec le fond de son âme : son jeu pianistique est d'une grande clarté et pureté.

     

    COPYING BEETHOVEN  (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le dimanche 14 octobre 2007 18:12

     

     

     

    COPYING

     

     

     BEETHOVEN

     


     

     

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    SYMPHONIE N° 1 - LUDWIG VAN BEETHOVEN I  (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le dimanche 14 octobre 2007 17:50

     

     

    SYMPHONIE N° 1

     

    Ludwig van Beethoven 

    Orchestre dirigé par Herbert von Karajan


     

     


     

     

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    SYMPHONIE N° 1 - LUDWIG VAN BEETHOVEN II  (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le dimanche 14 octobre 2007 17:58

     

     

    SYMPHONIE N° 1

     

     


     

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    SYMPHONIE N°1 - LUDWIG VAN BEETHOVEN III  (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le dimanche 14 octobre 2007 18:02

     La qualité de l'image est très mauvaise mais le son y est : je n'ai pas trouvé d'autres versions de cette symphonie pour la présenter ici.
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    SYMPHONIE N°1 - LUDWIG VAN BEETHOVEN IV  (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le dimanche 14 octobre 2007 18:05


     

     

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     !COPYING BEETHOVEN!  (BEETHOVEN LUDWIG VAN)

    posté le dimanche 14 octobre 2007 18:13

     

     

    COPYING BEETHOVEN

     


     

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    PORTRAIT DE BEETHOVEN  (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le dimanche 30 mars 2008 23:58

     

     

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    SEPTIEME SYMPHONIE - IIème MVT - Ludwig van BEETHOVEN  (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le lundi 31 mars 2008 00:01

     

    SEPTIEME

     

     

     SYMPHONIE

    Blog de colinearcenciel : BIENVENUE DANS MON MONDE MUSICAL, SEPTIEME SYMPHONIE - IIème MVT - Ludwig van BEETHOVEN

     

     

    MOUVEMENT II

     

     

    Ludwig Van Beethoven

     

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    VIRTUOSITE au VIOLON KANDEZA - LEONID KOGAN INTERPRETE BEETHOVEN  (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le samedi 14 juin 2008 16:00

     

     

    Kogan

    .

    joue

    .

    KADENZA

    Blog de colinearcenciel : BIENVENUE DANS MON MONDE MUSICAL, VIRTUOSITE  au VIOLON KANDEZA - LEONID KOGAN INTERPRETE BEETHOVEN

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    Ludwig

     Van

    .

     

     Beethoven

     

    .

     

     

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    SONATE Op. 26 - LUDWIG VAN BEETHOVEN  (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le samedi 14 juin 2008 16:14

     

    Gilels

    joue

    Beethoven

    .

    SONATE Op. 26

    .

     

     

     

     

     

     

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    7ème SYMPHONIE de BEETHOVEN (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le mercredi 18 juin 2008 18:30

     

    .

    DEUXIEME

    ..

     

    MOUVEMENT

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    MOONLIGHT SONATA Ludwig van Beethoven  (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le samedi 16 août 2008 18:16

     

    M

    O

    O

    N

    L

    I

    G

    H

    T      S O N A T A    by Ludwig van Beethoven

    Blog de colinearcenciel : BIENVENUE DANS MON MONDE MUSICAL, MOONLIGHT SONATA Ludwig van Beethoven

     

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    L'ALLEGRO DU TRIPLE CONCERTO de *BEETHOVEN*  (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le mercredi 17 septembre 2008 06:35

     

     

    L' ALLEGRO    D

                               U         TRIPLE     C

                                                              O

                                                              N

                                                              C

                                                              E

                                                              R

                                                              T

                                                              O   de    B E E T H O V E N

    .

    L'allegro du Triple Concerto de Beethoven avec à l'affiche un trio de rêve .
    Dommage que la qualité vidéo et audio laisse à désirer .....

    David Oistrakh au Violon
    Mstislav Rostropovitch au Violoncelle
    Sviatoslav Richter au Piano

    .

     

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    LUDWIG VAN BEETHOVEN - L'HOMME et le MUSICIEN  (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le mardi 21 octobre 2008 14:45

    Blog de colinearcenciel :BIENVENUE DANS MON MONDE MUSICAL, LUDWIG VAN  BEETHOVEN - L'HOMME et le MUSICIEN

    Beethoven considérait son Héroïque comme la meilleure de ses oeuvres.

    Si elle fut inspirée au départ par la figure de Napoléon, lorsque Beethoven sût que Bonaparte désirait le titre d'Empereur, il fut déçu et cinq années après avoir écrit l'Héroïque, il déchira la première page et changea son oeuvre.  Si bien que cette oeuvre représente la personnalité de Beethoven lui-même contrairement à la rumeur qui raconte que cette oeuvre reste attacher à la figure de Napoléon.

    Selon l'ami personnel de Beethoven qui a écrit sa vie dans "EROICA" ou "Le Roman d'un génie" , Carl Philip von Pidoll dit ceci :

    "Ce qu'est vraiment l'Héroïque" : ce n'est pas seulement une oeuvre d'art d'une beauté parfaite, créée par la main infaillible d'un maître, c'est aussi un message, un évangile.  C'est un témoignage de l'esprit qui seul est capable de donner à l'existence ce qui la rend supportable : une intention dépassant les limites de la vie et de la mort".

    Ce livre nous raconte à quel point Beethoven était colérique et faisait courir des bruits sur sa vie par ses propres paroles, il racontait facilement des évènements de sa vie et pouvait être si naïf car il se faisait des illusions sur les bonnes intentions de certaines personnes qui le cotoyaient.  Lorsqu'il découvrait qu'on le trompait, il rentrait dans de grandes colères.  Et il fut souvent la risée des gens par sa naïveté dont il n'avait pas vraiment conscience.

    Beethoven  au point de vue musical, séduisait les foules : son succès était important auprès du public.  Il rêvait de transporter son piano dans la rue et de jouer pour les gens.

    A son époque, au XVIIIème siècle, l'homme est replacé au centre de tout système, et comme le critère de toutes les valeurs.

    Carl von Pidoll dit encore :

    "Ce fut une de ces épqoues qui devaient décourir que , pour l'homme, le concept de liberté est synonime de discipline morale, et que si l'homme veut seulement donner à cette notion sa véritable et entière signification, il n'a besoin d'aucune abstraction pour le guider vers l'Eternité et vers la foi libératrice qui efface tous les doutes et toutes les souffrances ; il n'a plus besoin d'aucun de ces adjuvants tabous des dogmes religieux, des organisations politiques ou autres ectes, obscurantistes ou spiritualistes.  L'homme vraiment représentatif du XVIIIème siècle croyait en lui-même et en sa valeur humaine.

    Aucune croyance ne lui était nécessaire pour qu'il se sentit lié avec Dieu et l'Eternité, car Dieu et Eternité, il les portait en lui. Dieu et Eternité étaient tout simplement l'expression du principe spirituels d'où lui était venue sa dignité humaine".

    Tel était Beethoven, indépendant de toute religion, même s'il était profondémment croyant.

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    CONCERTO POUR PIANO ET ORCHESTRE - BEETHOVEN  (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le mardi 21 octobre 2008 14:11

     

    CONCERTO POUR PIANO ET ORCHESTRE

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    Van B E E T H O V E N

     

     

     

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    UNE PAROLE DE BEETHOVEN (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le mardi 21 octobre 2008 15:26

    Blog de colinearcenciel :BIENVENUE DANS MON MONDE MUSICAL, UNE PAROLE DE BEETHOVEN

    " Quand vous écoutez ma musique, disait-il, je ne vous demande pas de "penser", je vous demande de "sentir".  Si vous ne la "sentez" pas, c'est que je suis un bousilleur, ou bien que vous êtes un phillistin ..."

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    BEETHOVEN EN 1802  (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le mardi 21 octobre 2008 18:30

    Blog de colinearcenciel :BIENVENUE DANS MON MONDE MUSICAL, BEETHOVEN EN 1802

    En 1802, Beethoven avait 32 ans. Il avait les cheveux noirs, il était petit et fort, les yeux brillants, il avait un beau teint et des gestes plein d'énergie.  Dix ans plus tard, il avait prématurément vieilli : ses cheveux étaient devenu gris et paraissait las, fiévreux, épuisé.  Il s'emportait encore de colère ou d'enthousiasme mais il avait perdu la vivacité de sa rayonnante jeunesse déjà à l'âge de 42 ans.

    Cela n'était pas dû comme le disait les mauvaises langues à des excès de table ou à une vie déréglée : c'était stupide et mensonger de raconter pareille chose. La somme de travail que Beethoven fit durant dix ans explique son vieillissement prématuré.

    Toute sa vie il aima le vin et il  ne dédaigna pas les femmes mais il n'avait pas le goût de ces plaisirs et ses aspirations spirituelles du grand but l'absorbèrent en priorité et il ne se laissa pas tenter par les plaisirs de l'existence.

    Son vieillissement prématuré peut être expliqué aussi à sa course contre la surdité dont il fut affligé : une terrible épreuve pour un musicien. Il était généreux avec ses proches et négligeait plutôt sa santé car il estimait que l'esprit domine le corps sans vouloir comprendre que toute machine ne résiste pas à l'usure.

