• Nous poursuivons des explications liés aux deux versets précédents du Srimad Bhagavatam tels qu'ils nous inspirent car Universel. Ainsi, nous pouvons remercier, les transmetteurs d'une partie des connaissances menant vers la connaisssances et ses voies, conseils prodigués de manière naturelle, sans retirer des profits matériels sinon le partage pur à ceux qui ont les oreilles pour entendre et la vue pour voir.

    Merveilleux chants et mantras

    Nous parlons des émanations de Dieu : elles se déployent en un nombre infini de formes ici et partout dans l'univers. Les planètes spirituelles communiquent toutes entre elles pacifiquement : nous le savons car nous l'avons expérimenté au travers des diverses émanations du Seigneur Dieu tout puissant. Certains peuvent être rebuté par le terme DIEU et, pourtant, ceci est beaucoup plus simple que l'on ne peut imaginer sa Simplicité Suprême.

    Car le mot Simple désigne quelque chose ou quelqu'un de naturel et de pur réduit à son originelle forme, un peu comme les enfants vierge de toute influence extérieur sur leur esprit.

    D'où aussi la simplicité d'une logique qui, actuellement nous échappe car Dieu est Intelligence Suprême tel que notre imagination ne peut en imaginer la substance sinon par des Eléments divins émanant de ce qui est appellé, dans le langage chrétien "La Providence".

    Je vous ai déjà exprimé mon attitude par rapport aux religions diverses de ce monde matériel. Je n'ai pu adhérer complètement à aucune du fait de mon expérience personnelle. J'ai constaté au fil du temps et de mes méditations que Dieu était comme un immense tableau dont les connaissances étaient absolue et totale.  Nous y avions accès avant, il y avait, en mesure terrestre d'innombrables milliers d'années. Ces Connaisssances furent éparpillées dans ce monde matériel de la planète bleue et furent divisées en morceau de puzzles nous jetant dans la confusion : ces connaissances étant Universelles.

     

    Merveilleux chants et mantrasMerveilleux chants et mantrasMerveilleux chants et mantras

     

     

    Néanmoins l'on retrouve de ci , de là des fragments. Nous pouvons avoir également un héritage de par nos différentes pérégrinations dans les différents mondes au travers de l'espace, du temps et des géographies. Les univers s'interpénètrent en diverses dimensions dans lesquelles nous avons la faculté d'interpénétrer selon notre configuration et les capacités reçues en tant que créatures de ce Tout Divin embrasant notre être selon une volonté divine elle aussi. Il est dit :"Souvenez vous d ce que vous êtes". Il existe des techniques de souvenance. Si elles sont utiles à notre existence présente, elles ressurgissent et nous recevons directement tous les outils nécessaires à ce que cela se puisse faire. Des livres ont été écrit à ce sujet mettant en avant le fait de certains êtres ayant expérimenté les multiples vies et souvenirs de vies antérieures. Pourtant, ces données restent du domaine divin où Dieu acceptent que nous soyons chacun personnifié en êtres distincts possédant chacun nos qualifications. Nous pouvons êtres issus d'un monde spirituel et, de ce fait, nous sentir étranger à ce monde de la planète bleue, tellement arrièrée par ses pratiques et ses façons de domination et de structures, de contrôles et de sottises purement matérialistes. Si bien que les âmes sensibles sont amenées à retrouver leur identité réelle ici bàs afin de perpétuer et de diffuser un message profond soit par une attitude, des oeuvres, télépathiquement , par travail purement spirituel, discrètement, sans se nommer, dans l'ombre d'un travail simple et humble sur la terre comme des soins donnés dans un hôpital où leur seule présence console des milliers d'êtres et laissent traces positives ayant permis des délivrances de peines liées à la condition humaine souvent très difficile à supporter.

     

    Nous parlerons des inconvénients par la suite et comment au milieu de ce matérialisme fanatique,avoir les boucliers nécessaires et la pratique face aux épreuves mais sachez déjà que faire provision de méditations et de vénérations et prières apportent beaucoup de bienfaits pour chacun qui pratique et pour leurs proches et ceux qu'ils fréquentent mais il arrive parfois que d'autres forces se lèvent pour les anéantir et nous verrons pourquoi.

     

    Le sujet étant assez vaste, nous devrons nous contenter de progression dans le sujet en douceur, en recevant les bons mots pour exprimer la situation dans laquelle se trouve les esprits sensibles au sein d'un monde cruel et souffrant.

