• LE VISAGE DE BEETHOVEN

    PORTRAIT DE BEETHOVEN  (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le lundi 14 mai 2007 01:13

    Blog de colinearcenciel :BIENVENUE DANS MON MONDE MUSICAL, PORTRAIT DE BEETHOVEN

     

     

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    LA PASTORALE ou SYMPHONIE N° 6 de LUDWIG VAN BEETHOVEN | 7 | (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le lundi 21 juin 2010 00:52

     

     

     

     

     

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    SONATE POUR VIOLON ET PIANO en G Ma jeur ALLEGRO ASSAI de LUDWIG VAN BEETHOVEN  (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le lundi 14 mai 2007 06:28

     

    SONATE

    POUR 

    VIOLON EN G MAJEUR

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       Blog de colinearcenciel : BIENVENUE DANS MON MONDE MUSICAL, SONATE POUR VIOLON ET PIANO  en G Ma jeur ALLEGRO ASSAI de LUDWIG VAN BEETHOVEN

     

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    Blog de colinearcenciel : BIENVENUE DANS MON MONDE MUSICAL, SONATE POUR VIOLON ET PIANO  en G Ma jeur ALLEGRO ASSAI de LUDWIG VAN BEETHOVEN

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    GROSSE FUGUE - BEETHOVEN (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le mercredi 16 mai 2007 00:04

          

      GROSSE FUGUE 

        Beethoven    

     

     

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    BEETHOVEN, UN EXTRAIT DE SA VIE "LE ROMAN D'UN GENIE " page 141 (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le lundi 21 mai 2007 19:56


     

    Extrait  de "Roman d'un génie" Carl Von  PIDOLL

    "Suite à sa première prestation chez la princesse Lichnowski, Beethoven s'en alla très vite avec ces mots :"Permettez-moi de m'en aller car  je suis incapable de parler pour le moment. Veuillez m'excuser je vous prie".

    Sans attendre aucune réponde, il se dirigeai vers la porte.

    Un invité s'exclama : "Juste ciel ! Quel rustre !"

    - Un rustre, répondit la princesse, mais un génie ! Il remédierait bientôt à son manque de manières, si seulement il s'en souciait un peu. Je crains fort que ce soit pas les bonnes manières qui lui fassent le plus défaut.  Mais il est grand temps que les autres songent à mettre dans sa vie un peu d'affection, un peu de chaleur humaine...  Cela fend le coeur de sentir les difficultés et la solitude dans lesquelles il vit....

    Même ceux qui n'approuvaient pas la technique de Beethoven n'hésitaient pas à reconnaître que son travail était remarquable ! "

    Beethoven avait improvisé durant sa prestation : il ne pensait jamaiscomposer.

    L'auteur, rappellons-nous, un ami direct de Beethoven qui le suivit du début jusqu'à la fin de sa vie...

    "A cette première audition je fus heurtée de prime à bord

    son jeu révélait un mépris total de certaines règles, un acte de folie révolutionnaire pourrat-on dire, ube chose qui dépassait toute limite établie, comme le Raüber de Schiller ou les Confessions de Rousseau.C'est l'époque aussi qui faisait que nous n'étions pas prêt et pourtant ce sont les Maître Mozart et Haydn qui nous conduirent droit vers Beethoven.

                               ___________________

    Sonate

      pour piano

     et

     Cor en fa Majeur

     dédiée à la Baronne de Braun.

    Voici le premier mouvement sur cette page.

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    LA BEAUTE DE CETTE NATURE .... CLAIR DE LUNE ET MAGNIFIQUES GUITARES (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le vendredi 18 mai 2007 02:19

    Sur la belle musique du Clair de Lune de Beethoven avec une interprétation particulière de guitares exceptionnelles.

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    LE VISAGE DU GENIE IMMORTEL (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le dimanche 31 août 2014 16:02

    Blog de colinearcenciel :BIENVENUE DANS MON MONDE MUSICAL, LE VISAGE DU GENIE IMMORTEL

    Le masque du génie

    Le haut-relief polychrome de Beethoven exécuté par Franz von Stuck devait prendre place dans la Villa que le peintre avait fait construire et meubler à Munich en 1897-1898 d’après ses propres plans. A l’intérieur de cette villa se trouve un salon de musique où il avait d’abord prévu des effigies de compositeurs célèbres parmi lesquels Beethoven . Ce portrait a été inspiré directement par le « masque de vie » ( moulé sur le visage du musicien en 1812), mais Franz von Stuck lui a apporté trois éléments importants : la couleur, la chevelure et le regard. Le contraste entre le fond rouge brun, la chevelure noire et le visage blanc, fantomatique, évoque une apparition soudaine : la face de Beethoven semble surgir de la pierre. Les cheveux ébouriffés et abondants, souvent représentés de cette manière, figurent l’énergie indomptable, la fougue et la liberté de l’artiste. La chevelure encadre un visage résolu, extrêmement concentré, presque méchant : les sourcils sont froncés, les lèvres serrées, le nez légèrement gonflé. Beethoven semble possédé par une force qui doit se décharger de façon imminente. Mais ce sont surtout les yeux qui sont remarquables : tandis que sur le « masque de vie » les yeux de Beethoven étaient clos, Franz von Stuck choisit de les sculpter et de leur conférer une puissance magnétique, si bien que la fixité de ce regard hypnotise le spectateur.

