• LE CLAVIER BIEN TEMPERE - ETUDE chiffrée de REMI

    LE CLAVIER BIEN TEMPERE - ETUDE chiffrée de REMI (SUITE) - page 346 (BACH JEAN SEBASTIEN)posté le dimanche 09 septembre 2012 20:30

    Blog de colinearcenciel :BIENVENUE DANS MON MONDE MUSICAL, LE CLAVIER BIEN TEMPERE - ETUDE chiffrée de REMI (SUITE) -  page 346

     

     

    Rémi écrit ceci (voir son site) :http://remi.schulz.club.fr/bach/wohltemperiert.htm

     

    Dans l’alphabet numérique de 24 lettres prêté à Bach, le titre du recueil se scinde en deux parties de 12 lettres de valeur égale :

    DASWOHLTEMPE = RIRTECLAVIER = 133

    Quant au mot de 14 lettres, sa valeur 177 correspond au nombre de mesures des ensembles 14 des deux recueils (64 et 113) ; comme 177 se répartit selon la section d’or en 110 et 67, 14 se répartit en 9 et 5, et les 9 premières lettres de wohltemperirte ont la valeur 110 :

    WOHLTEMPE = 110   RIRTE = 67

    on constate que cette césure survient au milieu exact du titre complet ; elle partage aussi exactement les 5 syllabes du mot en 3 et 2.

     

    L’homologation des 24 lettres et des 24 ensembles montre que la première lettre W de ce mot miraculeux tombe sur la tonalité de cis-moll, la seule dont la tonalité (cis=30) soit en rapport d’or avec le mode (moll=48). Le tableau suivant donne les 14 tonalités correspondantes et les nombres de mesures des Préludes et Fugues du premier recueil.

     

     

     

    tonalité

     

    P

    F

    P+F

    W

     

    cis-moll  ””

     

    39

    115

     

    O

     

    D-dur      ””

     

    35

    27

     

    H

     

    d-moll     ””

     

    26

    44

     

    L

     

    Es-dur    ””

     

    70

    37

     

    T

    110

    es-moll dis-moll

    1028

    40

    87

     

    E

     

    E-dur      ””

     

    24

    29

     

    M

     

    e-moll     ””

     

    41

    42

     

    P

     

    F-dur       ””

     

    18

    72

     

    E

     

    f-moll     ””        2

     

    (22)

    (58)

    80

    R

     

    Fis-dur   ””       0

     

    (30)

    (35)

     

    I

     

    fis-moll   ””       9

     

    (24)

    (40)

    129

    R

    67

    G-dur      ””

    636

    19

    86

     

    T

     

    g-moll     ””

     

    19

    34

     

    E

     

    As-dur     ””

     

     
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    Sur La 14ème Invention de BACH  (BACH JEAN SEBASTIEN)posté le dimanche 09 septembre 2012 20:32

    Blog de colinearcenciel :BIENVENUE DANS MON MONDE MUSICAL, Sur La 14ème Invention de BACH
     
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    LE PORTRAIT LE PLUS AUTHENTIQUE DE J.S. BACH - KOMMT IHR TOECHTER (BACH JEAN SEBASTIEN)posté le dimanche 09 septembre 2012 20:30

    Blog de colinearcenciel :BIENVENUE DANS MON MONDE MUSICAL, LE PORTRAIT LE PLUS AUTHENTIQUE DE J.S. BACH - KOMMT IHR TOECHTER

     

    Portrait le plus authentique de Johannes Sebastian Bach

    Blog de colinearcenciel : BIENVENUE DANS MON MONDE MUSICAL, LE PORTRAIT LE PLUS AUTHENTIQUE DE J.S. BACH - KOMMT IHR TOECHTER

    Il a 30 ans ici, les cheveux châtains, les yeux bruns, il mesure 1,668. Il est très réservé quant à sa vie privée dont il ne parle pas. D'un caractère affable, non coureur de jupon, très travailleur musicalement, il a un très bon appétit et jouira toute sa vie d'une santé formidable car il n'était jamais malade. Il eût trois femmes et 20 enfants. Ici, un extrait merveilleusement chanté de la Passion selon Saint Matthieu.

