• BEETHOVEN ET LA FETE DU CONGRES

    FUGUE Op. 133 de Ludwig van BEETHOVEN Parth Two  (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le lundi 06 décembre 2010 12:47

     
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    THE BRITISH LIGHT DRAGOONS 1814 Ludwig van Beethoven  (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le lundi 06 décembre 2010 12:44

     
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    SONATE N° 8 de Ludwig van BEETHOVEN (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le lundi 06 décembre 2010 12:52

     

    Une très belle sonate que l'on est toujours ravi d'entendre et de réécouter.

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    BEETHOVEN ET LA FETE DU CONGRES (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le mercredi 29 octobre 2008 15:58

    Blog de colinearcenciel :BIENVENUE DANS MON MONDE MUSICAL, BEETHOVEN ET LA FETE DU CONGRES

    Cest le comte Rasumovsky qui avait été chargé par l'empereur d'organiser la fête au Congrès au nouvel à Vienne en 1815.

    Des milliers de chandelles illluminaient les salles de ce palais garni de nombreuses oeuvres d'art.

    Les lieux n'étaient pas assez grand pour recevoir tous les invités aussi un grand chalet en bois fut construit dans le parc.

    Danses, musique, jeux de hasard, charades, ballets et pièces de théâtre s'offraient au goût de chacun.

    Beethoven y était invité et Carl von Pidoll aussi. Et la fête battait son plein lorsque le désastre se produisit. Le feu se propagea à la vitesse de l'éclair dans ce chalet et se propagean vite au palais lui-même et quelques heures à peine plus tard, soit douze heures il ne restait que des murs noircis où s'élevaient des cheminées pareilles à des colonnes sorties du cauchemar.

    Il n'y eut pas de victimes.

    Beethoven s'en alla près des bords du Danube par des sentiers qu'il connaissait bien. Des flammes gigantesques s'élevait dans le ciel quant Beethoven dit soudain, après une demie heure de silence "Voilà où s'en va le Congrès ... Voilà où s'en va toute sa frivolité, toute sa vanité... Voilà où s'en va ce qu'il aurait pu être... tout ce qu'il  aurait dû être ... mais n'a pas été".

    Il ajouta :"C'est comme cela que je m'en vais aussi...".

    Son ami se tenait à côté de lui, celui qui avait assisté à ce spectacle où Beethoven avait, dans sa période de grande fatigue où il sentait que l'inspiration de création ne lui venait plus et qu'il en était désespéré, la période où il luttait contre cette surdité grandissante et où il avait fait partie de la représentation pas du tout à sa hauteur auprès de ce personnage Maelzel (voir article antérieur) voici qu'il s'exclamait : "J'ai péché, exactement comme le Congrès a péché... Je me suis vendu à bon marché comme une prostituée... J'ai trahi Dieu...

    Son ami complètement interdit retenait son souffle.

    Beethoven continuait :"J'ai trahi l'esprit qui était en moi".  Il sorti de sa poitrine un sanglot sec comme arraché du plus profond de lui ; les deux coudes appuyés sur les genoux, il enfouit son visage dans ses mains...

    "J'ai voulu fuir le Vide... Etre seul m'était insupportable... être seul et sans rien en moi... non seulement délaissé par les gens... mais par la musique aussi..."

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    LE FEU AU CONGRES, LE DECOURAGEMENT DE BEETHOVEN (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le mercredi 29 octobre 2008 16:17

    Blog de colinearcenciel :BIENVENUE DANS MON MONDE MUSICAL, LE FEU AU CONGRES, LE DECOURAGEMENT DE BEETHOVEN

    Puis il s'écria brusquement : "Pourquoi la musique ne vient elle plus à moi ? Qu'ai je donc fait pour que je doive souffrir cela également ? J'ai tout sacrifié... oui, tout sacrifié... pourquoi plus rien ne vient-il à moi ?"

    Son ami lui répondit en lui posant la main sur le bras :" Tout le monde passe par des périodes de fatigue ; personne n'a des forces illimitées : il faut vous reposer... et attendre ! Tout cela reviendra j'en suis sûr ! Tout cela reviendra !"

    Beethoven tourna ses yeux vers lui "Quelle bonne âme fidèle , murmura t'il, quelle âme bonne et fidèle..." Et puis il se leva et dit :"Je rentre, j'ai froid". Il chancelait, il avait un malaise et comme de la fièvre.

    Son ami l'accompagna jusque chez lui, l'aida à se mettre au lit et attendit que le musicien s'endormi profondémment avant de partir doucement...

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    BEETHOVEN QUE J'ADMIRE TANT (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le mercredi 29 octobre 2008 16:55

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    L'oeuvre de Beethoven m'émeut jusqu'aux larmes : je trouve ses symphonies grandioses et extraordinaires ! Une émotion intense m'envahit chaque fois lorsque j'écoute ses oeuvres monumentales et toute en sensibilité : c'est d'une beauté à couper le souffle ! Il exprime dans sa musique tous les grands sentiments humains mais aussi son oeuvre est en parfaite harmonie avec la nature et j'ai remarqué déjà cela lorsque, avec mon père, j'écoutais pour les premières fois ses symphonies, mon regard partait vers la fenêtre et quelque soit le temps, vent, pluie ou orage : la nature semblait se balancer, se bercer au rythme et aux mouvements de la musique du grand Maître.

    Faites l'expérience d'écouter ces symphonies en regardant la nature et les arbres si vous le pouvez. Ce qui me fascine c'est avant tout l'oeuvre de Beethoven, sa vie, lui-même me touche aussi mais c'est sa musique que je trouve extraordinaire et de par sa musique Beethoven est un être extraordinaire, de par sa vie offerte à la musique il est magnifique !

    Coline

     

     

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    SYMPHONIE N° 5 - LA SYMPHONIE DU DESTIN - BEETHOVEN  (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le mercredi 29 octobre 2008 17:04

     

     

    SYMPHONIE N° 5

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    Ludwig van Beethoven

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    5 en ut mineur, opus 67, dite "Symphonie du Destin", a été écrite par Ludwig van Beethoven en 1805-1807. Le compositeur a dédié l'œuvre au prince Lobkowitz et au comte Razumovsky, un diplomate russe qui avait commandé trois des quatuors à cordes de Beethoven.