    Il n'eût jamais de logement confortable et louait des appartements un peu au hasard : il changeait souvent sous le moindre prétexte. Parfois il en louait deux en même temps.

    Son caractère difficile surtout lorsque la surdité l'atteingna plus fit de lui un "très mauvais locataire" c'est ainsi que des maisons lui furent refusé avant même qu'il ne demanda à voir les propriétaires.

    Ses domestiques ne restaient pas longtemps chez lui, il essayait de faire son repas lui-même, à des heures régulières, de mener un vie bourgeoise mais il n'y arriva jamais.  Il prit l'habitude de ce fait des cafés et des restaurants pour pouvoir manger aux heures qui lui plaisaient. Tout cela du fait de ses heures de travail intense où il perdait la notion du temps.

     

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    BEETHOVEN : L'HOMME et SES HABITUDES PERSONNELLES (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le mardi 21 octobre 2008 20:37

    Blog de colinearcenciel :BIENVENUE DANS MON MONDE MUSICAL, BEETHOVEN  : L'HOMME et SES HABITUDES PERSONNELLES

     

    Comme il prenait ses repas la plupart du temps au restaurant après avoir beaucoup travailler, (ci-dessus un portrait le représente en 1810) il s'y présentait avec un appétit d'ogre et il choisissait des plats plutôt sophistiqués et de toutes sortes !  Si bien qu'il se rendait malade : il en accusait ceux qui l'avaient servi en disant que la cuisine était détestable.

    Il était donc négligent de ce point de vue y compris dans sa façon de s'habiller et ne se souciait pas du temps qu'il faisait et donc, souvent lorsqu'il pleuvait il rentrait trempé jusqu'aux os et puis se mettait au travail sans même changer de vêtements. 

    Souvent en société, ses vêtements manquaient de la plus simple correction et chez lui, il portait souvent un vieux peignoir tout usé.

    Lorsqu'il se rasait, ce qui n'était pas fréquent, il devait passer plus de temps à soigner les blessures qu'il s'était faite.

    Partout dans son logement, tous les meubles croulaient sous les papiers de manuscrits et de papier de musique et quant il recevait des visiteurs, il fallait faire place car toutes les chaises étaient occupée.  Ces excentricités nous montre un musicien et un homme qui ne faisait qu'un et le musicien qui l'emporte.

    Tous ceux qui connaissaint bien Beethoven était navré de ses conditions d'existence mais comprenaient aussi que c'était la rançon d'une existence tendue vers un seul but.

     

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    LA SIGNATURE DE BEETHOVEN (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le mardi 21 octobre 2008 20:38

    Blog de colinearcenciel :BIENVENUE DANS MON MONDE MUSICAL, LA SIGNATURE DE BEETHOVEN
     
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    LA SANTE DE BEETHOVEN  (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le mardi 21 octobre 2008 21:43

    Blog de colinearcenciel :BIENVENUE DANS MON MONDE MUSICAL, LA SANTE DE BEETHOVEN

     

    Malgré ses négligences du "conventionnel" et de certaines règles de vie, ce qui l'aidèrent probablement à se maintenir en bonne santé c'est qu'il aimait à se promener au grand air plusieurs heures par jour et qu'il bénéficiait d'un sommeil profond réparateur.  Par tous les temps, il aimait se promener.

    En été, il partait à la campagne et partait dans la nature, il dormait même en plein air et il trouvait à se ressourcer dans les forces naturelles.

    Un bouleversement se fit dans l'âme du grand compositeur lorsqu'il se rendit compte qu'il devenait sourd.  Cette surdité ne mit pas fin à son travail.  C'est aussi dans cette course de vie de lutte contre sa surdité qu'il travailla beaucoup à son oeuvre créatrice.

     

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    BEETHOVEN, portrait  (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le mardi 21 octobre 2008 21:56

    Blog de colinearcenciel :BIENVENUE DANS MON MONDE MUSICAL, BEETHOVEN, portrait

     

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    CONCERTO N° 1 POUR PIANO - BEETHOVEN  (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le mardi 21 octobre 2008 22:01

     

    CONCERTO N° 1

     

    Le concerto pour piano n° 1 en ut majeur, op. 15, est un concerto pour piano et orchestre du compositeur allemand Ludwig van Beethoven. Premier des cinq concertos pour piano de Ludwig van Beethoven, il a été composé en1795.

    Sa première édition date de mars 1801, chez Mollo, après que Beethoven a réécrit la partie de piano. Il est dédié à Barbara dite Barbette de Keglevics, devenue princesse Odescalchi. Il lui avait déjà dédié la sonate en mi bémol majeur op. 7.

    Il reste encore ancré dans la tradition classique mozartienne, cependant Beethoven enrichit l'effectif orchestral en y ajoutant deux clarinettes, deux trompettes et des timbales.

    Il comprend trois mouvement dont l'exécution dure généralement un peu plus qu'une demi-heure :

    • Allegro con brio
       
    • Largo
       
    • Rondo. Allegro scherzando
       

    Dans le premier mouvement, l'orchestre énonce d'emblée les 3 thèmes et garde le monopole du premier. Beethoven a composé une cadence pour ce mouvement en 1809. Dans le second, en la bémol majeur, Beethoven est resté dans l'esprit de la variation et de l'improvisation. Le dernier mouvement est un rondo sonate. Le premier thème en do majeur est exposé directement au piano, selon l'usage. Il possède une grande vitalité, due en partie aux déplacements d'accents rythmiques.

     

     

     

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    BEETHOVEN ENTRE 1802 ET 1812, SA VIE (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le jeudi 23 octobre 2008 05:59

    Blog de colinearcenciel :BIENVENUE DANS MON MONDE MUSICAL, BEETHOVEN ENTRE 1802 ET 1812, SA VIE

    Durant dix années, entre 1802 et 1812, la vie de Ludwig Van Beethoven fut dirigée par une rigoureuse discipline et il composa chef d'oeuvre sur chef d'oeuvre. C'est durant cette période qu'il composa l'Héroïque jusqu'à la Huitième et les six symphonies dont chacune est un modèle de beauté et de profondeur.

    Fidélio, deux concertos pour piano, un concerto pour violon, un triple concerto pour piano, violon et violoncelle naquirent aussi durant cette pédiode. Toutes ses compositions y compris les plus petites ont une grande valeur et sont originales.  En dix ans à peine soit cent vingt mois, cinq cent semaines pour créer tout cela tient du miracle.

    Au point de vue intellectuel et au point de vue artistique l'effort produit par Beethoven est unique dans l'histoire car il donne à la musique une forme entièrement neuve.

    En 1830, les viennois ne jouaient pas Beethoven, il trouvait son oeuvre ennuyeuse et trop difficile.  A l'époque, deux ans avant, se mourait dans la solitude et la pauvreté, complètement méconnu, avec toute une pile de chef d'oeuvres jamais encore jouéees un homme jeune encore qui s'appelle Franz Schubert.

    Vingt ans auparavant, trois viennois de la haute société décidèrent de faire avec un contrat légal une pension de six mille florins à Beethoven et cela jusqu'à sa mort à la condition qu'il demeurât à Vienne. Pourtant tout le monde savait à l'époque que Beethoven deviendrait sourd au bout de quelques années. Trois mécènes donc, s'investirent dans l'oeuvre de Beethoven ne réclamant nulle autre condition.

    A l'époque aussi, de jeunes musiciens très pauvres, se mettaient gracieusement au service du Maître pour exécuter ses oeuvres.  Ils étaient fiers de se mettre à son service et révélerait le génie de Beethoven.

     

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    BEETHOVEN ET MAELZEL, SA VIE (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le jeudi 23 octobre 2008 06:39

    Blog de colinearcenciel :BIENVENUE DANS MON MONDE MUSICAL, BEETHOVEN ET MAELZEL, SA VIE

    Une partie du panharmonicon de Maelzel

    Johan Nepomuk Maelzel était mécanicien à la Cour à Vienne. Beethoven venait de passer une période critique de crise, où il ne se sentait plus créateur et où il était affaibli par une surdité cette fois affirmée. C'est là qu'intervient Maelzel : celui-ci lui construit des cornets acoustiques en adaptant à son piano des sortes de couvercles sonore qui lui permettrait d'entendre son propre jeu. Nous sommes en 1813.

    L'amitié des deux hommes se resserrent à cette époque. Wellington soulève l'enthousiasme par sa victoire à Vittoria en juin 1813 contre les troupes napoléonienne et Maelzel propose à Beethoven de créer une symphonie pour fêter cet évènement et de ce fait il mettrait en valeur son panharmonicon.

    En décembre 1813 un orchestre important fut constitué par notamment Salieri, Spohr, Mayseder, Hummel, Siboni,Giuliani et Beethoven dirigeait l'orchestre.  Le programme comprenait la Septième Symphonie, La Bataille de Vittoria et quelques marches jouées par la machine de Maelzel.  La salle était comble.

    Beethoven se brouilla avec Maelzel et leur collaboration se termina.  La Bataille de Vittoria est une oeuvre superficielle par rapport à tout ce que Beethoven a créé auparavant et il en avait conscience. Cependant elle eut beaucoup de succès.

    Le panharmonicon était un instrument de musique mécanique inventé parJohann Nepomuk Maelzel en 1804 dont il ne subsiste aujourd'hui aucun exemplaire.

