• Bonjour chers lecteurs et amis,

                                                      Au fur et à mesure l'évolution se fait sur les découvertes d'éléments cachés et cela part de tous les côtés et, c'est une bonne choses puisque nous n'avons pas que des ennemis du côté des ET et entités particulières. Donc, nous sommes bien dans le temps des révélations (apocalypse) ne signifiant pas la fin du monde mais la fin d'un monde et au bout du compte la révélation de plusieurs "monde" ou planètes habitées ou encore région ici sur cette planète où vivent encore ceux qui viennent du ciel et ce que l'on peut appeller des hybrides.

                                                        Il reste des mystères ou parfois l'imagination prend le dessus ou encore tout se mélange mais peu à peu l'objectivité se met en place pour trier ce qui n'a pas encore été révélé. Hier, j'ai remarqué un titre sur youtube titré "

    "Attention ! Des « faux humains » sont parmis nous".

    Voici ce document un peu long mais intéressant dans cette approche et non complet.

     

                      Ensuite, je lis un article signé David F. qui exprime ceci (c'est dense mais on décortiquera ce texte pour les novices en la matière étant donné la richesse du nombreux vocabulaires utilisés mais aussi du contenu). Je préviens ceci n'est pas une secte c'est une réalité ou, pour certains encore de la science fiction. Gardez votre discernement face à tout ce qui est dit dans cette rubrique consacré au E.T. et à leur mode de vie, leurs intentions et les relations dans le temps entre la terre et les autres planètes, les travaux réalisés et leur histoire longue et intense des différentes races et communautés.

    Voici :

     

    "ÉNORME ! Maintenant qu'il y a eu un accord sur une divulgation partielle entre l'Alliance et la Cabale, les seuls groupes soutenant une divulgation complète sont ceux de cette communauté et l'Alliance du Programme spatial secret, récemment redynamisée.

    RAPPEL : La divulgation partielle doit débuter par une sortie d’informations au sujet d’anciennes structures souterraines sous l’océan ainsi que sous la glace de l’Antarctique.

    Ensuite, ils veulent sortir le Programme Spatial Secret contrôlé par l’Armée de l’Air et la DIA (Agence du Renseignement de la Défense) qui ont des bases dans la Lune et Mars et utilisant des engins avec un système de propulsion anti-gravitationnel (énergie libre).

    Un conflit en Corée du Nord serait le moment le plus opportun pour divulguer un système d'armes spatiales et des avions exotiques d'un lieu de force et pour légitimer son existence.

    Et à ce stade, ils veulent dire par exemple :"La télémétrie de ces technologies montre qu’il y a encore plus sous l’océan et sous la glace. Qui plus est, nous avons découvert certaines de ces structures sur Mars".

    C’est de cette façon qu’ils veulent présenter les choses.

    Une partie de ce discours consiste à nous dire que des ETs ont visité la Terre, mais qu’ils ne sont plus là depuis des milliers d’années, excepté pour un ou deux d’entre eux de-ci, de-là.

    Et c'est ainsi qu'ils planifient lentement, sur une longue période, de nous donner la Divulgation, ce qui n'est évidemment pas ce que nous voulons. On veut une divulgation complète immédiate, arracher le pansement.

    Ce discours sera durement contrecarré si la race des Nordiques ou une race d’aspect humain a un contact ouvert et qu’elle commence à parler aux gens, depuis l'ONU et/ou le Vatican et se tenant près du Pape.

    Qui que ce soit étant associé au discours du Programme Spatial Secret de la Marine, est discrédité et détruit. Ils veulent que ce soit le discours de l’Armée de l’Air qui sorte au grand jour et qui soit divulgué.

    Ils doivent écraser ou bien étouffer qui que ce soit qui donnerait foi au programme de la Marine.

    Ils veulent uniquement le programme de l’Armée de l’Air en première ligne actuellement, du fait qu’ils aient prévu de le divulguer très bientôt.

    Beaucoup d’événements sont attendus en tandem avec ces divulgations.

    Le complexe militaro-industriel veut commencer avec les anciennes civilisations sous l’océan et sous la glace.

    Ils pourraient lâcher cela à tout moment.

    Ils vont utiliser cela comme une tactique de diversion si des tribunaux ou des arrestations venaient à se produire. Ils planifient d’utiliser une tactique de diversion majeure.

    Ça sera de véritables vidéos et télémétries plutôt que des spéculations. Au large des côtes de Cuba il y a des sonars d’anciennes structures, mais cela a été gardé top secret.

    Il va y avoir des rapports indéniables et autorisés qui donneront toutes les informations ayant été recueillies durant les recherches.

    Et cela inclura certains des sites sous-marins et des sites sous la glace.

    Ils ont élaboré des stratégies militaires sur la façon dont les gens allaient réagir à cela.

    ils s’attendent à ce que cela soit une bonne tactique de diversion, mais ils avaient déjà prévu de lâcher cette information, et éventuellement de lâcher également l’information au sujet des êtres non-humains qui ont créé la civilisation sous la glace. Ainsi que le fait que les élites sont une partie de la lignée de ces êtres et que par conséquent, ils sont spéciaux. C’était un des discours qu’il était prévu de mettre en avant.

    En fait, ils voulaient mettre leur religion en avant sur tout le reste du monde en utilisant ces découvertes pour les soutenir.

    Le scénario sur ces Pré-Adamites (toute l’histoire cosmique de Mars et de Tiamat, ou Maldek, civilisations vieilles de 500 000 ans, qui se sont faites explosées, qui sont allées sur la Lune et qui se sont posées en catastrophe ici sur la Terre) sont une partie de cette idée que les élites veulent faire passer sur le fait qu’ils seraient des dieux.

    ils sont en mesure de retracer leur lignée jusqu’à ce groupe de non-humains, les Pré-Adamites. Par conséquent, c’est un peu comme le "droit divin des rois". Ils vont dire :"Regardez ce que cette vaste civilisation a été capable de faire. Pourquoi ne pas nous donner le contrôle ? Nous faisons partie de cette lignée. Nous avons toutes les informations. Nous pouvons mettre en place quelque chose identique à ce qu’ils avaient et qui est technologiquement avancée, ainsi qu’une société où tout le monde pourrait vivre ensemble."

    Ils veulent dérouler ce récit sur 50 à 100 ans.

    Heureusement, si ces événements énergétiques se produisent, ou bien si d’autres choses comme ces non-terrestres, et qu’ils se font connaître dans des petits groupes de la population, je ne vois pas comment leurs objectifs pourraient se réaliser.

    Ensemble, nous pouvons arrêter cette Mega-Manigance-Tromperie de se produire. Et nous le devons.

    VOUS ÊTES DIRECTEMENT IMPLIQUÉS

    Vous n’êtes pas un participant passif à partir de votre chaise, à regarder tout cela se dérouler. Vous êtes directement impliqué dans le fait à ce que nous obtenions soit une divulgation totale, soit une divulgation partielle.

    La divulgation totale va ouvrir tout ce qu’il faut savoir sur le véritable Programme Spatial, tous les Extra-Terrestres (y compris les 60 groupes de la Super Fédération et leurs 22 programmes génétiques et spirituels, et les 5 groupes de l'Alliance des sphères), et toutes les technologies de type Star Trek qui sont déjà là.

    La divulgation Totale conduira, en quelques mois, vers une magnifique transformation de notre culture, en une société Star Trek, avec les Voyages par les Stargate, et les Réplicateurs.

    Le niveau de technologie, les nouvelles informations, et les contacts cosmiques, seront, et de loin, d’innombrables fois plus importants, que sur la ligne de temps partielle.

    Je ne crois pas qu’on nous parlerait de la différence entre les lignes de temps de divulgation partielle et totale, si nous étions condamnés à échouer ce test.

    Je pense qu’il est très probable qu’il y ait beaucoup de façons dont nous pouvons obtenir la divulgation totale – et vraiment ça ne prend que le fait chacun, de nous en préoccuper assez, pour faire quelque chose".

    Visitez ici la suite de cet article :

    David Wilcock : Bien, bon retour à “Divulgation Cosmique”. Je suis votre hôte, David Wilcock. Dans cet épisode, nous sommes ici avec Corey Goode et il nous apporte de nouvelles mises à jour très intéressantes. Donc, sans plus attendre, Corey, soyez le bienvenu dans cette émission.

    Corey Goode : Merci.

    David : Alors, tout d’abord, parlons d’un sujet qui préoccupe beaucoup de monde. En effet, il y a eu un grande nombre d’attaques acerbes et pleines de sarcasmes à mon encontre, et encore beaucoup plus envers vous, et même envers cette chaine.

    Pour mémoire, je dirais simplement que je considère ces attaques comme étant véritablement exagérées et absurdes. Habituellement, je ne réponds pas à ce genre de choses parce que cela est absolument grotesque.