    Cette symphonie, qui est au fil du temps devenue l'une des compositions les plus populaires de la musique classique, est fréquemment exécutée et enregistrée.

    Elle a acquis une grande renommée dès les premiers temps qui ont suivi sa première exécution, le 22 décembre 1808 au Theater an der Wien de Vienne : E.T.A. Hoffmann l'a alors décrite comme l'« une des œuvres les plus marquantes de l'époque ».

    Ce mouvement est l'un des plus intenses de l'histoire de la musique. On retrouvera cette intensité dans les œuvres de Beethoven en do mineur, son troisième concerto pour piano et son quatuor opus 18 no4.

    Mais tout le génie de Beethoven se remarque surtout dans cette symphonie, composée en même temps que la suivante en fa majeur, "pastorale", et que la fantaisie opus 80 pour chœur, piano et orchestre, où Beethoven manifeste déjà l'envie d'ajouter la voix à sa symphonie.

     

     

     

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    HISTOIRE DE LA SONATE POUR PIANO N° 28 DE BEETHOVEN  (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le jeudi 30 octobre 2008 17:09

     

    Peu après l'incendie du Congrès, Beethoven composa le quatuor à cords en la mineur Op. 95 et il composa aussi une Sonate pour pinao qui fut publkiée un an avant le quatuor.

    Elle mérite d'attirer l'attention car elle est d'une captivante beauté. Les circonstances de la naissance de cette oeuvre mérite qu'on y jette de la lumière. Cette sonate est dédiée à la baronne Dorotheavon Ertmann, la femme du lieutenant-général Stephan Ertmann.

    La baronne était douée d'un talent rare et elle avait toujours été une amie de Beethoven car elle interprétait ses oeuvres au piano avec un art qu'il admirait sans réserve.  Pendant toutes les années que dura leur amitié elle et son mari habitèrent Vienne jusqu'en 1818 - le compositeur lui donna de précieuses indications sur la manière de jouer ses oeuvres, lui expliquant à coeur ouvert ce qu'il voulait. Beethoven estimait que seule cette femme arrivait à jouer ses oeuvres convenablement.

    La baronne avait un fils qui lui causa de nombreux soucis car il était d'une santé fragile et malheureusement il fut emporté par une maladie infectueuse.  La baronne fut plongé dans les plus grands chagrins mettant en danger son équilibre mental. Son mari s'en rendit compte et il était au combre du désespoir quand il rencontra un jour Beethoven et il lui raconta toutes ses craintes.

    Le Maître lui répondit :"amena la chez moi, peut être pourrais-je faire quelque chose pour elle".  Immédiatement le baron emmena sa femme chez Beethoven et les laissa seul.

    Beethoven s'assit au piano et commença à jouer : la baronne se mit à pleurer en un flot de larmes, les premières larmes qu'elle put verser depuis la mort de son fils. Quelques heures plus tard, acceptant son destin et décidée à se dévouer de nous toute entière à la vie, à ses devoirs, à ses joies et ses tristesses.

    Cette sonate dédiée ensuite à la baronne Ertmann fut composée ce jour-là : elle prit naissance ce jour-là et cette sonate contient une expression de la consolation, de la sagesse, et de la foi qui sauvèrent du désespoir la baronne Ertmann et apaisèrent son âme tourmentée.

     

    La Sonate pour piano n° 28 en la majeur, opus 101, de Ludwig van Beethoven fut composée en 1816, publiée en février 1817 et dédiée à la baronne Dorothea Cécilia Ertmann que le compositeur surnommait affectueusement sa « Sainte Cécile ».

    Comme la célèbre Sonate pour piano n° 29 elle était destinée au« Hammerklavier » (piano-forte). Elle appartient au groupe des dernières sonates de Beethoven, dans lesquelles le compositeur porta l'écriturepianistique à un point de perfection et de difficulté inédits.

    La Sonate n° 28 comporte quatre mouvements, pour la première fois intitulés en allemand, et sa durée d'exécution approche les 20 minutes :

    1. Etwas lebhaft, und mit der inngsten Empfindung. (Assez vif avec le sentiment le plus intense). Allegretto, ma non troppo

    2. Lebhaft. Marschmäßig. (Animé. Mouvement de marche). Vivace alla marcia

    3. Langsam und sehnsuchtsvoll. (Lent et plein d'une inspiration ardente). Adagio, ma non troppo, con affetto

    4. Geschwind, doch nicht zu sehr und mit Entschlossenheit. (Vite, mais pas trop et avec décision). Allegro

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    SONATE N° 28

     

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    LA SONATE n° 28 - BEETHOVEN (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le jeudi 30 octobre 2008 17:15

     

     

    SONATE n° 28

    I

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    Interprété par Maria Yudina

    II

     

     

     

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    PERIODE CREATRICE DE BEETHOVEN (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le samedi 15 novembre 2008 22:04

    Blog de colinearcenciel :BIENVENUE DANS MON MONDE MUSICAL, PERIODE CREATRICE DE BEETHOVEN

    Ludwig van Beethoven connaît deux grandes périodes créatrices : celle qui s'étend de 1802 à 1812 et celle qui va de 1816 jusqu'à sa mort.

    Ces deux périodes offrent des oeuvres de style différent bien que ce soit le même musicien qui les ait composé.

    Le sens réel de la première période beethovenienne (1802-1812) reste un mystère pour un certain nombre de gens. Tous ceux qui admiraient l'oeuvre du Maître et qui le connaissaient, une oreille pour entendre et un coeur pour sentir, saisissaient le message proclamé au monde avec une inégalable puissance : "Voici l'homme face à son Destin ! L'homme doit être fier et triomphera finalement  en dépit de tout ! Il choisira entre Dieu et Satan !  Son âme est un champ de bataille où se livre le combat éternel entre le bien et le mal, la vérité et le mensonge, l'honneur et l'infamie, et c'est sur le champ de bataille seulement que le destin décide entre la lumière et l'obscurité !".

    Mais ce que proclama le second Beethoven ne fut entendu que de quelques uns.