    Le portrait de Beethoven par Bourdelle est contemporain de la sculpture de Franz von Stuck. Il s’agit là de l’un des très nombreux portraits que le sculpteur a réalisés jusqu’à sa mort dans tous les matériaux possible (bronze, granit, pierre, marbre, terre cuite). Impressionné par le visage de Beethoven, Bourdelle ne cesse (à partir de 1887-1888) de dessiner, peindre et sculpter le comspositeur. Le visage de Beethoven ici représenté évoque de nouveau le « masque de vie » de 1812 : cette fois, le musicien garde les yeux fermés. La concentration extrême de ses traits et ses yeux clos peuvent être interprétés comme le symbole du monde intérieur que Beethoven, qui était sourd et souffrait de cet enfermement, chercherait à exprimer dans ses œuvres. L’énergie accumulée se libère dans la chevelure désordonnée, qui semble vivre de sa propre vie et submerger le visage du compositeur. Cette image tourmentée forme un contraste avec le socle cubique et dépouillé, sur lequel Bourdelle a gravé cette phrase : « Moi je suis Bacchus qui pressure pour les hommes le nectar délicieux. Beethoven ». Bourdelle assimile par conséquent le musicien au dieu de la danse et de l’ivresse, à Bacchus-Dionysos, que Nietzsche déjà, dans La Naissance de la tragédie (1872) avait rapproché de l’auteur de l’« Hymne à la joie ». Beethoven est un génie bienfaisant, un être divin qui apporte aux hommes, par la grâce de sa musique, le « nectar » des dieux antiques, sans commettre d’ailleurs de sacrilège comme Prométhée ou Tantale. - See more at: http://www.histoire-image.org/site/etude_comp/etude_comp_detail.php?i=1239#sthash.C9Ux4D0V.dpuf

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    BEETHOVEN, EXTRAIT II DE SA VIE - SONATE POUR PIANO ET COR (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le lundi 21 mai 2007 22:55


     

    Sonate

      pour piano

    et

     Cor en fa Majeur

     

    Qui comporte trois mouvements :

    • 1) Allegro moderato
    • 2) Poco adagio, quasi andante
    • 3) Rondò - Allegro moderato

    "Tandis que je me promenais ce soir-là, je me souviens de certaines questions qui me venaient :"Qui donc lui a donné le droit d'émouvoir, d'aller au plus profond des coeurs, sans même en demander la permission ?...  A t'on le droit de se mettre ainsi à nu ?  N'est ce pas courir tout droit au chaos et à l'anéantissement de tout genre artistique que de jouer comme ce garçon le fait ?  Ce la ne mène t'il pas au relâchement des contraintes, au mépris des principes ?"

    Autant de questions auxquelles mon coeur seul pouvait suggérer la réponse - à savoir que ce jeune homme qui venait de Bonn était un génie extraordinaire, qu'il valait beaucoup mieux pour moi que je lui donne ma confiane et que j'écoute attentivement ce q'uil avait à nous apprendre au lieu de me perdre en vaines et sottes critiques.

    Au moment où Beethoven faisait sa premièe apparition chez les Lichnowski, on recevait de Paris de très mauvaises nouvelles : le  roi était prisonnier du temple et l'on craignait pour le roi et la reine l'échafaud : la révolution sévissait. Tous ceux qui comprenaient que le jeune musicien personnifiait précisémment les idées qui, au sentiment général, avaient engendré les terribles événements survenus en France, ceux-là devaient tout de même avoir un certain courage pour accueillir ce musicien. Lichnowski fut critiqué pour recevoir un "Jacobin" et cela, surtout après l'exécution de Louis XVI et de Marie-Antoinette.

    Néanmoins, là sous les remparts durant ma promenade, j'avais compris que cet homme n'était pas seulement un génie de la musique mais aussi un être tout à fait exceptionnel - un homme dont l'amitié serait précieuse."

                         

                                             Marie-Antoinette

        Blog de colinearcenciel : BIENVENUE DANS MON MONDE MUSICAL, BEETHOVEN, EXTRAIT II DE SA VIE - SONATE POUR PIANO ET COR

                         Louis XVI

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    BEETHOVEN EXTRAIT IV DE SA VIE - SONATE POUR PIANO ET COR (III) (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le lundi 21 mai 2007 23:15


     

    Troisième partie de sa Sonate pour Cor et Piano

                       Blog de colinearcenciel : BIENVENUE DANS MON MONDE MUSICAL, BEETHOVEN EXTRAIT IV DE SA VIE - SONATE POUR PIANO ET COR (III)

    "Soudain, je me trouvais devant lui là où était un banc placé entre deux tilleuls. Après quelques mots échangés je fus marqué par son fort accent rhénans. Je lui fis savoir que je jouais du violoncelle et que je composais des quatuors. Il me lança un regard pénétrant et pris un ton plus affable. ... Puis soudain Beethoven fit quelques pas, les mains serrées derrière le dos, comme s'il trouvait tout naturel que je l'accompagne dans sa promenade.  Et le jeune homme me parla ainsi : "Voyez-vous Monsieur le violoncelle, je voudrais faire de grandes choses ! J'ai des chose à dire que personne n'a dites avant moi - non, ni Haydn, ni Mozart ! Et je voudrais les dire d'une façon neuve, comme on ne l'a jamais fait auparavant. Cela doit aller de mon coeur à vos coeurs, directement, sans rien entre eux !  Aucune de ces stupidités que l'on nomme la forme, la symétrie, l'élégance, la contrainte ! Quand la tempête mugit en secouant la cîme des arbres ou quand la foudre fend de toute sa longueur le troc d'une chêne, la tempête et la foudre ne demandent pas auparavant si cela nous convient, ni si cela ne dérange pas Frau Baronin ! Non ! Lorsque je m'assieds au piano, c'est le moment où je dois remuer les coeurs, pas celui où je pose des questions ! Je joue, et je vous subjugue tous, tous autant que vous êtes ! Personne ne peut m'échapper ! Et plus longtemps, plus souvent vous m'écouterez, moins il vous sera possible, de m'échapper ! parceque j'aurai toujours quelque chose de différent à dire - quelque chose de neuf chaque fois ! Et parce que vous apprendrez de plus en plus, de mieux en mieux, à me comprendre !"