     

    Des outils sont nécessaires et se trouvent déjà dans certains enseignements spirituels, laissés au travers de divers manuscrits. Le sujet étant extrêmement vaste et demande ouverture de l'esprit au Seul Dieu avant toutes les lois humaines : notre Conscience seule étant reliée directement à Dieu dans la pratique pure de la vénération, le mettant au dessus de tous puisqu'Il demeure Créateur : issus de Lui, de ses Univers multiples avec lesquels il est possible de communiquer et, puis, nous parlerons aussi des mondes matérialistes tirant vers le bas par mille façons et les pièges présents eux aussi, prêt à faire tomber les êtres bienheureux étant de nature sensible avec une forme particulière où leur substance permet de s'élever au delà des préoccupations bassement matérialistes et compacte des êtres habités de voracité, d'amour de pouvoir et de domination et autres. Il est nécessaire ce discernement à affiner, celui dit on qui fait la qualité des sages, la plus grande qualité : le discernement.

    Les bases solides nous sont données afin de nous poser et nous raffermir chaque jour et au fur et à mesure, nous devenons libres et, nous avons la faculté d'être en contact avec les émanations divines au sein de notre vie. Tant qu'il est possible de consacrer du temps (ici compté) à cette Vie divine, elle est source de tous les bienfaits. Vous savez la "petite Thérèse" Sainte de Lisieux venait pour accomplir une oeuvre par le contact avec le Christ, Jésus Christ émanation directe de Dieu, le Père disait il et, selon son conseil, il était utile de Le prier et de dire "Notre Père". Le langage originel était être l'araméen. Il n'y a pas de hasard aux langages. Les mots, la pronociation orale ou silencieuse demeurent des clés d'ouverture. Certains mots ne sont jamais à prononcer et là aussi, la substance des mots ont une incidence sur notre état de manière parfois très vigoureuse en un sens ou en l'autre sens. 

     

    Il ne m'est possible d'envisager d'écrire ces choses en me basant sur des écrits anciens, pour le moment le Srimad Bhagavatam, avec ces musiques de mantra inspirantes et reliantes à la PAIX,outil indispensable pour apporter le nécessaire comme une trousse d'outil pour nos ailes et notre coeur au sein du choeur de l'amour pur créateur de substanciel.

    ©Colinearcenciel

     

     

     

     

     

    1º Manis Vyas ....................Tumi bhaja re mana (mantra of love)
    2º Yamuna teera bibiharee... ( Krishna rama bhajan ) ( 8:10)
    3º Deva Premal ....................Tumara Darshan (13:00)
    4º Namaste...........................Java Shiva Shankara ( healings mantra ) (21:10)
    5º Manish Vyas ....................Shivoham (31:54 )
    6º Deva Premal ....................Om Shree Sache (41:34)
    7º Shojam Shivoham mantra.............................( 51:36)
    8º Namaste .........................Shiva Shambo (healing ). ( 55:12 )
    9º Jai Jagdeesh....................Satigur Kar Deena ( 1:04:45)
    10º Deva Premal...................Om Tare Tuttare
    11º Sudha............................Om Bhagavan
    12º Manish Vyas ..................Ishg (1:26:20)
    13º Ek Ong Kar Gar Prasad...(remueve obstáculos y transforma la energía negativa à positive).

    Merveilleux chants et mantras

     

     

     


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    Le Yoga : l'entrée en contact

     

     

     

     

     

    VERSET XXVIII et XXIX

    Sri Krsna, le Seigneur Suprême, constitue l'Objet ultime du savoir révélé par les Ecritures, les sacrifices n'ont d'autre but que de Lui plaire la pratique du yoga vise uniquement à Le réaliser, et c'est Lui seul qui, en dernier recours, attribueles fruitsde toute acion intéressée. Il est le savoir suprême, et les dures ascèses n'ont d'autre fin que de le connaître. Il représente le But final de l'existence.

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    Le mot yoga signifie "entrer en contact avec le Seigneur Suprême". La plupart des yogis se laissent fasciner par les pouvoirs qu'ils acquièrent au travers de certains types de yoga et au cours d'exercices physiques et retombent sous les lois de la nature matérielle, non essentielle, ce qui est dommage. Le but du yoga est l'Union tout comme ce que l'on nomme l'Oraison dans la religion chrétienne. "Le château intérieur" et autres littérature de Sainte Thérèse d'Avila, décrit une méthode de l'Union en relation avec les préceptes de l'église catholique. Or, cette méthode existait déjà bien avant la venue de Jésus Christ. Ses écrits étaient corrigés par les supérieurs, car, à l'époque, il ne fallait pas que ces méthodes soient à la portée de tous. Le savoir ne devait pas se savoir. Ainsi, bonne écrivaine, Thérèse d'Avila se plia à ses supérieurs. Jésus lui parlait et lui avait dit qu'elle était sainte. Ce qui correspond à la situation en ce monde de rishi en langue sanskrite. Ce terme repris aujourd'hui, précise bien l'état d'une personne qu'elle soit reconnue officiellement ou nom par une religion ou l'autre.

