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    Aller au fond de son âme constitue le voyage intérieur vers l'intermultidimensionalité : c'est là que se trouvent les trésors de notre raison d'être : c'est là où se trouve la source et notre véritable demeure et son jardin de paix.
     
    Cette demeure peut ressembler à un temple possédant ses portails vers tous les corps subtils mais pas seulement.
     
    La demeure intérieure exige d'être visitée et entretenue. Elle démontre clairement par l'état réel des lieux ce qu'il est utile de réaliser sur le chemin de Vie et ce, dans la clarté sans voile.
    Il s'agit du centre de connectivité principal utilisant les outils de chaque centre subtil et permettant leur équilibre et leur fonctionnalité dans les meilleures conditions.
     
    © Colinearcenciel
     

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  • Nous trouvons ici des documents fort intéressants sur les recherches russes en matière d'engins spatiaux. Les russes sont très disciplinés et sont obligés de l'être par le froid et la vie rude, la survivance et, n'oublions pas, les nombreuses attaques dont ils furent l'objet durant des siècles. Peuples courageux, ils ont vaincu Napoléon, Hitler au prix de grands sacrifices. Les recherches russes en matière spatiale commencèrent très tôt comme vous pourrez l'entendre.

     

     

     

     

     

    Narrer toute une histoire vaste, complexe parfois, dans ce domaine, n'est pas une spécialité pour moi, cependant, nous aimons à connaître la vérité sur divers sujets et nous n'aimons pas le mensonge. Tant de personnes parlent de contacts directs, tant de témoignages ne peuvent en aucun cas être banalisés d'autant que nous sommes concernés. Personnellement, je pense que la spiritualité a plus d'importance et le fait de s'y attacher pourrait fortement en cas de "phénomènes ovni" ou de rencontres, nous aider en nous attachant à l'essentiel. C'est pourquoi une reliance existe entre tous les articles postés même si actuellement, cet espace demeure encore fort incomplet. On ne sait rattrapper dix années radiées sur internet en quelques mois. Mais, il est sur que j'ai retrouvé des pages entières de l'espace précédent ce qui aidera pas la suite à compléter celui ci et mon site en cours de construction.

    Je pense utile d'ajouter ce document ci après afin d'avoir une vue plus globale des recherches russes en matière d'aviation et de conquête spatiale.

    Nous ne développerons pas plus en ce moment ce post mais nous y reviendrons de manière plus détaillée par la suite : ici il s'agit de globalité édifiante.

    Bonne écoute, chers lecteurs et n'hésitez pas à laisser un commentaire. Bon dimanche à vous.


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  • Nous revenons sur ce sujet car il apparaît important quant à la manière de traiter des faits dont les gouvernements ne souhaitent pas informer les pays pourtant concernés par ces affaires puisque ces faits existent depuis des milliers d'années et font partie intégrante de notre histoire.

    Donald Menzel a travaillé pour la CIA et l’US Air Force. Il était aussi consultant à la NSA (National Security Agency).

    Astronome distingué, il a écrit 3 livres dont l’objectif était de banaliser et de minimiser le phénomène OVNI. Il apparaît dans la liste des 12 membres du comité du MJ-12, un groupe de sécurité nationale composé de scientifiques de haut niveau censés coordonner les recherches et maintenir le secret absolu sur le problème des ovnis (puisque ceux-ci sont bien sûr d’origine extraterrestre, on l’aura compris). Ce comité secret n’a vraisemblablement jamais existé. Le faux document du MJ-12 fut créé pour discréditer la recherche ufologique et plus particulièrement certains chercheurs tels que William Moore et Stanton Friedman. Un canular aussi sophistiqué ne pouvait être que l’œuvre d’une agence d’État.

    Le " contacté " Howard Menger a reconnu avoir été sponsorisé par la CIA pour raconter une fable dans son livre " The enemy within " et participer ainsi à une action d’intoxication [LDLN N° 307 p. 37].

    Todd Zechel, ancien membre des services de renseignement.