    Mais que pensez-vous ou que ressentez-vous à propos de ce qu’il se passe ? Cela ressemble aux complaintes typiques de personnes normales mais que pensez-vous qu’il se passe véritablement ici ?

    Corey : Eh bien, nous en avons discuté ensemble. J’en ai parlé à d’autres personnes qui sont dans ce business depuis longtemps. En ce qui concerne ces attaques, personne n’a jamais vu quoi que ce soit de cette ampleur.

    1 Corey Goode

    Il y a au moins six mois de cela, c’est exactement ce que j’avais annoncé qu’il se produirait, lorsqu’on m’avait dit que qui que ce soit étant associé au discours du Programme Spatial Secret de la Marine, serait discrédité et détruit. Ils voulaient que ce soit le discours de l’Armée de l’Air qui sorte au grand jour et qui soit divulgué.

    David : Ce qui me surprend le plus à ce sujet, Corey, c’est que ces personnes semblent avoir un sentiment presque absolu d’invulnérabilité. C’est comme s’ils n’avaient pas la moindre inquiétude du fait d’être poursuivi en justice pour calomnie ou diffamation. Cela leur est totalement égal.

    Qu’en pensez-vous ?

    Corey : Comme je l’avais déclaré, cela fait partie d’une opération majeure. Il ne s’agit pas uniquement de quelques personnes ayant des problèmes. Ce sont des personnes qui ont été activées et elles doivent écraser ou bien étouffer qui que ce soit qui donnerait foi au programme de la Marine.

    Ils veulent uniquement le programme de l’Armée de l’Air en première ligne actuellement, du fait qu’ils aient prévu de le divulguer très bientôt.

    David : Vous attaqueraient-ils si vous étiez en train de perdre ?

    Corey : Absolument pas. Lorsque vous vous exposez comme une victime c’est que vous êtes en mode de défense. Vous n’êtes pas en position d’attaque et ils avaient l’habitude d’avoir le dessus, et d’attaquer. Actuellement, s’ils utilisent ces tactiques, c’est qu’ils sont désespérés.

    David : Récemment, vous avez participé à un article commun avec le Dr. Michael Salla et vous avez également fait quelques commentaires sur Facebook concernant l’idée qu’il y pourrait y avoir une sorte de divulgation officielle Nordique, ce qui signifie, je suppose, qu’ils nous seraient présentés.

    Corey : Oui. Et cela pourrait être relié à une rencontre récente que j’ai eue avec Ka’Aree. Je ne l’avais encore jamais vu présenter des signes d’anxiété par le biais de son corps ou de son énergie, et j’ai décelé de l’anxiété chez elle.

    Elle m’a fait savoir que les Anshars étaient inquiets au sujet de la ligne de temps et que les choses ne se passaient pas très bien.

    David : Hum.

    Corey : Et pas uniquement les Anshars, mais trois autres races d’êtres non-humains ont décidé d’aller à l’encontre des Accords de Mahomet, ce qui est véritablement important.

    Ils ne sont pas en mesure d’avoir tous les signataires des Accords tous réunis afin de le ratifier ou bien d’y mettre fin.

    Alors, comme les choses semblent être désespérées, ils ont déclaré qu’ils allaient entrer en contact avec l’humanité.

    Au début, ils vont atteindre l’humanité en masse par le biais des rêves et des visions afin de les préparer à un contact en face-à-face.

    Et ils vont commencer à faire des apparitions comme ils le font avec moi, auprès d’individus et de petits groupes de personnes. Mais cela ne sera pas à un niveau national ou à l’échelle mondiale, comme s’ils passaient à la télévision ou quelque chose comme cela.

    Cela va être un lent processus d’acclimatation.

    David : Que les choses soient claires, et je veux que vous l’exposiez clairement.

    Quel type de personnes va être choisi pour ce genre de contact ? Et quelle sorte de conduite ces êtres attendront de vous si vous êtes apte à recevoir ce contact ?

    Corey : Ils vont choisir des personnes avec qui ils sont en contact depuis longtemps. Beaucoup de ces personnes passent beaucoup de temps en état de méditation et sont plus au niveau de la fréquence sur laquelle la communication peut avoir lieu.

    David : D’accord.

    Corey : Normalement, cela sera plus particulièrement des personnes positives, calmes et qui se sont concentrées sur leur voyage intérieur et se sont préparer pour ce contact.

    David : Alors, pour être clair, ce que vous nous dites c’est que ces personnes commenceront par avoir, peut-être, plus de rêves intenses qu’elles n’en avaient auparavant ?

    Corey : Oui, des rêves intenses.

    David : À quoi pourrait bien ressembler ces rêves ?

    Corey : Des rêves de communication. Des êtres leur apparaissant dans les rêves et les préparant à un contact en face-à-face.

    Et lorsque ces contacts en face-à-face se dérouleront, les personnes pourraient très bien avoir l’autorisation de faire une promenade dans un vaisseau-mère.

    David : D’accord, il y a encore deux choses que j’aimerais beaucoup que nous mettions au clair. Il se pourrait qu’une spiritualité plus dirigée vers l’égo pourrait conduire à ce que vous décrivez, et qu’ensuite quelqu’un veuille se définir comme un sauveur pour l’humanité.

    Corey : Eh bien, il y aura probablement certains individus qui feront cela. Mais lorsque vous êtes une personne parmi des milliers à qui cela arrive, vous n’allez pas vous élever au-dessus des autres pour être une sorte de sauveur.

    De toute façon, ils ne choisiront pas ce type de personnes ayant un complexe de sauveur.

    David : Que vous a-t-on dit sur ce que seront les conditions visibles dans le monde simultanément avec le commencement de ces contacts individuels ?

    Corey : Eh bien, beaucoup de ces personnes parleront de ces rêves – des contacts au cours des rêves. Ce sera l’élément majeur que les personnes remarqueront.

    Un de ces quatre groupes est probablement le groupe des Nordiques sur lequel j’avais eu un briefing précédemment. Gonzales, Sigmund et Ka’Aree m’ont tous parlé du fait qu’il était possible qu’il se mette en avant.

    Ce groupe des Nordiques est en communication avec tous les leaders religieux mondiaux depuis longtemps.

    Récemment, je crois que c’était en juin, il y a eu une réunion de tous les leaders religieux mondiaux où ils nous demandaient essentiellement de nous entendre les uns avec les autres.

    David : Le thème principal était "Soyons amis".

    Corey : Tout à fait. Être amis.

    Eh bien, beaucoup d’informations arrivent – beaucoup par le biais de l’Armée de l’Air – disant que ce groupe de Nordiques travaillent de façon très rapprochée avec le Vatican de sorte que leur existence soit présentée de la façon la moins choquante possible pour les gens.

    Ils s’attendent tout à fait à ce que les gens aient beaucoup de questions, vous savez, au sujet de ces non-terrestres.

    Et nous découvrirons qu’ils sont impliqués avec notre passé depuis des millénaires et qu’ils sont apparus sous la forme d’anges. Ils ont introduit différents systèmes de croyances afin d’essayer de faire évoluer notre conscience.

    Lorsque nous découvrirons toutes ces informations, il est très attendu que ce groupe nous donnera essentiellement son système de croyances, sa religion.

    Et cela sera beaucoup basé sur l’Unité et sur ce que beaucoup de gens considèrent comme des idées ésotériques, mais il est attendu que la majeure partie de la population l’adopte assez rapidement.

    David : Corey, si nous disons que nous avons une raison de croire que l’Alliance peut être aujourd’hui beaucoup plus en action dans le Vatican qu’elle ne l’a jamais été auparavant.

    Comment cela se reflète-t-il dans ce présumé plan de divulgation dont nous parlons ?

    Corey : L’Alliance pourrait être un facteur directe ou indirecte. Certaines personnes à l’intérieur du Vatican peuvent voir les signes avant-coureurs et elles feront un profond travail intérieur.

    Peut-être que certaines d’entre elles ont été complètement briefées sur ce groupe de non-terrestres qui va être présenté et elles veulent faire le ménage avant que cela n’arrive.

    Il pourrait y avoir tous un tas de raisons sur le pourquoi du comportement du Vatican.

    J’ai entendu dire par d’autres personnes qu’elles avaient également entendu des choses similaires au sujet du Vatican annonçant et présentant un groupe d’ETs à l’apparence humain, et que celui-ci présenterait à l’humanité beaucoup de nouvelles idées intéressantes.

    David : Lorsque vous avez dit précédemment que quatre groupes planifiaient de rompre les Accords de Mahomet, je crois que vous avez dit que les Anshars étaient un de ces groupes.

    Corey : C’est exact.

    David : Savons-nous si un de ces groupes pourraient être malveillant ?