    De très grande taille , il consistait en une sorte de clavier qui reproduisait les sons d'instruments mécaniques spécialement conçus pour lui, par la mise en jeu d'un soufflet et de rouleaux musicaux mécaniques. Les quarante-deux instruments qui composaient le panharmonicon étaient ceux d'un orchestre militaire : flûte, clarinette, trompette, violon, violoncelle, percussions, triangle. Maelzel commanda à Beethoven en 1813 une œuvre orchestrale pour inaugurer cet instrument singulier : ce fut la Victoire de Wellington. (source : wikipedia).

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    A PROPOS D'UNE CANTATE DE BEETHOVEN  (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le mercredi 29 octobre 2008 10:59

    Blog de colinearcenciel :BIENVENUE DANS MON MONDE MUSICAL, A PROPOS D'UNE CANTATE DE BEETHOVEN

    L'exécution de la cantate Der glorreiche Augenblick marqua un triomphe pour Beethoven.  C'est une oeuvre écrite pour une occasion extraordinaire qu'il connut lors du Congrès.

    Elle fut écrite en hommage au Congrès, aux Empereurs et aux rois entre les mains desquels reposaient les destinées de l'Europe.

    Le texte était de Aloïs Wessenbach, un agrégé qui écrivait des poèmes par désoeuvrement.  Ce texte est le fruit de ses efforts les plus pénibles. 

    Beethoven n'épargna rien de ce qui semblait digne de l'occasion : orchestre, choeurs et solistes furent réunis et l'on mit tout en oeuvre pour obtenir les effets les plus impressionnants.

    Ce manuscrit, comme La bataille de Vittoria, porte le témoignage d'un talent, d'un art dont aucun autre musicien n'a jamais approché.

    Extrait d'Eroïca, le roman d'un génie de Carl von Pidoll

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    Der glorreiche Augenblick - BEETHOVEN (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le mercredi 29 octobre 2008 11:03

     

     Der Glorreiche Augenblick Op. 136 -

    2. Recitativo: O seht sie nah und näherCantata for soloist,

    chorus & orchestra Op. 136.

    Text Aloys Weissenbach.

    Alla Simoni, soprano. Francesca Pedaci, soprano. Jeremy Ovenden, tenor. Robert Gierlach, bass. Coro Della Radio Svizzera 

     Orchestra Della Svizzera Italiana, Diego Fasolis.

     
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    LA BATAILLE DE VITTORIA - BEETHOVEN (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le mercredi 29 octobre 2008 11:03

     

     Une oeuvre particulière où l'ambiance de la bataille est bien traduite.

     
     
    Emplacement
    Espagne, une petite ville au sud de la rivière Zabora, 65 km au sud-est de Bilbao

    Guerre et campagne Guerre de la Péninsule

     

    PROTAGONISTES

    Anglais

    Français
    COMMANDANTS DES DEUX CAMPS
    général Marquis de Wellington
    Joseph Bonaparte, roi d’Espagne
    maréchal Jean-Baptiste Jourdan
    FORCES EN PRESENCE
    8.317 cavaliers
    fantassins :
    27.372 Anglais, 27 569 Portugais et 6.800 Espagnols
    90 canons
    soit 75.152 hommes
    7.000 cavaliers
    43.000 fantassins
    153 canons
    soit 57.000 hommes
    PERTES
       
     
    Description des opérations

    Avec la défaite de la Grande Armée en Russie, il devient impossible pour les Français de se maintenir en Espagne. Joseph Bonaparte choisit de regrouper ses forces sur la rivière Elbro, dans le nord du pays. Wellington mène la poursuite, bien décidé à porter un coup définitif.

    Il engage la bataille près de Vittoria en lançant à l’attaque quatre colonnes qui se soutiennent mutuellement. Le centre du dispositif français est percée et ses flancs tournés. Les troupes françaises refluent alors en désordre vers Vittoria. Toute l’artillerie et les bagages sont perdus dans le gigantesque embouteillage qui s’en suit. Leur pillage empêche néanmoins toute poursuite effective.

    Après cette débâcle, toutes les troupes françaises doivent évacuer l’Espagne.

     
    Particularités

    Le butin de l’armée de Joseph Bonaparte et son trésor (30 millions) sont perdus. Le bâton de maréchal de Jourdan est également pris. Wellington l’envoie au prince régent d’Angleterre qui, en retour, le fait maréchal.

    Cette bataille a tellement marqué les esprits du temps que BEETHOVEN en a fait une oeuvre musicale "La bataille de Vittoria" où il utilise des pétards, des armes à feu et où l'on peut entendre "Malbrout s'en va en guerre." (cette dernière information nous a été apportée par un de nos lecteurs, Christian Marchandon)

    Extrait du site : http://www.net4war.com/e-revue/batailles/empire1/vittoria.htmde1813

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    LA VICTOIRE DE WELLINGTON de Ludwig van BEETHOVEN - page 452 (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le lundi 06 décembre 2010 12:39

     

    Une reprise de cette oeuvre avec la deuxième partie qui suit. On entend le thème de la chanson "Malbrouk s'en va en guerre..."

    Blog de colinearcenciel :BIENVENUE DANS MON MONDE MUSICAL, LA PASTORALE - SYMPHONIE N° 6 - BEETHOVEN 

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    LA VICTOIRE DE WELLINGTON de Ludwig van BEETHOVEN II  (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le lundi 06 décembre 2010 12:41

     

    On sent l'ambiance de la bataille au travers de cette oeuvre parfaitement au niveau du son en stéréo.

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    FUGUE Op. 133 de Ludwig van BEETHOVEN Parth One  (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le lundi 06 décembre 2010 12:46

     

    FUGUE 133

    Ludwig van Beethoven

     

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  • FUGUE Op. 133 de Ludwig van BEETHOVEN Parth Two  (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le lundi 06 décembre 2010 12:47

     
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    THE BRITISH LIGHT DRAGOONS 1814 Ludwig van Beethoven  (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le lundi 06 décembre 2010 12:44

     
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    SONATE N° 8 de Ludwig van BEETHOVEN (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le lundi 06 décembre 2010 12:52

     

    Une très belle sonate que l'on est toujours ravi d'entendre et de réécouter.

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    BEETHOVEN ET LA FETE DU CONGRES (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le mercredi 29 octobre 2008 15:58

    Blog de colinearcenciel :BIENVENUE DANS MON MONDE MUSICAL, BEETHOVEN ET LA FETE DU CONGRES

    Cest le comte Rasumovsky qui avait été chargé par l'empereur d'organiser la fête au Congrès au nouvel à Vienne en 1815.

    Des milliers de chandelles illluminaient les salles de ce palais garni de nombreuses oeuvres d'art.

    Les lieux n'étaient pas assez grand pour recevoir tous les invités aussi un grand chalet en bois fut construit dans le parc.

    Danses, musique, jeux de hasard, charades, ballets et pièces de théâtre s'offraient au goût de chacun.

    Beethoven y était invité et Carl von Pidoll aussi. Et la fête battait son plein lorsque le désastre se produisit. Le feu se propagea à la vitesse de l'éclair dans ce chalet et se propagean vite au palais lui-même et quelques heures à peine plus tard, soit douze heures il ne restait que des murs noircis où s'élevaient des cheminées pareilles à des colonnes sorties du cauchemar.

    Il n'y eut pas de victimes.

    Beethoven s'en alla près des bords du Danube par des sentiers qu'il connaissait bien. Des flammes gigantesques s'élevait dans le ciel quant Beethoven dit soudain, après une demie heure de silence "Voilà où s'en va le Congrès ... Voilà où s'en va toute sa frivolité, toute sa vanité... Voilà où s'en va ce qu'il aurait pu être... tout ce qu'il  aurait dû être ... mais n'a pas été".

    Il ajouta :"C'est comme cela que je m'en vais aussi...".

    Son ami se tenait à côté de lui, celui qui avait assisté à ce spectacle où Beethoven avait, dans sa période de grande fatigue où il sentait que l'inspiration de création ne lui venait plus et qu'il en était désespéré, la période où il luttait contre cette surdité grandissante et où il avait fait partie de la représentation pas du tout à sa hauteur auprès de ce personnage Maelzel (voir article antérieur) voici qu'il s'exclamait : "J'ai péché, exactement comme le Congrès a péché... Je me suis vendu à bon marché comme une prostituée... J'ai trahi Dieu...

    Son ami complètement interdit retenait son souffle.

    Beethoven continuait :"J'ai trahi l'esprit qui était en moi".  Il sorti de sa poitrine un sanglot sec comme arraché du plus profond de lui ; les deux coudes appuyés sur les genoux, il enfouit son visage dans ses mains...

    "J'ai voulu fuir le Vide... Etre seul m'était insupportable... être seul et sans rien en moi... non seulement délaissé par les gens... mais par la musique aussi..."

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    LE FEU AU CONGRES, LE DECOURAGEMENT DE BEETHOVEN (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le mercredi 29 octobre 2008 16:17

    Blog de colinearcenciel :BIENVENUE DANS MON MONDE MUSICAL, LE FEU AU CONGRES, LE DECOURAGEMENT DE BEETHOVEN

    Puis il s'écria brusquement : "Pourquoi la musique ne vient elle plus à moi ? Qu'ai je donc fait pour que je doive souffrir cela également ? J'ai tout sacrifié... oui, tout sacrifié... pourquoi plus rien ne vient-il à moi ?"