    Je l'invitais à soûper et nous appréciâmes ensemble les différentes qualités des vins dont la campagne environnante nous avait largement doté. Il n'aborda aucun sujet sérieux et se montra d'une gaieté enfantine, se plaisant à faire participer à notre conversation ceux qui se trouvaient là et prouvant qu'il n'était pas homme à s'effrayer d'une plaisanterie un peu osée.

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    SERENADE POUR FLUTE ET VIOLON ALTO I - BEETHOVEN  (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le lundi 21 mai 2007 23:42


     

    .....

     

    Arrangement de l'opus 25

    Sérénade pour Flûte

     

     et

     

     Violon alto.


    en ré  Majeur

    Sérénade en ré majeur pour piano et flûte, tirée de la Sérénade pour flûte, violon et alto, opus 25, été 1803, publiée à Leipzig, par Hoffmeister et Kùhnel, décembre 1803

    MP3 A AJOUTE

    SERENADE POUR FLUTE ET VIOLON ALTO II - BEETHOVEN  (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le lundi 21 mai 2007 23:58


     

    Deuxième partie de cette Sérénade

                        

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    LE VISAGE DU MAITRE LUDWIG VAN BEETHOVEN  (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le dimanche 31 août 2014 16:06

    Blog de colinearcenciel :BIENVENUE DANS MON MONDE MUSICAL, LE VISAGE DU MAITRE LUDWIG VAN BEETHOVEN

    Voici le visage de Ludwig van Beethoven dont se fut inspiré Bourdelle pour réaliser son magnifique bas-relief. Ne reconnaissons-nous pas ce regard enflammé de droiture et de génie ; ce regard clairvoyant sur la nature humaine ; ce regard lucide transperçant les âmes ? Nul besoin d'essayer de paraître devant cet homme, sa biographie et tout ce que l'on décrit de lui, démontre à quel point il fut juste et ses propos écrits le confirment.

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    SERENADE POUR FLUTE ET VIOLON ALTO III - LUDWIG VAN BEETHOVEN (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le mardi 22 mai 2007 00:03


     

    Sérénade

    Troisième partie

                               

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    SERENADE - 4ème partie  (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le mardi 22 mai 2007 00:12


     

    Sérénade

    Quatrième partie

                    

         

     

                                

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    SERENADE - 5ème partie  (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le mardi 22 mai 2007 00:23


     

    Sérénade

    Cinquième partie

         

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    SERENADE - 6ème partie BEETHOVEN page 151  (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le mardi 22 mai 2007 00:27


     

    Sérénade                                               Blog de colinearcenciel : BIENVENUE DANS MON MONDE MUSICAL, SERENADE - 6ème partie BEETHOVEN page 151    

    Sixième partie

                         Blog de colinearcenciel : BIENVENUE DANS MON MONDE MUSICAL, SERENADE - 6ème partie BEETHOVEN page 151

                      

                                   

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    ALLEGRETTO POUR VIOLON ET VIOLONCELLE - BEETHOVEN (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le mardi 22 mai 2007 00:39


     

     

    ;

    ALLEGRETTO pour

     piano, violon et

     violoncelle

    Premier mouvement

    Je découvre ces Oeuvres de Ludwig Van Beethoven que je ne connaissais absolument pas et cela en même temps que vous peut être...

    Blog de colinearcenciel : BIENVENUE DANS MON MONDE MUSICAL, ALLEGRETTO POUR VIOLON ET VIOLONCELLE - BEETHOVEN

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    BEETHOVEN - Une citation (suite de sa biographie)  (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le mardi 22 mai 2007 01:24

    Blog de colinearcenciel :BIENVENUE DANS MON MONDE MUSICAL, BEETHOVEN - Une citation (suite de sa biographie)

    "Etudier, disait-il souvent, ne signifie pas faire ce que l'on sait déjà, on ce que l'on fait facilement. Cela signifie faire ce que l'on ne sait pas, ou ce que l'on trouve difficile".

    "Il y a chez certains êtres, un quelque chose de sublime qui vient d'ailleurs : j'aime à regarder les yeux de ces personnes car c'est en eux que l'on perçoit ce mystère et cette force et cette perfection générés par  des qualités hors du commun : la sincérité du coeur, l'authenticité, l'ouverture au monde subtil, la volonté du beau et du bon et autres multiples !

    Lorsque j'ai la chance de me trouver avec l'un d'eux : je me tais, je contemple et mon coeur sourit si fort que mes lèvres ne savent pas s'empêcher de suivre le mouvement de mon coeur.  Parfois, il y a des êtres qui se déguisent pour tenter de faire passer extérieurement, artistiquement ces valeurs qu'ils ne possèdent pas, rongés par l'ambition, immanquablement, leurs regards qui semblent purs cachent de bien grandes failles et vilenies : jamais ils ne savent résister à ce qui se lit dans leur coeur endurcit par des conceptions surrannées et stupide vanité. La vanité n'est pas le fait de l'élégance extérieure ou d'une attitude de bonne composition, la vanité commet des actes hideux pour se tenir à la première place : il n'y a point d'universalité à cela : l'égo est un bloc de béton et la nature s'y est figée : nulle inspiration ne s'y engouffre !"ColinearCenCiel

    Nous allons profiter durant la suite du récit de la vie de Beethoven d'écouter tout en même temps les trente deux Sonates qu'il a créé.  Ces oeuvres sont séquencées sur fichier midi par Bunji Hisamori.