    Corey : Ce sont des groupes positifs.

    David : Oh !

    Corey : Ils travaillaient ensemble dans la Confédération. Quatre d’entre eux ont décidé de s’éloigner des Accords de Mahomet et de commencer à habituer les gens au contact en face-à-face.

    David : De quelle façon cela affecte-t-il les plans généraux de cette divulgation partielle dont vous nous avez fait part précédemment ?

    Corey : Eh bien, cela les affecte plutôt durement parce que la divulgation partielle devait débuter par une sortie d’informations au sujet d’anciennes structures souterraines sous l’océan ainsi que sous la glace de l’Antarctique.

    Ensuite, ils voulaient sortir le Programme Spatial Secret de l’Armée de l’Air et le contrôle de la DIA (Agence du Renseignement de la Défense).

    David : D’accord.

    Corey : Et à ce stade, ils voulaient dire par exemple :"La télémétrie de ces technologies montre qu’il y a encore plus sous l’océan et sous la glace. Qui plus est, nous avons découvert certaines de ces structures sur Mars".

    C’est de cette façon qu’ils voulaient présenter les choses.

    Une partie de ce discours consistait à nous dire que des ETs avaient visité la Terre, mais qu’ils n’étaient plus là depuis des milliers d’années, excepté pour un ou deux d’entre eux de-ci, de-là.

    Ce discours sera durement contrecarré si la race des Nordiques ou une race d’aspect humain a un contact ouvert et qu’elle commence à parler aux gens, depuis le Vatican et se tenant près du Pape.

    David : Vous a-t-on dit que cela pouvait se produire de façon assez spontanée dans le monde tel qu’il est aujourd’hui ? Ou bien est-ce que cela pourrait être aux lendemains d’événements catalytiques ?

    Corey : Beaucoup d’événements sont attendus en tandem avec ces divulgations.

    Comme je vous l’ai dit, le complexe militaro-industriel veut commencer avec les anciennes civilisations sous l’océan et sous la glace.

    Ils pourraient lâcher cela à tout moment.

    Ils vont utiliser cela comme une tactique de diversion si des tribunaux ou des arrestations venaient à se produire. Ils planifient d’utiliser une tactique de diversion majeure.

    David : Je supposerais donc que cela serait très impressionnant.

    Corey : Absolument.

                              


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    Photo de ©Colinearcenciel sous licence no copyright international tout droit protégé

    2.12.La fillette croyante. - La maison qui pousse toute seule. - Le guet-apens du gouverneur. – intervention de Jésus et de Bouddha

    Nous nous levâmes de très bonne heure le lendemain matin, et nous nous mîmes en route avant le lever du soleil pour le village natal de Bagget Irand où nous arrivâmes douze jours plus tard. Nous y fûmes reçus par les amis qui nous avaient rendu visite pendant notre dernier après-midi dans le désert, et nous acceptâmes avec bonheur leur invitation à nous reposer chez eux pendant quelques jours. On nous conduisit à des chambres fort luxueuses en comparaison de nos logements du désert. Le souper devait être prêt une demi-heure plus tard. Nous nous rendîmes présentables et entrâmes dans la pièce voisine où nous rencontrâmes plusieurs amis dont nous avions déjà fait connaissance en voyageant plus au sud. Ils nous souhaitèrent la bienvenue de tout cœur et nous informèrent que tout le village était notre domaine, chaque porte étant prête à s’ouvrir toute grande pour nous recevoir. Le gouverneur du village nous fit un charmant discours de bienvenue au moyen d’un interprète. Il nous informa que le souper aurait lieu chez lui et que nous allions nous y rendre immédiatement.

     

    Nous quittâmes la chambre, gouverneur en tête, avec sa garde de deux soldats, un à droite, un à gauche, comme il est de règle dans le pays. Venaient ensuite Raymond avec notre hôtesse, puis Thomas avec la dame magnifique, et enfin Émile, sa mère Marie, et moi, tandis que le reste de l’expédition suivait. Nous n’avions parcouru qu’une petite distance quand une fillette pauvrement vêtue se détacha de la foule qui nous observait, et demanda dans la langue du pays si elle pouvait parler à Marie. Le gouverneur la repoussa brutalement, disant qu’il n’avait pas le temps de s’occuper de gens de sa sorte. Marie prit mon bras et celui d’Émile et nous sortîmes des rangs pour écouter ce que la fillette avait à dire. Voyant cela, notre hôtesse hésita un instant, puis dit qu’elle désirait s’arrêter. Tandis qu’elle sortait des rangs, toute la compagnie s’arrêta. Marie expliqua au gouverneur qu’elle désirait voir tout le monde continuer son chemin et prendre place à table. Quand ce serait fait, elle nous aurait sûrement rejoints.

     
    Pendant tout ce temps, elle avait tenu les mains de la fillette dans les siennes. Après le départ du gouverneur et de sa suite, elle s’agenouilla pour rapprocher son visage de celui de la fillette, lui entoura le cou de ses bras et dit : Chérie, que puis-je faire pour toi ? Marie découvrit bientôt que le frère de la fillette avait fait une chute dans l’après-midi et s’était probablement brisé la colonne vertébrale. La fillette supplia Marie de l’accompagner pour voir si elle pourrait améliorer l’état du garçonnet, qui souffrait beaucoup. Marie se leva, nous expliqua la situation, et nous pria de rejoindre le gouverneur tandis qu’elle accompagnerait l’enfant et nous retrouverait plus tard. Raymond demanda la permission de l’accompagner. Elle dit que nous pouvions tous venir si nous le désirions. Nous suivîmes donc Marie.

    Elle tenait par la main la fillette qui sautait de joie. Notre hôtesse nous traduisit ses paroles. La fillette disait qu’elle savait que son frère serait guéri par la grande dame.

     

    A l’approche de la maison, la fillette bondit en avant pour annoncer notre arrivée. Nous vîmes qu’elle habitait une cabane de boue particulièrement misérable. Marie avait dû lire nos pensées car elle dit. : Bien que ce soit un taudis, il y bat des cœurs chauds. À cet instant, la porte s’ouvrit brusquement. Nous entendîmes une voix masculine bourrue et nous entrâmes. Si la cabane apparaissait misérable vue de l’extérieur, elle l’était encore bien plus à l’intérieur. Elle était à peine assez large pour nous contenir, et le plafond était tellement bas que nous ne pouvions pas nous tenir debout. Un pâle lumignon jetait une étrange lumière sur les visages du père et de la mère assis dans leur saleté. Dans le coin le plus éloigné, sur un amas de paille moisie et de chiffons malodorants, gisait un garçonnet de cinq ans au plus, au visage contracté et d’une pâleur de cire.

     

    La fillette s’agenouilla auprès de lui et lui prit le visage dans les mains, une main appuyée contre chaque joue. Elle lui dit qu’il allait être complètement guéri car la dame magnifique était déjà là. Elle enleva ses mains et s’écarta pour lui permettre de voir la dame. C’est alors qu’elle aperçut pour la première fois les autres visiteurs. Son expression changea instantanément. Toute son attitude donna l’impression qu’elle ressentait une grande frayeur.

    Elle se cacha le visage dans ses bras, et son corps fut secoué de sanglots convulsifs tandis qu’elle s’écriait : Oh ! je croyais que vous veniez seule. Marie s’agenouilla près d’elle, l’entoura de son bras, et la serra un moment. Elle se calma, et Marie lui dit qu’elle nous renverrait si la petite le désirait. Elle répondit qu’elle avait été simplement surprise et effrayée, car elle ne pensait qu’à son frère. Marie dit : Tu aimes beaucoup ton frère, n’est-ce pas ? La fillette qui n’avait certainement pas plus de neuf ans répondit : Oui, mais j’aime tout le monde. Émile nous servait d’interprète, car nous ne comprenions pas un mot. Marie dit : Si tu aimes ton frère tant que cela, tu peux contribuer à le guérir : Elle lui fit reprendre sa position primitive, une main sur chacune des joues de son frère, puis se déplaça pour pouvoir mettre sa propre main sur le front du garçonnet. Presque aussitôt les gémissements cessèrent, le visage du garçonnet s’éclaira, son petit corps se détendit, un calme complet s’installa sur toute la scène, et l’enfant s’endormit tranquillement d’un sommeil naturel.