    Une âme humaine qui s'élève jusqu'à une région où sa lutte avec le destin n'a plus aucune signification parce que le plan sur lequel elle se livrait est de beaucoup dépassé, cela est, peut-on dire, plus sublime encore.  Car c'est une élévation jusqu'au coeur même de la vérité éternelle, une élévation jusqu'à ces sommets où Dieu et Satan, le bien et le mal, la vérité et le mensonge, l'honneur et l'infamie, ne sont plus des antithèses parce que éclairé par la lumière de l'Etre unique et indivisible, vers lequel nous aspirons tous de notre désir le plus intime et que tous nous considérons, chacun selon nos vues personnelles, comme la fin et le but suprême de notre vie.

    L'élévation de l'âme, voilà réellement le thème des dernières oeuvres de Beethoven.  C'est celui de la Missa Solemnis, des sonates pour piano et des quatuors composés à cette époque, des variations de Diabelli, et, par dessus tout, celui de la Neuvième symphonie.

     

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    BEETHOVEN ET SA CREATIVITE MUSICALE  (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le samedi 15 novembre 2008 21:38

    Blog de colinearcenciel :BIENVENUE DANS MON MONDE MUSICAL, BEETHOVEN ET SA CREATIVITE MUSICALE

    Carl Von Pidol, ami de Beethoven se demandait pourquoi Beethoven demeura musicalement stérile durant quatre années...

    Matériellement, il avait négligé sa santé et se dépensait sans compter jusqu'à l'épuisement physique et intellectuel mais là n'est pas toute l'explication, ajoute t'il.

    Les processus obscurs dans l'âme d'un génie créateur sont trop mystérieux et complexes pour que l'on puisse les résoudre comme un problème de mathématiques ou les analyser comme un processus physiques.  A l'avis de cet ami, Beethoven se tut durant ces années car il avait exprimé tout ce qu'il avait à dire.

    Sa créativité se réveilla à nouveau après avoir traversé une expérience vitale et une nouvelle façon de juger les choses.

    Il dit encore que Beethoven ne se consacra jamais à la musique par amour pour elle.  Il n'avait rien d'un faiseur de musique.  Il composa dans le seul but de délivrer un message, son message.

    "Son travail impitoyable par sa peur terrible de la surdité, le conduisit à dire tout ce qu'il avait à dire et son oeuvre existait déjà, absolument parfaite, avant que l'évolution de sa personnalité d'homme mûr me mît en lumière les nouveaux éléments, les nouvelles richesses qui allaient devenir la substance et le thème d'un nouveau message et d'une oeuvre nouvelle" ajoute Carl Von Pidol.

     

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    SONATE N° 5 LE PRINTEMPS de Ludwig van BEETHOVEN  (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le samedi 15 novembre 2008 21:44

     

     

    SONATE N° 5

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    Blog de colinearcenciel : BIENVENUE DANS MON MONDE MUSICAL, SONATE N° 5  LE PRINTEMPS de Ludwig van BEETHOVEN 

     

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    MISSA SOLEMNIS de LUDWIG VAN BEETHOVEN  (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le samedi 15 novembre 2008 22:09

     

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    I

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    A      S O L E M N I S            B E N E D I C T U S

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    CREDO - MISSA SOLEMNIS - BEETHOVEN (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le samedi 15 novembre 2008 22:24

     

     

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    M I S S A   S O L E M N I S

     

     

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    LES DERNIERES OEUVRES DE BEETHOVEN  (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le dimanche 16 novembre 2008 11:45

    Blog de colinearcenciel :BIENVENUE DANS MON MONDE MUSICAL, LES DERNIERES OEUVRES DE BEETHOVEN

    "L'élévation de l'âme, voilà réellement le thème des dernières oeuvres de Beethoven.  C'est celui de la Missa Solemnis, des sonates pour piano et des quatuors composés à cette époque, des variations de Diabelli, et par desus tout, celui de la Neuvième Symphonie.

    Kant exprime que le monde est régit par des lois de cause à effet, comme un monde des apparences. Rien comme la musique ne peut davantage nous faire pénétrer la vérité authentique à laquelle nous aspirons tous au delà du monde des apparences. La signification des oeuvres de Beethoven réside dans le fait que ces oeuvres atteignirent un sommet inégalé."

    Voilà comment s'exprime l'ami de Beethoven, son ami le plus proche qui l'a fréquenté durant trente années.  Il nous en apprendra encore sur le Maître dans les articles qui suivent."

     L'ART DE COMPOSER - A PROPOS DE BEETHOVEN  (BEETHOVEN LUDWIG VAN)

    posté le dimanche 16 novembre 2008 12:08

    Blog de colinearcenciel :BIENVENUE DANS MON MONDE MUSICAL, L'ART DE COMPOSER - A PROPOS DE BEETHOVEN

    Tous ceux qui connaissent la technique et l'art de la composition, ou qui s'intéressent aux compositeurs et à leur méthode de travail, savent que la plupart d'entre eux ont une idée suffisamment claire de ce qu'ils ont à dire pour l'écrire, installés à leur table, sans avoir recours à leur instrument.

    Mozart et Haydn n'ont jamais composé autrement : lorsqu'ils mettaient leur composition sur papier, jamais ils ne sentaient le besoin de les jouer d'abord au piano afin d'en juger par l'oreille.

    Ce n'est pas une règle absolue, mais beaucoup de compositeurs, dont Beethoven, travaillent ainsi.  L'oeuvre naissante prenait forme toujours si clairement dans son imagination que la perte de l'ouïe, à cet égard, ne devait pas lui nuire.

    L'art de composer n'est pas un talent de naissance.  On l'acquiert par l'expérience, le travail, l'étude ; il n'est pas plu sinné que ne l'est la faculté de parler, de lire ou d'écrire.

    Un homme qui a excellé dans ce talent ne le perdra pas même si un jour il est atteint de surdité.

    Beethoven fit un travail gigantesque car il pensait que sa surdité deviendrait complète et il la craignait car il ne pourrait plus entendre l'exécution de ses oeuvres mais aussi celle des autres.  De plus il serait exclu du monde des sons.

     

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    A PROPOS DE BEETHOVEN et L'ART DE COMPOSER  (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le dimanche 16 novembre 2008 13:06

    Blog de colinearcenciel :BIENVENUE DANS MON MONDE MUSICAL, A PROPOS DE BEETHOVEN et L'ART DE COMPOSER

    Toute chose neuve, toute vraie création résulte toujours du fait que l'artiste a d'abord étudié, compris, assimilé les découvertes essentielles du passé, avant d'apporter sa propre contribution au grand édifice de l'Art où son destin et ses dons l'ont dirigé.  On imagine difficilement que Beethoven eût écrit l'oeuvre qu'il a écrite s'il n'avait pas connu à la perfection celles de Mozart, de Haydn, et de tant d'autres de ses prédécesseurs et de ses contemporains.