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    SONATES DE BEETHOVEN - SUITE DE SA BIOGRAPHIE  (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le mardi 22 mai 2007 07:50


     

    Vous pouvez via ce lien écoutez les trente deux sonates de Beethoven et les enregistrer.

    http://www.lvbeethoven.com/Oeuvres/Midi-Mp3-SonatesPiano.html#Opus26

     

    "Le lendemain, nous avions une séance de quatuor chez le Comte Lichnoski et nous étions en train de jouer un Adagio de Mozart lorsque Beethoven entra. Lorsque nous eûmes terminé ils'approcha sans nous saluer au préalable :"Très très beaumorceau ! Très bien exécuté aussi !".  Cependant, il se mit à nous donner quelques conseils pour jouer mieux tel ou tel passage, et prenant l'alto des mains de celui qui le tenait, il reprit une certaine phrase dont l'exécution n'avait pas été à son goût.

    Lichnowski avait été un ami de Mozart et grand amateur de musique, il attachait beaucoup d'importance au fait de jouir de la considération et de l'estime des musiciens. 

    Ensuite, nous jouâmes avec Beethoven au piano un trio de Haydn. A notre grande surprise, et si l'on songeait à sa manière de jouer telle qu'il nous l'avait révélée la veille, Beethoven respecta entièrement la grâce très délicate de sa partie. La princesse lichnowski arriva et Beethoven s'efforça de la saluer avec la plus grande courtoisie.  De toute évidence, il était de très bonne humeur.

    De sorte que je me tournais vers la princesse et lui demandai si elle permettait que Monsieur Van Beethoven nous jouât quelque chose. "Cette fois, ajoutais- je voudrai lui rendre la tâche plus difficile et lui demander d'improviser sur un ou deux thèmes que nous lui dicterions". Chacun applaudit à cette proposition, et Beethoven me tendit un cahier et un crayon, demandant que l'on y inscrivit trois thèmes.

    Il resta un instant à examiner les trois motifs et puis levant les yeux, il demanda :"puis-je en ajouter un ?".  Nous fûmes d'accord, et lorsqu'il eut noté un court motif qui lui servirait de quatrième sujet, il passa la feuille au prince et s'installa au piano

    Son exécution surpassa de loin celle de la veille, etdepuis, je l'ai rarement vu s'élever si haut.  Ce que ses doigts faisaient surgir du piano était une sorte de feu d'artifice où se mêlaient l'enthousiasme, l'intelligence, la sensibilité - un véritable triomphe de l'art !  Ce fut avec une étonnante série de variations qu'il interpréta les thèmes que nous lui avions imposés ; il jonglait avec eux comme avec des boules multicolores : il les prenait et les reprenait en leur donnant les expressions les plus étonnantes ; et finalement il improvisa avec une parfaite  maîtrise une fugue libre qu'il couronna en y introduisant son propre sujet, triomphal et radieux.

    Alors qu'il jouait encore, son auditoire n'avait pu s'empêcher de s'exclamer d'admirationEt lorsqu'il eut terminé, tout le monde, transporté de joie, entoura  le piano pour féliciter l'artiste : personne ne savait comment le remercier ou   l'applaudir assez après le rare plaisir qu'il venait de nous procurer. Ce jour-là, Vienne sut qu'une autre étoile d'un éclat extraordinaire s'était levée au ciel de sa musique.

    Linochnowski exultait. Il était allé de l'un à l'autre répétant sans cesse : "Cethomme va prendre la  place de Mozart ! Il vient pour nous consoler de la mort prématurée de Mozart ! C'est un nouveau Mozart !" En parlant ainsi, il oubliait bel et bien que, dans le réel et profond chagrin qu'il avait éprouvé à la mort de son professeur et génial ami, il avait, durant toute une année, déclaré à qui voulait l'entendre, que aussi longtemps que l'on ferait de la musique en ce monde, il n'y aurait jamais un autre Mozart.

                   

                    

     

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    MARTHA ARGERICH JOUE BEETHOVEN (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le lundi 16 juillet 2007 01:32


     Martha Argerich est la pianiste que je préfère parmi toutes les pianistes virtuoses : elle est magnifique, elle joue avec le fond de son âme : son jeu pianistique est d'une grande clarté et pureté.

     

    COPYING BEETHOVEN  (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le dimanche 14 octobre 2007 18:12

     

     

     

    COPYING

     

     

     BEETHOVEN

     


     

     

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    SYMPHONIE N° 1 - LUDWIG VAN BEETHOVEN I  (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le dimanche 14 octobre 2007 17:50

     

     

    SYMPHONIE N° 1

     

    Ludwig van Beethoven 

    Orchestre dirigé par Herbert von Karajan


     

     


     

     

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    SYMPHONIE N° 1 - LUDWIG VAN BEETHOVEN II  (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le dimanche 14 octobre 2007 17:58

     

     

    SYMPHONIE N° 1

     

     


     

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    SYMPHONIE N°1 - LUDWIG VAN BEETHOVEN III  (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le dimanche 14 octobre 2007 18:02

     La qualité de l'image est très mauvaise mais le son y est : je n'ai pas trouvé d'autres versions de cette symphonie pour la présenter ici.
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    SYMPHONIE N°1 - LUDWIG VAN BEETHOVEN IV  (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le dimanche 14 octobre 2007 18:05


     

     

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     !COPYING BEETHOVEN!  (BEETHOVEN LUDWIG VAN)

    posté le dimanche 14 octobre 2007 18:13

     

     

    COPYING BEETHOVEN

     


     

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    PORTRAIT DE BEETHOVEN  (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le dimanche 30 mars 2008 23:58

     

     

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    SEPTIEME SYMPHONIE - IIème MVT - Ludwig van BEETHOVEN  (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le lundi 31 mars 2008 00:01

     

    SEPTIEME

     

     

     SYMPHONIE

    Blog de colinearcenciel : BIENVENUE DANS MON MONDE MUSICAL, SEPTIEME SYMPHONIE - IIème MVT - Ludwig van BEETHOVEN

     

     

    MOUVEMENT II

     

     

    Ludwig Van Beethoven

     

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    VIRTUOSITE au VIOLON KANDEZA - LEONID KOGAN INTERPRETE BEETHOVEN  (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le samedi 14 juin 2008 16:00

     

     

    Kogan

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    joue

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    KADENZA

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    Ludwig

     Van

    .