    Il fut directeur de recherche du GSW (Ground Saucer Watch) qui semble être à l’origine de " l’hypothèse fédérale " stipulant que c’est bien l’armée américaine qui serait volontairement à l’origine du phénomène OVNI [EA96 p. 59 et 66]. Ainsi, Todd Zechel serait " l’exception qui confirme la règle " ! On peut à ce propos regretter que l’" l’hypothèse fédérale " soit toujours restée si confidentielle et que les médias ne l’évoquent jamais.
     

    Dans le même registre, Generso Pope qui fut propriétaire du " National Enquirer " est un ancien membre de la CIA. Il faisait partie de l’équipe " Covert Action ", un service de propagande et de désinformation. C’est sans doute pourquoi son journal " n’hésita pas à verser des sommes astronomiques pour obtenir les histoires d’ovnis les plus exotiques et les plus sensationnelles " [EA96 p. 67].

    Voici ce qu’écrivait Jacques Vallée en 1990 à propos de cette grande manipulation : " Je suis ainsi amené à cette conclusion que ceux-là mêmes qui affirment d’une voix si forte dévoiler le camouflage peuvent très bien être ceux qui justement le fabriquent. Quelqu’un se donne beaucoup de mal pour nous convaincre de l’existence des extraterrestres au détriment d’autres hypothèses qui pourraient se révéler plus importantes et permettre d’élucider le phénomène OVNI. " [JV90b p. 233].

    Il est clair que si l’armée fait la promotion des escrocs et encourage toute sorte de fantasmes sur les ovnis, elle n'aura aucun mal à tenir à l’écart de ce sujet sulfureux les scientifiques qui seraient tentés de s’y intéresser, ce qui lui permettra de poursuivre ses opérations sans être inquiétée. Source : ICI

     

    Dans les diverses pérégrinations sur la toile voici que je découvre un discours du Président Vladimir Poutine à Munich où il stipule que tous savent que la guerre des étoiles est bien existante. Voici la partie centrale des trois vidéos où il en parle.

    Pour des raisons intéressantes, les trois documents de ce discours sont très édifiant quant au contenu dont parle Vladimir Poutine pour le monde entier.

    Néanmoins, nous avons posté un article sur les déclarations de son premier ministres sur l'existence d'extraterrestres : confirmées, celle ci doivent demeurer secrète sinon les gens paniqueraient dit il, car il y en aurait beaucoup sur terre.

    D'autres faits et d'autres informations viendrons encore à ce sujet car il n'est pas des moindres. Et, nous allons nous pencher sur l'avancement spacial de la Russie car, elle fut la première à photographier la face cachée de la lune. Nous y revenons dans l'article suivant.

     


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  • XX

    Une partie du texte a été volontairement non repris. Mais, il est évident qu'un tel livre mérite d'être près de soi en papier afin de pouvoir relire certains passages. (page 277)

     

    3.4. L’attaque du village par quatre mille cavaliers. - La prière de Jésus. - La barrière miraculeuse. - Les bandits s’entre-tuent. 

    Sauvetage des blessés Le lendemain matin nous avions repris goût au travail, toute crainte ayant été bannie de nos pensées. Le surlendemain nous étions en train d’étudier certaines images sculptées dans les rochers du ravin quand notre attention fut attirée sur la sentinelle du village.

    Celle-ci se tenait de l’autre côté du ravin à une altitude un peu supérieure à la nôtre, ce qui lui donnait une vue beaucoup plus étendue sur le pays.

    Nos jumelles nous permirent de voir que l’homme faisait des signaux au village.

    Nous aperçûmes bientôt les villageois courant en tous sens et cherchant évidemment un abri dans les gorges profondes des solitudes montagneuses. Ils faisaient tous montre d’une agitation extrême. En prêtant l’oreille, nous pûmes entendre le tonnerre lointain de la horde des bandits qui s’avançait. L’un de nous grimpa un peu plus haut pour avoir un meilleur aperçu de la situation. Il nous appela en disant qu’il pouvait voir le nuage de poussière soulevé par les cavaliers dans leur avance vers l’entrée du ravin.

    Nous cachâmes nos affaires dans une crevasse du voisinage, rejoignîmes notre camarade, et trouvâmes un abri dans les escarpements rocheux d’où nous pouvions observer les mouvements de la horde. Elle s’arrêta à l’entrée du ravin.