    Son ami lui répondit en lui posant la main sur le bras :" Tout le monde passe par des périodes de fatigue ; personne n'a des forces illimitées : il faut vous reposer... et attendre ! Tout cela reviendra j'en suis sûr ! Tout cela reviendra !"

    Beethoven tourna ses yeux vers lui "Quelle bonne âme fidèle , murmura t'il, quelle âme bonne et fidèle..." Et puis il se leva et dit :"Je rentre, j'ai froid". Il chancelait, il avait un malaise et comme de la fièvre.

    Son ami l'accompagna jusque chez lui, l'aida à se mettre au lit et attendit que le musicien s'endormi profondémment avant de partir doucement...

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    BEETHOVEN QUE J'ADMIRE TANT (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le mercredi 29 octobre 2008 16:55

    Blog de colinearcenciel :BIENVENUE DANS MON MONDE MUSICAL, BEETHOVEN QUE J'ADMIRE TANT

    L'oeuvre de Beethoven m'émeut jusqu'aux larmes : je trouve ses symphonies grandioses et extraordinaires ! Une émotion intense m'envahit chaque fois lorsque j'écoute ses oeuvres monumentales et toute en sensibilité : c'est d'une beauté à couper le souffle ! Il exprime dans sa musique tous les grands sentiments humains mais aussi son oeuvre est en parfaite harmonie avec la nature et j'ai remarqué déjà cela lorsque, avec mon père, j'écoutais pour les premières fois ses symphonies, mon regard partait vers la fenêtre et quelque soit le temps, vent, pluie ou orage : la nature semblait se balancer, se bercer au rythme et aux mouvements de la musique du grand Maître.

    Faites l'expérience d'écouter ces symphonies en regardant la nature et les arbres si vous le pouvez. Ce qui me fascine c'est avant tout l'oeuvre de Beethoven, sa vie, lui-même me touche aussi mais c'est sa musique que je trouve extraordinaire et de par sa musique Beethoven est un être extraordinaire, de par sa vie offerte à la musique il est magnifique !

    Coline

     

     

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    SYMPHONIE N° 5 - LA SYMPHONIE DU DESTIN - BEETHOVEN  (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le mercredi 29 octobre 2008 17:04

     

     

    SYMPHONIE N° 5

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    Ludwig van Beethoven

    .

    .

    5 en ut mineur, opus 67, dite "Symphonie du Destin", a été écrite par Ludwig van Beethoven en 1805-1807. Le compositeur a dédié l'œuvre au prince Lobkowitz et au comte Razumovsky, un diplomate russe qui avait commandé trois des quatuors à cordes de Beethoven.

    Cette symphonie, qui est au fil du temps devenue l'une des compositions les plus populaires de la musique classique, est fréquemment exécutée et enregistrée.

    Elle a acquis une grande renommée dès les premiers temps qui ont suivi sa première exécution, le 22 décembre 1808 au Theater an der Wien de Vienne : E.T.A. Hoffmann l'a alors décrite comme l'« une des œuvres les plus marquantes de l'époque ».

    Ce mouvement est l'un des plus intenses de l'histoire de la musique. On retrouvera cette intensité dans les œuvres de Beethoven en do mineur, son troisième concerto pour piano et son quatuor opus 18 no4.

    Mais tout le génie de Beethoven se remarque surtout dans cette symphonie, composée en même temps que la suivante en fa majeur, "pastorale", et que la fantaisie opus 80 pour chœur, piano et orchestre, où Beethoven manifeste déjà l'envie d'ajouter la voix à sa symphonie.

     

     

     

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    HISTOIRE DE LA SONATE POUR PIANO N° 28 DE BEETHOVEN  (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le jeudi 30 octobre 2008 17:09

     

    Peu après l'incendie du Congrès, Beethoven composa le quatuor à cords en la mineur Op. 95 et il composa aussi une Sonate pour pinao qui fut publkiée un an avant le quatuor.

    Elle mérite d'attirer l'attention car elle est d'une captivante beauté. Les circonstances de la naissance de cette oeuvre mérite qu'on y jette de la lumière. Cette sonate est dédiée à la baronne Dorotheavon Ertmann, la femme du lieutenant-général Stephan Ertmann.

    La baronne était douée d'un talent rare et elle avait toujours été une amie de Beethoven car elle interprétait ses oeuvres au piano avec un art qu'il admirait sans réserve.  Pendant toutes les années que dura leur amitié elle et son mari habitèrent Vienne jusqu'en 1818 - le compositeur lui donna de précieuses indications sur la manière de jouer ses oeuvres, lui expliquant à coeur ouvert ce qu'il voulait. Beethoven estimait que seule cette femme arrivait à jouer ses oeuvres convenablement.

    La baronne avait un fils qui lui causa de nombreux soucis car il était d'une santé fragile et malheureusement il fut emporté par une maladie infectueuse.  La baronne fut plongé dans les plus grands chagrins mettant en danger son équilibre mental. Son mari s'en rendit compte et il était au combre du désespoir quand il rencontra un jour Beethoven et il lui raconta toutes ses craintes.

    Le Maître lui répondit :"amena la chez moi, peut être pourrais-je faire quelque chose pour elle".  Immédiatement le baron emmena sa femme chez Beethoven et les laissa seul.

    Beethoven s'assit au piano et commença à jouer : la baronne se mit à pleurer en un flot de larmes, les premières larmes qu'elle put verser depuis la mort de son fils. Quelques heures plus tard, acceptant son destin et décidée à se dévouer de nous toute entière à la vie, à ses devoirs, à ses joies et ses tristesses.

    Cette sonate dédiée ensuite à la baronne Ertmann fut composée ce jour-là : elle prit naissance ce jour-là et cette sonate contient une expression de la consolation, de la sagesse, et de la foi qui sauvèrent du désespoir la baronne Ertmann et apaisèrent son âme tourmentée.

     

    La Sonate pour piano n° 28 en la majeur, opus 101, de Ludwig van Beethoven fut composée en 1816, publiée en février 1817 et dédiée à la baronne Dorothea Cécilia Ertmann que le compositeur surnommait affectueusement sa « Sainte Cécile ».

    Comme la célèbre Sonate pour piano n° 29 elle était destinée au« Hammerklavier » (piano-forte). Elle appartient au groupe des dernières sonates de Beethoven, dans lesquelles le compositeur porta l'écriturepianistique à un point de perfection et de difficulté inédits.

    La Sonate n° 28 comporte quatre mouvements, pour la première fois intitulés en allemand, et sa durée d'exécution approche les 20 minutes :

    1. Etwas lebhaft, und mit der inngsten Empfindung. (Assez vif avec le sentiment le plus intense). Allegretto, ma non troppo

    2. Lebhaft. Marschmäßig. (Animé. Mouvement de marche). Vivace alla marcia

    3. Langsam und sehnsuchtsvoll. (Lent et plein d'une inspiration ardente). Adagio, ma non troppo, con affetto

    4. Geschwind, doch nicht zu sehr und mit Entschlossenheit. (Vite, mais pas trop et avec décision). Allegro

    .

    SONATE N° 28

     

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    LA SONATE n° 28 - BEETHOVEN (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le jeudi 30 octobre 2008 17:15

     

     

    SONATE n° 28

    I

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    Interprété par Maria Yudina

    II

     

     

     

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    PERIODE CREATRICE DE BEETHOVEN (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le samedi 15 novembre 2008 22:04

    Blog de colinearcenciel :BIENVENUE DANS MON MONDE MUSICAL, PERIODE CREATRICE DE BEETHOVEN

    Ludwig van Beethoven connaît deux grandes périodes créatrices : celle qui s'étend de 1802 à 1812 et celle qui va de 1816 jusqu'à sa mort.

    Ces deux périodes offrent des oeuvres de style différent bien que ce soit le même musicien qui les ait composé.

    Le sens réel de la première période beethovenienne (1802-1812) reste un mystère pour un certain nombre de gens. Tous ceux qui admiraient l'oeuvre du Maître et qui le connaissaient, une oreille pour entendre et un coeur pour sentir, saisissaient le message proclamé au monde avec une inégalable puissance : "Voici l'homme face à son Destin ! L'homme doit être fier et triomphera finalement  en dépit de tout ! Il choisira entre Dieu et Satan !  Son âme est un champ de bataille où se livre le combat éternel entre le bien et le mal, la vérité et le mensonge, l'honneur et l'infamie, et c'est sur le champ de bataille seulement que le destin décide entre la lumière et l'obscurité !".

    Mais ce que proclama le second Beethoven ne fut entendu que de quelques uns.

    Une âme humaine qui s'élève jusqu'à une région où sa lutte avec le destin n'a plus aucune signification parce que le plan sur lequel elle se livrait est de beaucoup dépassé, cela est, peut-on dire, plus sublime encore.  Car c'est une élévation jusqu'au coeur même de la vérité éternelle, une élévation jusqu'à ces sommets où Dieu et Satan, le bien et le mal, la vérité et le mensonge, l'honneur et l'infamie, ne sont plus des antithèses parce que éclairé par la lumière de l'Etre unique et indivisible, vers lequel nous aspirons tous de notre désir le plus intime et que tous nous considérons, chacun selon nos vues personnelles, comme la fin et le but suprême de notre vie.