     

    KOMMT IHR

     

     

     TOECHTER

    .

     

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    LA 14ème INVENTION = LA SIGNATURE DU MAITRE J.S. BACH  (BACH JEAN SEBASTIEN)posté le dimanche 09 septembre 2012 20:30

    Blog de colinearcenciel :BIENVENUE DANS MON MONDE MUSICAL, LA 14ème INVENTION  = LA SIGNATURE DU MAITRE J.S. BACH

     

    LA 14ème invention

    ...

     de

     

     BACH

     

     

    Le sceau de Bach

    "14 est le chiffre qui correspond à B+A+C+H où A=1, B=2, etc.
    Il se fait, par ailleurs, qu'en notation germanique, le A correspond à la note de musique La, le B au Si bémol, le C au Do et le H au Si naturel.
    Ainsi BACH est-il musique : Si bémol, La, Do, Si.

    Cette invention-ci (en Si bémol, B), se devait donc d'être particulière.
    Rassurez-vous, elle l'est bien.
    Au delà de toute espérance.
    Bach l'a surchargée de sa signature.
    Elle est en effet construite autour d'un premier motif de cinq notes :

    4 triples croches accolées à 1 double croche qui dessi(g)nent une couronne (qui rappelle celle du sceau de Bachlequel comporte 7 branches :trivium+quadrivium).

    En 5 mesures (l'ancien testament ?), la première phrase de cette invention, le motif sera répété 14 fois. A l'endroit suivi du motif à l'envers La deuxième phrase (le nouveau testatment ?), miroir de la première, se compose de 6 mesures (6-11) où figure le même motif en couronne 14 autres fois.
    A la fin de ces deux phrases, le cumul des silences exprimés est de 14 (faisant la somme des soupirs, demis et quarts de soupirs).

    Le motif en couronne est complété d'un second motif, en double croche, qui sera exécuté 28 fois au long de l'invention, avec 14 qui alternent avec 14 En contrepoint de ce motif en couronne vient, à l'autre main, un contre-motif de 3 notes en croches (la Trinité ?). Ce motif sera exposé 13 fois (Jésus et ses apôtres ?), 6 fois à l'endroit, 6 fois à l'envers et une fois en double croche, entouré de deux silences:  qui forme le miroir et fait le lien entre la première phrase et la deuxième : Jésus faisant le pont entre l'ancien et le nouveau Testament ?

    Ces 13 motifs en croches sont exposés dans les 11 premières mesures dont la dernière invocation intervient juste avant la montée chromatique de tierces (montée au Golgotha ?) où le motif en couronne est exposé 8 fois (qui vont compter quelques mesures plus loin) en contrepoint du 14e soupir de l'invention
    Ainsi, à partir de la 14e mesure, le motif est répété 2x10 fois, à chaque main,  qui jouent à une tierce d'intervalle et en tierces descendantes. 10 fois, X en chiffre romain, pour Xristus.
    Bach fait donc le signe de la croix.

    Les 8 motifs de la montée chromatique ajoutés aux 20 motifs de la croix font un total de 28:  2x14  (les étapes du calvaire ?).
    Il reste 5 mesures (la résurection ?) où le motif est exposé 14 dernières fois.

    J'ai aussi noté pour terminer (et l'ai vérifié au piano), qu'il est possible d'enchaîner en boucle les 19 premières mesures de l'invention, formant un ruban de Möbius.
    Il me plaît alors d'imaginer que Bach, musique, assurait l'éducation mathématique, littéraire, musicale et religieuse de ses enfants par le biais de ces inventions à 2 et 3 voix. Ce sont les oeuvres simples, dans lesquelles il a décrit les processus cognitifs de la création musicale.
    Ce Bach que j'ai appris à connaître, celui qui m'enseigne depuis de longues années, qui m'accompagne parfois, aurait immanquablement truffé une invention à son chiffre de multiples auto-références.
    J'aurai dû entendre depuis longtemps déjà.
    J'ai compté 28 signatures pour cette invention à 2 voix : 2x 14.

