• Le IIIème oeil

    Je suis un Tibétain, l'un des rares individus de ma race à être parvenus jusqu'à ce monde étrange qu'est l'Occident. La composition et le style de ce livre laissent beaucoup à désirer : On ne m'a jamais donné de véritables leçons d'anglais (1). Ma seule « école » a été un camp de prisonniers japonais ; des malades, des femmes britanniques et américaines, prisonnières comme moi, m'ont enseigné leur langue ; j'ai appris de mon mieux. Pour ce qui est d'écrire l'anglais, j'ai procédé par tâtonnements. Mon pays bien-aimé est actuellement occupé par les troupes communistes : la prophétie est accomplie. C'est uniquement pour cette raison que j'ai déguisé mon nom et celui de mes relations. J'ai beaucoup lutté contre les communistes et je sais ce que mes amis auront à subir si mon identité peut être établie. Je connais aussi par expérience personnelle la puissance de la torture. Tel n'est pas cependant le sujet de ce livre, consacré à un pays pacifique si longtemps méconnu et présenté sous un faux jour.

    LE TROISIEME OEIL de Lobsang Rampa

    https://www.lobsangrampa.org/books/fr/Le-Troisi%C3%A8me-Oeil.pdf

     

    DANS LA LUMIERE de Lobsang RAMPA

    ftp://www.jacquesfortier.com/RampaTestament20Debut36p.pdf

    La première fois que j’ai rencontré Lobsang Rampa, c’était à Londres, en 1954, avant qu’il n’écrive Le troisième œil et qu’il ne devienne célèbre dans le monde entier. A l’époque je vivais au cœur de Londres avec mon mari et nos deux jeunes enfants dans une jolie maison de style Régence sur Bayswater Road, face à l’entrée Nord des Jardins de Kensington, qui partent du coin de Hyde Park et s’étendent jusqu’à Notting Hill Gate. Lobsang Rampa s’appelait alors Dr Carl Ku’an, et il me raconta plus tard que la première fois qu’il me vit, ce fut un jour où je faillis l’écraser dans la rue Kensington Church. Je n’ai absolument aucun souvenir de cet incident où il faillit perdre la vie ; je ne l’ai tout simplement pas vu. A cette époque il était parfaitement possible de traverser Londres à toute allure, et c’est ainsi que je conduisais ma petite voiture.

    A lire

     

    Aftp://www.jacquesfortier.com/RampaTestament20Debut36p.pdf

     

    LIEN ci-dessous

    Lobsang RAMPA

     

     


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    Survint sur la planète bleue l'immense inondation, reprise en d'autres écrits beaucoup plus tard. Dès lors, le Seigneur prit la forme d'un poisson en protégeant le vaisseau transportant Vaivasvata Manu. Il est à remarquer qu'à la fin de chaque ère de Manu survient une immense inondation. Celle dont il est question est confirmée par l'appui d'écritures sanskrites faisant autorité : il s'agit du Visnu-djarùpttara; du Märkandeya Puräna et du Harisvamsa et d'autres manuscrits.

    Le Seigneur apparût à cette époque afin d'offrir une faveur spéciale à son dévôt Satyavarata.

    Voilà ce que nous explique le Verset XV du Sri Bhagavatam. Ces faits se passèrent en l'ère de Cäksusa.

    L'avatara-Poisson.

    l'apparition de Dieu, la Personne Suprême, en tant que poisson, ainsi que la manière dont Maharaja Satyavrata fut sauvé du déluge.

    Dieu, la Personne Suprême, manifeste des émanations de Sa personne dites svamsas (Ses émanations personnelles) et vibhinnamsas (les êtres vivants). Comme le déclare la Bhagavad-gita (4.8): paritranaya sadhunam vinasaya ca duskrtam —le Seigneur Suprême apparaît sur cette planète afin de protéger les sadhus, ou bhaktas, et d'anéantir les mécréants, ou abhaktas. Il descend tout particulièrement pour donner protection aux vaches, aux brahmanas, aux devas, aux bhaktas et à la religion védique. Ainsi Il apparaît sous diverses Formes —comme un poisson, comme un sanglier, en tant que Nrsimhadeva, en tant que Vamanadeva...—, mais quelle que soit Sa Forme ou Sa manifestation, bien qu'Il pénètre dans l'atmosphère où règnent les modes de la nature matérielle, Il n'est pas touché par ceux-ci. Voilà bien la marque de Sa suprématie. Bien qu'Il pénètre dans l'atmosphère matérielle, maya ne peut L'atteindre; c'est pourquoi on ne peut Lui attribuer de caractéristiques matérielles à quelque niveau que ce soit.

    A la fin du précédent kalpa, un asura du nom d'Hayagriva voulut dérober le savoir védique à Brahma au moment de l'annihilation. Dieu, la Personne Suprême, Se manifesta alors sous la forme d'un poisson au début de l'ère de Svayambhuva Manu et sauva les Vedas.

    Durant le règne de Caksusa Manu vivait un grand et saint roi du nom de Satyavrata. Afin de le sauver, le Seigneur apparut une seconde fois sous la forme d'un poisson. Le roi Satyavrata, devint plus tard le fils du deva du Soleil et porta alors le nom de Sraddhadeva. Dieu, la Personne Suprême, lui attribua le poste de Manu.

    Afin de recevoir la grâce du Seigneur, le roi Satyavrata entreprit l'austérité de subsister en ne buvant que de l'eau. Un jour, tandis qu'il accomplissait cette austérité sur la rive de la Krtamala et offrait des oblations d'eau dans le creux de ses mains, il trouva un petit poisson qui implora sa protection, lui demandant de Le mettre en lieu sûr.

    Bien que ne sachant pas que ce petit poisson était le Seigneur Suprême en personne, en tant que roi il Lui donna asile et Le mit dans un pot à eau. Le poisson, étant Dieu, la Personne Suprême, voulait montrer Sa puissance au roi, et Il fit aussitôt grandir Son Corps de telle façon qu'Il ne pouvait plus être conservé dans le récipient. Le roi mit alors le poisson dans un grand puits, qui se révéla aussi trop petit. Il Le mit ensuite dans un lac, mais ce lac ne convint pas non plus.

    Finalement, il Le mit dans la mer, qui ne put pas davantage Le contenir. Le roi comprit alors que ce poisson n'était autre que le Seigneur Souverain, et il Lui demanda de lui expliquer Son apparition en tant que poisson.

    Dieu, la Personne Suprême, satisfait du roi, l'informa que l'univers entier serait inondé moins d'une semaine plus tard et que l'avatara-Poisson le prendrait sous Sa protection ainsi que les rsis, les plantes, les graines et les autres êtres vivants, dans un bateau qui serait attaché à Sa corne.

     

    Après avoir prononcé ces paroles, le Seigneur disparut. Le roi Satyavrata offrit son hommage respectueux au Seigneur Souverain et continua de méditer sur Lui. En temps voulu, l'annihilation survint, et le roi vit un bateau s'approcher. Etant monté à bord avec de sages brahmanas et des personnes saintes, il offrit des prières d'adoration à Dieu, la Personne Suprême. Le Seigneur, situé dans le coeur de chacun, communiqua à Maharaja Satyavrata et aux saints personnages la connaissance védique du fond de leur coeur. Le roi prit ensuite naissance en tant que Vaivasvata Manu, dont parle la Bhagavad-gita. Vivasvan manave praha: le deva du Soleil enseigna la science de la Bhagavad-gita à son fils, Manu; ce Manu est connu sous le nom de Vaivasvata Manu car il est le fils de Vivasvan.