    L'élévation de l'âme, voilà réellement le thème des dernières oeuvres de Beethoven.  C'est celui de la Missa Solemnis, des sonates pour piano et des quatuors composés à cette époque, des variations de Diabelli, et, par dessus tout, celui de la Neuvième symphonie.

     

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    BEETHOVEN ET SA CREATIVITE MUSICALE  (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le samedi 15 novembre 2008 21:38

    Blog de colinearcenciel :BIENVENUE DANS MON MONDE MUSICAL, BEETHOVEN ET SA CREATIVITE MUSICALE

    Carl Von Pidol, ami de Beethoven se demandait pourquoi Beethoven demeura musicalement stérile durant quatre années...

    Matériellement, il avait négligé sa santé et se dépensait sans compter jusqu'à l'épuisement physique et intellectuel mais là n'est pas toute l'explication, ajoute t'il.

    Les processus obscurs dans l'âme d'un génie créateur sont trop mystérieux et complexes pour que l'on puisse les résoudre comme un problème de mathématiques ou les analyser comme un processus physiques.  A l'avis de cet ami, Beethoven se tut durant ces années car il avait exprimé tout ce qu'il avait à dire.

    Sa créativité se réveilla à nouveau après avoir traversé une expérience vitale et une nouvelle façon de juger les choses.

    Il dit encore que Beethoven ne se consacra jamais à la musique par amour pour elle.  Il n'avait rien d'un faiseur de musique.  Il composa dans le seul but de délivrer un message, son message.

    "Son travail impitoyable par sa peur terrible de la surdité, le conduisit à dire tout ce qu'il avait à dire et son oeuvre existait déjà, absolument parfaite, avant que l'évolution de sa personnalité d'homme mûr me mît en lumière les nouveaux éléments, les nouvelles richesses qui allaient devenir la substance et le thème d'un nouveau message et d'une oeuvre nouvelle" ajoute Carl Von Pidol.

     

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    SONATE N° 5 LE PRINTEMPS de Ludwig van BEETHOVEN  (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le samedi 15 novembre 2008 21:44

     

     

    SONATE N° 5

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    Blog de colinearcenciel : BIENVENUE DANS MON MONDE MUSICAL, SONATE N° 5  LE PRINTEMPS de Ludwig van BEETHOVEN 

     

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    MISSA SOLEMNIS de LUDWIG VAN BEETHOVEN  (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le samedi 15 novembre 2008 22:09

     

    M

    I

    S

    S

    A      S O L E M N I S            B E N E D I C T U S

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    CREDO - MISSA SOLEMNIS - BEETHOVEN (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le samedi 15 novembre 2008 22:24

     

     

    C

    R

    E

    D

    O

    M I S S A   S O L E M N I S

     

     

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    LES DERNIERES OEUVRES DE BEETHOVEN  (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le dimanche 16 novembre 2008 11:45

    Blog de colinearcenciel :BIENVENUE DANS MON MONDE MUSICAL, LES DERNIERES OEUVRES DE BEETHOVEN

    "L'élévation de l'âme, voilà réellement le thème des dernières oeuvres de Beethoven.  C'est celui de la Missa Solemnis, des sonates pour piano et des quatuors composés à cette époque, des variations de Diabelli, et par desus tout, celui de la Neuvième Symphonie.

    Kant exprime que le monde est régit par des lois de cause à effet, comme un monde des apparences. Rien comme la musique ne peut davantage nous faire pénétrer la vérité authentique à laquelle nous aspirons tous au delà du monde des apparences. La signification des oeuvres de Beethoven réside dans le fait que ces oeuvres atteignirent un sommet inégalé."

    Voilà comment s'exprime l'ami de Beethoven, son ami le plus proche qui l'a fréquenté durant trente années.  Il nous en apprendra encore sur le Maître dans les articles qui suivent."

     L'ART DE COMPOSER - A PROPOS DE BEETHOVEN  (BEETHOVEN LUDWIG VAN)

    posté le dimanche 16 novembre 2008 12:08

    Blog de colinearcenciel :BIENVENUE DANS MON MONDE MUSICAL, L'ART DE COMPOSER - A PROPOS DE BEETHOVEN

    Tous ceux qui connaissent la technique et l'art de la composition, ou qui s'intéressent aux compositeurs et à leur méthode de travail, savent que la plupart d'entre eux ont une idée suffisamment claire de ce qu'ils ont à dire pour l'écrire, installés à leur table, sans avoir recours à leur instrument.

    Mozart et Haydn n'ont jamais composé autrement : lorsqu'ils mettaient leur composition sur papier, jamais ils ne sentaient le besoin de les jouer d'abord au piano afin d'en juger par l'oreille.

    Ce n'est pas une règle absolue, mais beaucoup de compositeurs, dont Beethoven, travaillent ainsi.  L'oeuvre naissante prenait forme toujours si clairement dans son imagination que la perte de l'ouïe, à cet égard, ne devait pas lui nuire.

    L'art de composer n'est pas un talent de naissance.  On l'acquiert par l'expérience, le travail, l'étude ; il n'est pas plu sinné que ne l'est la faculté de parler, de lire ou d'écrire.

    Un homme qui a excellé dans ce talent ne le perdra pas même si un jour il est atteint de surdité.

    Beethoven fit un travail gigantesque car il pensait que sa surdité deviendrait complète et il la craignait car il ne pourrait plus entendre l'exécution de ses oeuvres mais aussi celle des autres.  De plus il serait exclu du monde des sons.

     

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    A PROPOS DE BEETHOVEN et L'ART DE COMPOSER  (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le dimanche 16 novembre 2008 13:06

    Blog de colinearcenciel :BIENVENUE DANS MON MONDE MUSICAL, A PROPOS DE BEETHOVEN et L'ART DE COMPOSER

    Toute chose neuve, toute vraie création résulte toujours du fait que l'artiste a d'abord étudié, compris, assimilé les découvertes essentielles du passé, avant d'apporter sa propre contribution au grand édifice de l'Art où son destin et ses dons l'ont dirigé.  On imagine difficilement que Beethoven eût écrit l'oeuvre qu'il a écrite s'il n'avait pas connu à la perfection celles de Mozart, de Haydn, et de tant d'autres de ses prédécesseurs et de ses contemporains.

    Pour continuer véritablement à faire oeuvre créatrice, l'artiste doit pouvoir "revivre" sans cesse les choses qu'il a créées - les entendre, les voir, les lire - les sentir, les considérer comme des oeuvres vivant par elles-mêmes, et se soumettre alors, lui, à leur influence.  C'est ainsi seulement qu'il sera à même de donner au monde des créations neuves.  Or, la musique est l'art par excellence appartenant au monde des sons : aussi longtemps qu'elle n'est qu'écriture, notée seulement sur le papier, elle ne vit pas.

    Et c'était cela que redoutait Beethoven : la perpective d'être retranché de l'univers de ce qui constitue l'expérienece musicale par excellence ; c'était pour cela qu'il se préparait, et avec raison, en vue du jour où ses dons créateurs s'affaibliraient peu à peu pour s'anéantir finalement.

    Rien au monde ne put vivre sans nourriture ; rien au monde ne put donner avant d'avoir reçu - pas même les esprits créateurs les plus riches.  Car même l'esprit d'un très grand artiste n'est pas perpettum mobile, c'est un organisme vivant, soumis aux lois de toute vie organique.

    ________________

    Comment a t'il pu continuer à composer en étant devenu sourd ?  Où ses facultés créatrices trouvaient-elles désormais leurs nourritures ? 

    Beethoven durant dix ans lutta contre la surdité.  Il la haïssait et c'était alors le cauchemar de sa vie et c'est en luttant contre elle qu'il atteignit le but suprême qu'il s'était imposé.

    Le dernier Beethoven, au contraire, acceptait la surdité comme une véritable amie.  Car c'était elle qui défendait de toute intrusion du monde extérieur les lieux secrets où l'âme de  l'artiste s'entretenait avec les choses éternelles et la vérité absolue.

    Elle lui permettait de découvrir dans la musique des domaines vierges et de créer un langage musical qui eût le don d'exprimer l'ineffable.

     

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    LA RETRAITE INTERIEURE DE BEETHOVEN  (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le dimanche 16 novembre 2008 16:44

    N'oublions pas qu'il composa la Neuvième symphonie en étant déjà sourd et elle était si compliquée qu'elle n'était pas interprétable, il dût la simplifier. Vous trouverez sa Symphonie IX dans les pages précédentes, cliquez sur la rubrique qui est destiné à ce Maître , ainsi que bien d'autres oeuvres.

     

    Est ce que parceque Beethoven était bizarre les dix dernières années de sa vie qu'il est ridicule d'oser affirmer qu'il était détraqué. De plus en plus, dans sa retraite, Beethoven se négligeait dans sa façon de s'habiller, et son mode d'existence risquait de choquer la société bourgeoise dont il méprisait les conventions.

    Ceux qui étaient incapable de comprendre la grandeur de la solitude dans laquelle il vivait, se sentaient parfois repoussés par les apparences extérieures de cette vie profonde. 

    Quelques années avant sa mort, il fut même arrêté comme un vagabond...

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    Voici son "Sanctus" dans sa Missa Solemnis.