    Cinquante cavaliers partirent en avant-garde, puis toute la bande remonta le ravin dans un galop éperdu, cravachant et éperonnant les chevaux. Le fracas des sabots heurtant le sol rocheux joint aux clameurs de défi formait un tintamarre indescriptible.

    Même si les circonstances n’avaient pas été aussi tragiques, le spectacle de cette grande masse de cavaliers se ruant en avant aurait suffi pour inspirer la terreur. Nous occupions une position très avantageuse, car les parois du ravin étaient presque à pic.

    Nous pouvions regarder vers le bas et observer la horde de brigands dans leur poussée semblable à la force irrésistible d’un raz de marée. L’avant-garde avait dépassé nos positions, et les cavaliers de tête de la masse principale avançaient rapidement.

     

    Nous tournâmes nos jumelles vers le village et remarquâmes que la panique s’emparait des habitants. Nous vîmes également un de nos camarades sur le balcon du temple. Il cessa de travailler pour observer la bande qui avançait. Puis il se retourna et regarda vers la porte qui conduisait, à la salle centrale du Temple.

    Jésus sortit par cette porte et vint sur le balcon. Il avança directement jusqu’au bord et se tint immobile un instant, campé dans une pose sculpturale d’un équilibre admirable. Toutes nos jumelles étaient naturellement centrées sur lui. Le balcon se trouvait à cinq kilomètres de notre cachette et à environ trois cents mètres plus haut. Nous comprîmes instantanément qu’il était en train de parler, et ses paroles nous parvinrent clairement et distinctement au bout de quelques secondes. Notre camarade qui était sur le balcon s’assit pour prendre des notes sténographiques. J’en fis autant. Un rapprochement ultérieur nous permit de constater que les paroles de Jésus avaient nettement dominé le tumulte de la horde en mouvement. Cependant, nous apprîmes qu’il n’avait pas élevé la voix au-dessus de son timbre normal, ni modifié sa bonne articulation habituelle. Dès que Jésus se mit à parler, tous les habitants du village recouvrèrent un calme parfait.

    30. Une prière en pleine bataille selon Baird Spalding (réalité ou oubli ?)

     

    Voici, revues par lui-même, les paroles qu’il prononça. Mon souhait le plus cher est de ne pas les oublier, dussé-je vivre dix mille ans.

     

    La lumière Tandis que je me tiens seul dans ton grand silence, Dieu mon Père, une lumière pure flamboie dans mon sein et emplit de son grand rayonnement chaque atome de mon corps. La Vie, l’Amour, la Force, la Pureté, la Beauté et la Perfection dominent en moi de toute leur puissance. Tandis que je regarde au cœur même de cette lumière, j’en vois une autre - liquide, douce, d’un blanc doré, et radieusement claire - qui absorbe, nourrit, et irradie le feu caressant de la plus grande lumière. Je sais maintenant que je suis Dieu, ne faisant qu’un avec tout l’univers de Dieu. Je murmure à Dieu mon Père, et rien ne me trouble.

    (page 279)

    Calme dans le silence.

    Cependant, dans ce silence complet règne la plus grande activité de Dieu.

    À nouveau rien ne me trouble, et le silence complet m’entoure de tous côtés. Le rayonnement de la lumière s’étend maintenant au vaste univers de Dieu, et je sais que la vie consciente est partout. Je répète sans crainte que je suis Dieu. Je suis silencieux et n’ai pas peur. J’élève le Christ bien haut en moi-même et je chante les louanges de Dieu.

    L’inspiration fredonne dans la tonalité de ma musique. La Grande Mère chante une vie nouvelle, de plus en plus haut en moi-même. Plus fort et plus clairement chaque jour, l’inspiration élève ma pensée consciente jusqu’à la mettre à l’unisson du rythme de Dieu.

    À nouveau j’élève bien haut le Christ, et je prête une oreille attentive à la joyeuse musique. L’harmonie est ma clef, et Dieu est le thème de mon chant.

    Il scelle mon cantique du sceau de la vérité. Voici, je suis né de nouveau, un Christ est là Dieu mon Père, je suis libre avec la grande lumière de ton Esprit. Ton sceau est placé sur mon front. J’accepte. : Je tiens ta lumière haute, Dieu mon Père. À nouveau, j’accepte.