    La onzième manifestation de Dieu se fit sous la forme d'une tortue. Sa carapace servit de support à la colline Mandara comme barette à l'usage des devas et des assuras. C'est ce que nous conte le Verset XV du Sri Bhagavatam. Car les devas et les assuras de l'univers souhaitèrent baratter l'océan de lait pour en faire sortir un nectar qui, bu par eux, leur donnerait l'immortalité. Ils utilisèrent alors comme instrument de barattage la colline Mandara, plongée dans l'océan et supportée en guise de pivot, par la carapace de l'avatara Tortue. Ce que nous raconte le Verset XVI, chapitre 2.

    En des temps très anciens vivaient des tortues géantes appellée la tortue lion et aussi appellée l'Ancienne par les esprits et qui fut le plus grand animal connu du monde. Sous l'ère de Raava, les tortues lions peuplaient le monde physique, où elles servaient de protectrices de l'humanité en hébergeant les cités humaines sur leur dos. Comme les symboles sur leurs fronts l'indiquaient, les tortues lions montraient une affinité pour l'une des quatre maîtrises et possédaient la capacité de donner le pouvoir de contrôler l'élément spécifique qu'elles pouvaient attribuer.

    Voici des fragments du Mahabharata traduits en français ici

    Matsya le poisson

    Manu, l'ancêtre des hommes, trouva un jour dans l'eau de ses ablutions un tout petit poisson. Celui ci lui demanda sa protection et lui promit de le sauver d'un déluge proche. Le poisson grandit tant et tant que seul l'océan pût le contenir. Manu y vit alors l'incarnation de Vishnu. Le dieu lui demanda de construire un navire qui pourrait contenir un couple de chaque espèce, animal et végétal.

    Lorsque le déluge arriva, le poisson mena l'embarcation en lieu sûr. Sous l'eau, il combattit le démon Hayagrîva qui avait volé les Védas à Brahmâ endormi, à la fin d'un kalpa.

      

    Kurma la tortue

    Lors du déluge, plusieurs objets précieux furent perdus au fond de l'océan. Les dieux utilisèrent le serpent Ananta comme corde et la montagne lente Mandara comme manche pour baratter la mer de lait. Quand la montagne menaça de s'enfoncer dans l'océan, Vishnu s'incarna en Kurma la tortue. Il plongea et supporta avec sa carapace la montagne. De la mer de lait sortirent les objets et personnes suivantes : 

    - Kamadhenu  la vache d'abondance,

    - Varuni ou Sura la déesse du vin,

    - Parijata, l'arbre céleste qui accomplit chaque désir,

    - Rambha qui devint le géniteur de tous les Asparas,

    - Chandra la Lune, Vishnu en orna son front,

    - Dhanwantri, le médecin de dieux,

    - Amrita, le nectar d'immortalité,

    - Airavat, l'éléphant qui devint la monture d'Indra,

    - Uchchaisravas, le cheval blanc à queue noire qui devint la monture du démon Bali,

    - Shankha, la conque, un des attributs de Vishnu,

    - Soma, la boisson préférée des dieux,

    - un poison Vish. Pour la sécurité de tous, Shiva avala le poison, ce qui lui laissa une tâche bleue sur la gorge. C'est pourquoi il est appelé le dieu à la gorge bleue,

    - Lakshmi  la déesse de la fortune.

    Maharaja Satyavrata

    Au sujet de ces narrations de l'histoire des avataras poisson Matsya  et la tortue Kurma

    Au sujet de la tortue, remarquons la révélation de tortues géantes existantes dans l'univers. Nous constatons deux histoires différentes l'une à propos du lait et l'immortalité et l'autre sur le rôle du poisson à protéger Manu et toutes les espèces d'êtres vivant sur la planète bleue au moment où l'un des déluges envahissent toutes les terres.

    Dieu cette fois ne prend pas une forme humanoïde mais celle d'un poisson agissant matériellement pour sauver les espèces terrestres. Pour Lui toutes ces espèces ont une importance vitale dans sa création. Les êtres divins peuvent également prendre forme en différentes espèces, l'Esprit dominant créateur, capable de toutes possibilités infinies se cachent sous diverses formes intelligentes. Ainsi la Nature possède en chaque espèce une parcelle de la nature divine pourrait on en conclure ce qui n'est guère le cas, puisque des forces contraires détruisent la création divine et la falsifie. Aucune explication est donnée quant à ces phases de déluges survenues au cours des âges. Il est spécifié qu'il y eut plusieurs déluges en différentes ères. Les Védas révèlent que Dieu prend forme en un être humanoïde ou animal ; ces données nous affirment aussi l'existence de planètes matérielles et de planètes spirituelles. Dieu accorde une importance précieuse aux objets de sa création : celle ci, selon les Védas, est totalement sous contrôle de Dieu voyant toutes ses créatures agir et appréciant la dévotion et la reconnaissance de certaines de ses créatures. D'autres font fi de l'existence de créature d'un créateur et profite de la matière oubliant leur source de vie. e

    Sur le plan scientifique, il n'est évoqué qu'un seul déluge. 

    Dans leur livre publié en 1998, Ryan et Pitman formulent l’hypothèse suivante :
    « A l’origine, il y avait à l’emplacement de l’actuelle Mer Noire, une dépression au fond de laquelle se trouvait un grand lac d’eau douce ».

    Il y a environ 12 000 ans, un réchauffement de la planète mettait fin à l’âge glaciaire. La fonte des glaces provoqua une montée du niveau de la mer.
    Selon les auteurs américains, c’est une cataracte d’eau salée qui se précipita dans l’ancien lac « avec la puissance de 200 chutes du Niagara ».

    Du temps des dinosaures, existaient bien d'autres espèces géantes. Il est totalement imaginable que des êtres utilisèrent leur carapace pour s'abriter, en faire leur habitat ou leur village. Ces versets ne nous donnent aucun élément précis sinon que des êtres divins peuvent apparaître sous forme d'animaux, sous d'autres formes que celles d'humanoïdes ce qui est très intéressant. Pour les être sensibles, les rishis pourvus de dons de télépathie et autres permettant d'accéder à des connaissances de par leur expérience au travers des vies dans différentes dimensions, il existe en effet d'autres formes de vie voyageant de l'espace à la terre. La terre n'étant pas le centre de l'univers. Diverses civilisations vivent sur d'autres planètes et nous visitent, restent dans ce monde un certain temps et voyagent facilement sur d'autres planètes. Ils mettent très peu de temps, utilisant des procédés auxquel les humains n'ont pas accès sauf certains qui  resteront discrets.

    Ainsi, où peuvent t'ils demeurer discrets ces habitants d'autres mondes afin de ne pas attirer les regards et la curiosité ? Ils ont des capacités que les humains n'imaginent pas dont la télépathie existente aussi chez certains humanoïdes. Rappellons, le livre de Baird Spalding "La vie des maîtres" où l'équipe de scientifique découvre sous terre au début du XXème siècle, des constructions remarquables, des lumières et des machines qu'ils n'ont jamais vu. Ils rencontrent également "les maîtres" (ce livre se trouve dans la rubrique Livre PDF). Ce livre fut écrit pas l'auteur bien des années après l'expédition si bien qu'il en tire des théories de pratiques spirituelles et "magiques" (terme qui ne convient pas exactement) qu'il exprime à sa façon et selon sa mémoire. Cette expérience, paraissant tellement irréaliste, est pourtant possible. En effet, des êtres ont des capacités étonnantes de communication. Nous aurons certainement d'autres renseignements au cours de la suite de notre lecture.