     

     Beethoven

     

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    SONATE Op. 26 - LUDWIG VAN BEETHOVEN  (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le samedi 14 juin 2008 16:14

     

    Gilels

    joue

    Beethoven

    .

    SONATE Op. 26

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    7ème SYMPHONIE de BEETHOVEN (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le mercredi 18 juin 2008 18:30

     

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    DEUXIEME

    ..

     

    MOUVEMENT

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    MOONLIGHT SONATA Ludwig van Beethoven  (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le samedi 16 août 2008 18:16

     

    M

    O

    O

    N

    L

    I

    G

    H

    T      S O N A T A    by Ludwig van Beethoven

    Blog de colinearcenciel : BIENVENUE DANS MON MONDE MUSICAL, MOONLIGHT SONATA Ludwig van Beethoven

     

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    L'ALLEGRO DU TRIPLE CONCERTO de *BEETHOVEN*  (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le mercredi 17 septembre 2008 06:35

     

     

    L' ALLEGRO    D

                               U         TRIPLE     C

                                                              O

                                                              N

                                                              C

                                                              E

                                                              R

                                                              T

                                                              O   de    B E E T H O V E N

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    L'allegro du Triple Concerto de Beethoven avec à l'affiche un trio de rêve .
    Dommage que la qualité vidéo et audio laisse à désirer .....

    David Oistrakh au Violon
    Mstislav Rostropovitch au Violoncelle
    Sviatoslav Richter au Piano

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    LUDWIG VAN BEETHOVEN - L'HOMME et le MUSICIEN  (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le mardi 21 octobre 2008 14:45

    Blog de colinearcenciel :BIENVENUE DANS MON MONDE MUSICAL, LUDWIG VAN  BEETHOVEN - L'HOMME et le MUSICIEN

    Beethoven considérait son Héroïque comme la meilleure de ses oeuvres.

    Si elle fut inspirée au départ par la figure de Napoléon, lorsque Beethoven sût que Bonaparte désirait le titre d'Empereur, il fut déçu et cinq années après avoir écrit l'Héroïque, il déchira la première page et changea son oeuvre.  Si bien que cette oeuvre représente la personnalité de Beethoven lui-même contrairement à la rumeur qui raconte que cette oeuvre reste attacher à la figure de Napoléon.

    Selon l'ami personnel de Beethoven qui a écrit sa vie dans "EROICA" ou "Le Roman d'un génie" , Carl Philip von Pidoll dit ceci :

    "Ce qu'est vraiment l'Héroïque" : ce n'est pas seulement une oeuvre d'art d'une beauté parfaite, créée par la main infaillible d'un maître, c'est aussi un message, un évangile.  C'est un témoignage de l'esprit qui seul est capable de donner à l'existence ce qui la rend supportable : une intention dépassant les limites de la vie et de la mort".

    Ce livre nous raconte à quel point Beethoven était colérique et faisait courir des bruits sur sa vie par ses propres paroles, il racontait facilement des évènements de sa vie et pouvait être si naïf car il se faisait des illusions sur les bonnes intentions de certaines personnes qui le cotoyaient.  Lorsqu'il découvrait qu'on le trompait, il rentrait dans de grandes colères.  Et il fut souvent la risée des gens par sa naïveté dont il n'avait pas vraiment conscience.

    Beethoven  au point de vue musical, séduisait les foules : son succès était important auprès du public.  Il rêvait de transporter son piano dans la rue et de jouer pour les gens.

    A son époque, au XVIIIème siècle, l'homme est replacé au centre de tout système, et comme le critère de toutes les valeurs.

    Carl von Pidoll dit encore :

    "Ce fut une de ces épqoues qui devaient décourir que , pour l'homme, le concept de liberté est synonime de discipline morale, et que si l'homme veut seulement donner à cette notion sa véritable et entière signification, il n'a besoin d'aucune abstraction pour le guider vers l'Eternité et vers la foi libératrice qui efface tous les doutes et toutes les souffrances ; il n'a plus besoin d'aucun de ces adjuvants tabous des dogmes religieux, des organisations politiques ou autres ectes, obscurantistes ou spiritualistes.  L'homme vraiment représentatif du XVIIIème siècle croyait en lui-même et en sa valeur humaine.

    Aucune croyance ne lui était nécessaire pour qu'il se sentit lié avec Dieu et l'Eternité, car Dieu et Eternité, il les portait en lui. Dieu et Eternité étaient tout simplement l'expression du principe spirituels d'où lui était venue sa dignité humaine".

    Tel était Beethoven, indépendant de toute religion, même s'il était profondémment croyant.