    On peut être sceptique ou rester pantois.
    Ecoutez, Entendez-la plutôt, il n'est nul besoin d'avoir ce galimatias en tête pour apprécier la beauté.
    Bach n'a jamais parlé de ces jeux de chiffres mais, une fois les motifs et la structure inventés, il ne reste plus aucune place au hasard.
    "Quaerendo Invenietis" a-t-il tout simplement intitué un des canons de l'Offrande Musicale : "Cherche et tu trouveras". "

    Extrait de http://blog.france2.fr/ricercar/index.php/2006/03/04/21622-bach---invention-n14-en-b-si-bemol-majeur que Phrygien m'a fait parvenir et je le remercie.

    Voir Le nombre d'or et Bach I et II page 336 et 337

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    LES NOMBRES ET LA 14ème INVENTION de BACH & Le ruban de MOBIUS page 377  (BACH JEAN SEBASTIEN)posté le dimanche 09 septembre 2012 20:30

    BACH = 14 ou 5

    14 = Tempérance 4= l'empereur (volonté) 1= bateleur, l'être créé qui reçoit ses dons et ses outils pour avancer dans la vie. Le Un et le Quatre sont d'excellents alliés.

      5= Le Divin ou Le Pape dans le Tarot ou l'Union

           Union au Divin

    4 triple croche et 1 double soit 4x3= 12 et 1x2=2 Total = 14

    4 et 3 = 7 la Victoire en tout  1 et 2 = 3 L'Impératrice 

    et le total soit 10= la Roue de la Fortune (la vie évolue sans cesse) se réduit à l'Un ou le 1.

    12 et 14 = 26 = 8 la Justice, l'équilibre dans le monde

    26 et 10 = 36 = 9 l'hermite, l'homme dans le monde

    9 et 8 = 17 l'Etoile c'est l'Espérance

    17 et 9 et 8 = 34 = 7

    La couronne à l'endroit et la couronne à l'envers peut dire "Tout ce qui est en haut est comme ce qui est en bas" : la couronne renversée devient un coupe ouverte.

    La couronne, le sceau de Bach a 7 branches.

    5 mesures répétées 14 fois =  70 = 7 = le Chariot = le 10 voyageant sur un char entre Ciel et Terre, il est couronné et avance son chemin avec certitude.

    6 mesures de 6 à 11 la couronne à l'envers 14 fois

    6 = l'amoureux en situation humaine, les choix à faire

    6 et 14 font 20 = le Jugement du Ciel auquel on peut se fier ainsi que la Lumière de l'Esprit

    11= la Force qui permet de vaincre les obstacles

    6 et 11 = 17 =l'Espérance à toute épreuve

    On ôte 6 de 11 et on obtient 5 = le divin

    Le cumul des silences est de 14 à la fin de ces deux phrases : la Tempérance.

    Un second motif est exécuté en 28 fois avec 14 qui alterne avec 14. 14 et 14 font 28 : le total est de 56 : le 5 et le 6 reviennent : la somme totale reste 11.

    Un contrepoint de motif en 3 notes 13 fois = 36 = 9  3 et 4 = 12 : le Destin et l'hermitage, la pensée profonde.

    Ces 13 motifs en croches sont exposés dans les 11 premières mesures dont la dernière invocation intervient juste avant la montée chromatique de tierces(montée golgotha) où le motif en couronne est exposé 8 x (qui vont compter quelques mesures plus loin) en contrepoint du 14e soupir de l'invention .