     

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    BEETHOVEN arrêté comme un vagabond (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le dimanche 16 novembre 2008 16:54

    Blog de colinearcenciel :BIENVENUE DANS MON MONDE MUSICAL, BEETHOVEN arrêté comme un vagabond

    Nous disions donc dans l'article précédent que Beethoven s'était enfermé dans la solitude et une vie profonde.  En effet, il se fit arrêté un jour comme vagabond.  C'était à Baden, il était parti pour faire une promenade car comme vous avez pu le lire dans les pages qui concernent ce grandiose musicien, il aimait les promenades et la nature.  Il oubliait les heures, le temps qui passe et l'endroit vers lequel il se dirigeait et de ce fait, la soirée ce jour-là, étant fort avancée, il se trouva devant les barrières fermées de Wiener Neustadt. 

    Comme il n'avait pas de papier d'identité et que le garde crut qu'il se moquait de lui lorsqu'il affirma qu'il était Beethoven de Vienne, on l'arrêta.

    Finalement, tant il insistait, on décida d'aller réveiller le Musikdirector de Wiener Neustadt.

    La surprise et la confusion furent grandes lorsque non seulement il fut confirmé ce que Beethoven avait dit, mais encore, avec un visible respect, ce directeur reçu chez lui Beethoven lui offrant l'hospitalité et le traita comme un invité de marque.

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    LES RELATIONS AVEC BEETHOVEN LES DERNIERES ANNEES  (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le dimanche 16 novembre 2008 17:25

     

    La vie sociale de Beethoven devenait de plus en plus difficile.  Le langage parlé, pour lui était trop lent et l'impatientait au dernier point : il fallait écrire tout ce que l'on avait à lui dire. Il s'irritait, et son habitude de regarder par dessus l'épaule de son interlocuteur ce que celui-ci écrivait avant que la phrase ne fut achevée, amenait des malentendus souvent très pénibles. Bref, des entretiens avec des personnes qui ne lui étaient pas familières lui devirent de plus en plus insupportables.

    Sans raison, il se méfiait de son entourage, de ses domestiques, de ses propriétaires, de ses secrétaires, et les exemeples de traitemnt injusqte qu'il infligeait à ceux qui étaient plus que désireux de l'aider se multipliaient.

    Très souvent, il oubliait les ordres qu'il avait donnés la veille et s'emportait violemment si on les exécutait, alors qu'il avait changé d'avis.  Sa société n'était pas des plus agréables, et tous ceux qui, ces années-là, sont demeurés auprès de lui en l'aidant de leur mieux, ont droit à une immense reconnaissance.

    Mais très souvent aussi, il se rendait compte combien il rendait la vie difficile aux autres.  En ces moments-là, il regrettait sincèrement son injustice et ses éclats de colère, et il cherchait en faisant preuve de remords touchants à se concilier ceux qu'il avait offensés. Et même en un de ces jours où il était bien disposé, il fit sa propre satire dans une petite pièce -un rondon pour piano en sol majeur - qui, j'ignore pourquoi, est connu sous le nom de " Colère à propos d'un Sou perdu".

    C'est la caricature d'un homme s'emportant pour un rien, d'un homme qu'irritent continuellement les petits ennuis de la vie quotidienne. 

    Ci-dessus le TRIO pour CLARINETTE, VIOLONCELLE et PIANO in B Flat Majeur Op.11 de Ludwig van BEETHOVEN

    Clarinet: Christopher Hill
    Cello: Dr. Karren Melik-Stepanov
    Piano: Victor Yip

     

     

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    BEETHOVEN dérange ses voisins (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le dimanche 16 novembre 2008 17:33

    Un extrait de Copiyng Beethoven où il porte des appareils pour l'aider dans sa surdité croissante mais où il dérange ses voisins.

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    SUBLIME PASSAGE où BEETHOVEN DIRIGE - Extrait du film  (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le dimanche 16 novembre 2008 17:41

     

    Sublime passage où Beethoven dirige le grand orchestre symphonique, la chorale et les interprètes solo dans cet extrait de Copying où vous reconnaissez la NEUVIEME SYMPHONIE.

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    Liste des Oeuvres : Variations de Ludwig van Beethoven  (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le samedi 04 août 2012 23:57

    Blog de colinearcenciel :BIENVENUE DANS MON MONDE MUSICAL, Liste des Oeuvres : Variations de Ludwig van Beethoven

    Variations

    Opus 34: Six variations on a theme in F major (1802)
    Opus 35: Fifteen variations and a fugue on an original theme in E-flat major ("Eroica Variations") (1802)
    Opus 76: Six variations on an original theme in D major (1809)

    Opus 120: Thirty-three variations on a waltz by Diabelli in C major ("Diabelli Variations") (1823)
    WoO 63: Nine variations for piano on a march by Ernst Christoph Dressler
    WoO 64: Six Variations on a Swiss song for piano or harp
    WoO 65: Twenty-four variations for piano on Vincenzio Righini's aria "Venni Amore"
    WoO 66: Thirteen variations for piano on the aria "Es war einmal ein alter Mann" from Carl Ditters von Dittersdorf's opera Das rote Käppchen
    WoO 67: Eight variations for piano four hands on a theme by Count Waldstein
    WoO 68: Twelve variations for piano on the "Menuet a la Vigano" from Jakob Haibel's ballet La nozza disturbate
    WoO 69: Nine variations for piano on "Quant'e piu bello" from Giovanni Paisiello's opera La Molinara
    WoO 70: Six variations for piano on "Nel cor più non mi sento" from Giovanni Paisiello's opera La Molinara
    WoO 71: Twelve variations for piano on the Russian dance from Paul Wranitzky's ballet Das Waldmädchen
    WoO 72: Eight variations for piano on "Une Fièvre Brûlante" from André Grétry's opera Richard Coeur-de-lion
    WoO 73: Ten variations for piano on "La stessa, la stessissima" from Antonio Salieri's opera Falstaff
    WoO 74: "Ich denke dein" — song with six variations for piano four hands
    WoO 75: Seven variations for piano on "Kind, willst du ruhig schlafen" from Peter Winter's opera Das unterbrochene Opferfest
    WoO 76: Eight variations for piano on "Tandeln und scherzen" from Franz Xaver Süssmayr's opera Soliman II
    WoO 77: Six easy variations on an original theme for piano
    WoO 78: Seven variations for piano on "God Save the King"
    WoO 79: Five variations for piano on "Rule Britannia"
    WoO 80: Thirty-two variations on an original theme in C minor (1806)
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    L'AMI DE BEETHOVEN  (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le dimanche 23 novembre 2008 06:29

    Blog de colinearcenciel :BIENVENUE DANS MON MONDE MUSICAL, L'AMI DE BEETHOVEN

    L'archiduc Rodolphe, second fils de l'empereur Léopold fut dévoué à  l'oeuvre de Beethoven ; il fut aussi son élève et son ami.

    Il était beaucoup plus jeune que le maître à qui il vouait une grande vénération. Il était né à Florence en 1988.

    Les liens entre les deux hommes étaient si fort que Beethoven lui dédia plusieurs de ses oeuvres dont la Missa Solemnis qui fut censurée par l'église, Beethoven était connu pour son anticléricalisme. Il ne mettait jamais les pieds à un office religieux et les prêtres n'admettait pas qu'il eût écrit une messe. Cette messe fut écrit en l'honneur de l'intronisation du prince.

    Ce fut une des dernières oeuvres connues du maître.

     

     

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    LES PARENTS DE BEETHOVEN (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le dimanche 23 novembre 2008 06:34

    Blog de colinearcenciel :BIENVENUE DANS MON MONDE MUSICAL, LES PARENTS DE BEETHOVEN

    Ici le portrait des parents de Beethoven, rappellons-nous ce père, musicien lui aussi mais combien rude et alcoolique, qui battait son fils pour qu'il apprenne ce que lui souhaitait. Car Louis eut une enfance très difficile et rude. Et puis , cette pauvre mère qui tentait d'adoucir le tout mourût trop vite, ce qui laissa le garçon dans une situation impossible. Son père, il le perdit assez vite ce qui changea la vie du Maître car il put s'épanouir autrement dans la musique dans un climat de quiétude. La rubrique qui est consacrée au maître donne beaucoup de détails concernant sa vie.

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    BAGATELLE - BEETHOVEN et GLENN GOULD  (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le lundi 22 décembre 2008 21:53

     

     

    BAGATELLE

     

     

     

     

     

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    BEETHOVEN DIRIGE  (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le lundi 22 décembre 2008 23:07

     

    Extrait de Copying

     

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    LA CINQUIEME SYMPHONIE DE MON AMOUR DE BEETHOVEN (pour le Nouvel An 2009)  (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le mercredi 31 décembre 2008 20:32

    Blog de colinearcenciel :BIENVENUE DANS MON MONDE MUSICAL, LA CINQUIEME SYMPHONIE DE MON AMOUR DE BEETHOVEN (pour le Nouvel An 2009)

     

    BONNE

    . 

    ET

    ....

     HEUREUSE

    .

     ANNEE

    .

    2009

     

     

     

    .

     LA CINQUIEME

    ................

    SYMPHONIE

    .