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    CONCERTO POUR PIANO ET ORCHESTRE - BEETHOVEN  (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le mardi 21 octobre 2008 14:11

     

    CONCERTO POUR PIANO ET ORCHESTRE

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    UNE PAROLE DE BEETHOVEN (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le mardi 21 octobre 2008 15:26

    Blog de colinearcenciel :BIENVENUE DANS MON MONDE MUSICAL, UNE PAROLE DE BEETHOVEN

    " Quand vous écoutez ma musique, disait-il, je ne vous demande pas de "penser", je vous demande de "sentir".  Si vous ne la "sentez" pas, c'est que je suis un bousilleur, ou bien que vous êtes un phillistin ..."

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    BEETHOVEN EN 1802  (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le mardi 21 octobre 2008 18:30

    Blog de colinearcenciel :BIENVENUE DANS MON MONDE MUSICAL, BEETHOVEN EN 1802

    En 1802, Beethoven avait 32 ans. Il avait les cheveux noirs, il était petit et fort, les yeux brillants, il avait un beau teint et des gestes plein d'énergie.  Dix ans plus tard, il avait prématurément vieilli : ses cheveux étaient devenu gris et paraissait las, fiévreux, épuisé.  Il s'emportait encore de colère ou d'enthousiasme mais il avait perdu la vivacité de sa rayonnante jeunesse déjà à l'âge de 42 ans.

    Cela n'était pas dû comme le disait les mauvaises langues à des excès de table ou à une vie déréglée : c'était stupide et mensonger de raconter pareille chose. La somme de travail que Beethoven fit durant dix ans explique son vieillissement prématuré.

    Toute sa vie il aima le vin et il  ne dédaigna pas les femmes mais il n'avait pas le goût de ces plaisirs et ses aspirations spirituelles du grand but l'absorbèrent en priorité et il ne se laissa pas tenter par les plaisirs de l'existence.

    Son vieillissement prématuré peut être expliqué aussi à sa course contre la surdité dont il fut affligé : une terrible épreuve pour un musicien. Il était généreux avec ses proches et négligeait plutôt sa santé car il estimait que l'esprit domine le corps sans vouloir comprendre que toute machine ne résiste pas à l'usure.

    Il n'eût jamais de logement confortable et louait des appartements un peu au hasard : il changeait souvent sous le moindre prétexte. Parfois il en louait deux en même temps.

    Son caractère difficile surtout lorsque la surdité l'atteingna plus fit de lui un "très mauvais locataire" c'est ainsi que des maisons lui furent refusé avant même qu'il ne demanda à voir les propriétaires.

    Ses domestiques ne restaient pas longtemps chez lui, il essayait de faire son repas lui-même, à des heures régulières, de mener un vie bourgeoise mais il n'y arriva jamais.  Il prit l'habitude de ce fait des cafés et des restaurants pour pouvoir manger aux heures qui lui plaisaient. Tout cela du fait de ses heures de travail intense où il perdait la notion du temps.

     

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    BEETHOVEN : L'HOMME et SES HABITUDES PERSONNELLES (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le mardi 21 octobre 2008 20:37

    Blog de colinearcenciel :BIENVENUE DANS MON MONDE MUSICAL, BEETHOVEN  : L'HOMME et SES HABITUDES PERSONNELLES

     

    Comme il prenait ses repas la plupart du temps au restaurant après avoir beaucoup travailler, (ci-dessus un portrait le représente en 1810) il s'y présentait avec un appétit d'ogre et il choisissait des plats plutôt sophistiqués et de toutes sortes !  Si bien qu'il se rendait malade : il en accusait ceux qui l'avaient servi en disant que la cuisine était détestable.

    Il était donc négligent de ce point de vue y compris dans sa façon de s'habiller et ne se souciait pas du temps qu'il faisait et donc, souvent lorsqu'il pleuvait il rentrait trempé jusqu'aux os et puis se mettait au travail sans même changer de vêtements. 

    Souvent en société, ses vêtements manquaient de la plus simple correction et chez lui, il portait souvent un vieux peignoir tout usé.

    Lorsqu'il se rasait, ce qui n'était pas fréquent, il devait passer plus de temps à soigner les blessures qu'il s'était faite.

    Partout dans son logement, tous les meubles croulaient sous les papiers de manuscrits et de papier de musique et quant il recevait des visiteurs, il fallait faire place car toutes les chaises étaient occupée.  Ces excentricités nous montre un musicien et un homme qui ne faisait qu'un et le musicien qui l'emporte.

    Tous ceux qui connaissaint bien Beethoven était navré de ses conditions d'existence mais comprenaient aussi que c'était la rançon d'une existence tendue vers un seul but.

     

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    LA SIGNATURE DE BEETHOVEN (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le mardi 21 octobre 2008 20:38

    Blog de colinearcenciel :BIENVENUE DANS MON MONDE MUSICAL, LA SIGNATURE DE BEETHOVEN
     
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    LA SANTE DE BEETHOVEN  (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le mardi 21 octobre 2008 21:43

    Blog de colinearcenciel :BIENVENUE DANS MON MONDE MUSICAL, LA SANTE DE BEETHOVEN

     

    Malgré ses négligences du "conventionnel" et de certaines règles de vie, ce qui l'aidèrent probablement à se maintenir en bonne santé c'est qu'il aimait à se promener au grand air plusieurs heures par jour et qu'il bénéficiait d'un sommeil profond réparateur.  Par tous les temps, il aimait se promener.

    En été, il partait à la campagne et partait dans la nature, il dormait même en plein air et il trouvait à se ressourcer dans les forces naturelles.

    Un bouleversement se fit dans l'âme du grand compositeur lorsqu'il se rendit compte qu'il devenait sourd.  Cette surdité ne mit pas fin à son travail.  C'est aussi dans cette course de vie de lutte contre sa surdité qu'il travailla beaucoup à son oeuvre créatrice.