    L'avancement de ces maîtres au cours de l'aventure extraordinaire que vécu Baird Spalding, l'équipe se rendit compte des capacités fantastiques de ces êtres.

    Ainsi l'on peut se demander avec raison, si les planètes évoluées, communiquant aisément avec la terre et y voyageant, observant ce qu'il se passe sur cette planète-ci, n'ont pas le désir d'apprendre à ceux qui ont les oreilles ouvertes et le coeur ouvert à la bonté et à la paix, permettant l'ouverture à des connaissances subtiles et édifiantes.

    Selon certaines déclarations, des races extraterrestres seraient entrées en contact avec certains gouvernements proposant leur aide. Celle-ci fut refusée. Cependant, ces êtres évolués et extrêmement subtils et avancés n'en sont pas restés là. Ils ne se sont pas imposés. Cependant, ils ont remarqué ce qu'ils pouvaient faire au travers des êtres sensibles et télépathes, doués de dons exceptionnels et les ont contacté. D'autres, dès leur naissance ou renaissance (vies antérieures) connaissent l'existence de plusieurs espèces avancées ou inoffensives. Ainsi de nombreux saints savaient et ne se sont pas totalement livrés (connaissant le mensonge et l'avidité de tant et tant y compris dans les dominations religieuses et sectaires) et les ennemis du bien et de la bonté. Nous n'approfondissons pas ici ces données. Nous faisons simplement remarquer que nous sommes visités par des êtres très avancés et discernants. Certains se rendent totalement invisibles d'autres pas. Dans les deux extrêmes de la bonté et de la méchanceté, les capacités de dons sont partagés.

    Mais les êtres supérieurs en Bonté sont doués de plus de capacités permettant d'éviter des pièges des malins n'obtenant pas ces capacités. Les rapports de force sur la planète bleue sont importants. Aucun rapport de forces sur ces autres dimensions car ils ont compris que ce type de rapport n'étaient pas bon et qu'ils n'en sont plus là depuis bien longtemps. Ils considèrent les habitants de la terre comme très peu évolués.

    C'est ainsi que le Christ cosmique, universel avait affirmé que ce monde était dominé par le mal. Et nous a mis en garde, tout en donnant des clés et en ouvrant les cieux.

    Pour aller directement au but au sujet de ces versets : le message de Dieu s'incarnant sous forme animale démontre que celle-ci est loin d'être négligeable : toutes formes de vie mérite notre respect, car la vie est sacrée. L'intelligence et le labeur, les qualités morales de certaines espèces animales dépassent largement celles des humains. Si le Kryia yoga utilise le mantra HAMSA signifiant le "cygne", nul hasard à cela. Le poisson et la tortue ont aussi une signification symbolique. A nous de méditer sur les merveilles de la création et des possibilités offertes par le Créateur tout Amour et Bonté pour l'humanité et l'Univers.

    Lisez cet article, sans doute pour certains, il sera familier, pour d'autres fantastiques . Il arrive que je complète certains articles sur les pages précédentes lorsque cela s'avère édifiant.

    Bonne lecture cher lecteur, merci de votre passage.

    ©Colinearcenciel

     

     

     

     


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    Ennio Morricone,compositeur et chef d'orchestre, producteur est né le 10 novembre 1928 à Rome en Italie.

    Réputé pour ses musiques de films pour son ami et camarade de classe Sergio Leone. Son fils Andréa Morricone est également compositeur. Sa carrière s'étendit sur près d'un demi siècle. Depuis les années 1960 en ont fait une personnalité des plus influentes du cinéma italien et mondial

    Ennio Morricone est le fils aîné de Mario Morricone, trompettiste de jazz dans des orchestres, et de Libera Ridolfi, femme au foyer qui lui donne quatre frères et sœurs Adriana, Aldo, Maria et Franca.

    Son père qui le sensibilise à la musique dès ses premières années l'inscrit à l'Académie nationale de Sainte Cécile de Rome. Il fut élève de Goffredo Petrassi et obtient un diplôme de trompette en 1946.  Il obtient ensuiteles diplômes de composition, d'instrumentation et de direction d'orchestre en 1954 et début dans la musique classique et expérimentale dès 1953. Cette année là, il compose son premier arrangement professionnel pour une série d'émissions radiophoniques.

    En1956, il se marie à Maria Travia qui lui donne trois fils (dontAndréa Morricone  qui deviendra compositeur et son assistant) et une fille.

    Il écrit sa première œuvre classique en 1957, mais les bénéfices sont trop faibles pour lui permettre de vivre de son œuvre. Il est alors embauché à la RAI  en 1958, mais démissionne après un seul jour de travail. Sans abandonner la musique classique, il se tourne vers une musique plus populaire en écrivant de nombreux arrangements  pour la télévision et des chansons. Ces travaux le font connaitre et apprécier par des artistes divers, y compris par des réalisateurs qui font appel à lui à partir de 1960. Il débute donc avec des compositions de musique de film, après des arrangements et des travaux pour d'autres musiciens chevronnés, officiellement à partir de 1960.

    Il fait quelques incursions dans le domaine de la chanson  en composant et dirigeant deux albums consacrés à une diva de la chanson mondiale : sa compatriote Milva avec l'album Dedicato A Milva Da Ennio Morricone en 1968, et à la chanteuse française Mireille Mathieu avec un album en 1974 Mireillle Mathieu chante Ennio Morricone en 1974.

    En 1971, Marc Gilbert, lui demande l'autorisation d'utiliser la musique du film A l'aube du cinquième jour, pour le générique de l'émission. Illustrée par un dessin animé de Jean Michel Folon, elle servira dès lors de référence sur le service public.

    Le compositeur de bandes originales

    Il obtient une renommée internationale en étant auteur de muisques pour Bernardo Bertolucci, Pier Paolo Pasolini, Dario Argento ou Marco Bellocchio, il acquiert une renommée internationale et la reconnaissance quasi immédiate de ses pairs surtout avec Sergio Leone et la partition Pour une poignée de dollars. Réitérant avec succès sa collaboration avec Leone, pour des classiques comme Le Bon, la Brute et le Truand ou il était une fois dans l'ouest qui obtiennent un triomphe discographique sans précédent, ou encore avec Il était une fois la révolution.  Morricone poursuit également son travail dans des domaines de plus en plus divers, touchant à tous les genres.

    Son style fait de nervosité et de lyrisme est maintes fois imité tout en s' inspirant également l'univers des variétés au cours des années 1960, 1970 et 1980. Le succès discographique accompagne par ailleurs souvent ses œuvres, comme la chanson Here's to you que chante Joan Baez pour Secco et Vanzetti ou le fameux Chi Mai qui rythme Le Professionnel (un chef d'oeuvre également) avec Jean Paul Belmondo Il compose par ailleurs la bande originale de succès tels que Le clan des Siciliens  en 1969. Les moissons du ciel, le Pré, il était une fois l'Amérique, ou encore Mission pour lequel il est nommé aux Oscars. Dans les années 2000, il compose notamment pour la télévision italienne (Padre Pio en 2001, Cefalonia en 2005).