     

    Ce livre, pas facile à lire, du fait des complications des façons de s'exprimer à l'époque, recèle pourtant des vérités mais, soumet les religieuses à des lenteurs pour arriver à cette "méditation" ; lenteurs dûes à la culpabilisation ou aux services qu'elles devaient rendre dans la plus grande soumission sur le plan matériel. L'église n'étant pas exempte de fautes et d'erreurs. Il est à remarquer que les rishi naissant dans cet état et possèdent en eux des connaissances en venant au monde. Thérèse était donc rishi dès sa naissance même si, elle ne se plia pas aux règles de la vie religieuse puisqu'elle menait une vie légère, notamment dans les parloirs lorsqu'elle y recevait des êtres du sexe opposé et, elle ne s'en cache pas et le confesse dans ses livres et ce, jusqu'à l'âge de 52 ans, jusqu'à sa rencontre avec le Christ.

    Sa vie spirituelle, elle la réalisa ensuite, mais sous contrôle de l'église catholique et de son confesseur, lorsqu'elle rencontra réellement le Christ dont elle fut remplie de faveurs.

    Elle ne fut empêchée dans aucun de ses projets et nombre de femmes purent sortir de leur état misérable et de leur famille pour entrer au Carmel qui leur permettait une vie honorable sur terre. Nombre de femmes échappèrent aux violences familiales ou conjugales en entrant au Carmel et eurent l'opportunité d'apprendre l'oraison mais lentement au vu de toutes les conditions dont les corrections certainement apportées au texte original aura freiné l'apprentissage. Le ton hautain parfois envers des "soeurs" qui souffriraient de "crise d'hystérie" suite à des visions.

    Cependant, globalement, les sensations ressenties au cours de l'oraison ou les émotions en découlant ensuite y sont bien exprimées. Car il s'agit de l'Union avec Dieu et de la vision du Christ dans notre château intérieur où il se trouve tant de pièces, de chambre qu'il s'agit de frapper à la bonne porte. Thérèse pensait qu'il lui fallait être bien inspirée pour exprimer le "supra sensible" du cheminement vers l'oraison et son accomplissement complet apportant tant de bien être au contact du "Sauveur" puisque telle est la dénomination et la caractéristique essentielle de Jésus Christ. Sinon qu'Il dit lui même être le Fils de Dieu. Cette notion ne peut se comprendre profondément qu'au travers du résultat obtenu par l'oraison ou par la volonté du Christ lui même exprimant :"ce n'est pas toi qui me choisi, c'est moi qui te choisi". L'on peut parler du Christ Cosmique, l'Incarnation du Verbe.

     

    Cette oraison, comme l'exprime si bien les védas et par la suite, les enseignements tibétains, sont à la portée des "esprits sensibles"(voir les six mondes). Actuellement, certains écrits disparaissent de la toile et des librairies ou bien, on y omet des pages trés érudites spirituellement, les plus importante de la connaissance vitale pour les esprits sensibles. Cependant, cette façon de procéder, matérielle, est l'adage de ceux qui naïvement s'imaginent priver des êtres de ces enseignements. Ils se transmettent autrement que par les livres :  par voie orale et par télépathie par les mondes spirituels.

     

    La plus grande humilité et la prise de conscience de notre état réel, permet l'ouverture vers cette méditation et d'en recevoir des mérites. Par la sincérité du coeur, bien sûr que Dieu voit tout ce qui existe dans un âme, il est le seul à voir globalement l'état intérieur des âmes. Allons maintenant vers les explications du traducteur du Sri Bagavatam.

    "La voie du développement de la connaissance trouve sa fin en Väsudeva (le père de Krsna, ou le niveau à atteindre). La bhagavad gîtä décrit 18 facteurs favorables, expliquant de quelle manière, lorsque l'on développe le savoir, on s'affranchit progressivement de l'orgueil et de la vanité, on devient non violent, tolérant, simple, dévoué, maître de soi, de quelle manière égaement on se détache de son foyer, en même temps que l'on prend conscience des souffrances qu'engendrent naissance, maladie, vieillesse et mort. Quant au point final de ce développement, on le trouve, dans la pratique du service de dévotion offert au Seigneur Suprême, Väsudeva. Celui ci représente le but ultime du développement de la connaissance dans toutes les branches et le savoir qui nous conduit à sa rencontre de Vasüdeva au niveau spirituel qui constitue le vrai savoir.