     

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    BEETHOVEN, portrait  (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le mardi 21 octobre 2008 21:56

    Blog de colinearcenciel :BIENVENUE DANS MON MONDE MUSICAL, BEETHOVEN, portrait

     

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    CONCERTO N° 1 POUR PIANO - BEETHOVEN  (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le mardi 21 octobre 2008 22:01

     

    CONCERTO N° 1

     

    Le concerto pour piano n° 1 en ut majeur, op. 15, est un concerto pour piano et orchestre du compositeur allemand Ludwig van Beethoven. Premier des cinq concertos pour piano de Ludwig van Beethoven, il a été composé en1795.

    Sa première édition date de mars 1801, chez Mollo, après que Beethoven a réécrit la partie de piano. Il est dédié à Barbara dite Barbette de Keglevics, devenue princesse Odescalchi. Il lui avait déjà dédié la sonate en mi bémol majeur op. 7.

    Il reste encore ancré dans la tradition classique mozartienne, cependant Beethoven enrichit l'effectif orchestral en y ajoutant deux clarinettes, deux trompettes et des timbales.

    Il comprend trois mouvement dont l'exécution dure généralement un peu plus qu'une demi-heure :

    • Allegro con brio
       
    • Largo
       
    • Rondo. Allegro scherzando
       

    Dans le premier mouvement, l'orchestre énonce d'emblée les 3 thèmes et garde le monopole du premier. Beethoven a composé une cadence pour ce mouvement en 1809. Dans le second, en la bémol majeur, Beethoven est resté dans l'esprit de la variation et de l'improvisation. Le dernier mouvement est un rondo sonate. Le premier thème en do majeur est exposé directement au piano, selon l'usage. Il possède une grande vitalité, due en partie aux déplacements d'accents rythmiques.

     

     

     

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    BEETHOVEN ENTRE 1802 ET 1812, SA VIE (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le jeudi 23 octobre 2008 05:59

    Blog de colinearcenciel :BIENVENUE DANS MON MONDE MUSICAL, BEETHOVEN ENTRE 1802 ET 1812, SA VIE

    Durant dix années, entre 1802 et 1812, la vie de Ludwig Van Beethoven fut dirigée par une rigoureuse discipline et il composa chef d'oeuvre sur chef d'oeuvre. C'est durant cette période qu'il composa l'Héroïque jusqu'à la Huitième et les six symphonies dont chacune est un modèle de beauté et de profondeur.

    Fidélio, deux concertos pour piano, un concerto pour violon, un triple concerto pour piano, violon et violoncelle naquirent aussi durant cette pédiode. Toutes ses compositions y compris les plus petites ont une grande valeur et sont originales.  En dix ans à peine soit cent vingt mois, cinq cent semaines pour créer tout cela tient du miracle.

    Au point de vue intellectuel et au point de vue artistique l'effort produit par Beethoven est unique dans l'histoire car il donne à la musique une forme entièrement neuve.

    En 1830, les viennois ne jouaient pas Beethoven, il trouvait son oeuvre ennuyeuse et trop difficile.  A l'époque, deux ans avant, se mourait dans la solitude et la pauvreté, complètement méconnu, avec toute une pile de chef d'oeuvres jamais encore jouéees un homme jeune encore qui s'appelle Franz Schubert.

    Vingt ans auparavant, trois viennois de la haute société décidèrent de faire avec un contrat légal une pension de six mille florins à Beethoven et cela jusqu'à sa mort à la condition qu'il demeurât à Vienne. Pourtant tout le monde savait à l'époque que Beethoven deviendrait sourd au bout de quelques années. Trois mécènes donc, s'investirent dans l'oeuvre de Beethoven ne réclamant nulle autre condition.

    A l'époque aussi, de jeunes musiciens très pauvres, se mettaient gracieusement au service du Maître pour exécuter ses oeuvres.  Ils étaient fiers de se mettre à son service et révélerait le génie de Beethoven.

     

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    BEETHOVEN ET MAELZEL, SA VIE (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le jeudi 23 octobre 2008 06:39

    Blog de colinearcenciel :BIENVENUE DANS MON MONDE MUSICAL, BEETHOVEN ET MAELZEL, SA VIE

    Une partie du panharmonicon de Maelzel

    Johan Nepomuk Maelzel était mécanicien à la Cour à Vienne. Beethoven venait de passer une période critique de crise, où il ne se sentait plus créateur et où il était affaibli par une surdité cette fois affirmée. C'est là qu'intervient Maelzel : celui-ci lui construit des cornets acoustiques en adaptant à son piano des sortes de couvercles sonore qui lui permettrait d'entendre son propre jeu. Nous sommes en 1813.

    L'amitié des deux hommes se resserrent à cette époque. Wellington soulève l'enthousiasme par sa victoire à Vittoria en juin 1813 contre les troupes napoléonienne et Maelzel propose à Beethoven de créer une symphonie pour fêter cet évènement et de ce fait il mettrait en valeur son panharmonicon.

    En décembre 1813 un orchestre important fut constitué par notamment Salieri, Spohr, Mayseder, Hummel, Siboni,Giuliani et Beethoven dirigeait l'orchestre.  Le programme comprenait la Septième Symphonie, La Bataille de Vittoria et quelques marches jouées par la machine de Maelzel.  La salle était comble.

    Beethoven se brouilla avec Maelzel et leur collaboration se termina.  La Bataille de Vittoria est une oeuvre superficielle par rapport à tout ce que Beethoven a créé auparavant et il en avait conscience. Cependant elle eut beaucoup de succès.

    Le panharmonicon était un instrument de musique mécanique inventé parJohann Nepomuk Maelzel en 1804 dont il ne subsiste aujourd'hui aucun exemplaire.