    C'est un musicien infatigable et inclassable, son style éclectique allie mysticisme, sensibilité, poésie, force et lyrisme. Il est récompensé à de nombreuses reprises durant sa carrière :BAFTA de la meilleure musique de film en 1987, plusieurs Nastri D'argento, cinq nominations aux Oscars, trois Golden Globes, un Grammy Award et un Lion d'or du Festival de Venise. Il est également distingué par des titres honorifiques : le président italien Carlo Azeglio Ciampi  lui décerne la Medaglia di prima Classe di Benemerito dell'Arte e della Cultura en 2000, et le président françaisNicolas Sarkozy le fait Chevalier de la Légion d'honneur en 2009.

    Durant la 79 cérémonie des Oscars  en 2007, il est récompensé par un Oscar d'honneur pour l'ensemble de sa carrière.

    En 2015, il est révélé qu'il composera la bande originale du film Les Huit Salopards de Quentin Tarantino, qui est grand fan de ses compositions qu'il réutilisait souvent pour ses films. C'est un retour au western pour le compositeur après un arrêt de 40 ans. Cette composition lui vaut une sixième nomination aux Oscars qu'il remportera pour la première fois à l'âge de 87 ans.

    LA MUSIQUE ABSOLUE D'ENNIO MORRICONE 

    Sa musica assoluta, terme utilisé par le compositeur pour désigner sa musique de concert (en réaction à la musica applicata, appliquée à un sujet, par exemple le scénario d'un film) débute en 1946. En 1965 il intègre le groupe d'improvisation et de composition avant-gardiste Nuovo Consonanza.

    Il compose un nombre important de pièces de musique de chambre et pour orchestre, tels que Concerto pour orchestre en 1957, Concerto pour flûte et violoncelle en 1983, Cantate pour l'Europe en 1988, ou encore Voci del Silenzio en 2002 (œuvre chorale dirigée notamment par Riccardo Muti au festival de Ravenne. En 1991 il dédie son concerto pour trompette Ut (1991) au trompettiste soliste Mauro Maur, un de ses musiciens préférés. De 2012 à 2015, il compose une messe intitulée Missa Papae Francisci. Dédiée au papeFrançois,  elle est écrite à l’occasion du bicentenaire du rétablissement de la Compagnie de Jésus.  

    Le chef d'orchestre

     
    Ennio Morricone au Siège des Nations Unies 

    À partir de 2001, il ralentit son activité cinématographique et renoue avec la direction orchestrale. Il entame une tournée musicale avec des dates européennes à Vérone, Paris, Londres au Royal Albert Hall en 2003  puis dans le monde entier. Il se produit principalement à la tête de l'Orchestre de la radio italienne ou de l'orchestre Roma Sinfonietta  accompagné d'une centaine de choristes, dirigeant des morceaux tirés de ses compositions pour des films à succès tels Mission ou Cinéma Paradiso, ou pour des films moins connus tels Maléna, Vatel ou ceux de Roberto Faenza. 

    En 2004, il enregistre un disque avec le violoncelliste Yo Yo Ma contenant ses thèmes à succès. Le 2 février 2007, il dirige l'orchestre Roma Sinfonietta pour un concert auSiège des Nations Unies   célébrant la prise de fonctions du secrétaire général Ban Kin moon.Lors d'un concert dédié à la mémoire de Jean Paul II en 2007 à Cracovie,  il interprète avec ce même orchestre un oratorio basé sur un texte et un poème de l'ancien souverain pontife.

    Son œuvre

    Ennio Morricone a composé la musique de plus de 500 films et programmes télévisés, et vendu plus de 70 millions de disques dans le monde tous genres confondus.
     
    Pour une poignée de dollars
     

     

     
    Clint Eastwood dans "Pour une poignée de dollars.

    Seulement trois ans après ses débuts pour le cinéma, Morricone rencontre un succès international lors de sa première collaboration avec Sergio Leone. Ce western spaghetti  est signé sous le pseudonyme Dan Savio, nom qu'il reprendra (avec Leo Nichols) par la suite dans les années soixante (certains producteurs de ce genre de cinéma voulant faire croire à des films américains).

    La musique du générique d'ouverture est née de la volonté du compositeur de reproduire une atmosphère de vie quotidienne à la campagne, de nature archaïque dominée par l'homme. Le thème principal est lui inspiré de la mélodie d'une chanson de marins composée pour la télévision, sur laquelle la trompette recrée l'atmosphère militaire mexicaine que Leone avait en tête : ce dernier demandait à l'origine une reprise du thème Deguello de Rio Bravo composé par Dimitri Tiomkin (utilisée comme musique temporaire lors du montage).

    L'expérimentation musicale du compositeur se traduit ici de plusieurs manières, d'une part, par l'utilisation musicale de bruits (le sifflement et le fouet représentant la campagne pour le citadin, la cloche la ville pour le campagnard), aussi, par la combinaison de sons de la nature, de celui de la guitare électrique et de celui de l'orchestre, enfin, par la contribution narrative de la partition (elle aide ainsi à définir les personnages, à appuyer l'opposition entre l'Homme sans nom (Clint Eastwood)  et son antagoniste (Gian Maria Volonté).

    L'oiseau au plumage de cristal (1970)

     L'attrait de Morricone pour l'atonalité trouve ici un canevas idéal dans la vision abstraite, d'avant-garde du réalisateur : ainsi, les moments dramatiques et traumatiques de ce thriller horrifique permettent un anti-conventionalisme de la musique, utilisé jusque-là (et surtout à cette époque) dans la musique expérimentale de concert. Ces moments sont mis en valeur par la présence de séquences à compositions tonales, plus "traditionnelles", et par l'utilisation du silence.

    La technique du recording  est utilisée de façon créative pour la première fois par le compositeur grâce à l'enregistrement multi-pistes sur bande magnétique. Chacune des 16 pistes est alors dédiée à la captation de motifs quasi similaires se succédant de façon aléatoire

     

     
    Sergio Léone durant le tournage du film en 1984.

    Ce film est l'ultime collaboration (et la plus aboutie) entre Ennio Morricone et Sergio Leone, qui mourra cinq ans plus tard d'une crise cardiaque. Le compositeur, se basant sur le scénario (et sur des thèmes composés mais non utilisés pour un film de Franco Zeffirelli, écrit et enregistre la musique avant même le tournage du film. Leone, comme dans Il était une fois dans l'Ouest l'utilise sur le tournage à la manière des musiciens de plateau des années 1920 pour aider les acteurs à trouver les émotions adéquates.

    La partition se veut discrète et empreinte de nostalgie : le film étant basé sur des alternances entre les époques , la musique établit un lien temporel. De plus, les thèmes musicaux (Poverty, Deborah, Cockeye et Friendship) sont réutilisés plusieurs fois lors de scènes complètement différentes, créant ainsi des atmosphères diverses tout au long du film. Il est à noter l'utilisation de la flûte de pan (jouée par le virtuose Gheorghe Zamfir  pour le thème de Cockeye) qui n'est pas sans rappeler celle de l'harmonica dans Il était une fois dans l'Ouest. Edda Dell'Orso, soprano du thème principal de ce même film, prête ici sa voix pour le thème de Deborah.

    La scène : Noodles (Robert de Niro)  visite l'endroit d'où il espionnait Deborah s'entraînant à la danse. Le thème de la jeune fille intervient alors, mais rapidement la mélodie dAmapola (chanson populaire espagnole) se fait entendre, ce qui plonge le personnage dans ses souvenirs. Sans aucun dialogue, la scène démontre leur amour impossible… comme dans la chanson.