    La bhagavam gita, d'autre part, condamne toutes les formes de connaissances matérielles, qu'elle désigne du nom d'ajnana, ou "qui s'oppose au pur savoir". Car, la connaissance matérielle a pour but final de combler les sens, ce qui implique une reconduction de l'existence matérielle et de trois formes de souffrances qui lui sont propres, une telle connaissance relève donc plutôt de l'ignorance que du savoir. Mais si on utilise cette même connaissance matérielle pour s'élever au niveau du savoir spirituel, il sera dès lors possible de mettre un terme aux misères de l'existence matérielle et d'accéder à l'existence spirituelle sur le plan de Vasüdeva".

    Les sacrifices matériels, tels que des offrandes cruelles pour les animaux et autres, n'ont aucun sens en ce qui concerne la vie spirituelle et les aptitudes pour arriver à l'union ou l'état de samadhi. Car il s'agit de l'état de samadhi dont il est question et de tout ce qui en découle. L'être spirituel peut être guidé dans la vie matérielle par sa vie spirituelle : ce qui découle de la bonté divine avec laquelle le dévôt se met en contact. C'est ainsi que l'on parle de vénération mais les prières demeurent utiles et la façon dont nous pensons ou la façon dont nous ne pensons pas ... Le vide de nos propres pensées permet de voir s'épanouir en nous, dans la dévotion, la grâce divine.

     

     

    Les dures ascèses sont t'elles utiles pour obtenir l'état de samadhi ? Non. Nul besoin de se torturer, de se priver : ce fut une mode à une certaine période où l'ascétisme donnait une forme de romantisme au fait de réunir tous les ingrédients à ceux qui avaient de grandes visions, aux grands saints. Si l'on connaît la vie de Saint Antoine de Padoue : il aimait à rire et possédait un grand sens de l'humour. Et, la petite Thérèse de Lisieux, (qui partit très jeune à l'âge de 24 ans, elle quittait ce monde ci pour entrer dans le grand monde spirituel appellé le paradis) invoquait ses proches disparus qui l'ont aidé à cheminer et pourtant, on appellait cela du "spiritisme". En réalité, tous les phénomènes dits "surnaturels" ne sont que naturels. La pratique profonde de la spiritualité (la vie de l'esprit) permet de constater combien celle ci est bénéfique pour l'ensemble de la vie terrestre : le corps bénéficie aussi de cette pratique ainsi que l'intelligence et, pour les artistes : une réelle source d'inspiration.

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    Le Srimad Bhagavatam, datant de plusieurs milliers d'années expriment que Dieu, l'Etre Suprême, la Force originelle, se déploie en un nombre infini de formes. Nous reviendrons par la suite sur ses émanations.

    ©Colinearcenciel

     

     

     

     

     


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  • Les signatures numériques de J.S. BACH

     

    Les signatures numériques de Bach dans son œuvre sont nombreuses et les meilleurs spécialistes reconnaissent aujourd’hui que Bach était au fil des ans de plus en plus obsédé par le nombre 14, somme des rangs des lettres de son nom, BACH = 2+1+3+8 = 14, et par les notes correspondantes dans la notation allemande. Le testament musical de Bach, L’Art de la Fugue, est une suite de 14 fugues dont le thème de la dernière n’est autre que les notes BACH.

    Le principe admis, il faut pourtant considérer avec circonspection ses applications par certains exégètes qui triturent les valeurs des lettres BACH de toutes les façons qu’ils peuvent imaginer pour parvenir à une famille étendue de nombres « bachiens ».

     

     

    Revenons au nombre d’or censé représenter le rapport idéal entre deux éléments a et b, de telle façon que le rapport du second au premier soit identique au rapport de l’ensemble au second, ce qui se traduit par l’équation :

    b/a = (a+b)/b , qui se résout et conduit à donner au rapport b/a la valeur approchée 1.618 (et au rapport a/b la valeur 0.618).

    Il existe une forme binaire privilégiée chez Bach, le « Prélude et Fugue », illustré au premier chef par les deux volumes du Clavier bien tempéré, publiés en 1722 et 1744. Chaque recueil décline dans les 24 tonalités majeures et mineures la forme « Prélude et Fugue » ; ces « 48 » qui ont formé les plus grands (Mozart, Beethoven, Chopin pour ne citer qu’eux) figurent toujours au répertoire des musiciens d’aujourd’hui, et pas seulement des clavistes puisque des transcriptions et adaptations en ont été faites.

    Y aurait-il dans ce terrain privilégié des ensembles prélude-fugue présentant un découpage d’or idéal ? Ceci selon le critère le plus immédiat du nombre de mesures, de mesures exécutées pour être précis, car certains préludes sont à reprises.