    Pour continuer véritablement à faire oeuvre créatrice, l'artiste doit pouvoir "revivre" sans cesse les choses qu'il a créées - les entendre, les voir, les lire - les sentir, les considérer comme des oeuvres vivant par elles-mêmes, et se soumettre alors, lui, à leur influence.  C'est ainsi seulement qu'il sera à même de donner au monde des créations neuves.  Or, la musique est l'art par excellence appartenant au monde des sons : aussi longtemps qu'elle n'est qu'écriture, notée seulement sur le papier, elle ne vit pas.

    Et c'était cela que redoutait Beethoven : la perpective d'être retranché de l'univers de ce qui constitue l'expérienece musicale par excellence ; c'était pour cela qu'il se préparait, et avec raison, en vue du jour où ses dons créateurs s'affaibliraient peu à peu pour s'anéantir finalement.

    Rien au monde ne put vivre sans nourriture ; rien au monde ne put donner avant d'avoir reçu - pas même les esprits créateurs les plus riches.  Car même l'esprit d'un très grand artiste n'est pas perpettum mobile, c'est un organisme vivant, soumis aux lois de toute vie organique.

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    Comment a t'il pu continuer à composer en étant devenu sourd ?  Où ses facultés créatrices trouvaient-elles désormais leurs nourritures ? 

    Beethoven durant dix ans lutta contre la surdité.  Il la haïssait et c'était alors le cauchemar de sa vie et c'est en luttant contre elle qu'il atteignit le but suprême qu'il s'était imposé.

    Le dernier Beethoven, au contraire, acceptait la surdité comme une véritable amie.  Car c'était elle qui défendait de toute intrusion du monde extérieur les lieux secrets où l'âme de  l'artiste s'entretenait avec les choses éternelles et la vérité absolue.

    Elle lui permettait de découvrir dans la musique des domaines vierges et de créer un langage musical qui eût le don d'exprimer l'ineffable.

     

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    LA RETRAITE INTERIEURE DE BEETHOVEN  (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le dimanche 16 novembre 2008 16:44

    N'oublions pas qu'il composa la Neuvième symphonie en étant déjà sourd et elle était si compliquée qu'elle n'était pas interprétable, il dût la simplifier. Vous trouverez sa Symphonie IX dans les pages précédentes, cliquez sur la rubrique qui est destiné à ce Maître , ainsi que bien d'autres oeuvres.

     

    Est ce que parceque Beethoven était bizarre les dix dernières années de sa vie qu'il est ridicule d'oser affirmer qu'il était détraqué. De plus en plus, dans sa retraite, Beethoven se négligeait dans sa façon de s'habiller, et son mode d'existence risquait de choquer la société bourgeoise dont il méprisait les conventions.

    Ceux qui étaient incapable de comprendre la grandeur de la solitude dans laquelle il vivait, se sentaient parfois repoussés par les apparences extérieures de cette vie profonde. 

    Quelques années avant sa mort, il fut même arrêté comme un vagabond...

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    Voici son "Sanctus" dans sa Missa Solemnis.

     

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    BEETHOVEN arrêté comme un vagabond (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le dimanche 16 novembre 2008 16:54

    Blog de colinearcenciel :BIENVENUE DANS MON MONDE MUSICAL, BEETHOVEN arrêté comme un vagabond

    Nous disions donc dans l'article précédent que Beethoven s'était enfermé dans la solitude et une vie profonde.  En effet, il se fit arrêté un jour comme vagabond.  C'était à Baden, il était parti pour faire une promenade car comme vous avez pu le lire dans les pages qui concernent ce grandiose musicien, il aimait les promenades et la nature.  Il oubliait les heures, le temps qui passe et l'endroit vers lequel il se dirigeait et de ce fait, la soirée ce jour-là, étant fort avancée, il se trouva devant les barrières fermées de Wiener Neustadt. 

    Comme il n'avait pas de papier d'identité et que le garde crut qu'il se moquait de lui lorsqu'il affirma qu'il était Beethoven de Vienne, on l'arrêta.

    Finalement, tant il insistait, on décida d'aller réveiller le Musikdirector de Wiener Neustadt.

    La surprise et la confusion furent grandes lorsque non seulement il fut confirmé ce que Beethoven avait dit, mais encore, avec un visible respect, ce directeur reçu chez lui Beethoven lui offrant l'hospitalité et le traita comme un invité de marque.

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    LES RELATIONS AVEC BEETHOVEN LES DERNIERES ANNEES  (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le dimanche 16 novembre 2008 17:25

     

    La vie sociale de Beethoven devenait de plus en plus difficile.  Le langage parlé, pour lui était trop lent et l'impatientait au dernier point : il fallait écrire tout ce que l'on avait à lui dire. Il s'irritait, et son habitude de regarder par dessus l'épaule de son interlocuteur ce que celui-ci écrivait avant que la phrase ne fut achevée, amenait des malentendus souvent très pénibles. Bref, des entretiens avec des personnes qui ne lui étaient pas familières lui devirent de plus en plus insupportables.

    Sans raison, il se méfiait de son entourage, de ses domestiques, de ses propriétaires, de ses secrétaires, et les exemeples de traitemnt injusqte qu'il infligeait à ceux qui étaient plus que désireux de l'aider se multipliaient.

    Très souvent, il oubliait les ordres qu'il avait donnés la veille et s'emportait violemment si on les exécutait, alors qu'il avait changé d'avis.  Sa société n'était pas des plus agréables, et tous ceux qui, ces années-là, sont demeurés auprès de lui en l'aidant de leur mieux, ont droit à une immense reconnaissance.

    Mais très souvent aussi, il se rendait compte combien il rendait la vie difficile aux autres.  En ces moments-là, il regrettait sincèrement son injustice et ses éclats de colère, et il cherchait en faisant preuve de remords touchants à se concilier ceux qu'il avait offensés. Et même en un de ces jours où il était bien disposé, il fit sa propre satire dans une petite pièce -un rondon pour piano en sol majeur - qui, j'ignore pourquoi, est connu sous le nom de " Colère à propos d'un Sou perdu".

