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    Fichier:Rameau par Aved.jpg

     

     

    Jean-Philippe Rameau est né à Dijon le 25 septembre 1683 et mort à Paris le 12 septembre 1764.

     

    Compositeur français, il fut théoricien de la musique.

     

    L'œuvre lyrique  de Rameau forme la plus grande partie de sa contribution musicale et marque l'apogée du classicisme français dont les canons s'opposèrent avec force à ceux de la musique italienne jusque tard au cours du XVIIIème siècle. 


    Dans ce domaine, la création la plus célèbre du compositeur est sans conteste LES INDES GALANTES, un opéra-ballet datant de 1735.

     

    Cette partie de sa production est curieusement restée oubliée pendant près de deux siècles, mais bénéficie aujourd'hui d'un mouvement de redécouverte. Ses œuvres pour clavecin,  en revanche, ont toujours été présentes au répertoire : Le Tambourin, L'Entretien des Muses, Le Rappel des Oiseaux, La Poule, entre autres pièces connues, furent jouées au XIXème siècle au piano à l'égal de Bach, Couperin ou Scarlatti. 

    Rameau est généralement considéré comme le plus grand musicien français avant le XIXe siècle  et comme le premier théoricien de l'harmonie classique : ses traités d'harmonie, malgré certaines imperfections, font toujours figure de référence.

     

    Voici un bon lien concernant Jean Philippe Rameau : http://www.francemusique.fr/personne/jean-philippe-rameau

     

    La forqueray est une des pièces importantes pour clavecin composé par J.P. Rameau.

     

     


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    HECTOR BERLIOZ

     

    Hector Berlioz est un compositeur, écrivain et critique  français, né le 11 décembre 1803 à La Côte-Saint-André (Isère) et mort le 8 mars  1869 à Paris.

    Il est considéré comme l'un des plus grands représentants du romantisme  européen, bien qu'il récusât le terme de « romantique » qui ne signifiait rien à ses yeux. Il se définissait en fait comme un compositeur classique.

    Sa musique eut la réputation de ne pas respecter les lois de l'harmonie, accusation qui ne résiste pas à une lecture approfondie de ses partitions.

    On y découvre, paradoxalement, que Berlioz respecte les fondements historiques de l'harmonie datant du XVIe siècle (règles régissant les mouvements contraires et conjoints), mais qu'il s'affranchit parfois des règles supplémentaires apparues plus tardivement et esthétiquement discutables (règles de modulation cadentielle entre autres).

     

     

     


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  • A l'âge de huit ans Frédéric est invité partout.

    C'est ainsi que Frédéric fut sollicité à aller jouer chez princes et princesses et dans les familles les plus riches.

     

    Sa maman, avait trente-six ans, elle était heureuse ainsi que Nicolas, le père de Chopin, de la grâce de leur fils et de ce don merveilleux.

    Le petit garçon habillé en veste de velours gris foncé, col blanc et bas blanc fit son entrée dans le Palais de Radziwill où allait avoir lieu une soirée de bienfaisance à Varsovie avec un public de bourgeois et d'aristocrate. Tout le monde regardait avec curiosité ce petit être aux cheveux dorés, le teint pâle et les yeux bruns rêveurs animés d'une passion mystérieuse. Frédéric ne fut pas impressionné par la foule. Il s'assied calmement sur le tabouret et commença le Concerto d'Adalbert Byrowetz, un compositeur tchèque fort en renom.

    On l'écouta dans un silence religieux. Une tempête d'applaudissement salua sa grandiose prestation où aucun adulte n'aurait pu offrir une telle interprétation ! Et l'enfant, restait d'un calme souriant assez extraordinaire.

    Lorsque l'enfant rentra à la maison, sa maman Justyna lui demanda (alors que tous les adultes et Nicolas en particulier s'exclamaient complètement ébahis et exaltés) :" dans cette soirée qu'est ce qui t'a le plus plu ?". 

    Et Frédéric de répondre :" Le col blanc que vous m'avez fait mettre, chère maman"


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    Touchée par le musicien et son âme, sa personnalité, il m'est possible de continuer à vous raconter son histoire et j'espère qu'elle sera lue avec beaucoup de plaisir.

    C'est très vite que son Professeur de musique Zywny fit savoir au tout Varsovie qu'un génie musical venait d'éclore !

    Il racontait que l'enfant se levait la nuit pour jouer, qu'il connaissait par coeur son livre d'harmonie et qu'il couvrait des pages et des pages de notes et qu'il écrivait de la musique partout même dans ses cahiers d'école ! Mais, les gens restaient sceptiques ! Alors le professeur de musique se fâcha et se munit d'un document écrit de la main de son élève : une mazurka en ré Majeur avec le tempo, les indications de rythmes et tout ce qui faisait une partition d'adulte accompli. Et cette fois, plus personne ne contesta au point que dans tous les salons de Varsovie on ne parlait plus que de Frédéric Chopin.

    Lors d'une leçon de musique où il faisait répéter à l'enfant un Haydn, on entendit toute une cavalcade et un roulement sur le pavé de la route et Zywny vit un cabriolet rutilant tiré par quatre chevaux.  Il reconnut le comte de Moriolles, l'un des aides de camp du grand duc Constantin, gouverneur de Varsovie.

    Il continua sa leçon en disant à l'enfant :"Plus velouté cet arpège mon enfant, Haydn vois-tu est comme un mathématicien qui entendrait la voix des anges...".

    La porte du salon s'ouvrit et le Comte apparut et il fut demandé illico que Frédéric se rende au palais. Nicolas son père lui recommanda d'exécuter tout ce que Son Excellence demanderait car la grande duchesse Johanna souhaite t'écouter et Zywny t'accompagnera au palais.

    La maman du petit garçon le prit pour lui mettre ses habits du dimanche avec une cravate immaculée et un petit chapeau à la main, il fut prêt à accompagner les visiteurs.

    Trois heures durant, ils restèrent là-bàs et l'enfant joua et lrosqu'il revint à la maison, il en revint comme il en était parti tout calmement mais le maître de musique était fort agité s'exclamant :"Nous sommes dans les honneurs !".

    Il expliqua que le grand Duc étant extrêmement colérique, son épouse Johanna avait trouvé remède à son mal par le biais de Frédéric qui en quelques instant le calma par sa musique ! Que celui-ci était extrêmement agité lorsqu'ils arrivèrent sur place, qu'il ne fit même pas attention à eux, qu'il gesticulait comme un homme en fureur agitant les poings en l'air et les yeux exorbités : il ressemblait à un chien enragé !"

    Il continua expliquant qu'il avait dit à Frédéric de jouer ce qu'il voulait.  L'enfant improvisa une marche militaire. Le  visage de Constantin se détendit en cinq minutes et il se mit à arpenter la salle en riant à gorge déployée !

    Cette histoire fut racontée dans tout Varsovie où l'enfant fut invité de partout où l'on écoutait et faisait de la musique.

     


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    Cello Sonata

     

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    Chopin

     

     

       Concert Chambery Elia violoncelle & Philippe Morand piano

     


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