     

     

     

     
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    LES CITATIONS DE LUDWIG VAN BEETHOVEN  (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le dimanche 04 janvier 2009 13:00

    Blog de colinearcenciel :BIENVENUE DANS MON MONDE MUSICAL, LES CITATIONS DE LUDWIG VAN BEETHOVEN

     

    Je ne connais pas d'autres marques de supériorité chez l'homme que la bonté

                           __________

    Seul les coeurs purs font de la bonne soupe.

                                _______________

    Seul l'art et la science élèvent l'homme jusqu'à la divinité. 

                            ___________

     Bienheureux celui, qui ayant appris à triompher de toutes les passions met, son énergie dans l'accomplissement des tâches qu'imposent la vie sans s'inquiéter du résultat. 

                             ___________

    Ce qui compte dans l'effort c'est avant tout l'action, plutôt que le résultat.

                             ___________

    La musique est une révélation plus haute que toute sagesse et philosophie. 

           ♫ ¨ * ¤. ¸ ¸. ¤ * ¨ * ¤. ¸ ¸. ¸. ¤ * ¨ ¨ * ¤. ¸ ¸. ¸. ¤ * ¨ ¨ * ¤. ¸ ¸. ¤ * ¤. ¸¸ . ¤ * ¨ ¨ ♫                   ___________

    Croyez-vous que je pense à un sacré violon quand l'Esprit me parle, et que j'écris ce qu'il me dicte ?

                             ___________

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    MA PASSION POUR BEETHOVEN (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le lundi 05 janvier 2009 19:09

    Blog de colinearcenciel :BIENVENUE DANS MON MONDE MUSICAL, MA PASSION POUR BEETHOVEN

    Beethoven joue avec Mozart

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    SONATE POUR VIOLONCELLE - BEETHOVEN  (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le mardi 20 janvier 2009 08:11

    Blog de colinearcenciel :BIENVENUE DANS MON MONDE MUSICAL, SONATE POUR VIOLONCELLE - BEETHOVEN

     

     

     

     

    SONATE POUR VIOLONCELLE

    ...

    Ludwig van Beethoven

     

    ...

     

     

     

    ...

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    MESSE SOLENNELLE I - BEETHOVEN (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le vendredi 24 avril 2009 08:39

     

    Ancien enregistrement car l'orchestre et le choeur sont dirigés par Arturo Toscanini  (1867-1957) ; l'orchestre symphonique NTB.

     

     

     

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    MESSE SOLENNELLE II - BEETHOVEN (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le vendredi 24 avril 2009 08:45

     

     

     

     

     

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    MESSE SOLENNELLE III - BEETHOVEN (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le vendredi 24 avril 2009 08:47

     

     

    Le son laisse à désirer mais il est intéressant d'entendre comment Toscanini menait cet orchestre... à l'époque...

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    MESSE SOLENNELLE IV - BEETHOVEN (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le vendredi 24 avril 2009 08:49

     

     

    Je me demande si cette messe n'était pas une commande car j'y sens un peu de "fabriqué" sans mésestimer le grand Maître Beethoven qui était anticlérical. Ses symphonies sont beaucoup plus harmonieuses et cohérentes selon moi. On reconnaît néanmoins son style unique.

     

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    VERSION différente DE LA MESSE SOLENNELLE de BEETHOVEN (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le vendredi 24 avril 2009 08:52

     

    Autrement douce à l'oreille... bien qu'il y a certains passages qui me semblent mal intégré. Même impression que dans l'article précédent : Beethoven a t'il dû se contraindre ?

    Non, il s'agit de musique électronique...

    De ce fait, le rendu ne sera jamais le même.

     

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    LISTE CHRONOLOGIQUE DES OEUVRES DE BEETHOVEN III  (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le vendredi 08 mai 2009 10:16

    1790-1792

    Fragment de concerto pour violon, édité à Vienne 1879, dédicace à Gerhard von Breuning
    Fragment d'une sonate pour violon et piano en la majeur [attribution incertaine] 

    Deux mouvements de sonate en fa majeur, édité à Munich et Duisburg,1950 (facsimiles dans L. Schmidt, « Beethoven-Briefe», Berlin 1909, dédicacé à Franz Gerhard Wegeler 
    Six variations pour piano sur un chant suisse (fa majeur) pour harpe / piano, édite à Bonn 1798 ?

    1791
    [sans n° d'opus] 2 airs pour la «Schöne Schusterin» (La belle cordonnière)
    (1791 ?) Trio pour piano en mi bémol majeur, édité à Frankfurt 1830 

    1791-179

    (vers 1791-1792) Allegretto en mi bémol majeur, trio pour piano, édité à Londres 1853

    1791-1801
    12 Contredanses pour 2 violons, basse et piano (publiés à Vienne en 1802)

    1792
    [opus 44 ] [esquissé en 1792) Trio n° 11, 14 variations en mi bémol majeur sur un thème originel (piano, violon, violoncelle), édité à Leipzig en 1804
    [opus 103 ] (avant novembre 1792, révisé en 1793) Octuor en mi bémol majeur (2 hautbois, 2 clarinettes, 2 cors, 2 bassons), édité à Vienne 1830
    [opus posthume] Que le temps me dure, air en do mineur
    Allegro et Menuet en sol majeur pour 2 flûtes, édité par A. W. Thayer, « Ludwig van Beethovens Leben» (2), H. Deiters, Berlin 1901
    13 variation pour piano sur l'ariette Es war einmal ein alter Mann extrait de «Das rothe Käppchen» de Dittersdorf (la majeur), édité à Bonn 1793

    8 variations en do majeur sur un thème du comte Waldstein, pour piano à quatre mains, édité à Bonn e, 1794 

    1792-1793

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    LISTE CHRONOLOGIQUE DES OEUVRES DE BEETHOVEN IX  (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le vendredi 08 mai 2009 10:28

    1805
    [opus 32 ] An die Hoffnung: Die du so gern in heil'gen, en mi bémol majeur, voix et piano, poème de C. A. Tiedge
    [opus 52] 8 Lieder (voix piano). 1- Urians Reise um die Welt : Wenn jemand eine Reise thut (la mineur) sur un poème de M. Claudius ; 2- Feuerfarb' : Ich weiss eine Farbe (sol majeur) sur un poème de Sophie Mereau ; 3- Das Liedchen von der Ruhe : Im Arm der Liebe ruht sich's wohl (fa majeur) sur un poème de H. Wilhelm F. Ueltzen ; 4- Mailied : Wie herrlich leuchtet (la bémol majeur), Sur un poème de Goethe ; 5- Molly's Abschied: Lebe wohl, du Mann der Lust (sol majeur) sur un pème de Burger ; 6- Die Liebe : Ohne Liebe lebe wer da kann (fa majeur) sur un poème de G. E. Lessing ; 7- Marmotte : Ich komme schon durch manches Land (la mineur) sur un poème de Goethe ; 8- Das Blumchen Wunderhold : Es steht ein Blumchen irgend wo in (en sol majeur) sur un poème de Burger
    [opus 56 ] Triple concerto en do majeur (piano, violon, violoncelle et orchestre)

    1806
    [opus 59 ] 3 Quatuor pour cordes Rasumovsky n° 7 (fa majeur) ; n° 8 (mi mineur) ; n° 9 (do majeur), édité à Vienne 1806, dédicacé au comte Rasumovsky
    [opus 60 ] Symphonie n° 4 (si bémol majeur), création mars 1807, édité à Vienne 1808, dédicace comte
     Franz von Oppersdorff
    [opus 61 ] Concerto en ré majeur, pour violon et orchestre, création 23 décembre 1806, édité à Vienne 1808 ; à Londres 1810, dédicacé à Stephan von Breuning
    [opus 63 ] Sonate en mi bémol majeur (piano, violonn violoncelle ; re-utilisation du Quintette opus 4)
    [WoO 83] (vers 1906) ), 6 Ecossaises pour piano (publié à Vienne en 1807)
    [WoO 80] 32 variations sur un thème original (do mineur), édité à Vienne 1807

     

    1807
    [opus 58 ] Concerto n° 4 pour piano et orchestre (sol majeur)
    [opus 64 ] Sonate en sol majeur (violoncelle, piano ; re-utilisation trio opus 3)
    [opus 86 ] Messe en do majeur (pour 4 solistes, choeur et orchestre)
    [opus 62 ] Ouverture (do mineur) de Cariolan, tragédie de Heinrich Joseph von Collin, création mars 1807, édité à Vienne 1818, dédicace, Heinrich Joseph von Collin
    [opus 138 ] Ouverture Leonore (do majeur) première version, création 1828, édité à Vienne 1838 [voir fidelio]
    [opus 239] In questa tomba oscura (Dans cette tombe obscure), air
    [sans numéro] Arrangement de l'opus 60 en concerto pour piano, édité à Vienne 1808, dédicacé à Julie von Breuning [cadence pour le premier mouvement, 1809, deux cadences pour le final (Hess 84 & 85)]

    1807-1806
    [opus 69 ] Sonate n° 3 (la majeur) pour violoncelle et piano, édité à Leipzig en 1809, dédicacé au baron Ignaz von Gleichenstein