     

    Marie et la fillette restèrent assises dans la même position pendant quelques instants, puis Marie écarta doucement avec sa main gauche les mains de la fillette du visage du garçonnet, disant : Comme il est beau, bien portant et vigoureux ! Puis Marie retira sa main droite avec une douceur extrême. Il se trouva que j’étais près d’elle tandis qu’elle étendait le bras gauche. Je tendis la main pour l’aider à se relever. Au moment où sa main toucha la mienne je ressentis une telle secousse que j’en fus paralysé. Elle se releva avec légèreté et dit : Je me suis oubliée un instant. Je n’aurais pas dû saisir votre main comme je l’ai fait, car je me sentais momentanément accablée par l’immensité de l’énergie qui s’écoulait a travers moi. À peine eut-elle dit ces paroles que je recouvrai mes moyens. Je crois que les autres ne s’aperçurent-même pas de l’incident tant ils étaient absorbés par ce qui se passait autour d’eux. La fillette s’était subitement jetée aux pieds de Marie, en avait saisi un dans chaque main, et baisait frénétiquement ses vêtements. Marie se baissa, releva d’une main le petit visage fervent et couvert de larmes, puis s’agenouilla, serra l’enfant dans ses bras, et lui baisa les yeux et la bouche. L’enfant mit ses bras autour du cou de Marie, et toutes deux restèrent immobiles pendant un temps.


    Puis l’étrange lumière dont nous avons déjà parlé commença d’inonder la pièce. Elle devint de plus en plus brillante, et finalement tous les objets parurent lumineux. Rien ne portait plus d’ombre. Il sembla que la chambre s’agrandissait. Jusque-là le père et la mère des deux enfants étaient restés assis sur le plancher de terre battue dans un silence pétrifié. À ce moment, l’expression de leur visage changea. Ils devinrent blancs de frayeur, puis l’homme fut saisi d’une telle épouvante qu’il fonça vers la porte, bousculant Raymond dans sa hâte de s’enfuir.

    La mère tomba au côté de Marie, prostrée et toute secouée de sanglots. Marie lui mit une main sur le front et lui parla à voix basse. Les sanglots cessèrent, la femme se redressa à moitié et vit la transformation qui s’était opérée dans la chambre. Son visage reprit une expression de terreur, et elle se leva précipitamment, cherchant à s’enfuir.

    Émile lui saisit une main tandis que la dame magnifique saisissait l’autre. Ils la tinrent ainsi un moment, et voici qu’au lieu du taudis où nous étions entrés, nous nous trouvâmes dans une chambre assez confortable meublée avec des sièges, une table, et un lit propre. Émile traversa la pièce, enleva le garçonnet endormi du tas de paille moisie, et le reposa doucement sur le lit dont il tira les couvertures. Ce faisant, il se baissa et embrassa l’enfant sur le front aussi tendrement que la plus tendre des femmes. Marie et la fillette se levèrent et marchèrent vers la maman. Nous nous rassemblâmes autour de celle-ci. Elle tomba à genoux, saisit les pieds de Marie, et commença à les embrasser en la suppliant de ne pas la quitter. Émile avança, se baissa, prit les mains de la femme et la releva, lui parlant tout le temps d’une voix calme dans sa propre langue.

     

    Quand elle fut debout, les vieux vêtements souillés qu’elle portait s’étaient changés en vêtements neufs. Elle resta un instant silencieuse et comme pétrifiée, puis se jeta dans les bras tendus de Marie. Elles restèrent ainsi quelque temps, puis Émile les sépara. Alors la fillette se précipita en avant les mains tendues, disant : Regardez mes vêtements neufs. Elle se tourna vers Marie qui se baissa et la souleva dans ses bras, tandis que la fillette lui entourait le cou de ses bras et appuyait son visage sur l’épaule de Marie. Raymond se tenait juste derrière elles. La fillette étendit les bras vers lui par-dessus l’épaule de Marie, leva la tête, et lui fit un joyeux sourire. Raymond avança d’un pas et tendit ses mains que la fillette saisit en disant qu’elle nous aimait tous, mais pas autant que cette dame chérie, et elle désignait Marie.

     

    Emile dit qu’il allait voir s’il pouvait retrouver le père. Il le ramena au bout de quelques instants, effrayé et quelque peu renfrogné. Marie traversa la pièce et déposa la fillette près de lui. Sous la maussaderie de l’homme, nous pouvions cependant deviner une profonde gratitude. Nous quittâmes alors les lieux. Avant notre départ, la maman nous demanda de revenir. Nous répondîmes que nous reviendrions le lendemain. Nous nous hâtâmes vers la maison du gouverneur craignant d’avoir fait attendre toute la compagnie. Nous avions l’impression d’avoir passé plusieurs heures dans la cabane, mais il ne s’était pas écoulé plus d’une demi-heure entre le moment où nous nous séparâmes du groupe et celui où nous le rejoignîmes. Tout s’était passé en moins de temps qui il n’en faut pour l’écrire.

     

    Nous arrivâmes chez le gouverneur juste au moment où tout le monde s’asseyait à table. Raymond demanda la permission de s’asseoir à côté de Thomas. Il était aisé de voir qu’il était extrêmement agité. Thomas nous dit plus tard que Raymond était tellement ému de ce qu’il avait vu qu’il n’arrivait pas à rester calme L’ordonnance de la table était la suivante : à un bout le gouverneur, à sa droite Marie puis Émile, la dame magnifique, Thomas et Raymond. À gauche du gouverneur notre hôtesse, puis le fils et la fille d’Émile. Je signale cette disposition en raison de ce qui advint un moment plus tard. Après que nous fûmes tous assis, les serviteurs commencèrent à apporter les plats et la première moitié du repas se passa très agréablement. Le gouverneur demanda à Bagget Irand s’il ne voulait pas continuer l’exposé commencé, lequel avait été interrompu par l’arrivée du gouverneur d’un autre grand village. . Bagget Irand se leva et dit qu’il avait parlé de la similitude des vies de Bouddha et de Jésus. Il nous demanda la permission de continuer, mais dans un langage compris de notre hôte. Il n’était pas dans les habitudes de se servir d’un interprète avec le gouverneur quand on connaissait une langue qu’il parlait. Jast s’offrit à nous comme interprète, mais le gouverneur insista pour que Bagget Irand continuât en anglais et que Jast lui servît d’interprète, car la majorité des hôtes parlaient et comprenaient l’anglais.

     
    Bagget Irartd continua donc : Songez à ce que serait le pouvoir de l’homme si tous ses actes et toutes ses pensées étaient dominés par les attributs du Saint-Esprit. Jésus disait : « Quand l’Esprit Saint sera venu sur vous... » Il se référait à l’époque où le pouvoir de Dieu régirait la vie de tous ses enfants, c’est-à-dire au moment où Dieu se manifesterait dans la chair. En vérité, ce développement spirituel a débuté, car beaucoup de gens commencent à connaître la vie et l’enseignement des voyants et des prophètes. Ils les connaissent plus ou moins bien, selon que leur développement spirituel se rapproche plus ou moins du stade parfait où Dieu se manifeste à travers tous ses enfants. Il est des hommes qui suivent avec persévérance le véritable idéal de vie qu’ils ont perçu comme venant directement de Dieu et reliant Dieu à l’homme. Ceux-là ont fait de grands progrès vers la noblesse de caractère, la pureté d’âme et la grandeur morale. Leurs disciplines cherchent à incorporer ces idéaux dans leur individualité afin d’accomplir les mêmes œuvres que les Maîtres.

     

    Quand ils y seront parvenus, le monde sera bien obligé d’accepter les leçons des Maîtres dont la vie laisse présager les possibilités latentes de tous les enfants de Dieu. Cependant aucun des Maîtres n’a prétendu avoir atteint la perfection ultime que Dieu a choisie pour ses enfants, car Jésus a dit : « Quiconque croit en moi fera les mêmes œuvres que moi, et même de plus grandes, car je vais au Père. » Jésus et Bouddha ont dit tous deux : « Soyez parfaits comme votre Père céleste est parfait. » Ces fils de Dieu ne sont pas des personnages imaginaires. Depuis qu’ils sont apparus dans l’histoire, leur vie et leurs travaux se sont fortement imprimés dans l’esprit et le cœur de bien des hommes. On a inventé des mythes et des traditions à leur propos. Mais pour celui que la question intéresse, le vrai critérium consiste à accepter et appliquer leur enseignement dans la vie quotidienne. Les idéaux qu’ils ont exprimés sont les mêmes qui gouvernent la vie de tous les hommes éminents. C’est là une preuve additionnelle de leur vérité : Quiconque essaye de réfuter la vie de ces grands hommes peut aussi bien se demander pourquoi les religions existent. Ils sont le fondement des religions et portent la marque d’un besoin instinctif laissant irrésistiblement entrevoir la grande profondeur et la vraie base d’une humanité meilleure.

     
    Les vies de Jésus et de Bouddha dépassent de beaucoup en éclat toutes les autres tentatives faites pour délivrer la famille humaine de ses limitations et de ses servitudes. Nous en avons conservé les annales. Il est légitime d’y puiser, pourvu que nous gardions le cœur ouvert et que nous effectuions les recherches avec l’esprit libre, en vue d’assimiler leur doctrine et leurs idéaux. À défaut, nous ne pourrions pénétrer leur caractère ni communier avec leur vie. Tel est le message inspiré de tous les vrais prophètes depuis le commencement de l’histoire du monde.