     

    13 fois 11= 143 = 8  Le 13= la Mort  le 11= la Force le 4= l'Empereur (volonté) et le 2 la Papesse (méditation)

    7 fois 8 = 56 = 11

    143+56= 199= 19=10=1

    Le motif est de 2x10 à chaque main

    2 = la Papesse = la Méditation

    10 = la Victoire et 2x10 = le Jugement Divin qui apporte toujours de la Lumière.

    2 et 10 = le pendu ou le Destin

    19 mesures possibles à enchaîner

    19=Le soleil= symbole de la Lumière et de l'Amour divin.

    1+9= 10 = le Un et l'ermite est l'homme qui avance avec sa petite lampe éclairant chacun de ses pas.

    Le 4 étant l'Empereur qui avance avec une volonté ferme vers la réussite de ses projets.

     

    Ruban de Mobius

    qui donne un effet miroir

    Les 19 premières mesures forment un ruban de Mobius.

    Les auto références de Bach sont bel et bien présente, ce qui m'interpelle dans cette simple petite analyse, ce sont les chiffres semblables et harmonieux qui s'y entrelacent : une mystique très solide. Mais je n'ai pas tout découvert loin s'en faut, encore périgriner pour comprendre autre chose de simple et de vrai.  Et c'est toujours dans la simplicité que l'on trouve les meilleures choses mais ce sont parfois les choses les plus simples qui sont les plus compliquées. Je vais m'attacher à la partition dans sa globalité qui saura me dire ce qu'elle a à me dire...

    ColinearCenCiel

     

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    Sur La 14ème Invention de BACH  (BACH JEAN SEBASTIEN)posté le mercredi 26 mars 2008 02:56

    Blog de colinearcenciel :BIENVENUE DANS MON MONDE MUSICAL, Sur La 14ème Invention de BACH
     
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    LA PARTITION ORIGINALE de L'OFFRANDE MUSICALE de JEAN SEBASTIEN BACH  (BACH JEAN SEBASTIEN)posté le mercredi 26 mars 2008 14:39

    Blog de colinearcenciel :BIENVENUE DANS MON MONDE MUSICAL, LA  PARTITION ORIGINALE de  L'OFFRANDE MUSICALE de JEAN SEBASTIEN BACH

     

    Partition originale de Jean Sébastien Bach

    .

    L'OFFRANDE

     

    MUSICALE

     

     

    L'Offrande musicale de Bach est considérée actuellement comme une des plus grandes oeuvres de Bach avec les Variations de Goldberg  et l'Art de la Fugue, mais il y a bien d'autres grandes oeuvres comme la Passion de Saint Matthieu que vous trouverez dans les pages précédentes et dans la rubrique consacrée à J.S. BACH

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    Encore un peu d'histoire sur L'OFFRANDE MUSICALE de J.S. BACH (BACH JEAN SEBASTIEN)posté le mercredi 26 mars 2008 15:01

     

    L'OFFRANDE MUSICALE

     

    En mai 1747, Jean Sébastien partit en voyage à Berlin accompagné de Monsieur Friedemann. Le dimanche 10 mai, le Roi Frédéric le  Grand avait organisé une soirée musicale où il se produisait lui-même à la flûte traversière.  Au début de la représentation, un officie rlui présenta la liste des personnalités arrivées ce jour-là dans la ville.  Soudain, le Roi prononça des paroles historiques :"Messieurs, le vieux Bach est arrivé".  Il le fit demander immédiatement à l'auberge où Bach était hébergé et Jean Sébastien se présenta tout de suite au Roi en s'excusant d'être encore en habit de voyage.  C'est ce jour-là que les quinze piano-forte de Gottfried Silbermann furent essayé.

     

    Dès qu'ils furent revenue dans la salle de musique, Bach proposa au roi de lui donner un thème et le roi lui en présenta un en chantant (qu'il avait bien préparé) et Bach s'engagea dans une fugue improvisée à trois voix.  Ce Thema Regium (thème royal) semble avoir une forme trop archaïsante, inhabituelle et même mystérieuse : on le voit soit comme un passage du fugato du final de la Deuxième sonate pour flûte en do mineur, une des 120 sonates composées par le souverain  ou, un motif initial d'inspiration maçonnique de la Fantaisie en do mineur KV 745 d'un autre frère de loge Wolfgang Amadeus Mozart. Ces deux oeuvres sont en effet en Ut mineur.