    De très grande taille , il consistait en une sorte de clavier qui reproduisait les sons d'instruments mécaniques spécialement conçus pour lui, par la mise en jeu d'un soufflet et de rouleaux musicaux mécaniques. Les quarante-deux instruments qui composaient le panharmonicon étaient ceux d'un orchestre militaire : flûte, clarinette, trompette, violon, violoncelle, percussions, triangle. Maelzel commanda à Beethoven en 1813 une œuvre orchestrale pour inaugurer cet instrument singulier : ce fut la Victoire de Wellington. (source : wikipedia).

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    A PROPOS D'UNE CANTATE DE BEETHOVEN  (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le mercredi 29 octobre 2008 10:59

    Blog de colinearcenciel :BIENVENUE DANS MON MONDE MUSICAL, A PROPOS D'UNE CANTATE DE BEETHOVEN

    L'exécution de la cantate Der glorreiche Augenblick marqua un triomphe pour Beethoven.  C'est une oeuvre écrite pour une occasion extraordinaire qu'il connut lors du Congrès.

    Elle fut écrite en hommage au Congrès, aux Empereurs et aux rois entre les mains desquels reposaient les destinées de l'Europe.

    Le texte était de Aloïs Wessenbach, un agrégé qui écrivait des poèmes par désoeuvrement.  Ce texte est le fruit de ses efforts les plus pénibles. 

    Beethoven n'épargna rien de ce qui semblait digne de l'occasion : orchestre, choeurs et solistes furent réunis et l'on mit tout en oeuvre pour obtenir les effets les plus impressionnants.

    Ce manuscrit, comme La bataille de Vittoria, porte le témoignage d'un talent, d'un art dont aucun autre musicien n'a jamais approché.

    Extrait d'Eroïca, le roman d'un génie de Carl von Pidoll

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    Der glorreiche Augenblick - BEETHOVEN (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le mercredi 29 octobre 2008 11:03

     

     Der Glorreiche Augenblick Op. 136 -

    2. Recitativo: O seht sie nah und näherCantata for soloist,

    chorus & orchestra Op. 136.

    Text Aloys Weissenbach.

    Alla Simoni, soprano. Francesca Pedaci, soprano. Jeremy Ovenden, tenor. Robert Gierlach, bass. Coro Della Radio Svizzera 

     Orchestra Della Svizzera Italiana, Diego Fasolis.

     
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    LA BATAILLE DE VITTORIA - BEETHOVEN (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le mercredi 29 octobre 2008 11:03

     

     Une oeuvre particulière où l'ambiance de la bataille est bien traduite.

     
     
    Emplacement
    Espagne, une petite ville au sud de la rivière Zabora, 65 km au sud-est de Bilbao

    Guerre et campagne Guerre de la Péninsule

     

    PROTAGONISTES

    Anglais

    Français
    COMMANDANTS DES DEUX CAMPS
    général Marquis de Wellington
    Joseph Bonaparte, roi d’Espagne
    maréchal Jean-Baptiste Jourdan
    FORCES EN PRESENCE
    8.317 cavaliers
    fantassins :
    27.372 Anglais, 27 569 Portugais et 6.800 Espagnols
    90 canons
    soit 75.152 hommes
    7.000 cavaliers
    43.000 fantassins
    153 canons
    soit 57.000 hommes
    PERTES
       
     
    Description des opérations

    Avec la défaite de la Grande Armée en Russie, il devient impossible pour les Français de se maintenir en Espagne. Joseph Bonaparte choisit de regrouper ses forces sur la rivière Elbro, dans le nord du pays. Wellington mène la poursuite, bien décidé à porter un coup définitif.

    Il engage la bataille près de Vittoria en lançant à l’attaque quatre colonnes qui se soutiennent mutuellement. Le centre du dispositif français est percée et ses flancs tournés. Les troupes françaises refluent alors en désordre vers Vittoria. Toute l’artillerie et les bagages sont perdus dans le gigantesque embouteillage qui s’en suit. Leur pillage empêche néanmoins toute poursuite effective.

    Après cette débâcle, toutes les troupes françaises doivent évacuer l’Espagne.

     
    Particularités

    Le butin de l’armée de Joseph Bonaparte et son trésor (30 millions) sont perdus. Le bâton de maréchal de Jourdan est également pris. Wellington l’envoie au prince régent d’Angleterre qui, en retour, le fait maréchal.

    Cette bataille a tellement marqué les esprits du temps que BEETHOVEN en a fait une oeuvre musicale "La bataille de Vittoria" où il utilise des pétards, des armes à feu et où l'on peut entendre "Malbrout s'en va en guerre." (cette dernière information nous a été apportée par un de nos lecteurs, Christian Marchandon)

    Extrait du site : http://www.net4war.com/e-revue/batailles/empire1/vittoria.htmde1813

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    LA VICTOIRE DE WELLINGTON de Ludwig van BEETHOVEN - page 452 (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le lundi 06 décembre 2010 12:39

     

    Une reprise de cette oeuvre avec la deuxième partie qui suit. On entend le thème de la chanson "Malbrouk s'en va en guerre..."

    Blog de colinearcenciel :BIENVENUE DANS MON MONDE MUSICAL, LA PASTORALE - SYMPHONIE N° 6 - BEETHOVEN 

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    LA VICTOIRE DE WELLINGTON de Ludwig van BEETHOVEN II  (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le lundi 06 décembre 2010 12:41

     

    On sent l'ambiance de la bataille au travers de cette oeuvre parfaitement au niveau du son en stéréo.

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    FUGUE Op. 133 de Ludwig van BEETHOVEN Parth One  (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le lundi 06 décembre 2010 12:46

     

    FUGUE 133

    Ludwig van Beethoven

     

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