    Deux au moins de ces hommes spirituellement illuminés, Jésus et Bouddha, ont amené à maturité les grandes possibilités de leur doctrine. Ils ont employé presque les mêmes mots pour dire : « Je suis le chemin, la vérité, et la lumière de la vie, pour tous les hommes. » Ils ont pris une position sincère dans laquelle ils pouvaient dire en vérité : « Je suis la lumière du monde. Quiconque me suit et vit comme moi ne marchera pas dans l’obscurité, mais aura la vie éternelle elle et sera abondamment libéré de toute limitation. » Tous deux ont encore dit à peu près dans les mêmes termes : « Je suis né dans ce monde dans le but unique d’apporter mon témoignage à la vérité. Quiconque aime cette vérité répond à mon appel. » Ces paroles ont eu une influence directe sur le développement sincère de la vie du Christ chez les enfants de Dieu. Toutes les religions du monde révèlent l’existence d’un pouvoir supérieur chez l’homme. Or celui-ci se sert de son intelligence mineure pour lutter contre les limitations sensuelles et s’en libérer. Les Écritures Saintes des diverses races expriment extérieurement cette lutte. Le Livre de Job, dans votre Bible, est antérieur à toute votre histoire. Il a été écrit dans ce pays, et son sens mystique a été préservé à travers tous les changements politiques. Cependant, il a été entièrement adultéré par des additions de légendes. Malgré la destruction presque totale des habitants de ce pays, la parole mystique de Job ne sera jamais détruite, car quiconque demeure à l’endroit secret du Très-Haut demeure aussi à l’ombre du Tout-Puissant et possède l’intelligence de Dieu. Il faut encore reconnaître autre chose, à savoir que toutes les Écritures Saintes proviennent d’une religion, tandis qu’aucune religion ne procède d’une Écriture. Les Écritures Saintes sont un produit des religions et non leur cause. L’histoire des religions résulte des faits religieux.

     

    La dévotion provient de certaines expériences, alors que les Évangiles proviennent de toutes les religions. On ne tardera pas à découvrir que l’unité des mobiles et des efforts constitue le plus puissant moyen d’atteindre un but désiré. Alors les innombrables individus, qui dispersent leurs pensées dans toutes les directions et tirent à hue et à dia, ne penseront plus que comme un seul et les hommes connaîtront la signification d’un effort vigoureux, continu, et commun. Quand ils seront mus par une volonté unique, toutes choses leur seront possibles. Quand ils rejetteront de leur conscience les pensées sataniques d’égoïsme, la bataille de Gog et de Magog cessera. Mais il ne faut pas compter sur une divinité extérieure pour y parvenir. Quand Jésus a dit : « Mes paroles sont esprit et vie », il avait pris contact avec la parole intérieure créatrice de toutes choses. Il savait que son verbe était plein d’une quintessence de vie et possédait l’impulsion susceptible de réaliser l’objet de ses désirs. Si ces paroles résonnaient à travers toutes les âmes et toutes les nations, les hommes sauraient qu’ils ont accès à la fontaine de vie éternelle émanant de Dieu.

     

    Un mode d’expression divin consiste à percevoir le Christ, sur un trône juste en arrière du cœur, siège de l’amour. Ayez la vision du Christ dirigeant à partir de ce trône toutes les activités de votre corps, en accord parfait avec la loi immuable de Dieu, et sachez que vous coopérez avec lui en vue de manifester les idéaux reçus directement de la pensée divine. Imaginez alors le Christ siégeant sur son trône grandissant et incluant tous les atomes, cellules, fibres, muscles, et organes de votre corps.

    En fait, il a grandi au point que votre corps entier est le Christ pur, le Fils unique de Dieu, le temple pur où Dieu est chez lui et aime à demeurer. À partir de ce trône, on peut faire appel à tous les centres du corps et leur dire qu’ils sont positifs, aimants, puissants, sages, intrépides, libres en esprit. On devient pur de la pureté de l’esprit. Aucune pensée mortelle, aucun désir d’impureté ne peut approcher. On est immergé dans la pureté de Christ. L’esprit de vie en Christ fait de vous le temple pur de Dieu, où vous pouvez vous reposer et dire : « Père, ici comme en toutes choses, révèle-moi le Christ, ton fils parfait. » Puis bénissez le Christ. Après avoir assimilé le Christ, on peut tendre la main. Si l’on a besoin d’or, elle contiendra de l’or.

     

    Bagget Irand étendit alors les deux mains, et dans chacune apparut un disque d’or un peu plus grand qu’un louis. Il les fit passer aux invités assis à sa droite et à sa gauche et ceux-ci les passèrent à leurs voisins jusqu’à ce que les disques eussent fait le tour de la table. Nous les conservâmes et les fîmes examiner ultérieurement par des spécialistes qui les déclarèrent d’or pur. Puis Bagget Irand continua : Si vous voulez aider les autres, percevez le Christ qui trône chez eux comme chez vous. Parlez à leur Christ comme si vous vous adressiez directement à eux. Pour clarifier un sujet ou une situation, laissez votre Christ parler mentalement à l’âme abstraite du sujet en question, puis demandez à l’intelligence propre de la chose de vous parler d’elle-même.

     

    Pour faire aboutir ses plans parfaits, Dieu a besoin de ses enfants au même titre que toute plante, fleur, ou arbre quelconque. Il est nécessaire que les enfants collaborent avec le Père dans le chemin parfait qu’il a conçu pour eux. Quand l’homme s’est dérobé à ce plan de coopération parfaite, il a déséquilibré le monde et provoqué la destruction de la majeure partie des enfants de Dieu par des raz de marée. Au contraire, la pensée parfaite d’amour, coopérant dans le cœur des enfants de Dieu avec l’équilibre et le pouvoir, maintient la stabilité de la terre.

     

    Quand les hommes dispersèrent cette force en pensées de péché et de luxure, le monde fut tellement désorienté que des raz de marée submergèrent l’humanité et détruisirent presque tout le fruit de ses travaux. À cette époque, les hommes étaient bien plus avancés qu’aujourd’hui. Mais Dieu ne peut commander ni les pensées humaines d’amour et d’équilibre ni celles de haine et de déséquilibre. Il appartient aux hommes de le faire. Quand la force de pensée qui avait déséquilibré la terre fut dissipée par le grand cataclysme qu’elle avait provoqué, Dieu usa de son puissant pouvoir et stabilisa convenablement le monde. Mais tant que les pensées humaines dominent, Dieu est impuissant à agir.

     

    Ayant ainsi parlé, Bagget Irand se rassit. Nous avions remarqué que le gouverneur manifestait des symptômes de gêne et d’agitation. Quand Bagget Irand eut fini de parler, sa nervosité éclata dans une exclamation qui signifiait : « Chien, chien de chrétien, tu as diffamé le nom de notre grand Bouddha et tu vas le payer. » Il étendit la main et tira un cordon qui pendait du plafond. Trois portes s’ouvrirent immédiatement dans la salle, du côté opposé au gouverneur, et trente soldats, sabre au clair, se ruèrent dans la pièce. Le gouverneur s’était levé. Les deux gardes qui l’avaient accompagné et s’étaient tenus derrière sa chaise pendant le repas s’alignèrent à sa hauteur. Il leva la main et donna un ordre. Dix soldats s’avancèrent et se rangèrent le long du mur derrière Bagget Irand. Deux d’entre eux se portèrent à sa droite et à sa gauche, juste un peu en arrière de sa chaise. Le capitaine des gardes s’avança aux ordres près du gouverneur.

     

    Aucune personne de la société n’avait dit un mot, ni fait un geste. Nous étions complètement atterrés par la soudaineté du changement. Mais un profond silence tomba sur la scène. Une vive lueur apparut à l’extrémité de la table devant le gouverneur et illumina la salle. Tous les yeux étaient braqués sur lui, tandis qu’il gardait la main levée comme pour donner un second ordre. Son visage était devenu d’une pâleur de cendre et manifestait une expression d’horreur. Il semblait qu’une forme indécise fût debout sur la table devant lui. Nous entendîmes le mot « Stop » prononcé clairement et très énergiquement. Le mot lui-même apparut en lettres de feu entre la forme indécise et le gouverneur. Ce dernier parut comprendre car il se tint pétrifié, rigide comme une statue. Entre-temps la silhouette indécise s’était précisée et nous reconnûmes Jésus, tel que nous l’avions vu précédemment. Mais la chose étonnante pour nous était qu’une deuxième silhouette vague se tenant près de Jésus retenait seule l’attention du gouverneur et de tous les soldats. Ils paraissaient la reconnaître et la craindre bien plus que la première.