    1808
    [opus 68 ] Symphonie n° 6 (fa majeur) ditePastorale, création 22 décembre 1818, édité à Leipzig, 1809, dédicace au rince Lobkowitz et au comte Rasumovsky
    [opus 70 ] deux trios (piano, violon, violoncelle) n° 4 (ré majeur) Ghost Trio ; n° 5 (mi bémol majeur), édité à Leipzig 1809, dédicacé à la comtesse Marie Erdödy
    [opus 80 ] [révisé en 1809] Fantaisie chorale en do mineur ( piano, choeur; orchestre), création 22 décembre 1808, édité à LOndres 1810 ; à Leipzig 1811, dédicacé à Maximilian Joseph roi de Bavière

    1808-1810
     [WoO
     59] Bagatelle dite Für Elise en la mineur [manuscrit perdu]

    Dessin de
    Ferdinand Schnorr von Caroldfeld
    1808

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    DIE RUINEN VON ATHEN Op. 113 - Ludwig Van BEETHOVEN  (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le vendredi 15 mai 2009 23:46

     

     

     Il y a de ces musiques qui nous font monter au ciel...

    du site : mainecoon33.free.fr

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    LEONORE III OUVERTURE - Ludwig Van Beethoven  (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le vendredi 15 mai 2009 23:55

     

     

     

    Orchestre Philharmonique dirigé par

    Anthony Cofield

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    L'OUVERTURE DE FIDELIO - Ludwig Van Beethoven  (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le vendredi 15 mai 2009 23:59

     

     

     

     

     

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    LE CHRIST AU MONT DES OLIVIERS - Ludwig van BEETHOVEN  (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le jeudi 21 mai 2009 14:43

     

    ORATORIO

    Beethoven a écrit un Oratorio "Le Christ au Mont des Oliviers" Il aurait commencé cette écriture en 1800 et la termina quelques années plus tard. S'il était anticléricaliste, il avait la foi comme la plupart de tous les grands compositeurs quasi tous mystiques. Le texte de cet Oratorio fut écrit en présence de Beethoven par Hubert en 40 jours : la perfomance de Beethoven fut particulièrement remarquée à VIenne. 

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    IMMORTAL BELOVED FILM Ludwig Van BEETHOVEN  (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le mercredi 01 juillet 2009 20:40

     

     

     

     

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    LA SYMPHONIE n° 1 de LUDWIG VAN BEETHOVEN| page 905 PREMIER MOUVEMENT|  (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le vendredi 27 novembre 2009 16:20

     

     

     

    SYMPHONIE n° 1

    .

    Ludwig vaBeethoven

     

    en Ut Majeur

     

    Les symphonies de Beethoven sont prisées par tous les chefs d'orchestre du monde.

     

     

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    LA SYMPHONIE 1 de BEETHOVEN ET LA CRITIQUE DE BERLIOZ  (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le vendredi 27 novembre 2009 16:37

     

    Cette œuvre, par sa forme, par son style mélodique, par sa sobriété harmonique et son instrumentation, se distingue tout à fait des autres compositions de Beethoven qui lui ont succédé. L’auteur, en l’écrivant, est évidemment resté sous l’empire des idées de Mozart, qu’il a agrandies quelquefois, et partout ingénieusement imitées.

     

    Dans la première et la seconde partie, pourtant, on voit poindre de temps en temps quelques rythmes dont l’auteur de Don Juan a fait usage, il est vrai, mais fort rarement et d’une façon beaucoup moins saillante.

     

    Le premier allegro a pour thème une phrase de six mesures, qui, sans avoir rien de bien caractérisé en soi, devient ensuite intéressante par l’art avec lequel elle est traitée.

     

    Une mélodie épisodique lui succède, d’un style peu distingué; et, au moyen d’une demi-cadence répétée trois ou quatre fois, nous arrivons à un dessin d’instruments à vent en imitations à la quarte, qu’on est d’autant plus étonné de trouver là, qu’il avait été employé souvent déjà dans plusieurs ouvertures d’opéras français.

        L’andante contient un accompagnement de timbales piano qui paraît aujourd’hui quelque chose de fort ordinaire, mais où il faut reconnaître cependant le prélude des effets saisissants que Beethoven a produits plus tard, à l’aide de cet instrument peu ou mal employé en général par ses prédécesseurs. Ce morceau est plein de charme, le thème en est gracieux et se prête bien aux développements fugués, au moyen desquels l’auteur a su en tirer un parti si ingénieux et si piquant.

        Le scherzo est le premier né de cette famille de charmants badinages (scherzi) dont Beethoven a inventé la forme, déterminé le mouvement, et qu’il a substitués presque dans toutes ses œuvres instrumentales au menuet de Mozart et de Haydn dont le mouvement est moins rapide du double et le caractère tout différent. Celui-ci est d’une fraîcheur, d’une agilité et d’une grâce exquises. C’est la seule véritable nouveauté de cette symphonie, où l’idée poétique, si grande et si riche dans la plupart des œuvres qui ont suivi celle-ci, manque tout à fait. C’est de la musique admirablement faite, claire, vive, mais peu accentuée, froide, et quelquefois mesquine, comme dans le rondo final, par exemple, véritable enfantillage musical ; en un mot, ce n’est pas là Beethoven.

    Hector BERLIOZ

     

    Extrait du site : http://www.hberlioz.com/

     

    |SYMPHONIE n° 1 |DEUXIEME MOUVEMENT LUDWIG VAN BEETHOVEN| (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le vendredi 27 novembre 2009 16:43

     

     

    DEUXIEME MOUVEMENT

     

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    Y

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    TROISIEME MOUVEMENT - SYMPHONIE n°1 de LUDWIG VAN BEETHOVEN (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le vendredi 27 novembre 2009 17:15

     

     

     

    TROISIEME MOUVEMENT

    L'édition est dédicacée au baron Van Swieten, mélomane, ami de Wolfgang Amadeus Mozart et de Joseph Haydn, et un des premiers protecteurs de Beethoven à Vienne.

    La première représentation eut lieu le 2 avril 1800 à Vienne au Burgtheater. Bien reçue par le public, l'œuvre fut cependant critiquée pour son aspect novateur : importance des cuivres, ouverture ne débutant pas par la tonalité principale, nombreuses modulations, troisième mouvement (faussement intitulé "Menuetto") trop rapide, etc., malgré une structure très classique

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    LA SYMPHONIE n°1 AVEC HERBERT VON KARAJAN de LUDWIG VAN BEETHOVEN (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le vendredi 27 novembre 2009 17:24

    A la page précédente, vous trouverez beaucoup d'explication sur cette symphonie. Voici quels instruments sont utilisés pour cette symphonie :

     

     

    Instrumentation de la première symphonie
    Cordes
    premiers violonsseconds violonsaltos,

    violoncellescontrebasses

    Bois
    flûtes, 2 hautbois,

    clarinettes en ut, 2 bassons

    Cuivres
    cors en ut et en fa,

    trompettes en ut

    Percussions
    timbales (do & sol)

    Tableau de wikipedia

     

    et vous la trouverez interprétée par Herbert Von Karajan ici :

    http://www.youtube.com/watch?v=yvJqiURF0hc

     

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    LES QUATRE MOUVEMENTS DE LA SYMPHONIE n°1 de LUDWIG VAN BEETHOVEN|  (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le vendredi 27 novembre 2009 17:27

    La structure de cette symphonie est en quatre mouvements et elle dure environ trente minutes :

     

     

      I Adagio molto
    Allegro con brio
    - 4/4 -
    - 2/2 -
    croche = 88
    blanche = 112
    do majeur
      II Andante cantabile con moto - 3/8 - croche = 120 fa majeur
    Menuetto III Allegro molto e vivace - 3/4 - blanche pointée = 108 do majeur
    Finale IV Adagio
    Allegro molto e vivace
    - 2/4 - croche = 63
    blanche = 88
    do majeur

     

     

    .

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    DESCRIPTION DU PREMIER ET DEUXIEME MOUVEMENT  (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le vendredi 27 novembre 2009 18:09

    Blog de colinearcenciel :BIENVENUE DANS MON MONDE MUSICAL, DESCRIPTION DU PREMIER ET DEUXIEME MOUVEMENT

     I - Adagio molto – Allegro con brio

    À la manière de Haydn, il débute par une introduction lente Adagio molto de douze mesures créant une certaine ambiguïté dans la tonalité de l'œuvre. Le ton d’ut majeur n'est affirmé que dans l'Allegro con brio de forme sonateclassique. Le premier thème, impétueux et jubilatoire, contraste avec le second, plus mélodique. Le développement est très modulant, exclusivement construit sur le premier thème. La réexposition reprend les deux thèmes, le premier varié, le second textuel, mais à la tonique au lieu de la dominante. Le mouvement s'achève sur une coda assez conventionnelle.

     II - Andante cantabile con moto

    Andante cantabile con moto, ce mouvement de forme sonate reprend certains procédés de la Symphonie n° 40 de Mozart. Le premier thème de l'exposition est exploité en fugato à quatre voix. Les entrées successives sont largement espacées, ce qui donne une sensation de clarté à la polyphonie.

    Le second thème est une sorte de conséquent. Après une codetta où les timbales jouent un rôle d'ostinato, Beethoven recommandait une reprise da capo que la plupart des chefs d'orchestre occultent aujourd'hui. Le développement met en valeur de nombreuses modulations et l'ostinato rythmique.

    La réexposition est variée et se conclut par une coda, elle-même variée.

     ps : Le coda: le ou les phrase(s) qui indiquent la terminaison du récit, souvent ils ramènent le lecteur/auditeur du temps du récit au présent.

     

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