     

    Le lundi 8 mai, Sébastien donne un récital de deux heures à l'orgue de l'église du Saint Esprit, à Potsdam.  Le Roi Frédéric et toute sa Cour ainsi que les notables n'en revenait pas et n'en croyait pas leurs oreilles !  Le même soir, malgré ses 62 ans se trouva dans la salle de musique du château et il improvisa une fugue à 6 parties qu'il promit de transcrire une fois rentré chez lui.

     

    Le 9 mai il retourna à Leipzig et se mit à la tâche et deux mois plus tard,100 exemplaires furent imprimés de l'Offrande Musicale BWV 1079 dédiée à Frédéric le Grand.

    De ceci, il ne reçu aucune rémunération ni aucun merci.  La partition se retrouvera inutilisée dans la bibliothèque de Frédéric le Grand.

     

                                                

     

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    BACH ET L'invention n° 1  (BACH JEAN SEBASTIEN)posté le jeudi 27 mars 2008 12:37

     

     

    BACH

     

    ET

     

    L'INVENTION N°1

     

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    OUVERTURE N° 1 - Jean Sébastien BACH (BACH JEAN SEBASTIEN)posté le lundi 21 juillet 2008 11:38

    J                

    e

    a                            

    n

     S é b a s t i e n  B a c h   O U V E R T U R E   B W V 1 0 6 9

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    BOURREE Jean Sébastien B A C H  (BACH JEAN SEBASTIEN)posté le lundi 21 juillet 2008 11:52

    J

    e

    a

    n

    S é b a s t i e n  B a c h  B O U R R E E   B W V 1 0 9 6

     

     

     

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    GAVOTTE de Jean Sébastien BACH (BACH JEAN SEBASTIEN)posté le lundi 21 juillet 2008 11:54

    J

    e

    a

    n

    S é b a s t i e n  B A C H  G A V O T T E  B W V 1 0 9 6

     

     

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    MENUET de Jean Sébastien BACH  (BACH JEAN SEBASTIEN)posté le lundi 21 juillet 2008 11:56

    J

    e

    a

    n

    S é b a s t i e n  B A C H  M E N U E T  B W V 1 0 6 9

     

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    REJOUISSANCE de Jean Sébastien BACH  (BACH JEAN SEBASTIEN)posté le lundi 21 juillet 2008 12:03

    J

    e

    a

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    S é b a s t i e n  B A C H  R E J O U I S S A N C E  B W V

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    6

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    LA SUITE ORCHESTRALE FRANCAISE et JEAN SEBASTIEN BACH  (BACH JEAN SEBASTIEN)posté le lundi 21 juillet 2008 16:08

     

    Blog de colinearcenciel : BIENVENUE DANS MON MONDE MUSICAL, LA SUITE ORCHESTRALE FRANCAISE et JEAN SEBASTIEN BACH

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    Les cinq vidéos précédentes avec l'oeuvre BWV 1069 de Johan Sebastian Bach nous fait entendre une suite française. Les suites de Bach sont en général groupées par six.

    Dans les suites françaises comme dans les suites anglaises, outre les 4 danses de base, de 2 à 4 danses s'intercalent entre la sarabande et la gigue.  Les suites anglaises commencent par un prélude ; la 1ère comporte en outre une 2ème courante accompagnée de 2 doubles variations.

    La suite pour orchestre ou la suite pour ballet découle de Lully et Rameau sont toutes deux de structure assez libre. En revanche, en France la suite pour luth ou pour clavecin s'appuie sur les 4 danses de base que complètent d'autres danses de cour : gavotte, bourrée et menuet.

     

     

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