    Récompenses

    Le 26 février 2016, il obtient son étoile sur le Hollywood Walk of Fame  (2 574e étoile). Quelques jours plus tard, en remportant lOscar de la meilleure musique de film pour les Huit Salopards, il devient à l'âge de 87 ans le plus vieux récipiendaire de toute l'histoire des Oscars.  


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  • L'histoire fantastique de Georges Adamski

     

    George Adamski est né en Pologne le 17 avril 1891 et il décèda  le 23 mai 1985 d'une crise cardiaque à Silver Springs, dans le Maryland aux Etats Unis. Il fut célèbre car il déclara avoit été contacté par des extraterrestres de Vénus. Troublante révélation du fait que de nos jours, beaucoup de phénomènes ovnis et apparitions se produisent partout dans le monde.

     Il prétendit avoir rencontré, en novembre 1952, un Vénusien, du nom d'Orthon, près de Desert Center en Californie. Cette rencontre et celles qui suivirent lui inspirèrent des livres qui furent des succès de librairie en Occident : Flying Saucers Have Landed (co-écrit avec Desmond Leslie) en 1953 (Les soucoupes volantes ont atterri, 1954), Inside the Space Ships en 1955 (À l'intérieur des vaisseaux de l'espace, 1979) et Flying Saucers Farewell en 1961 (L'Adieu aux soucoupes, 1985).

    Autodidacte et enseignant les lois universelles lors de conférences, il s'intéresse à l'astronomiie et plus particulièrement au phénomène ovni. Il prend plusieurs photographies de soucoupes volantes à l'aide d'un télescope. À partir de 1952, il prétend avoir été contacté par un occupant d'un de ces engins, qu'il décrit ainsi :

    « L'homme ressemblait à tout autre homme, et j'ai remarqué qu'il était relativement plus petit que moi et considérablement plus jeune. [...] Alors pour la première fois j'ai vraiment réalisé que j'étais en présence d'un homme de l'espace — un humain d'un autre monde ! La beauté de son apparence dépassait tout ce que j'avais pu voir. Et l'aspect avenant de son visage me libéra de toute pensée personnelle. Je me sentais comme un petit enfant en présence de quelqu'un doté d'une grande intelligence et de beaucoup d'amour, et je devins très humble par rapport à moi-même... de lui émanait le sentiment d'une compréhension et d'une gentillesse infinie, avec une humilité absolue. »

    Adamski rencontrera plusieurs fois cet « homme », Orthon le Vénusien, qui l'emmènera faire un tour à bord de son véhicule et lui délivrera des messages de paix, se disant préoccupé par les essais nucléaires pratiqués aux États-Unis.

    Dans les années 1950, on sait de Vénus  peu de choses car la planète est constamment enveloppée de nuages. On imagine une atmosphère très humide, des forêts peuplées de grands reptiles et la possibilité d'une vie humaine, vision qui ne sera abandonnée qu'en 1978 après l'atterrissage de la sonde Pioneer 2 sur le sol vénusien et l'indication d'une température de quelque 450 °C.

    En 1955, les propos d'Adamski sont repris par Charlotte Blodget dans Inside the space ships, livre où sont mentionnées les « lucioles de l'espace » (particules scintillantes autour des cabines spatiales) et ce qui serait les ceintures de Van Allen.

    Dès 1959, Adamski est plagié par un certain Howard Menger qui affirme, dans un livre traduit ultérieurement en français sous le titre Mes amis les hommes de l'espace, avoir été lui aussi sur Vénus et même avoir épousé une Vénusienne4.

    Le 31 mai 1963, Adamski prétendra avoir rencontré le pape Jean XXIII  dans sa chambre, au Vatican, et l'avoir trouvé en bonne forme, alors qu'en fait ce dernier agonisait d'un cancer au dernier stade. Le pape mourut d'ailleurs trois jours plus tard, le 3 juin.

    Une fondation George Adamski a été créée en 1965 à Vista, en Californie, par sa fille.

    George Adamski, de ses premières interventions jusqu'à aujourd'hui, n'a cessé de diviser les clans ufologues.

    Pour certains, il ne fait aucun doute qu'il était véritablement en contact avec les extraterrestres. Ils citent par exemple ses rencontres avec des personnages importants comme le président Kennedy, la reine des Pays Bas Juliana ou le pape Jean XXIII.

    À les en croire, ce dernier lui aurait remis une haute distinction honorifique vaticane. Les pro-Adamski déclarent aussi que certaines des conversations qu'il aurait eues avec son émissaire extraterrestre décrivent des phénomènes que la science n'avait pas démontrés à l'époque, comme les ceintures de Van Allen ou les images holographiques (déjà bel et bien existante depuis le début des années septante.

    D'un autre côté, les anti-Adamski décrivent ce dernier comme un mystificateur habile. En fait, il n'a jamais décrit les ceintures de Van Allen ; dans son livre Inside The Space Ships, il a simplement parlé d'une zone de pollution radioactive artificielle, consécutive à nos essais nucléaires, qui aurait entouré la Terre. Sa rencontre avec le pape ne serait qu'une supercherie, ce dernier étant agonisant sur son lit de mort au moment de la prétendue rencontre. La médaille honorifique qu'il aurait reçue ne serait en fait qu'une médaille vendue dans le commerce. Adamski a sous-entendu qu'il avait rencontré Kennedy, mais il n'a jamais osé clairement l'affirmer. Ses photographies sont des trucages avérés réalisés à l'aide d'une maquette dont la partie principale était une lampe à gaz.

    En définitive, si pour certains il est « Le premier homme de l’espace », le major Edward Keyhoe  le qualifiera d'« opérateur de stand de hamburger », relayant la pensée générale de la plupart des scientifiques ufologues, pour qui Adamski aura fait grand tort à leurs études, ses mystifications participant grandement à discréditer leur discipline.

    Pourtant, de nos jours, beaucoup décrivent avoir vu des soucoupes argentées comme lui, d'immenses tubes dans le ciel et des apparitions d'êtres d'une grande beauté arrivant à se matérialiser en certaines occasions tandis que le clairvoyant peut aussi voir leurs émanation du corps astral aussi facilement : la matérialisation étant beaucoup plus impressionnantes ainsi que la douceur et la beauté de ces êtres. Voici comme vous le verrez dans le document vidéo ce qui est écrit à son sujet.

    L'histoire fantastique de Georges Adamski

    Et le document vidéo ci après.

    Rien en soi ne semble négatif dans le fait que ces révélations se soient faites tandis que tant de gens n'osent pas encore de nos jours exprimer publiquement le fait qu'ils sont des contactés soit par dautres dimensions, bien qu'il est su, de par la vie des saints qu'ils virent des anges avec ou sans ailes, et de multiples révélations de rencontres d'autres types de personnages humanoïdes ou non humanoïdes.