     

     

    Oui, l’ensemble BWV 859 a 64 mesures en tout. 64/1.618 donne 39.55…, qu’il faut arrondir à 40 pour avoir le meilleur entier en rapport d’or avec 64, or le prélude 859a a 24 mesures et la fugue 859b a 40 mesures.

    Il existe un seul autre cas, pour les 113 mesures de BWV 883. 113/1.618 donne 69.83…, à arrondir à 70, or le prélude 883a a 43 mesures, et la fugue 883b a 70 mesures.

    Or ces deux ensembles correspondent dans chaque recueil à la même tonalité de fa dièse mineur, et c’est dans chaque cas le 14e ensemble du recueil !! ! !!! !!!!!!!!

     

     

    C’est la logique même de l’architecture des recueils qui veut que la tonalité de fa dièse mineur (fis selon la notation allemande) corresponde au 14e rang, logique qui les fait s’achever sur si mineur (h), dont fa dièse est la dominante, ou quinte, l’équivalent musical immédiat du nombre d’or théorique, la note vibrant aux deux tiers de la fréquence de la tonique. Il est fascinant que le seul autre ensemble digne d’une attention dorée parmi les 48 soit le 24e du premier volume : BWV 869a a 47 mesures et 869b 76 mesures, ce qui donnerait un rapport d’or presque parfait (123/76 = 1.618), bien meilleur que pour les pièces 14, 64/40 = 1.6 et 113/70 = 1.614), mais le prélude est ici à reprises, le seul du premier recueil, et cette magnifique harmonie serait perdue pour la musique exécutée.

    Je me borne ici à ce fait incontournable que les deux ensembles divinement proportionnés, selon l’expression de Luca Pacioli que Bach aurait pu lire, sont les ensembles 14 des deux recueils, mais sans en déduire quelque intention que ce soit de la part de Bach.

    Je n’étudierai pas non plus les autres pièces du Clavier bien tempéré. Cette page donne une série de relations dorées dans le premier volume, ainsi que le tableau des nombres de mesures pour les deux volumes, mais les développements les plus ébouriffants de cette affaire sont à suivre ici (référence ci après de ce site très intéressant et studieux)

     

    Je reviens donc aux PF 14, en remarquant que les nombres de mesures peuvent être affinés, et les deux rectifications conduisent à approcher de plus près le nombre d’or. C’est particulièrement remarquable pour BWV 883, où le prélude a 43 mesures complètes, mais où la première mesure de la fugue à 4 temps débute par un soupir pointé. Elle aurait donc plus précisément 69.625 mesures, et le rapport 112.625/69.625 vaut 1.618 ; ce soupir pointé correspond au silence optimal (en divisant la mesure en 8 croches) pour approcher le nombre d’or.

    Il faut peut-être rappeler que Bach ne donne presque aucune indication d’interprétation pour ces pièces, dont la musicalité est telle qu’elles admettent souvent les tempi les plus variés (Glenn Gould pouvait selon l’humeur du moment varier le tempo d’une pièce du simple au triple). S’il n’y a rien d’obligatoire à ce qu’une mesure de prélude ait la même durée qu’une mesure de fugue, rien ne l’interdit non plus.

     

    Après les nombres de mesures viennent les nombres de notes, qui sont :

    – 604 et 813 pour les prélude et fugue du volume I, total 1417

    – 889 et 1399 pour les prélude et fugue du volume II, total 2288

    Les rapports de la fugue au prélude sont plutôt mauvais (1.346 et 1.574), mais le rapport des deux totaux est étonnant : 2288/1417 = 1.615.

    Plus étonnant encore est le nombre idéal qui aurait été requis face à 2288 : 2288/1.618 = 1414.09 à arrondir à 1414. Ainsi l’idée de considérer les proportions d’or dans les « 48 » mène aux deux ensembles 14, 14-14 si on veut, et un approfondissement conduit au nombre 1414 ! !!!!

     

    Et ce n’est pas fini, mais aller plus loin demande un brin d’analyse musicale. La fugue 883b est une fugue à 3 thèmes, qui doit être d’ailleurs la seule fugue à plusieurs thèmes parmi les 48. Elle multiplie les trinités car elle a 3 dièses, 3 voix, 3 thèmes.

    Le thème I, ou thème principal, a 15 notes. Il est exposé normalement sur les 3 voix, puis apparaît une autre fois dans un court développement qui s’achève mesure 20.

    Apparaît alors le thème II, en 6 notes, d’abord normalement à la tonique, mais l’exposition le poursuit à la quarte, puis à la septième.

    Ce sera d’ailleurs aussi le même schéma pour le thème III, de 22 notes, qui apparaît mesure 36. En fait il dégénère dès la fin de l’exposition et n’apparaît que deux fois sous cette forme de 22 notes.