     

    Nous jetâmes un coup d’œil circulaire et vîmes tous les soldats debout et complètement raidis. La seconde silhouette se précisa et leva la main comme Jésus, sur quoi tous les soldats lâchèrent leurs sabres qui tombèrent bruyamment sur le sol. Le silence était si profond que nous entendîmes l’écho du bruit dans la pièce. La lumière brilla encore plus intensément. À la vérité, elle était si vive que nous étions à peu près aveuglés. Le capitaine se ressaisit le premier, étendit les mains, et s’écria : « Bouddha, notre Bouddha, le Sublime. » Puis le gouverneur s’écria aussi : « En vérité, c’est le Sublime. » Et il se prosterna sur le sol. Les deux gardes s’avancèrent pour le relever, puis se tinrent silencieux et immobiles comme des statues.

     

    Les soldats, qui s’étaient rangés à l’extrémité la plus éloignée de la pièce, poussèrent une clameur et se ruèrent pêle-mêle vers le gouverneur en criant : « Le Sublime est venu pour détruire les chiens de chrétiens et leur chef. » Sur quoi Bouddha recula sur la table jusqu’à ce qu’il pût les regarder tous en face et dit : Ce n’est pas une fois, ni deux fois, mais trois fois que je dis « Stop ». Chaque fois qu’il le prononça, le mot stop apparut en lettres de feu comme pour Jésus, mais les lettres ne s’effacèrent pas, elles restèrent en place dans l’air. Les soldats parurent de nouveau pétrifiés. Ils regardaient la scène les yeux écarquillés, les uns avec une main en l’air, les autres avec un pied soulevé de terre, figés dans l’attitude où ils se trouvaient lorsque Bouddha avait levé la main.

     

    Celui-ci s’approcha de Jésus et, plaçant sa main gauche sous le bras de Jésus, il dit : « En ceci comme en toutes choses, je soutiens le bras levé de mon frère bien-aimé que voici. » Il mit ensuite sa main droite sur l’épaule de Jésus et les deux Maîtres restèrent ainsi pendant un instant, puis descendirent de la table avec légèreté tandis que gouverneur, capitaine, gardes, et soldats les regardaient avec des visages pâles de frayeur et tombaient à la renverse. Le gouverneur s’effondra dans sa chaise qui avait été reculée jusqu’à toucher le mur de la pièce. Chacun de nous exhala un soupir de soulagement. Je crois que personne d’entre nous n’avait respiré pendant les quelques minutes qu’avait duré cette scène.’

    Puis Bouddha prit le bras de Jésus et tous deux se placèrent face au gouverneur. Bouddha lui parla avec une telle force que les mots paraissaient rebondir contre les murs de la salle. Il dit : Comment oses-tu qualifier de chiens de chrétiens nos frères bien-aimés que voici, toi qui viens de repousser brutalement une enfant suppliante à la recherche d’un cœur compatissant ? La grande âme que voici s’est détournée de sa route pour répondre à l’appel. Bouddha lâcha le bras de Jésus, se retourna, et s’avança la main tendue vers, Marie. Ce faisant, il jeta un coup d’œil circulaire depuis le gouverneur jusqu’a Marie. Il était facile de voir qu’il était profondément ému. Regardant le gouverneur, il s’exprima de nouveau en paroles qui paraissaient se projeter physiquement hors de lui : C’est toi qui aurais dû être le premier à répondre à l’appel de cette chère petite. Tu as manqué à ton devoir, et maintenant tu viens de traiter de chiens de chrétiens ceux qui ont répondu à cet appel. Va donc voir la guérison du garçonnet dont le corps était tordu de douleur et déchiré d’angoisse un instant auparavant. Va voir la maison confortable qui s’est élevée à la place du taudis.

     

    Rappelle-toi que tes actes te rendent partiellement responsable d’avoir confiné ces braves gens dans la misère. Va voir l’affreux tas d’ordures et de chiffons d’où cette chère âme (il se tourna vers Émile) a enlevé le corps du garçonnet pour le placer si tendrement sur un lit propre et net. Regarde comme les ordures et les chiffons ont disparu après le transport du petit corps. Et pendant ce temps, toi, espèce de bigot licencieux, tu étais confortablement assis dans la pourpre réservée aux purs. Tu oses appeler chiens de chrétiens ceux qui ne t’ont fait aucun mal et n’ont nui à personne, tandis que tu te qualifies toi-même de disciple de Bouddha et de grand prêtre de temple.

     

    Honte ! Honte ! Honte ! Chaque mot paraissait frapper le gouverneur, la chaise, et les draperies qui l’entouraient, puis rebondir. En tout cas leur violence était telle que le gouverneur tremblait et que les draperies flottaient comme soufflées par un grand vent. Il n’était pas question d’interprète, le gouverneur n’en avait plus besoin. Bien que les mots fussent dits dans l’anglais le plus pur, il les comprenait parfaitement. Bouddha revint vers les deux hommes qui avaient reçu les pièces d’or et leur demanda de les lui remettre, ce qu’ils firent. Tenant les disques à plat dans une main, il revint vers le gouverneur et s’adressa directement à lui, disant : « Avance les mains. » Le gouverneur obtempéra avec peine tellement il tremblait.

     

    Bouddha posa un disque dans chacune de ses mains. Les disques disparurent immédiatement, et Bouddha dit : « Regarde, même l’or pur s’évadera de tes mains. » Les deux disques retombèrent alors simultanément sur la table devant les deux hommes qui les avaient donnés. Ensuite Bouddha allongea ses deux mains, les plaça sur les mains tendues du gouverneur, et dit d’une voix douce et calme : « Frère, n’aie pas peur. Je ne te juge pas, tu te juges toi-même. » Il resta ainsi jusqu’à ce que le gouverneur fût calmé, puis retira ses mains et dit : « Tu es bien pressé d’accourir avec des sabres pour ]redresser ce que tu crois être un tort. Mais rappelle-toi que quand tu juges et condamnes des hommes, tu te juges et te condamnes toi-même. »

     

    Il revint vers Jésus et dit : « Nous deux qui avons la connaissance, nous sommes unis pour le bien commun et l’amour fraternel de toute l’humanité. » Il reprit le bras de Jésus et dit encore : « Eh bien, frère, j’ai entièrement retiré cette affaire de tes mains, mais je te la remets maintenant. » Jésus dit : « Tu as agi noblement, et je ne saurais trop te remercier. » Ils s’inclinèrent tous deux puis, se prenant par le bras, ils se retirèrent à travers la porte fermée et disparurent. Aussitôt la salle retentit d’un tumulte de voix. Gouverneur, capitaine, soldats, et gardes se groupèrent autour de nous pour nous serrer la main. Tout le monde essayait de se faire comprendre en même temps. Le gouverneur adressa la parole à Émile qui leva la main pour réclamer le silence. Dès qu’il put se faire entendre, il annonça que le gouverneur désirait nous voir à nouveau tous assis à sa table. Nous reprîmes donc nos places. Une fois le calme revenu, nous vîmes que le capitaine avait groupé ses soldats à droite et à gauche de la table et derrière la chaise du gouverneur qui avait de nouveau été rapprochée. Le gouverneur se leva et, se servant d’Émile comme interprète, il dit : « Je me suis laissé déborder par mon zèle. J’en suis profondément confus et doublement désolé. Il est peut-être superflu de le dire après ce qui est arrivé, car je crois que vous pouvez voir à mon attitude que j’ai changé. Je demande à mon frère Bagget Irand de se lever et de bien vouloir accepter mes plus humbles excuses. Maintenant je prie toute la société de se lever. Quand ce fut fait, il dit : Je vous prie également tous d’accepter mes humbles excuses. Je vous souhaite à tous la bienvenue du fond du cœur. J’espère que vous resterez toujours auprès de nous si cela est conforme à votre désir. Dans le cas improbable où vous souhaiteriez une escorte militaire à un moment quelconque, je considérerais comme un grand honneur de pouvoir vous la fournir et je sais que le capitaine partage mes sentiments. Je ne puis rien ajouter que vous souhaiter bonne nuit. Toutefois, je voudrais vous dire avant votre départ que tout ce que je possède est à votre disposition. Je vous salue, les soldats vous saluent également et vous accompagneront à votre domicile. Encore une fois, je vous souhaite bonne nuit et salam au nom du grand Bouddha, l’Être Céleste. 

    Page 219 à 231, extrait du livre de Baird T. Spalding

    Remarque : Ces faits qui se sont produits semblent être un conte de fée pour adulte. Et si l'on regarde les deux photos de ce ciel au crépuscule : la splendeur s'y voit et plus encore. Ce jour là, tous les horizons étaient magiques : nous étions légèrement en hauteur et les horizons lointains et si proches en même temps.