    LE LIVRE DE DZYAN LES STANCES DE DZYAN Il ne s’agit pas du "Livre de Dzyan" des Théosophes de Mme H.P.B., qui fut inspiré des mythes hindous et/ou du "Livre des Préceptes d'Or", mais plustôt d'un ouvrage plus vieux, plus court, connu en chinois comme : Shu tsu i an Yale — Shu dzu i an Pingyin — Shu zu yi an. La légende rapporte que les six premiers chapitres sont antérieurs à la Terre elle-même . Il fut traduit en guwen chinois et commenté en permanence par les sorciers et les chamans. Des livres dans la langue originelle existèrent en même temps que les transcriptions en chinois dans les grandes bibliothèques royales et régionales. Des exemplaires complets disparurent durant le siècle du Bûcher des Livres . Le seul exemplaire «originel» encore existant fut découvert vers 595 ap. J.C., dans un site funéraire volontairement effacé, dans une grotte découverte par hasard par des marchands près de la frontière actuelle du Tibet, à Sinkiang. Des avertissements étaient gravés tout autour de la grotte, en chinois et dans plusieurs autres langues, à qui voulait les entendre, de laisser ce qu’il trouvait en place et de quitter les lieux. Des marchands qui pillèrent la tombe furent trouvés peu après démembrés là, leurs membres éparpillés sur le flanc de la montagne avec le reste du butin. Un exemplaire impérial du "Livre de Dzyan" (identifié par ses marques et ses sceaux) et deux transcriptions du XIIIe siècle furent finalement retrouvées en Angleterre en 1902 par un missionnaire excentrique qui déclara les avoir obtenu alors qu’ils étaient dans un obscur monastère de la moderne Sinkiang (Xinjiang).

    Les savants considèrent qu’il s’agit de l’information la plus large disponible sur le cycle du Mythe de Cthulhu. Il y est même inclus: «...l’arrière-plan nébuleux des entités transgalactiques qui se cachent sur des planètes infinitésimales ... y installant des avant-postes, et repoussant à l’occasion d’autres formes accidentelles de vie ... pour occuper totalement les lieux... »

    Chaque volume mesure approximativement 50 centimètres sur 31, et consiste en un ensemble de tablettes de bambou, renfermant chacune 40 caractères chinois, 60 points en relief, 50 glyphes et 11 lignes d’une langue qui préfigure le sanscrit (le Senzar). Les tablettes de bambou sont reliées à l’aide de fils de soie noire. Chaque reliure comprend quatre volumes contenant le texte complet. Chaque volume est recouvert d’un matériau fin, en apparence de la soie, mais qu’une inspection plus minutieuse ne peut identifier. Le tout est, pour finir, relié ensemble par des lanières de peau animale. http://www.oeildusphinx.com/bum5_exlibris.html dont voici un extrait :

    "

    Avec certaines subtiles différences, le langage est le même pour tous les fragments et éclats de pierre et d’argile. Après la découverte de la clé majeure du langage, ils ont tous été traduits, en des lieux et des époques divers (Voir plus loin : Le Livre de Dyzan p. 27). Mais dans le cas des Manuscrits Pnakotiques, les clés pour leur traduction ont pour l’essentiel été perdues.
    L’intégralité de la plupart de ces textes ont été produits. Les traducteurs ont buté non seulement sur la langue, mais également sur le fait que les concepts contenus dans les documents sont obscurs ou totalement incompréhensibles, voire scientifiquement impossibles. Les lectures proposées sont donc souvent réfutées sur-le-champ par de respectables érudits. Les savants des premières générations ont considéré que beaucoup des informations contenues dans les textes étaient irréligieuses, blasphématoires, et si hautement fantastiques qu’ils ont simplement échoué à comprendre leur signification. Ils ont mal traduit les textes et dilués leurs travaux dans des considérations religieuses et moralistes, obscurcissant davantage les recherches.
    En ce qui concerne le contenu, tous les textes ont trait aux activités d’entités non humaines qui ont évolué, envahi ou colonisé la Terre avant l’évolution des humains. Les descriptions, inscriptions et les idées contenues dans les textes furent par conséquent considérées comme des créations de mythes par tous ceux qui les ont étudié.
    En outre — inutile de le dire — tous les textes sont anonymes.
    Voici encore un extrait sur ce livre mystérieux :
     « Livre pour Interpréter les Caractères Ecrits Secrets » ou « Livre de Caractères pour                Interpréter les Secrets »

                  Anonyme ; fragmentaire ; jamais publié en Occident ; reproduit à de nombreuses reprises.

    Historique :

    Il s’agit d’un texte ancien, bien connu en Chine depuis peut-être des millénaires. La légende rapporte que les six premiers chapitres sont antérieurs à la Terre elle-même . Il fut traduit en guwen chinois  et commenté en permanence par les sorciers et les chamans. Des livres dans la langue originelle existèrent en même temps que les transcriptions en chinois dans les grandes bibliothèques royales et régionales. Des exemplaires complets disparurent durant le siècle du Bûcher des Livres . Le seul exemplaire « originel » encore existant fut découvert vers 595 ap. J.C., dans un site funéraire volontairement effacé, dans une grotte découverte par hasard par des marchands près de la frontière actuelle du Tibet, à Sinkiang.

    L’accès à la grotte renfermant la tombe était orné de glyphes semblables à ceux trouvés sur les Fragments d’Eltdown et de G’harne. La tombe elle-même est ornée d’une configuration en relief, à cinq points, qu’on a élucidé depuis comme en relation avec le « Signe Ancien ». La tombe était occupée par le squelette difforme d’un individu identifié, par des documents et des objets trouvés dans d’autres parties de la grotte, comme étant un chaman tristement célèbre qui pratiquait des rites interdits à l’encontre d’un seigneur local. Le seigneur survécut pour voir le shaman exécuté et enterré avec ses livres et ses attirails. Des avertissements étaient gravés tout autour de la grotte, en chinois et dans plusieurs autres langues, à qui voulait les entendre, de laisser ce qu’il trouvait en place et de quitter les lieux.

    La grotte fut connue mais évitée durant des siècles par les ermites, les bandits et les pâtres locaux. Les marchands qui pillèrent la tombe furent trouvés peu après démembrés là, leurs membres éparpillés sur le flanc de la montagne avec les livres et le reste du butin.
    On retrouva par hasard le livre dans la bibliothèque du prince de Shu, vers 600 ap. J.C.(sous la dynastie Sui), et il fut le seul à disparaître lorsque le prince, accusé de pratiquer la magie noire, fut, à cause de cela, réduit au rang de roturier . Il fut plus tard légué à la bibliothèque impériale par un célèbre poète auquel il fut ultérieurement retourné après avoir été officiellement copié malgré la proscription impériale à l’encontre de tels ouvrages . Des notes ayant subsisté dans les archives impériales indiquent l’utilisation de la version impériale pour réaliser de nombreux exemplaires supplémentaires, à des fins privées, avant qu’elle soit annoncée comme volée vers 1530. L’exemplaire impérial (identifié par ses marques et ses sceaux) et deux transcriptions du XIIIe siècle furent finalement trouvées et prises en Angleterre en 1902 par un missionnaire excentrique qui déclara les avoir obtenu alors qu’ils étaient dans un obscur monastère de la moderne Sinkiang. Ils disparurent peu de temps après.

    Contenu :

    C’est grâce à la Pierre de Rosette que beaucoup de textes de source extrêmement obscure, dont certains  détenus dans la Bibliothèque de pierre (à l’exception des parties les plus anciennes des Manuscrits Pnakotiques) ont pu être traduits, de même que les différentes inscriptions et les écrits ultérieurs associés au cycle du mythe de Cthulhu : cela constitue quelques-uns des guwen shangshu jamais découverts ]. Les deux dernières transcriptions sont des copies exactes des premières. Les motifs à points et les glyphes figurent parmi les précurseurs des premières formes connues de chinois et de sanscrit. Les savants considèrent qu’il s’agit de l’information la plus large disponible sur le cycle du mythe de Cthulhu. Y est même inclus « l’arrière-plan nébuleux des entités transgalactiques qui se cachent sur les planètes infinitésimales ... y installant des avant-postes, et repoussant à l’occasion d’autres formes accidentelles de vie ... pour occuper totalement les lieux »

    Chaque volume mesure approximativement 50 centimètres sur 31, et consiste en un ensemble de tablettes de bambou, renfermant chacune 40 caractères chinois, 60 points en relief, 50 glyphes et 11 lignes d’une langue qui préfigure le sanscrit. 
     