    Avant cela le thème I a été superposé 2 fois au thème II. Puis le thème I est superposé 1 fois au thème III, et enfin on a 3 superpositions des 3 thèmes.

    Ces 3 parties de la fugue ont 253, 262, et 884 notes, mais les voix haute et basse n’ont pas encore fait silence au moment où démarre le premier thème III au médium. Les dernières notes de ces voix se font entendre au premier temps de la mesure 37, alors que les 10 premières notes du thème III sont déjà passées. Et alors ? 253 + 262 + 10 font 525, qui avec les 889 notes du prélude font 1414. Il existe donc bien un point important de l’ensemble P14-F14 correspondant à la section dorée exacte de ses 2288 notes. Avec cette division horizontale en 3 parties, la fugue admet également une division verticale en 3 voix : l’alto a 422 notes, le medium 452, et la basse 525. Si on ne voit pas trop à quoi correspondrait une coupure verticale de la pièce, il est remarquable de voir réapparaître ce nombre 525, avec un tel écart par rapport aux autres voix.

     

    Le thème principal I apparaît 10 fois dans la fugue. S’ils avaient toujours 15 notes, ces 10 thèmes totaliseraient 150 notes, à côté de 2138 notes pour le reste de cet ensemble P14-F14, 2138, le nombre magique espéré par tous les amateurs de numérologie bachienne. Mais seuls 7 de ces thèmes apparaissent sous la forme originale de 15 notes. Le 6e débutant mesure 34 a une note finale intermédiaire supplémentaire – « grâce » à laquelle on aboutit aux 525 notes au début de la mesure 37. Les entrées des 8e et 9e thèmes aux mesures 55 et 60 sont modifiées : s’il serait possible d’y compter 15 et 14 notes pour parvenir au total souhaité de 150, la stricte analyse musicale ne permet pas de justifier ce désir.

    Néanmoins cette possibilité de trouver 2138 a au moins une réalité théorique, en une troublante analogie avec la mythique « dernière fugue », le Contrepoint 14 de l’Art de la Fugue. La maladie et la mort de Bach l’ont empêché de mener à bien l’édition de cette œuvre à laquelle il collaborait étroitement avec son imprimeur. Il est fort probable que l’œuvre ait été achevée, mais un feuillet semble en avoir été perdu, celui qui contenait la fin du dernier Contrepoint, qui aurait été une prodigieuse fugue à quatre thèmes, mais il y manque la superposition finale des trois premiers thèmes avec le Grand Thème sur lequel est architecturé tout l’Art de la Fugue. En conséquence les héritiers n’ont pas reconnu son appartenance au recueil et l’ont archivée comme Fugue à trois sujets.

    De curieuses coïncidences ont cependant entraîné certains exégètes à imaginer que cette version incomplète ait été voulue telle par Bach, ainsi la fugue en l’état compte 238 mesures complètes + 1 inachevée : on retrouve les chiffres fatidiques 2-1-3-8.

    Ma propre investigation m’a amené à y découvrir une possibilité de 2138. Les deux parties complètes de ce Contrepoint 14 comptent 22 thèmes I de 7 notes, puis 8 thèmes II de 41 notes, or soustraire ces 482 notes des 2620 de l’ensemble mène à 2138.

    Je n’essaierai pas de justifier cette possibilité, toujours est-il que je l’ai envisagée, et voici que 3 ans plus tard je redécouvre une possibilité analogue de trouver 2138 notes en écartant certains thèmes d’une fugue de rang 14 à 3 thèmes.

     

    Il ne faut pas oublier la fugue BWV 859b du premier recueil, qui offre une particularité qu’elle partage cependant avec la fugue 857b en fa mineur : ces fugues à 4 voix commencent tout à fait normalement par l’exposition du thème dans les 4 voix, mais la 4eentrée au soprano est à la tonique et non à la quinte.

    Cette 2e pièce du 14e ensemble PF a 813 notes, un autre 2-1-3-8 ?

    Elle offre aussi la particularité d’avoir dans son thème les notes ABHC, sous la forme AAisHHis dont les premières occurrences sont les notes 3-5-6-10 du thème (3 autres thèmes sont dans ce cas parmi les 48, les 12 et 24 du premier recueil, le 6 du second).

    Ce thème a 18 notes, et apparaît 9 fois, 7 fois rectus, 2 fois inversus. La 6e entrée est légèrement modifiée, si bien qu’il est encore difficile de prétendre dénombrer les notes thématiques.