    Ce qui me surprend dans ce passage c'est l'attitude du Gouverneur qui, après avoir assisté à un tel spectacle puisse encore prononcer un mot : il demande pardon à tous et se retire.

     

    Photo de ©Colinearcenciel sous licence no copyright international tout droit protégé

     

     


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  • Rappel des cours théoriques : les tonalités : gamme Majeur et mineur

    Voici des cours en vidéo de grande qualité.

     

     

     

    Rappel des cours théoriques

    Première unité du chapitre consacré aux rappels théoriques. Ce cours aborde le premier élément de l'harmonie : la note. Celle-ci est considérée dans le contexte de la gamme, matériau à partir duquel s'édifie le travail d'écriture musicale. Nous abordons donc la gamme, le ton, le mode et la tonalité. Cours de musique et d'écriture musicale conçu et présenté par Jean-Louis Fabre.

    Premier chapitre

    Les intervalles, les accords de trois sons, les accords de quatres sons, les gammes  majeures et mineures, les modulations.

    Les gammes

    Les accords viennent de la gamme, les tonalités. La base est do ré mi fa sol la si do. La gamme est un mode : mode majeur, mode mineur et d'autres modes existants. Montant la gamme on monte sur un échelle. L'échelle particulière la gamme de do : avec le Ier degré, le IIème degré, le IIIè, le IV, ou Vème, Vième, VIIème et VIIIème avec le fameux demi ton entre les degrés III et IV : notez les degrés par des chiffres romains. 

    La gamme majeure est formée de tons et de demi ton et dans ce cas il s'agit de : ton ton demi ton ton ton demi ton : la gamme majeur est formée de 7 degré plus 1 et qu'elle est formée de ton et demi ton.

    La gamme mineure avec une deuxième échelle (la première est la gamme majeure) : beaucoup d'étudiants ont appris que la gamme est la relative mineure de la gamme majeure... 

    Dans la gamme mineure, le IIIème degré est abaissé donc le mi devient mib (bémol) on parle de la couleur des gammes. La gamme mineure est plus triste ce qui est dit couramment et qui est exact. En mineur le VIème degré est abaissé d'un demi ton soit lab (la bémol).

    Le IIIème degré et le VIème degré en gamme mineur s'appelle le mode modal.

    (Tout écouté attentivement)

    Les trois notes les plus importantes sont la tonique la sous dominante et la dominante dans la gamme majeure il s'agit de do, fa et sol c'est à dire la I , la IV et la V qui génère les accords : do mi sol, fa la do et sol si ré (voir le tableau sur la vidéo).

    Dans la gamme mineure c'est trois accords sont des accords mineur (voir le tableau) : la tierce de l'accord est donc mineur mais constatant que l'accord de dominante est toujours majeur y compris dans la gamme mineur dans l'accord sol si ré : sa tierce de cet accord est la sensible, le si bécarre même en mineur ! L'accord de dominante a besoin de sa 7ème en l'accord de sol si ré fa avec la présence de la sensible et de la 7ème.

    On a besoin de tous les accords et ses matériaux. Il est important de connaître cette base pour aborder les autres tonalités et connaître de quoi est composé un accord et s'il est en mineur ou en majeur avec une tierce diminuée ou augmentée.

    Il faut connaître les 12 gammes majeurs donc les 11 autres que celle présentée dans ce cours ci.

    Le terme TONALITE est très important. 

    Quant je dis que tel Sonate de Mozart est en ré majeur : ré est ce que l'on appelle le ton et le ré est la tonique de cette gamme qui commence et fini par ré et qui respecte l'échelle des tons et des demi ton de cette gamme c'est à dire le mode et l'ensemble des deux est ce que l'on appelle la tonalité.

    Bien étudier l'ensemble des pentacordes c'est à dire les 5 premiers degrés de la gamme majeur (valable pour le mineur) et déjà les trois degrés soit do ré mi et autres de chaque tonalité.

    Do ré mi et deux tons successifs donc une tierce. Les quintes justes des deux modes sont expliqués au tableau et sont à assimiler.

    Je me réjouis de lire et d'entendre le cours suivant. Pour faciliter la tâche de la mémorisation, j'ai écrit ce que ce professeur explique mais vous avez intérêt à rester les yeux rivés sur la vidéo présentée. On ne peut que remercier l'auteur Gradus ad Parnassum de Jean Louis Fabre.

     

     


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    Un être qui a inspiré tant et tant d'artistes, sous la houlette d'églises certes ; n'empêches... Il a donné tant de bonnes inspirations aux artistes, aux écrivains et aux musiciens compositeurs. Alors oui, Jésus Christ a bien sa place dans cet espace, qu'Hommage lui soit rendu !

    De nos jours, beaucoup de "medium" appellés de nos jours "chanelling" car tout s'américanisent, disent donner des messages directs de Jésus Christ et l'on voit plusieurs chaînes sur youtube et ailleurs répercutant ces messages. Le sujet est délicat et donc, chacun ressent comme il veut, y croit,  n'y croit pas. La mode est de parler d'Eveil ! "Eveillez vous il est grand temps !". Je tiens cependant à donner mon avis, même si certains disent avoir connu l'éveil en lisant les "lettres du Christ" écrites par une anglaise anonyme de 80 ans en 1990 ; bonne chrétienne durant 40 ans, le Christ aurait trouvé ce moyen de dicter des lettres "Et donc, pour indiquer qu’une déclaration puissante provenant de l’esprit du Christ entrait dans le mien, j’ai utilisé des italiques, des lettres en gras et des majuscules" écrit l'auteur pleinement et entièrement auteur de ces lettres.

    Ce livre, vous le trouverez en PDF ici.

    Voici un passage écrit :" Il faut vous rappeler sans cesse que lorsque le Christ essaie d’atteindre votre intelligence humaine, il parle de vérités qui dépassent de loin votre propre expérience de vie dans ce monde. Il vous faut entrer dans la dimension de l’infini afin d’essayer de comprendre ce qui vous est dit. Et donc, si vous passez une demi-heure à méditer un paragraphe écrit d’une manière étrange, c’est une demi-heure bien utilisée si, graduellement, votre esprit s’ouvre à de nouvelles possibilités qui dépassent votre pensée actuelle. Lorsque vous atteindrez en conscience la conscience du Christ, en demandant l’illumination, elle vous sera certainement conférée. Pas nécessairement à ce moment mais peut-être – wouaouh ! – quand vous vous y attendrez le moins, la réponse vous viendra comme une flèche à l’esprit et vous SAUREZ alors que : « OUI, C’EST CELA, C’EST LA VRAIE RÉPONSE ! » ".

    Ce livre est écrit de façon à programmer à "méditer" des passages.  Un malaise par rapport au chanelling et les messages du dit "Jésus Christ" me donne même la nausée. Car, on touche à l'intime de l'être et, à nouveau, il s'agit d'un conditionnement comme dans bien des religions et non d'un apprentissage édifiant logique.

    Il s'agit de lettres "pensées" afin d'édicter du connu et du rabâché depuis des siècles.  On sait tout que les transcriptions et retranscriptions de textes trouvent des tournures différentes et deviennent erronnées au fil du temps, sous une autorité ou une autre de ce qui devait être enseigné aux peuples par les "élus", les "puissances".

    Ainsi tout ce qui vient d'autorités quelqu'elles soient de ce monde humain relèvent bien souvent d'une gouvernance à des buts de soumissions. Ainsi au XVIème siècle, Thérèse d'Avila écrit son livre "Le château intérieur" et traduit en somme ce que Paramahamsa Yogananda exprime dans la pratique du bhakti yoga de manière directe bien qu'il n'ait jamais rencontré le Christ Jésus, il s'adressait à Dieu. Le Christ Jésus dit priez comme ceci :"Notre Père". Lui même disait : adressez vous à Dieu en tant que Père.

    Thérèse d'Avila fut corrigée et recorrigée par ses supérieurs et, fit preuve de soumission et d'hypocrisie au travers de cet écrit traînant en longueur l'apprentissage, émettant des avis parfois pervers afin de soumettre des femmes, à un dictat (ce qui peut choquer certains qui liront ceci). En réalité, tout appel direct du Christ Jésus en cette vie, se fait de façon individuelle et personnelle. Et les capacités des "maîtres" sont importantes puisque certains se manifestent encore de nos jours de manière concrète et dans la vie concrète non pas pour vous dire :"Repentez vous !" et toutes les phrases habituelles lues partout mais, souvent dans une aide directe tendant à résoudre une situation désespérée et tentant à "sauver" ne l'appelle t'on pas aussi le Sauveur ?