    Lorsqu’il est correctement collationné, chaque texte se répète lui-même dans chaque forme d’écriture. En faisant des comparaisons avec le sanscrit originel et avec chacun des premiers fragments en chinois, et en utilisant les différents textes occidentaux sur la cryptographie et les chiffres, particulièrement ceux de Trithème, Walmsley put en fin de compte présenter des transcriptions des fragments de G’harne et du Sussex et clarifier les premières traductions de quelques parties des Manuscrits Pnakotiques et du texte de R’lyeh. (Voir Gordon Walmsley, Notes on Deciphering Codes, Cryptograms and Ancient Inscriptions, N.D., Londres)
    Les tablettes de bambou sont reliées à l’aide de fils de soie noire. Chaque reliure comprend quatre volumes contenant le texte complet. Chaque volume est recouvert d’un matériau fin, en apparence de la soie, mais qu’une inspection plus minutieuse ne peut identifier. Le tout est pour finir relié ensemble par des lanières de peau animale. 
        
    L’original de l’ensemble (qui date de 595 ap. J.C.) est au Musée de Wharby, en Angleterre. Il a été soigneusement authentifié, encore que les Administrateurs du Wharby n’aient jamais divulgué par quel moyen. L’exemplaire impérial se trouve aux Antiquités orientales, cadeau d’un donateur anonyme. Les deux autres ensembles furent vendus à des acheteurs chinois de Formose en 1936, et on ignore actuellement où ils sont. Les textes du Wharby et de la Miskatonic ont été particulièrement reproduits et les copies reliées pour un usage institutionnel". 
     
    Le mystère semble demeurer caché comme beaucoup de vérité.
     

    L'histoire fantastique de Georges Adamski

    La réflexion à laquelle nous pouvons nous attacher est que l'humain est très ignorant. Cependant s'il voit d'autres êtres qui sont remplis de bonté et de douceur, de belles intentions, agissant pour le bien et réchauffant le coeur, quoi de plus réconfortant dans un monde tout de même si peu pacifique.

    Si quelqu'un d'entre vous bénéficie de telles faveurs, souvent il n'en parlera pas tellement ces faits sont précieux et divins. Ou n'en parlera que très rarement, faisant à priori la risée ou la joie de la psychiâtrie. Je suis convaincue que ces genres de choses peut se produire pourtant. Souvent, ces êtres peuvent demander la plus grande discrétion mais peut être pas éternellement. Si un but réel humanitaire s'impose et s'ouvre avec des explications tangibles et concrètes suivies de faits, on ne peut renier ces faits et ces données précieuses et plus précieuses que l'or. C'est pourquoi, cette convition m'habite depuis toujours. Elle fut mélangée ou transformée en fait de "religion" ou créant des religions, permettant d'écrire des "connaissances" permettant à l'humain de se pacifier et de rendre de précieux services parfois dans la discrétion la plus totale et faisant intervenir ses contacts à des fins de bonté et de générosité afin d'apaiser les douleurs morales et physiques et sans but lucratif. Bien sûr Adamski fut connu et célèbre et que ses livres firent le tour de la planète et qu'en reste t'il aujourd'hui ?.... Des traces. Qui peut oublier quelqu'un qui raconte des histoires aussi belles.

    Certains dirons :"oui mais que voyons nous dans notre vie sinon la désolation, ainsi que dans ce monde appellée la planète bleue, pas si bleue que cela sinon blues". Peut être leur faudrait il oser regarder souvent le ciel et "penser" ou oser faire le vide des pensées afin de laisser la pensée vitale et essentielle entré dans le coeur et ouvrir les yeux sur des dimensions réelles, tangibles mais cela ne semble pas donné à tous de part la nature de chacun. Se fermer à des options qui semblent irréalistes et venant du rêve et de l'imagination ; je pense qu'il ne faut pas oublier de se pincer lorsque de telles choses se produisent et de bien ouvrir grand les yeux afin de comprendre les messages donnés, sans aucune interférence de qui que ce soit ni aucune pression religieuse sauf, l'attachement à la création et son initiateur en tant que "Bonté suprême" et "l'Etre le plus sûr en qui la confiance totale peut s'établir". La foi est un don elle aussi. La vie simple sans vision ou apparition extraordinaire demeure une vie simple et humble, intéressante pourtant mais au vu de toutes les épreuves dont nous pouvons être parfois victime, si la révélation de la foi par des faits tangibles se produit, elle est un appui sûr pour toute la vie sans que n'intervienne aucun être, parents, amis ou proches terrestres et matière aussi puissant que cette force d'émanation et d'amour permettant un soulagement de la charge portée de par l'incarnation sur cette planète si belle pourtant. Je vous invite à lire la rubrique MONDE MYSTIQUE ET SPIRITUEL afin d'y découvrir d'autres langages et beaucoup de sagesse apportant paix et ouverture et ceci sans prétention, car les recherches faites au travers de ces écrits relèvent du bon sens.

    Rien à voir avec la marchandisantion des dons parfois tronqué ainsi que le domaine de l'occultisme souvent envahi par les esprits avides : ceux ci étant décrit par la psychologie tibétaine.

    L'histoire fantastique de Georges Adamski

    Voici la descripton d'un engin "soucoupe" de Georges Adamski

    En voici une autre de la même forme

    L'histoire fantastique de Georges Adamski

     L'on dit que ces photos auraient été truquée et qu'il aurait photographié une lampe. D'où viendrait les autres faits qu'il décrit et totalement tangible. Son mérite est d'être un des précurseurs et d'avoir oser en parler et écrire tout ce vécu fantastique, un travail important qui laisse des traces.

    Voci unphoto d'un être vénusiendécrite par Georges Adamski qu'il aurait probablement photographié ? L'image est colorée et remis au goût du jour.

    Image associée

    1952, année de ma naissance, connu la disparition de ce monde de Paramahamsa Yogananda, le grand saint hindou, et cette année là Adamski eut son premier contact. L'année 1952 recèle beaucoup de faits liés à la vie supérieure en ce monde.
     
    Voici un autre document vidéo très agréable, parlant notamment de la télépathie mais aussi de Dieu. La télépathie est un langage inné chez certains. Heureux ceux qui possèdent ces facultés afin de comuniquer avec beaucoup d'êtres.
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    Chers lecteurs, chacun soyez les bienvenus : bonne lecture et bonne visite
    Faites vous votre propre opinion. En n'oubliant pas qu'il y a des âmes de bonne volonté.
    Vous pouvez trouvez en PDF le livre :"Le mur de lumière" dans la rubrique LIVRES EN PDF
     
     
      
     
     

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    Manuscrit, Brooklin Museum, Janma kalyāṇaka de Kalpa Sutra  , c. 14ème-15ème siècle

     

    Lord Risabha dont il est question dans le VERSERT XIII ci dessous.