    Etude de Remi Schuzl dont vous pouvez trouver la suite ici : http://remi.schulz.perso.neuf.fr/bach/fis.htm


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  • Au XVIème siècle, le croirait-t'on que cette ville d'Hambourg fut la capitale de la musique d'orgue ? Et cette ville est représentée par le jeune BACH et par le très jeune Johann Adam REINKEN, l'organiste de l'église Sainte-Catherine et par Andreas Kellner. C'est à Lübeck que se rend Jean Sébastien en automne 1705 pour rencontrer Dietrich BUXTEHUDE.  Hambourg représente ce style de musique d'orgue typique de l'Allemagne du Nord représenté finalement par notre Jean Sébastien, Friedrich Buxtehude et Johann Pachelbel. Mais sachons aussi que le jeune Haendel s'arrêtera là aussi tout comme Telemann en 1720.  C'est là aussi que naîtra l'opéra allemand au Théâtre du Marché des Oies inauguré en 1678 et permettra le déroulement d'un genre d'opéra allemand débutant car à cette époque c'est l'Opéra italien qui prend les devants de toutes les scènes de l'Europe, là où l'Opéra est né avec Claudio Monteverdi. L'on voit tous les musiciens se croiser et s'entrecroiser tandis que se tissent une histoire de la musique et de la musicologie, dense, riche et prospère.

     

     

    Une console de l'orgue de Arnstadt où Jean Sébastien a composé les chorals retrouvés en 1984 à Yale. Cet instrument fut fabriqué entre 1701 et 1703. Voici encore une représentation de cet orgue que l'on approche religieusement ! Deux claviers, petits et là dessus le maître compose des merveilles ! Je possède une autre photo plus détaillée que je vous mettrai dans les articles suivants de la console de cet orgue.
    Blog de colinearcenciel :BIENVENUE DANS MON MONDE MUSICAL, * LA CONSOLE DE L'ORGUE OU LE MAITRE BACH COMPOSE....*
     

     Blog de colinearcenciel : BIENVENUE DANS MON MONDE MUSICAL, * LA CONSOLE DE L'ORGUE OU LE MAITRE BACH COMPOSE....*

     

    Oui en effet, le premier emploi de Jean Sébastien c'est à Weimar en tant que "Hofmusicus" et cela entre mars et septembre 1703 mais ensuite il est nommé organiste de la ville d'Arnstadt durant 4 ans entre 1703 et 1707 et ensuite il faut nommé organiste à Mülhausen durant une année jusqu'en 1708 et puis de nouveau à Weimar durant 6 ans entre 1708 et 1714 et puis il devient "Konzertmeister" jusqu'en août 1717.

    Voilà sur la vidéo des oeuvres  de Jean Sébastien BACH inteprétée sur cet orgue d'ARNSTADT, où il les composa. Depuis, cet orgue a été restauré.

     

     


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  • En guise de refus (texte)posté le lundi 19 mars 2012 02:15

    Blog de colinearcenciel :BIENVENUE DANS MON MONDE MUSICAL, Entre Fiction et Réalité : la Confession

     

    Il vint un après-midi cet homme-là en visitation pour une personne malade, par charité chrétienne bien sans doute, pensant sûrement à faire un ouaille d'église participante.

    belle

    Celui que l'on appelle homme de Dieu, un prêtre d'une église. Il sortit une croix mise en face du visage de la jeune fille d'une façon théâtrale.

    Il suggéra la confession utile à un autre sacrement celui des malades qui semble t'il donnerait de la force divine.

    La jeune fille chaque jour, seule dans sa chambre prie dans le secret. Et s'exprimant, elle dit qu'elle ne ressentait pas ce besoin de livrer quoi que ce soit de confidentiel.

    belle

     

    Elle savait que déjà elle avait touché le ciel et que le ciel savait tout d'elle sinon le bon Dieu lui-même.

    Ainsi l'homme ne reçut pas de réponse favorable à sa demande quelque peu indiscrète. Nous ne le connaissions pas. De nos jours : qui est qui ; sinon que Dieu Lui-même sait tout des mouvements du coeur. Elle le lui exprima.

    belle

    Son église a bien des confessions à faire. 

    Des statues dites de "saints conservés" et qui ne sont que cire et cheveux ajoutés. Pour les nombreux faits de maltraitance d'enfants et de complicité dans des affaires commerciales et des actions dans les armements de tout genre. Aussi, l'église doit se confesser et ne pas demander aux innocents, aux faibles de se livrer à des confidences qui ne les regarde pas. Ils se donnent le droit d'offrir le salut de l'absolution. Le repentir du coeur suffit dans les petites fautes ou erreurs maladroites.

    belle

    Ainsi ceux qui s'abrogent le droit d'entrer dans le secret des coeurs, accueilli dans la maison d'une jeune fille malade, Jésus lui-même lisait dans les coeurs des pécheurs. Il connaissait l'innocence des enfants et des jeunes et n'exigeait pas d'eux quoi que ce soit sinon qu'il les bénissait.