    C'est la caricature d'un homme s'emportant pour un rien, d'un homme qu'irritent continuellement les petits ennuis de la vie quotidienne. 

    Ci-dessus le TRIO pour CLARINETTE, VIOLONCELLE et PIANO in B Flat Majeur Op.11 de Ludwig van BEETHOVEN

    Clarinet: Christopher Hill
    Cello: Dr. Karren Melik-Stepanov
    Piano: Victor Yip

     

     

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    BEETHOVEN dérange ses voisins (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le dimanche 16 novembre 2008 17:33

    Un extrait de Copiyng Beethoven où il porte des appareils pour l'aider dans sa surdité croissante mais où il dérange ses voisins.

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    SUBLIME PASSAGE où BEETHOVEN DIRIGE - Extrait du film  (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le dimanche 16 novembre 2008 17:41

     

    Sublime passage où Beethoven dirige le grand orchestre symphonique, la chorale et les interprètes solo dans cet extrait de Copying où vous reconnaissez la NEUVIEME SYMPHONIE.

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    Liste des Oeuvres : Variations de Ludwig van Beethoven  (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le samedi 04 août 2012 23:57

    Blog de colinearcenciel :BIENVENUE DANS MON MONDE MUSICAL, Liste des Oeuvres : Variations de Ludwig van Beethoven

    Variations

    Opus 34: Six variations on a theme in F major (1802)
    Opus 35: Fifteen variations and a fugue on an original theme in E-flat major ("Eroica Variations") (1802)
    Opus 76: Six variations on an original theme in D major (1809)

    Opus 120: Thirty-three variations on a waltz by Diabelli in C major ("Diabelli Variations") (1823)
    WoO 63: Nine variations for piano on a march by Ernst Christoph Dressler
    WoO 64: Six Variations on a Swiss song for piano or harp
    WoO 65: Twenty-four variations for piano on Vincenzio Righini's aria "Venni Amore"
    WoO 66: Thirteen variations for piano on the aria "Es war einmal ein alter Mann" from Carl Ditters von Dittersdorf's opera Das rote Käppchen
    WoO 67: Eight variations for piano four hands on a theme by Count Waldstein
    WoO 68: Twelve variations for piano on the "Menuet a la Vigano" from Jakob Haibel's ballet La nozza disturbate
    WoO 69: Nine variations for piano on "Quant'e piu bello" from Giovanni Paisiello's opera La Molinara
    WoO 70: Six variations for piano on "Nel cor più non mi sento" from Giovanni Paisiello's opera La Molinara
    WoO 71: Twelve variations for piano on the Russian dance from Paul Wranitzky's ballet Das Waldmädchen
    WoO 72: Eight variations for piano on "Une Fièvre Brûlante" from André Grétry's opera Richard Coeur-de-lion
    WoO 73: Ten variations for piano on "La stessa, la stessissima" from Antonio Salieri's opera Falstaff
    WoO 74: "Ich denke dein" — song with six variations for piano four hands
    WoO 75: Seven variations for piano on "Kind, willst du ruhig schlafen" from Peter Winter's opera Das unterbrochene Opferfest
    WoO 76: Eight variations for piano on "Tandeln und scherzen" from Franz Xaver Süssmayr's opera Soliman II
    WoO 77: Six easy variations on an original theme for piano
    WoO 78: Seven variations for piano on "God Save the King"
    WoO 79: Five variations for piano on "Rule Britannia"
    WoO 80: Thirty-two variations on an original theme in C minor (1806)
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    L'AMI DE BEETHOVEN  (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le dimanche 23 novembre 2008 06:29

    Blog de colinearcenciel :BIENVENUE DANS MON MONDE MUSICAL, L'AMI DE BEETHOVEN

    L'archiduc Rodolphe, second fils de l'empereur Léopold fut dévoué à  l'oeuvre de Beethoven ; il fut aussi son élève et son ami.

    Il était beaucoup plus jeune que le maître à qui il vouait une grande vénération. Il était né à Florence en 1988.

    Les liens entre les deux hommes étaient si fort que Beethoven lui dédia plusieurs de ses oeuvres dont la Missa Solemnis qui fut censurée par l'église, Beethoven était connu pour son anticléricalisme. Il ne mettait jamais les pieds à un office religieux et les prêtres n'admettait pas qu'il eût écrit une messe. Cette messe fut écrit en l'honneur de l'intronisation du prince.

    Ce fut une des dernières oeuvres connues du maître.

     

     

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    LES PARENTS DE BEETHOVEN (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le dimanche 23 novembre 2008 06:34

    Blog de colinearcenciel :BIENVENUE DANS MON MONDE MUSICAL, LES PARENTS DE BEETHOVEN

    Ici le portrait des parents de Beethoven, rappellons-nous ce père, musicien lui aussi mais combien rude et alcoolique, qui battait son fils pour qu'il apprenne ce que lui souhaitait. Car Louis eut une enfance très difficile et rude. Et puis , cette pauvre mère qui tentait d'adoucir le tout mourût trop vite, ce qui laissa le garçon dans une situation impossible. Son père, il le perdit assez vite ce qui changea la vie du Maître car il put s'épanouir autrement dans la musique dans un climat de quiétude. La rubrique qui est consacrée au maître donne beaucoup de détails concernant sa vie.

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    BAGATELLE - BEETHOVEN et GLENN GOULD  (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le lundi 22 décembre 2008 21:53

     

     

    BAGATELLE

     

     

     

     

     

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    BEETHOVEN DIRIGE  (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le lundi 22 décembre 2008 23:07

     

    Extrait de Copying

     

    .

     

     
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    LA CINQUIEME SYMPHONIE DE MON AMOUR DE BEETHOVEN (pour le Nouvel An 2009)  (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le mercredi 31 décembre 2008 20:32

    Blog de colinearcenciel :BIENVENUE DANS MON MONDE MUSICAL, LA CINQUIEME SYMPHONIE DE MON AMOUR DE BEETHOVEN (pour le Nouvel An 2009)

     

    BONNE

    . 

    ET

    ....

     HEUREUSE

    .

     ANNEE

    .

    2009

     

     

     

    .

     LA CINQUIEME

    ................

    SYMPHONIE

    .