    Quand Jésus cessa de parler, un rayon éblouissant de pure lumière blanche jaillit de son plexus solaire vers le ravin et toucha le sol à un endroit où la gorge faisait un tournant brusque vers la gauche, juste en avant du premier groupe des cavaliers de tête.

    Un grand barrage semblable à une muraille de pierre s’éleva instantanément au point de contact. Il en sortit de longs dards semblables à des flèches de feu. Les montures de tête s’arrêtèrent si brutalement dans leur folle course en avant qu’elles désarçonnèrent un grand nombre de cavaliers. Beaucoup de chevaux restèrent quelque temps cabrés sur leurs pieds de derrière, puis firent volte-face et foncèrent le mors aux dents vers l’aval du ravin, en sens inverse du gros de la bande. Quand ils en approchèrent, les cavaliers qui n’avaient pas été désarçonnés s’efforcèrent, mais en vain, de reprendre en main leurs chevaux emballés. Ils se heurtèrent en même temps que les chevaux sans cavaliers à la masse principale des brigands, ce qui brisa l’élan des premiers rangs.

    Les rangs suivants, ne réalisant pas le danger, arrivèrent au galop dans cette confusion, et le ravin offrit l’aspect d une masse grouillante et désordonnée d’hommes et de chevaux. Pendant un instant, il y eut un calme de mort troublé seulement par les hurlements sauvages des hommes épouvantés et les hennissements des chevaux emballés. Puis une scène terrible se produisit à l’endroit où la ruée forcenée de l’avant-garde revenant sur ses pas s’était heurtée aux rangs avancés de la bande.

    Les chevaux sans cavaliers, entièrement libres de leurs mouvements, avaient foncé dans la masse et désarçonné par leurs bonds effrénés un grand nombre d’autres cavaliers dont les montures, emballées à leur tour, ajoutèrent à la confusion.

    Celles-ci commencèrent à ruer, à plonger, et à hurler comme seuls peuvent le faire des animaux muets dans un moment de folle épouvante. Puis la mêlée s’étendit à toute la horde massée dans le ravin en dessous de nous. Tout à coup nous vîmes des hommes dégainer leurs courts sabres de bataille et frapper sauvagement dans tous les sens.

    D’autres saisirent leurs armes à feu et commencèrent à tirer sur les hommes et les chevaux pour se frayer un chemin et s’enfuir. L’ensemble se transforma bientôt en une bataille pour la survie des plus forts. Elle se termina par une folle ruée vers les espaces libres de ceux qui eurent la chance d’échapper à la boucherie. Ils laissèrent le ravin rempli d’un monceau d’hommes et de chevaux morts ou blessés.

    Nous nous hâtâmes de descendre pour apporter toute l’aide possible aux blessés.

    Tous les habitants et nos amis se joignirent à nous. Des messagers furent envoyés au loin dans toutes les directions pour demander assistance. Nous travaillâmes fébrilement toute la nuit et jusqu’après le lever du soleil le lendemain matin.

    Jésus et nos amis prenaient les blessés en main à mesure que nous pouvions les retirer de cette masse affreuse et inextricable.

    Quand nous eûmes pris soin du dernier homme vivant, nous retournâmes à l’auberge pour le petit déjeuner. En entrant, nous trouvâmes à notre grande surprise le Bandit Noir en conversation avec Émile. Jusque-là, nous n’avions pas été conscients de la présence d’Émile. Il surprit notre regard d’étonnement et dit : Nous en reparlerons plus tard.(page 280)

     

    Après le repas, nous sortîmes avec Thomas qui nous dit qu’Émile et lui avaient trouvé le Bandit Noir sérieusement blessé et incapable de bouger, car il était pris sous son cheval. Ils l’avaient dégagé et emporté vers un abri provisoire où ils l’avaient installé aussi confortablement que possible.

    Puis ils avaient appelé notre, hôtesse et avaient confié le bandit à ses bons soins. Quand ses plaies furent pansées, il la pria de demander à son Dieu s’il voulait bien lui montrer ce qu’il fallait faire pour lui ressembler. Il demanda également à notre hôtesse de lui apprendre à prier.