    Tout n'est pas faux dans ce qu'écrit cet auteur anonyme maintenant  publié sous un autre nom afin de faire de la vente mais ici sur internet, oui, il est en PDF à la portée de tous ce que souhaitait l'auteur écrivaine de ses propres écrits désirant que tous ceux qui liraient méditent ces paroles... Souhait non respecté de par le fait que ces livres soient mis en vente donc, ceux qui l'ont mis en PDF ont respecté le souhait de l'auteur.

    A l'époque de Thérèse d'Avila, beaucoup de femmes entraient au couvent pour échapper à la misère. Les plus fortunées se trouvaient à la tête des couvents. Thérèse n'a pas menti de ses visions mais ses écrits n'ont pas été respecté tels qu'ils l'étaient au départ : elle s'est soumise à l'église en sachant que, de toute façon, cela permettrait à certains de prendre des raccourcis et à ceux ayant connu une expérience telle que la sienne serait heureux de lire certains passages laissés intacts et puis, elle fut assuré de Jésus lui même de sa sainteté sur terre tel les rishis hindous, ce qui me fait sourire. Elle dut jouer le jeu. Thérèse était un sacré personnage qui aimait jusqu'à l'âge de cinquante ans flirter dans le parloir jusqu'au moment où elle rencontra le Christ vivant et ressucité de chair et, celui ci par son amour l'accapara dans un plaisir plus intense : celui d'un amour englobant un amour tellement savoureux et rempli de telles délicatesses et d'honneur et de surprises surnaturelles qui ne se rencontrent nul part sur terre ce qui explique en partie, tant de vocations religieusse surtout au Carmel où l'organisation permet de donner beaucoup de temps à la méditation ou pratique de l'oraison amenant  à l'état de samadhi , l'état d'Union..

    Thérèse d'Avila devait se soumettre à l'Eglise selon ses voeux de religieuse et de sa propre initiative, elle n'aurait jamais pu écrire ces ouvrages afin de les diffuser. Ouvrage de lecture, à notre époque assez ingrat avec des passages très authentiques de sa relation personnelle avec la Grâce divine. Le château intérieur est l'expression utilisée par elle pour pratiquer ce que l'église catholique appelle "l'oraison". Assimiler à des yogas pratiqués depuis des millénaires. Son ami, Saint Jean de la Croix, ayant reçu lui aussi "Sa Majesté" décrit la Vive Flamme d'Amour et, son écriture en effet flamboyante en fait un Docteur de l'Eglise tout comme Thérèse. Rien de nouveau dans l'histoire, hormis qu'il s'agit de la Présence du Christ en état de samadhi. L'état de Samadhi, entendons nous qu'il est un but de la Méditation.

     

    Par la suite, à notre époque, une femme portant une prénom tel celui d'une fleur, trouva intéressant d'imiter Thérèse d'Avila et publia de nombreux ouvrages (à des fins lucratives) précisant qu'elle voyait et parlait avec le Christ Jésus et cette femme je l'ai rencontrée. Je ne la citerai pas, elle ne vit plus actuellement mais ses livres sont encore diffusés. Il s'agit d'une supercherie comme l'avait détecté certains car, si Thérèse d'Avila, ayant menée vie légère jusqu'à l'âge de 52 ans dans les parloirs de son monastère ; l'apparition réelle du Christ Vivant la prena toute entière en lui offrant la suavité divine totale et l'énergie qui en découle et c'est ainsi qu'elle pu réalisé un travail immense et dense. Ses maux mystérieux venait du fait du passage d'un état à l'autre car la sensation éprouvée en étant en contact direct avec un tel être et un tel amour est comme une brûlure dans le corps, une force tellement puissante traversant le corps, l'esprit et l'âme, qui semble faire mal au os par la beauté de ce vécu sublime et toujours surprenant par  la Douceur extraordinaire qui découle de cet être d'une très grande beauté et qui connaît tout de vous mieux que vous mêmes et ne vous juge en rien de quoi que ce soit car son seul désir est votre bonheur bien au delà de la vie incarnée. 

     

    Ce qui est frappant de la part de cet être, c'est qu'il est reconnu par ceux à qui il apparaît comme s'il était inscrit depuis toujours à l'intérieur d'eux mêmes.

    Cet Être ne fascine pas, il émeut tellement par son apparence et surtout tout ce qui émane de Lui jusqu'à sa voix suave et sa façon d'exprimer ce qu'il a à vous dire sont saisissants au point que vous ne désirez plus jamais qu'Il ne vous quitte tout en refusant sa présence et, quoique vous souhaitiez, c'est Lui qui en décidera car, vous pensez mourir en le voyant et vous êtes prise d'un désir de l'approcher plus encore et en même temps d'une grande crainte car le bonheur qu'Il apporte dépasse toute imagination terrestre.

    Jésus Christ, celui qui a toujours existé et existera toujours vous rappelle que vous faites partie de son univers là où il est le roi. Votre roi et votre souverain. Qui mieux que lui ne peut Aimer ? Si aimant qu'il vous traitera avec hommage et autant de délicatesse que ne le fait le bien aimé.

    Ce Être qui a fait tant couler d'encre, inspiré tant d'artistes n'est pas à cours de toute imagination subtile et de par ses connaissances ne peut que vous éblouir mais aussi par son Humilité et toutes choses indescriptibles qui ne sont pas de ce monde, vous font basculer dans le lieu où il se trouve car, Il emmène et aime à se promener avec sa "brebis" et l'entourer de mille délicatesses. De même, Il veillera à la mettre en garde car Il ne se manifeste par sa volonté pour accomplir ce qui est souhaitable et selon les uns ou les autres, il a choisi Lui de se montrer tel qu'il est en prenant toutes les précautions. Chaque mouvement venant de lui, paroles et autres restent gravées comme un sceau dans l'esprit et l'âme bien que celui puisse être tellement extraordinaire au niveau de son intelligence et de cette énergie que vous n'avez pas la capacité de tout savoir par votre intellect limitant les messages qu'Il adresse à l'âme qui, elle, sait tout. 

    Certaines personnes seront amenées à pouvoir en parler publiquement et d'autres à rester discrets publiquement. Notre imagination très étroite ne vit que par Dieu. Elle est un bienfait des plus importants qui soit!

     

    Pour qui a vécu avec Lui un temps de vie, des milliers de pages peuvent y être consacré encore et encore pour les bienfaits de ses oeuvres actuelles toujours en cours et de par ses qualités dépassant largement tout ce que l'humain est capable de faire et d'imaginer dans le tout petit monde étroit dans lequel nous nous trouvons et pourtant déjà si beau de par sa nature, non seul lui sait imaginer la Bonté sous des aspects infinis et diffusés de manière tellement subtile et tellement visible que cette perfection est insupportable à la majorité des dits "humains"

    Jésus apporte la beauté surnaturelle bien que naturelle de son émanation plénière et de sa connaissance cosmique au travers de toutes les dimensions des mondes infinis. Il peut être très difficile pour ceux qui connaissent cette expérience de garder silence surtout auprès des personnes de confiance et que l'on affectionne en particulier. Tout ce qui est dit à ce sujet se trouve dans tous les écrits de ceux qui ont eu le bonheur de rencontrer le Christ Jésus sur terre et qui vivent à ses côtés. La cruauté est celle de la séparation de quelques heures à quelques années... Surtout si la proximité matérialisée a pu duré des mois ou des années et même s'Il reste toujours présent, Il ne manifeste sa présence matérialisé pour donner de la force afin d'accomplir ce qui doit être dans le bien.

     

     

    Cependant, certains êtres n'ont jamais cru en Jésus Christ et se sont trouvés en sa présence tout à coup et en état de grâce. Le réflexe est de se tourner immédiatement vers la religion chrétienne, celle qui dit rassembler les "brebis" du Christ. Le Christ n'a pas obligé quiconque à rejoindre une religion qu'il n'a probablement pas créée.

    Ce domaine complexe est abordé surtout dans le sens que chaque personne entre en son âme et sa conscience et tout le reste n'est qu'apparence. La spiritualité de chacun demeure intime et le silence de beaucoup, est bien préférable ou encore l'expression musicale à tous les textes émanant du dit "Jésus Christ". Il ne parle pas aux foules de nos jours. Il y a environ deux mille ans, il parlait aux foules. L'Esprit divin parle aux foules. L'oiseau messager entre terre et ciel parle au coeur de l'âme et parfois, ces paroles remontent à l'esprit clairement aussi clairement qu'une symphonie de Beethoven à l'ouïe.

    Le sujet étant des plus délicats, et demandant une attention soutenue, nous n'y avancerons pas plus loin pour le moment.

    ©Colinearcenciel, 4 décembre 2017

    Un relecture correctrice doit être envisagée car je n'ai pas eu le temps de corriger les fautes de frappes et autres ou de penser à exprimer les idées dans des phrases et des mots bien précis.

     

     

     


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