     

     

     

     
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    LES CITATIONS DE LUDWIG VAN BEETHOVEN  (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le dimanche 04 janvier 2009 13:00

    Blog de colinearcenciel :BIENVENUE DANS MON MONDE MUSICAL, LES CITATIONS DE LUDWIG VAN BEETHOVEN

     

    Je ne connais pas d'autres marques de supériorité chez l'homme que la bonté

                           __________

    Seul les coeurs purs font de la bonne soupe.

                                _______________

    Seul l'art et la science élèvent l'homme jusqu'à la divinité. 

                            ___________

     Bienheureux celui, qui ayant appris à triompher de toutes les passions met, son énergie dans l'accomplissement des tâches qu'imposent la vie sans s'inquiéter du résultat. 

                             ___________

    Ce qui compte dans l'effort c'est avant tout l'action, plutôt que le résultat.

                             ___________

    La musique est une révélation plus haute que toute sagesse et philosophie. 

           ♫ ¨ * ¤. ¸ ¸. ¤ * ¨ * ¤. ¸ ¸. ¸. ¤ * ¨ ¨ * ¤. ¸ ¸. ¸. ¤ * ¨ ¨ * ¤. ¸ ¸. ¤ * ¤. ¸¸ . ¤ * ¨ ¨ ♫                   ___________

    Croyez-vous que je pense à un sacré violon quand l'Esprit me parle, et que j'écris ce qu'il me dicte ?

                             ___________

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    MA PASSION POUR BEETHOVEN (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le lundi 05 janvier 2009 19:09

    Blog de colinearcenciel :BIENVENUE DANS MON MONDE MUSICAL, MA PASSION POUR BEETHOVEN

    Beethoven joue avec Mozart

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    SONATE POUR VIOLONCELLE - BEETHOVEN  (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le mardi 20 janvier 2009 08:11

    Blog de colinearcenciel :BIENVENUE DANS MON MONDE MUSICAL, SONATE POUR VIOLONCELLE - BEETHOVEN

     

     

     

     

    SONATE POUR VIOLONCELLE

    ...

    Ludwig van Beethoven

     

    ...

     

     

     

    ...

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    MESSE SOLENNELLE I - BEETHOVEN (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le vendredi 24 avril 2009 08:39

     

    Ancien enregistrement car l'orchestre et le choeur sont dirigés par Arturo Toscanini  (1867-1957) ; l'orchestre symphonique NTB.

     

     

     

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    MESSE SOLENNELLE II - BEETHOVEN (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le vendredi 24 avril 2009 08:45

     

     

     

     

     

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    MESSE SOLENNELLE III - BEETHOVEN (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le vendredi 24 avril 2009 08:47

     

     

    Le son laisse à désirer mais il est intéressant d'entendre comment Toscanini menait cet orchestre... à l'époque...

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    MESSE SOLENNELLE IV - BEETHOVEN (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le vendredi 24 avril 2009 08:49

     

     

    Je me demande si cette messe n'était pas une commande car j'y sens un peu de "fabriqué" sans mésestimer le grand Maître Beethoven qui était anticlérical. Ses symphonies sont beaucoup plus harmonieuses et cohérentes selon moi. On reconnaît néanmoins son style unique.

     

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    VERSION différente DE LA MESSE SOLENNELLE de BEETHOVEN (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le vendredi 24 avril 2009 08:52

     

    Autrement douce à l'oreille... bien qu'il y a certains passages qui me semblent mal intégré. Même impression que dans l'article précédent : Beethoven a t'il dû se contraindre ?

    Non, il s'agit de musique électronique...

    De ce fait, le rendu ne sera jamais le même.

     

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    LISTE CHRONOLOGIQUE DES OEUVRES DE BEETHOVEN III  (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le vendredi 08 mai 2009 10:16

    1790-1792

    Fragment de concerto pour violon, édité à Vienne 1879, dédicace à Gerhard von Breuning
    Fragment d'une sonate pour violon et piano en la majeur [attribution incertaine] 

    Deux mouvements de sonate en fa majeur, édité à Munich et Duisburg,1950 (facsimiles dans L. Schmidt, « Beethoven-Briefe», Berlin 1909, dédicacé à Franz Gerhard Wegeler 
    Six variations pour piano sur un chant suisse (fa majeur) pour harpe / piano, édite à Bonn 1798 ?

    1791
    [sans n° d'opus] 2 airs pour la «Schöne Schusterin» (La belle cordonnière)
    (1791 ?) Trio pour piano en mi bémol majeur, édité à Frankfurt 1830 

    1791-179

    (vers 1791-1792) Allegretto en mi bémol majeur, trio pour piano, édité à Londres 1853

    1791-1801
    12 Contredanses pour 2 violons, basse et piano (publiés à Vienne en 1802)

    1792
    [opus 44 ] [esquissé en 1792) Trio n° 11, 14 variations en mi bémol majeur sur un thème originel (piano, violon, violoncelle), édité à Leipzig en 1804
    [opus 103 ] (avant novembre 1792, révisé en 1793) Octuor en mi bémol majeur (2 hautbois, 2 clarinettes, 2 cors, 2 bassons), édité à Vienne 1830
    [opus posthume] Que le temps me dure, air en do mineur
    Allegro et Menuet en sol majeur pour 2 flûtes, édité par A. W. Thayer, « Ludwig van Beethovens Leben» (2), H. Deiters, Berlin 1901
    13 variation pour piano sur l'ariette Es war einmal ein alter Mann extrait de «Das rothe Käppchen» de Dittersdorf (la majeur), édité à Bonn 1793

    8 variations en do majeur sur un thème du comte Waldstein, pour piano à quatre mains, édité à Bonn e, 1794 

    1792-1793

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    LISTE CHRONOLOGIQUE DES OEUVRES DE BEETHOVEN IX  (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le vendredi 08 mai 2009 10:28