     

     

     

    Rsabha Mahârajâ ou Rishabhanatha aussi Ṛṣabhadeva , Rishabhadeva ou Ṛṣabha est le premier Dieu enseignant soit le Tirthankara.  Le mot Tīrthankara signifie le fondateur d'un tirtha qui signifie un passage  à travers une mer. Le Tirthankara montre le «chemin tracé » à travers la mer de naissances et de morts interminables (samsâra).

    Image du lieu de pèlerinage de Rishabhanatha au Kundalpur à Madhya Pradesh, Inde.  

    Rishabhanatha est également connu comme Ādinātha qui se traduit par "First (Adi ) Lord ( nātha )". Il est né du roi Nabhi et de la reine Marudevin à Avodhva. 

    Il est associé à son emblème Bull, l'arbre de Nvagrodha, le Yaksha de Gomukha  et de Chakreshavari Yakshi.

     

    L'arbre de Nvagrodha, inspirateur de la majorité des hymnes védiques et sacrés. Il est possible que l'image suivante représentent les êtres en méditation et recevant les mélodies et paroles des hymnes sacrés ayant une portée incommensurable sur les éléments dont nous sommes construits autant au niveau de l'âme, de l'esprit et du corps physiques.

    Résultat de recherche d'images pour "Veda  Yaksha de Gomukha"

     Rishabhanatha avait deux épouses, Sunanda et Sumangala. Sumangala était la mère de quatre-vingt-dix-neuf fils (y compris Bharata) et une fille, Brahmi. Sunanda .

    La mort fatale et soudaine de Nilanjana, l'une des danseurs d' Indra , lui a rappelé la nature transitoire du monde et il a développé un désir de renonciation. Après avoir été initié en tant que moine Digambara , il aurait erré sans nourriture pendant une année entière. Le jour où il a obtenu son premier ahara (nourriture), est célébré comme Akshaya Tritiya par Jains. Il aurait atteint le Mont Kailash à Adi Purana qui contient l'information sur les légendes liées à Rishabhanatha. Ses statuescolossables comprennent la statue d'Ahimsa, Bawangaja et celles rérigées dans la colline de Gopachal. 

    La cosmologie jaïnisme  divise le cycle du temps monidal en deux moitiés ( avasarpiniet utsarpiṇī ) avec six aras(rayons) dans chaque moitié.

    Vingt-quatre Tirthankaras forment cette partie de l'univers dans la quatrième période, connue sous le nom de duşamā-suşamā (lire comme dukhmā-sukhmā), des deux moitiés. Le demi-cycle actuel ( avasarpiṇī ) étant un cas spécial, Rishabhanatha, le premier tīrthaṅkara est né à la fin de la troisième période (connue sous le nom de suṣama-duṣamā ) lui-même.

    Ce cycle commencera à inverser au début de utsarpinī kāl (demi-cycle suivant) avec Dukhama-dukhamā étant la première période.  Selon les textes de Jain, Rishabhanatha est né à l'âge où il y avait du bonheur sans travail pour les hommes.

    A mesure que le cycle se déplaçait , et que Kalpavriksha (arbres qui remplissaient les envies) a disparu, les gens se sont précipités vers son roi pour obtenir de l'aide.

     On dit alors que Rishabhanatha a enseigné aux hommes six professions principales. Ce sont:

    1.  Asi : les techniques de protection

    2.  Masi : la compétences dans l' écriture.

    3. Krishi : l'enseignement de l'agriculture

    4  Vidya : la connaissance

    5. Vanijya : le commerce

    6 .Shilp : les divers métiers (métiers).

    En d'autres termes, il est crédité de l'introduction du karma-bhumi (l'âge de l'action) en enseignant ces professions aux ménages pour leur permettre de gagner leur vie.

     L'institution du mariage aurait été créée après son mariage pour donner l'exemple à d'autres humains. Au total, Rishabhanatha aurait enseigné soixante-douze sciences qui comprennent: l'arithmétique, les arts plastiques et visuels, l'art de l'amour, le chant et la danse. 

    La chronologie de Jain place la date de Rishabhanatha dans une époque presque incompréhensible dans le passé.  

     

    On dit que Rishabhanatha est le fondateur du Jainisme dans le demi-cycle actuel,  et est unanimement considéré par les Jains en tant que Sarvepalli Radhakrishhnam.

    "Le premier vice-président de l'Inde a écrit:

    Il existe des preuves qui montrent que, dès le premier siècle av. J.-C., il y avait des gens qui adoraient Ṛṣabhadeva, le premier tīrthaṅkara. Il ne fait aucun doute que le jainisme a prévalu même avant Vardhamâna ou Parsvanatha.

     Le Yajurveda mentionne le nom de trois Tīrthaṅkaras - Ṛṣabha, Ajitnatha et Aristanemi. Le Bhâgavata Purâna approuve l'opinion selon laquelle Ṛṣabha était le fondateur du Jainisme". exprime le Dr. S. Radhakrishnan. 

     

    Le royaume de Rishabhanatha a été gentil et doux et il a transformé une société tribale en une société ordonnée.Comme tous les tīrthaṅkara et d'autres figures légendaires de l'histoire indienne qui étaient de grands guerriers, il était aussi un homme avec une grande force corporelle. Cependant, il n'a jamais eu besoin de montrer son aspect guerrier. Rishabhanātha est connu pour avoir préconisé la non-violence, et est considéré comme l'un des plus grands initiateurs du progrès humain.  

    VERSET XIII du IIème chapitre du Sri Bhagavatam

    Le huitième avatara fut Rsabha ou Risabha Maharaja,( et autres noms), fils du roi Näbhi et de son épouse Merudevi. Il traça alors le sentier de la perfection, que suivent tous ceux qui maîtrisent parfaitement leurs sens et qu'honorent toutes les couches de la société.

    Outre, ce qui est déjà exprimé au travers de cette page, le traducteur raconte que les vrais sages et brâhmanas qualifiés n'aspirent jamais aux postes politiques. Le Maharajah rendit le sol productif et fit le bonheur des hommes qui furent heureux durant cette période d'avoir un si bon roi et sage qui leur apportait la prospérité et tout ce dont ils avaient besoin en les enseignant de manière à ce qu'ils puissent vivre en toute autonomie. La terre devint plus belle et attrayante aux yeux de tous, lui même n'exigeait rien de leur part au niveau de contribution quelconque. Chacun remplissait son rôle profitant des bienfaits de la terre et du savoir reçu et prodigué gratuitement.Le Maharajah était bien sûr entouré de dévôts qui veillaient sur lui et lui rendait en services divers les fruits de ses enseignements.

    Nous pourrions tiré comme conclusion concernant ce système, qu'il est basé sur le respect des uns et des autres, de leurs capacités et de la mise en valeur des qualités essentielles spirituelles, intellectuelles et morales par l'écoute de divins conseils et qu'il est possible d'écouter la divine voix afin de trouver la paix, la quiétude et de recevoir les conseils et les signes nécessaires qui nous sont utiles, par l'écoute et la méditation car Dieu n'abandonne pas ceux qui l'écoutent. Il conduit ses messages comme Il l'entend à sa création et de diverses manières. Sa bonté est incommensurable : le seul barrage à son abondance est le comportement des esprits contraires, mensongers avec des instincts bas allant à l'encontre de ses lois et combattant avec acharnement la Vérité de Ses Enseignements globaux et subtils dispensés en tous lieux de la planètes bleues sans distinction de races, de civilisations et d'apparences des êtres vivants dont nous avons à apprendre tant de ses créatures diverses provenant de divers univers en tant que "poussières" d'étoile.

    ©Colinearcenciel

     

     


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