    Elle lui demanda s’il désirait recouvrer la santé. Il répondit : « Oui, je veux vous ressembler entièrement. » Elle répliqua : « Maintenant que tu as demandé la santé, ta prière a reçu une réponse. Tu es tout à fait bien portant. » L’homme tomba alors dans un profond assoupissement.

    À minuit, ses blessures s’étaient complètement fermées et il n’en restait pas la moindre cicatrice. Thomas pût le constater en faisant sa ronde. L’homme se leva, s’habilla, et s’offrit pour apporter ses soins aux rescapés.

    Nous vîmes également se rétablir complètement un grand nombre d’hommes que nous estimions voués à glisser dans les grandes ténèbres.

    Certains se crispaient de terreur à l’approche de nos amis au point qu’il devint indispensable de les séparer des autres. Quand le travail de sauvetage fut achevé, le Bandit Noir circula parmi ses compagnons blessés en faisant l’impossible pour calmer leur frayeur.

    Beaucoup ressemblaient à des animaux pris au piège, craignant une mort affreuse dans les tortures, car telle était dans ce pays la sentence répressive contre les bandits que l’on capturait. Cette idée était tellement ancrée dans leur cerveau qu’ils ne réagissaient à aucune des bontés qu’on leur prodiguait. Ils craignaient que nos efforts pour rétablir leur santé ne fussent destinés qu’à nous permettre de les torturer plus longtemps.

    Finalement ils furent tous guéris, bien qu’un petit nombre eût traîné pendant des mois dans l’espoir non dissimulé de reculer le jour de leur torture. Quelque temps après, le Bandit Noir réunit tous les anciens blessés qui voulurent se joindre à lui et forma une troupe de protection contre les raids éventuels. Il amena aussi beaucoup d’habitants à se joindre à cette unité. (page 281)

     

    Nous fûmes informés plus tard qu’à partir de ce jour les bandes de brigands n’avaient jamais plus essayé de piller cette région. Deux détachements de notre expédition traversèrent (page 282) ultérieurement ce territoire sur leur chemin vers le désert de Gobi.

    Le Bandit Noir et ses acolytes les accompagnèrent pour les protéger dans leur district et le district voisin, sur sept cents kilomètres au moins, et aucun d’eux ne voulut accepter une rémunération quelconque pour ce service. Nous entendîmes encore souvent parler du Bandit Noir. Il avait développé une grande puissance bienfaisante dans toute la région, et consacrait généreusement toute sa vie à la population sans jamais se faire payer. (page 277 à 282)

     

    Remarque : Ce récit me semble de mémoire défaillante, que s'est t'il donc réellement passé... Jamais une telle prière n'aurait été dite par Jésus Christ dans sa deuxième partie... Interférence de souvenirs ? Mais comment ne pas être plus précis dans de tels souvenirs et surtout l'écrit en sténo dactylo ? Celui ci aurait du reprendre littéralement et mot pour mot la prière de Jésus durant la bataille des brigands. De plus, le Christ avait il une nécessité à prier tout haut et longuement à un tel moment ?

    La bataille semble si bruyante et violente, tumultueuse... Pourquoi aurait il dû prier de cette prière longue en un tel moment ? Rien ne démontre une action directe comme durant sa vie terrestre ... Ce passage réveille en moi un questionnement et non un tourment mais un doute quant à la véracité des faits décrits et de l'attitude de Jésus Christ durant ces faits et ses paroles semblant décalées des faits en cours au moment où se déroule une bataille meurtrière... "Dans le doute abstiens toi dit on". Je resterai dans le doute même si la prière du Christ selon l'auteur, aurait été dite à ces moments de tourments dans cette vallée... N'a t'il pas confondu, par défaut de mémoire, cette prière à d'autres circonstances ? Ceci est bien la question que je me pose, sans prétention aucune mais par déduction : cette prière ne s'adapte aucunement aux circonstances et cette idée ne me quittera pas.  Mon seul but est de comprendre ce qui est compréhensible et logique car, dans ce domaine subtil, reste tout de même une logique fondamentale d'Harmonie véritable et non de détachement insensible.Jésus le Christ Est le plus Humble des Humbles, il parle de Dieu en tant que père.S'il s'adresse à vous,il ne dira jamais :"Je suis Dieu" ou "J'élève bien haut le Christ" car il n'a pas besoin d'élever bien haut le Christ car il est Christ et parmi les Christ,le Christ cosmique et universel. Ce n'est pas une question de croyances.

