• CONCERTO POUR PIANO

    MODERATO



    Serguie RACHAMANINOV


     

     

     

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     P O U R   P I A N O

     

    C o m p o s é  p a r  S e r g u i é

    R a c h m a n i no v

     

    Moderato

    Interprété par

    Vladimir Ashkenazy

     


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  • Description de cette image, également commentée ci-après

    20  février 1763 et, Vienne le 19 mars 1850

     

    Grâce à son père Adalbert commence à étudier la musique assez tôt, car son père était chef de choeur à la cathédrale de Budějovice (alors Budweis), avant qu'il ne rejoingne Prague pour y étudier le droit.

    Il devient ensuite secrétaire du comte Franz von Fünfkirchen à Brünn pour lequel il participe aux concerts de l'orchestre. Il compose déjà ses premières symphonies et les envoie à un éditeur. En 1785, il rejoind Vienne. Et là, il se lie d'amitié avec Mozart qui ne manque pas de l'encourager à continuer dans la composition musicale.

    De 1786 à 1793, il voyage à travers toute l'Europe. Il rencontre des sommités qui vont l'influencer dans son parcours comme Johann Wolfgang von Goethe à Rome, Ignace Pleyel et Joseph Haynd (le père de la Symphonie dit on), celui ci il le rencontrera à Londres. C'est grâce à Haydn qu'Aldabert pourra facilement faire imprimer ses symphonies par des éditeurs.

    Il retourne ensuite en Bohême en 1793. En 1804, il est promu à un poste prestigieux : celui de second maître de Chapelle au Théâtre de la Cour de Vienne. Et là, il devient l'ami de Beethoven dont il a fait la connaissance. Imaginez, Ludwig ne choisissait pas n'importe quel ami : il était très discernant et le prit donc comme ami également.

    Œuvres

    Son œuvre assez méconnue a été redécouverte par les London Mozart Players en 2000 seulement,  avec l'enregistrement des symphonies opus 6 n° 2 et 3 et opus 12 no 1. De style galant, elles se rapprochent des symphonies écrites par Joseph Haydn.

    Outre des opéras, il a également écrit un nombre important de pièces de musique de chambre, notamment pour l'éditeur parisienJean Jérôme Imbault,  qui publie ses quatuors à cordes opus 1 (qui connurent sept réimpressions en peu de temps), suivit des opus 2 et 3.

     

    Symphony in D major

    I. Adagio - Allegro
     II. Andante poco adagio
     III. Minuetto : Allegro
     IV. Presto

     

     

     

     

     


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    NOEL CHEZ L'ENFANT FREDERIC CHOPIN

    Frédéric Chopin : cette photo montre la sensibilité extraordinaire de ce compositeur tant aimé des pianistes alors qu'il fut si mal aimé durant sa vie. Son oeuvre demeure comme son âme immortellement inaltérable.

    NOEL CHEZ L'ENFANT FREDERIC CHOPIN

     

    Le 24 décembre toute la famille Chopin réunie regardait par la fenêtre guettant la première étoile, selon la tradition pour commencer officiellement les réjouissances de la naissance du Sauveur et à festoyer.

    Frédéric fut le premier à la déceler, et déjà à l'intérieur, une douzaine de bougies brûlaient et des guirlandes en papier décoraient la pièce. De grandes hosties colorées étaient suspendues au plafond et Justynia en décrocha une en disant : "Que l'an qui vient nous voit toujours réunit comme aujourd'hui !"  Puis elle donna des fragments de l'hostie à tout le monde y compris à la servante qui était dans la cuisine.

    Sous la nappe pleine de bosses se trouvaient les cadeaux. Les enfants s'exclamaient impatients de les ouvrir !

     Nicolas et son épouse avait soigneusement choisi les cadeaux pour chaque enfant : une écritoire pour Ludwika, des écheveaux de soie floche pour Emilia, un diapason et un gros cahier pour Frédéric ! 

    Les enfants eux-mêmes avaient préparé une surprise pour leurs parents et dissimulée sous la nappe, Nicolas découvrit pour lui un vieux livre de français et Judwika un châle bariolé !

    Les embrassades suivirent et tout à coup un pas lourd puis des coups violents retentirent dans la porte ! Les enfants se mirent à crier : Kriss Kling ! Kriss Kling ! tandis que Monsieur Zywny fit son apparition !

    Il avait mis une fausse barbe blanche qui le rendait méconnaissable et il était chargé d'une multitude de petits paquets qu'il distribua à tous ! Frédéric était très étonné : comment un illustre professeur peut-il donc se déguiser ?

    Nicolas, son père, pensa qu'il avait un bien étrange enfant car Frédéric, au nom de la musique était choqué qu'un illustre professeur put se déguiser de la sorte !

     

    La précocité de Frédéric était extraordinaire car il ne se bornait pas à lire les partitions difficiles mais il inventait des airs tristes et élégants et il émettait sur les gens des jugements bien au-dessus de son âge et lorsqu'il écrivait c'était avec l'orthographe et le style d'un adulte. Pour le 6 décembre, la fête de son père, il avait écrit un compliment, sans l'aide de personne, dont les mots restait gravé dans le coeur de son père Nicolas Chopin.

     

    Delacroix lui demanda ce qui établissait la logique en musique, il répond : « la fugue est comme la logique pure en musique. [...] Chacune des parties a sa marche qui, tout en s’accordant avec les autres, forme un chant et le suit parfaitement ; c’est là le contrepoint. » Et on sait le soin qu’il mettait à parfaire et à retravailler ses compositions.

     

    Mozart était, avec Bach, le seul maître dont Chopin se réclamait. Lors de ses obsèques, selon son vœu, le Requiem de Mozart, qu’il appréciait particulièrement, fut interprété intégralement par l’orchestre du conservatoire de Paris.

     

     

     


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    http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/7/76/Frederic_Chopin.jpg

     

    Nicolas le père de Chopin rétorquant à Monsieur Zywny que Frédéric avait plus de goût pour le piano, le maître de musique attira son attention en disant :"Le piano pourrait être le plus noble des instruments de musique et Varsovie l'a compris puisqu'elle est devenue la capitale du piano !".

    Nicolas lui répondit :"Oui, je sais il y a plus de trente fabricants de piano dans cette ville".

    Le professeur de musique lui ajouta qu'il y avait aussi quelques trois douzaines de  professeurs aussi ! Ce à quoi Nicolas lui rétorqua qu'il en était le meilleurs de tous et que Frédéric n'aurait pas d'autres maître que lui !

    Monsieur Zywny lui répondit qu'il ferait de son fils quelqu'un !

    La maman de Chopin Justyna intervient à ce moment en disant :"Je ne crois pas que Frédéric pourrait vivre sans piano.  Il était haut comme trois pommes qu'il cherchait déjà des airs sur le clavier : il a eu ses premières leçons à l'âge de quatre ans et puis je lui ai donné ensuite mes leçons : aujourd'hui qu'il a six ans, il en fait plus que moi et il en sait plus aussi car moi je devrai me mettre sérieusement à l'étude si je veux encore lui  apprendre quelque chose."

    Monsieur Zywny ajouta :"Je suis sûr que bientôt, il surpassera le professeur que je suis...". Il disait ces mots avec une certaine mélancolie.

    La maman de Chopin lui offrit "son" cassis qu'elle avait elle-même préparé. Et au cours de la discussion le musicien décida de commencer les leçons avec Frédéric après Noël.

    Justyna, la maman de Chopin l'invita en insistant  à faire "Kriss Kling", une fête à Noël qui consiste à se déguiser en genre de bonhomme de Noël. Et il accepta sans se faire prier.

     

     


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