    1805
    [opus 32 ] An die Hoffnung: Die du so gern in heil'gen, en mi bémol majeur, voix et piano, poème de C. A. Tiedge
    [opus 52] 8 Lieder (voix piano). 1- Urians Reise um die Welt : Wenn jemand eine Reise thut (la mineur) sur un poème de M. Claudius ; 2- Feuerfarb' : Ich weiss eine Farbe (sol majeur) sur un poème de Sophie Mereau ; 3- Das Liedchen von der Ruhe : Im Arm der Liebe ruht sich's wohl (fa majeur) sur un poème de H. Wilhelm F. Ueltzen ; 4- Mailied : Wie herrlich leuchtet (la bémol majeur), Sur un poème de Goethe ; 5- Molly's Abschied: Lebe wohl, du Mann der Lust (sol majeur) sur un pème de Burger ; 6- Die Liebe : Ohne Liebe lebe wer da kann (fa majeur) sur un poème de G. E. Lessing ; 7- Marmotte : Ich komme schon durch manches Land (la mineur) sur un poème de Goethe ; 8- Das Blumchen Wunderhold : Es steht ein Blumchen irgend wo in (en sol majeur) sur un poème de Burger
    [opus 56 ] Triple concerto en do majeur (piano, violon, violoncelle et orchestre)

    1806
    [opus 59 ] 3 Quatuor pour cordes Rasumovsky n° 7 (fa majeur) ; n° 8 (mi mineur) ; n° 9 (do majeur), édité à Vienne 1806, dédicacé au comte Rasumovsky
    [opus 60 ] Symphonie n° 4 (si bémol majeur), création mars 1807, édité à Vienne 1808, dédicace comte
     Franz von Oppersdorff
    [opus 61 ] Concerto en ré majeur, pour violon et orchestre, création 23 décembre 1806, édité à Vienne 1808 ; à Londres 1810, dédicacé à Stephan von Breuning
    [opus 63 ] Sonate en mi bémol majeur (piano, violonn violoncelle ; re-utilisation du Quintette opus 4)
    [WoO 83] (vers 1906) ), 6 Ecossaises pour piano (publié à Vienne en 1807)
    [WoO 80] 32 variations sur un thème original (do mineur), édité à Vienne 1807

     

    1807
    [opus 58 ] Concerto n° 4 pour piano et orchestre (sol majeur)
    [opus 64 ] Sonate en sol majeur (violoncelle, piano ; re-utilisation trio opus 3)
    [opus 86 ] Messe en do majeur (pour 4 solistes, choeur et orchestre)
    [opus 62 ] Ouverture (do mineur) de Cariolan, tragédie de Heinrich Joseph von Collin, création mars 1807, édité à Vienne 1818, dédicace, Heinrich Joseph von Collin
    [opus 138 ] Ouverture Leonore (do majeur) première version, création 1828, édité à Vienne 1838 [voir fidelio]
    [opus 239] In questa tomba oscura (Dans cette tombe obscure), air
    [sans numéro] Arrangement de l'opus 60 en concerto pour piano, édité à Vienne 1808, dédicacé à Julie von Breuning [cadence pour le premier mouvement, 1809, deux cadences pour le final (Hess 84 & 85)]

    1807-1806
    [opus 69 ] Sonate n° 3 (la majeur) pour violoncelle et piano, édité à Leipzig en 1809, dédicacé au baron Ignaz von Gleichenstein

    1808
    [opus 68 ] Symphonie n° 6 (fa majeur) ditePastorale, création 22 décembre 1818, édité à Leipzig, 1809, dédicace au rince Lobkowitz et au comte Rasumovsky
    [opus 70 ] deux trios (piano, violon, violoncelle) n° 4 (ré majeur) Ghost Trio ; n° 5 (mi bémol majeur), édité à Leipzig 1809, dédicacé à la comtesse Marie Erdödy
    [opus 80 ] [révisé en 1809] Fantaisie chorale en do mineur ( piano, choeur; orchestre), création 22 décembre 1808, édité à LOndres 1810 ; à Leipzig 1811, dédicacé à Maximilian Joseph roi de Bavière

    1808-1810
     [WoO
     59] Bagatelle dite Für Elise en la mineur [manuscrit perdu]

    Dessin de
    Ferdinand Schnorr von Caroldfeld
    1808

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    DIE RUINEN VON ATHEN Op. 113 - Ludwig Van BEETHOVEN  (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le vendredi 15 mai 2009 23:46

     

     

     Il y a de ces musiques qui nous font monter au ciel...

    du site : mainecoon33.free.fr

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    LEONORE III OUVERTURE - Ludwig Van Beethoven  (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le vendredi 15 mai 2009 23:55

     

     

     

    Orchestre Philharmonique dirigé par

    Anthony Cofield

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    L'OUVERTURE DE FIDELIO - Ludwig Van Beethoven  (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le vendredi 15 mai 2009 23:59

     

     

     

     

     

    ............

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    LE CHRIST AU MONT DES OLIVIERS - Ludwig van BEETHOVEN  (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le jeudi 21 mai 2009 14:43

     

    ORATORIO

    Beethoven a écrit un Oratorio "Le Christ au Mont des Oliviers" Il aurait commencé cette écriture en 1800 et la termina quelques années plus tard. S'il était anticléricaliste, il avait la foi comme la plupart de tous les grands compositeurs quasi tous mystiques. Le texte de cet Oratorio fut écrit en présence de Beethoven par Hubert en 40 jours : la perfomance de Beethoven fut particulièrement remarquée à VIenne. 

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    IMMORTAL BELOVED FILM Ludwig Van BEETHOVEN  (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le mercredi 01 juillet 2009 20:40

     

     

     

     

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    LA SYMPHONIE n° 1 de LUDWIG VAN BEETHOVEN| page 905 PREMIER MOUVEMENT|  (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le vendredi 27 novembre 2009 16:20

     

     

     

    SYMPHONIE n° 1

    .

    Ludwig vaBeethoven

     

    en Ut Majeur

     

    Les symphonies de Beethoven sont prisées par tous les chefs d'orchestre du monde.

     

     

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    LA SYMPHONIE 1 de BEETHOVEN ET LA CRITIQUE DE BERLIOZ  (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le vendredi 27 novembre 2009 16:37

     

    Cette œuvre, par sa forme, par son style mélodique, par sa sobriété harmonique et son instrumentation, se distingue tout à fait des autres compositions de Beethoven qui lui ont succédé. L’auteur, en l’écrivant, est évidemment resté sous l’empire des idées de Mozart, qu’il a agrandies quelquefois, et partout ingénieusement imitées.

     

    Dans la première et la seconde partie, pourtant, on voit poindre de temps en temps quelques rythmes dont l’auteur de Don Juan a fait usage, il est vrai, mais fort rarement et d’une façon beaucoup moins saillante.