    Ici il s'agit d'un récit de faits qui semblent avoir été vécu. L'ensemble de "la vie des maîtres" apportent des lumières de vérité, des lueurs dans le cheminement. Chacun est responsable de sa propre vie intérieure et de son discernement.

    ©Colinearcenciel.


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    Thérèse d'Ávila, par François Gérard,  1827

    " Tu étais avec moi et je n’étais pas avec toi ; elles me retenaient loin de toi, ces choses qui pourtant, si elles n’existaient pas en toi, n’existeraient pas ! Tu as appelé, tu as crié et tu as brisé ma surdité ; tu as brillé, tu as resplendi et tu as dissipé ma cécité ; tu as embaumé, j’ai respiré et haletant j’aspire à toi ; j’ai goûté, et j’ai faim et j’ai soif ; tu m’as touché et je me suis enflammé pour ta paix". 
    Thérèse d'Avila, carmélite et sainte espagnole

    "Rien de mauvais ne peut vous approcher quand vous vous tenez sur la Montagne Sainte, unis à Dieu.

    Il ne s’agit plus d’un privilège spécial à quelques-uns, mais d’une possibilité pour tous.

    JE SUIS est la grande cause absolue, la source dans laquelle tous les enfants sont unis à Dieu.

    Ils vivent alors sous LA LOI, sous le régime de la pensée active vibrant au rythme le plus élevé.

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    Remarque : Le terme "Je suis" m'a toujours semblé inadéquat dans le cas de l'Union ou ce que l'on peut appellé le Samadhi ou, dans la religion catholique, prôné par Thérèse d'Avila, voire expliqué, avec correction de "ses confesseurs" dans son livre "Le château intérieur" elle utilise le terme "Oraison" où la carmélite invite à entrer dans le château intérieur conçu avec plusieurs chambres dont celle du roi (le Christ).L'ouvrage en soi est remarquable mais ardu avec le langage d'époque. Pour les personnes ayant une expérience poussée de la Méditation ; certains passages semblent arrièrés ou trainant en longueur l'entraînement à la pratique par des critiques assez vives et parfois pertinentes sur la femme en particulier (les novices carmélitaines ou carmélitaines) dans leur pratique et réaction. Cependant, bien après mais bien avant, la méditation fut expliquée en Indes et dans certains pays lointain en Asie avec des techniques plus directes.

    De nos jours, "La biographie d'un yogi" par l'auteur Paramahamsa Yogananda, donne une clé essentielle à cette pratique en développant d'autres, au travers du kryia yoga authentique. Hélà, les gourous par la suite, se prétendant de la lignée pure de ce Saint Indous, en firent grand commerce n'ayant quant à eux, aucun savoir véritable de pratique de cet enseignement subtil, simple et adressé déjà à des personnes ayant des aptitudes et un bon équilibre mental pour cette pratique souveraine.

    Paramahamsa Yogananda était un être profondément sincère et pur. Bien sûr, son savoir tendit à l'intégrer dans des groupes et à le faire voyager afin d'extraire le maximum de données et il dû être bien déçu de la mondanité autour de ce sujet. Il mourut assez jeune en 1952 année de ma naissance.La relève fut bien difficile et s'écroula via de faux gourous attirés par le faste, la vénalité qui les habitaient. Cependant, rien ne se perd et quoi qu'il se passe, la tradition se perpétue de ci et de là. Ce yogi entrait en état de samadhi, il était un bakti de par ses vénérations et il est certain qu'il ne révéla pas tous ses secrets car il avait compris à quel point, les intentions n'étaient pas toujours les meilleures en cette matière.