     

    Le premier allegro a pour thème une phrase de six mesures, qui, sans avoir rien de bien caractérisé en soi, devient ensuite intéressante par l’art avec lequel elle est traitée.

     

    Une mélodie épisodique lui succède, d’un style peu distingué; et, au moyen d’une demi-cadence répétée trois ou quatre fois, nous arrivons à un dessin d’instruments à vent en imitations à la quarte, qu’on est d’autant plus étonné de trouver là, qu’il avait été employé souvent déjà dans plusieurs ouvertures d’opéras français.

        L’andante contient un accompagnement de timbales piano qui paraît aujourd’hui quelque chose de fort ordinaire, mais où il faut reconnaître cependant le prélude des effets saisissants que Beethoven a produits plus tard, à l’aide de cet instrument peu ou mal employé en général par ses prédécesseurs. Ce morceau est plein de charme, le thème en est gracieux et se prête bien aux développements fugués, au moyen desquels l’auteur a su en tirer un parti si ingénieux et si piquant.

        Le scherzo est le premier né de cette famille de charmants badinages (scherzi) dont Beethoven a inventé la forme, déterminé le mouvement, et qu’il a substitués presque dans toutes ses œuvres instrumentales au menuet de Mozart et de Haydn dont le mouvement est moins rapide du double et le caractère tout différent. Celui-ci est d’une fraîcheur, d’une agilité et d’une grâce exquises. C’est la seule véritable nouveauté de cette symphonie, où l’idée poétique, si grande et si riche dans la plupart des œuvres qui ont suivi celle-ci, manque tout à fait. C’est de la musique admirablement faite, claire, vive, mais peu accentuée, froide, et quelquefois mesquine, comme dans le rondo final, par exemple, véritable enfantillage musical ; en un mot, ce n’est pas là Beethoven.

    Hector BERLIOZ

     

    Extrait du site : http://www.hberlioz.com/

     

    |SYMPHONIE n° 1 |DEUXIEME MOUVEMENT LUDWIG VAN BEETHOVEN| (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le vendredi 27 novembre 2009 16:43

     

     

    DEUXIEME MOUVEMENT

     

    S

    Y

    M

    P

    H

    O

    N

    I

    E

     

    1

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    TROISIEME MOUVEMENT - SYMPHONIE n°1 de LUDWIG VAN BEETHOVEN (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le vendredi 27 novembre 2009 17:15

     

     

     

    TROISIEME MOUVEMENT

    L'édition est dédicacée au baron Van Swieten, mélomane, ami de Wolfgang Amadeus Mozart et de Joseph Haydn, et un des premiers protecteurs de Beethoven à Vienne.

    La première représentation eut lieu le 2 avril 1800 à Vienne au Burgtheater. Bien reçue par le public, l'œuvre fut cependant critiquée pour son aspect novateur : importance des cuivres, ouverture ne débutant pas par la tonalité principale, nombreuses modulations, troisième mouvement (faussement intitulé "Menuetto") trop rapide, etc., malgré une structure très classique

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    LA SYMPHONIE n°1 AVEC HERBERT VON KARAJAN de LUDWIG VAN BEETHOVEN (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le vendredi 27 novembre 2009 17:24

    A la page précédente, vous trouverez beaucoup d'explication sur cette symphonie. Voici quels instruments sont utilisés pour cette symphonie :

     

     

    Instrumentation de la première symphonie
    Cordes
    premiers violonsseconds violonsaltos,

    violoncellescontrebasses

    Bois
    flûtes, 2 hautbois,

    clarinettes en ut, 2 bassons

    Cuivres
    cors en ut et en fa,

    trompettes en ut

    Percussions
    timbales (do & sol)

    Tableau de wikipedia

     

    et vous la trouverez interprétée par Herbert Von Karajan ici :

    http://www.youtube.com/watch?v=yvJqiURF0hc

     

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    LES QUATRE MOUVEMENTS DE LA SYMPHONIE n°1 de LUDWIG VAN BEETHOVEN|  (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le vendredi 27 novembre 2009 17:27

    La structure de cette symphonie est en quatre mouvements et elle dure environ trente minutes :

     

     

      I Adagio molto
    Allegro con brio
    - 4/4 -
    - 2/2 -
    croche = 88
    blanche = 112
    do majeur
      II Andante cantabile con moto - 3/8 - croche = 120 fa majeur
    Menuetto III Allegro molto e vivace - 3/4 - blanche pointée = 108 do majeur
    Finale IV Adagio
    Allegro molto e vivace
    - 2/4 - croche = 63
    blanche = 88
    do majeur

     

     

    .

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    DESCRIPTION DU PREMIER ET DEUXIEME MOUVEMENT  (BEETHOVEN LUDWIG VAN)posté le vendredi 27 novembre 2009 18:09

    Blog de colinearcenciel :BIENVENUE DANS MON MONDE MUSICAL, DESCRIPTION DU PREMIER ET DEUXIEME MOUVEMENT

     I - Adagio molto – Allegro con brio

    À la manière de Haydn, il débute par une introduction lente Adagio molto de douze mesures créant une certaine ambiguïté dans la tonalité de l'œuvre. Le ton d’ut majeur n'est affirmé que dans l'Allegro con brio de forme sonateclassique. Le premier thème, impétueux et jubilatoire, contraste avec le second, plus mélodique. Le développement est très modulant, exclusivement construit sur le premier thème. La réexposition reprend les deux thèmes, le premier varié, le second textuel, mais à la tonique au lieu de la dominante. Le mouvement s'achève sur une coda assez conventionnelle.

     II - Andante cantabile con moto

    Andante cantabile con moto, ce mouvement de forme sonate reprend certains procédés de la Symphonie n° 40 de Mozart. Le premier thème de l'exposition est exploité en fugato à quatre voix. Les entrées successives sont largement espacées, ce qui donne une sensation de clarté à la polyphonie.

    Le second thème est une sorte de conséquent. Après une codetta où les timbales jouent un rôle d'ostinato, Beethoven recommandait une reprise da capo que la plupart des chefs d'orchestre occultent aujourd'hui. Le développement met en valeur de nombreuses modulations et l'ostinato rythmique.

    La réexposition est variée et se conclut par une coda, elle-même variée.

     ps : Le coda: le ou les phrase(s) qui indiquent la terminaison du récit, souvent ils ramènent le lecteur/auditeur du temps du récit au présent.

     
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