    Pourquoi le terme "Je Suis" ne convient pas, selon mon expérience, c'est que nous sommes créatures investis de capacités augmentées de celle de Dieu et peu à peu reçue au fur et à mesure et l'humilité nous oblige à ne jamais surpassé Dieu en osant dire :"Je Suis". Nous sommes dignes ou peu capables. Même celui arrivant à l'état de Samadhi ne s'exclamera jamais :"Je Suis". Le Christ Jésus lui même s'adressait au Père. Et contrairement à ce qui est enseigné, le Père conduit en premier l'âme pourvu que l'on soit conscient de ce qu'Il Est.

    L'humilité, un facteur primordial, une qualité haute, vitale, essentielle. 

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     "L'homme s'identifie faussement à sa forme physique parce que les courants de vie de l'âme sont drainés par le souffle vers la chair, et ceci avec une intensité telle que l'homme prend l'effet pour la cause, et commet le sacrilège de croire que le corps possède une vie propre".

     
    Paramahamsa Yogananda, yogi et saint indou

     

    Mukunda Lal Gosh, Indes (5 janvier 1893 - 7 mars1952) Los Angeles USA Shri Yuskteswar fut son gourou

    Description de l'image Sriyukteswar.jpg.

     

    EXTRAIT du Livre des maîtres

     

    On peut transformer le pouvoir de Dieu et l’envoyer au-dehors avec une puissance irrésistible. Tels sont les rayons de lumière que vous voyez émaner de mon corps. Le vôtre en irradie également, mais pas d’aussi puissants. À mesure que vous continuerez à user de ce pouvoir et à l’associer à la Loi ou Principe, vous augmenterez la puissance de votre lumière, et vous pourrez là diriger consciemment vers l’accomplissement de tout bon désir. Quand les artistes me représentent à Gethsémani, ils font descendre du ciel sur moi les rayons lumineux qui émanaient en réalité de mon corps. Cette lumière est le pouvoir de Dieu engendré intérieurement en moi, puis projeté été au-dehors par mon réflecteur. Or, des rayons semblables émanent de tous les corps quand l’intéressé se présente comme Dieu dans son héritage divin : le Christ de Dieu ne faisant qu’un avec tous.

     

    274

     

    Vous restez doux et humbles, désireux de vous conformer à la pure lumière de Dieu qui est vie, amour, pureté, et beauté, éternels et profonds. Le corps contient sept centres utilisables comme réflecteurs. On peut les faire flamboyer d’une lumière bien plus intense que n’importe quel rayonnement artificiel. Quand on veut émettre cette lumière, celle-ci brille d’un éclat plus puissant et possède une portée plus grande que n’importe quelle émission électrique. Si l’on fait flamboyer les sept centres en même temps, on est complètement entouré d’une armure impénétrable. Le corps brille d’un éclat bien supérieur à celui du soleil de midi.

    "On se tient devant le Seigneur de la Création, l’Éternel des Armées. Dieu trône dans votre corps qui est alors magnifique, spirituel et divin....".

    Mon esprit et mon coeur doute de ce passage du livre des maîtres...

    (Expériences probablement vécue de B. T. Spalding et "interprétées ce qui ne leur confèrent pas autorité de vérité ! Je dirai prudence ! Car nous sortons d'une réalité exposée par le Christ Jésus lui même ! Aussi ce passage de cette page ne sera pas mis ici... )page 275

     

     

    Sur ces entrefaits, nous fûmes informés qu’un messager approchait du village. Nous allâmes à sa rencontre. Il nous informa que les brigands avaient cessé leur pillage et campaient paisiblement à trente-cinq kilomètres de la Croix en « T ». Depuis l’appel au secours des habitants, ils avaient cessé d’attenter à leurs vies et à leurs biens, mais, dans l’éventualité d’une résistance par la force, ils conservaient les prisonniers comme otages. D’après le messager, le bruit courait que la bande attaquerait notre village le lendemain ou le surlendemain si le trésor ne lui était pas remis. Il apportait aussi des salutations de la part des prisonniers.

    Tous les habitants avaient offert leur vie pour la protection du village, mais on informa le messager que ce sacrifice ne serait pas nécessaire. Il fut invité à retourner chez lui avec les remerciements et la profonde reconnaissance des villageois pour ses efforts en vue de la sauvegarde commune. (page 276)


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