    La jeune fille refusa de son bon droit et de sa pureté vive aussi pure que celle des anges. Son regard leur ressemble comme dans les tableaux de ceux qui ont pu les approcher.

    belle

    Ainsi cet homme se disant tardivement converti et ayant pris la robe religieuse, avoua avoir commis de grands péchés auparavant.

    Le climat de confiance ne put s'installer. Car nous mettons Dieu avant tout homme. Et pour nous, les hommes d'église, selon ce qu'ils reflètent, transportent l'exemple de l'amour du Christ en acte.

    Il est parti ensuite ayant dit que sans confession, le sacrement des malades ne pouvaient se faire. Mais le sacrement et l'amour du Seigneur entourent nos jours. Il n'est pas d'intermédiaire lorsque Dieu accorde la grâce, il peut l'accorder directement.

    Il partit, avec une casquette sur la tête, sa tête était penchée, il portait un manteau et l'on n'aurait pas pu voir qu'il était par son costume un représentant de cette église.

    L'esprit de l'avait pas éclairé. Ses intentions ne nous sont pas apparues claires sinon que nous sentions cette pression de ceux qui savent parler et veulent imposer ce que la sensibilité ne ressent pas au fond de soi.

    belle

    Il disait revenir la semaine suivante, mais ne revint pas. Les pensées s'étaient croisées  : la jeune fille ce jour-là ne serait pas là.

    Pourtant, il existe tant de personnes sincères dans leur foi et engagement. La Mère du Seigneur peut faire ce que le Seigneur fait lorsque l'âme se repend d'une erreur et elle peut le faire directement. Ainsi Dieu entend et voit tout ce qu'il se passe.

    belle

    Ce jour-là, remua dans mon esprit des souvenirs difficiles. Et, la jeune fille savait qu'elle n'avait rien à lui confesser. De plus, la voyant souffrante, il compara sa situation à Marthe Robin. Et, je ne puis croire que cette femme qui connut une fin tragique, et le "miracle" de pouvoir se nourrir de l'hostie tout simple et sans autre nourriture durant tant d'années ; je ne peux croire qu'elle fut retrouvée par terre battue par les démons.

    Je ne peux croire qu'elle mourut seule, trouvée à côté de son lit avec de nombreux coups que les démons lui auraient donnés. Mais je pense que les démons sont en ce monde et font beaucoup de mal aux gens par les tortures et autres sévices. Ainsi, pour d'autres personnes dites "possédées", il y a des histoires douteuses dont je suis écoeurée car elles ne doivent pas être reprise dans une réalité des faits ; il vaut mieux se méfier des visibles que des invisibles. Il y a sur youtube, le cas d'une jeune fille qui mourut dans d'atroces souffrances parcequ'elle ne fut pas soignée et considérée par les prêtres comme possédée. Dans un de ces cas, les prêtes et la famille furent condamnées pour maltraitance. Mais lorsque l'on voit cette personne sur les images, elle avait des coups et c'est atroce de voir que des gens croient encore à ces histoires de possessions dont les femmes seraient en particulier victime. Il vaut mieux que la science et les médecins soient pris en charge lorsque des coups apparaissent sur le corps car ils n'apparaissent pas par hasard. Et vu que l'on dévoile de plus en plus les cruautés de certains membres des églises, il faut rester prudent quant à toutes les fausses histoires qui font des marthyrs et poussent aux marthyrs car on n'est pas né pour devenir un marthyr mais pour connaître le bonheur. S'il est des personnes qui sont devenus des christ vivants et se sont battus pour la paix et ont été assassiné parcequ'ils défendaient des causes honorables pour les droits fondamentaux de leurs frères humains, il s'agit de crimes opérés sur eux. Quant à l'action du diable qui frappe et fait apparaître des bleus et des blessures, cela peut cacher une bien autre réalité très sordide. Aussi, il faut rester vigilant quant aux pratiques sectaires, aux petites et aux grandes sectes. Je crois en l'Amour divin mais je ne crois pas en les êtres humains qui n'ont pas cette clarté en eux de l'esprit éclairé par le divin.

    belle

    Il est donc parti cet homme, avec un poids sur les épaules. Il vaut mieux le silence parfois que d'exprimer ces vérités qui font mal et qui sont réelles à ceux qui sont trop fragiles pour les entendre. Et, nous allons notre route librement, car le plus beau cadeau que Dieu nous a donné c'est la Foi et la liberté de lui parler de coeur à coeur.

    belle

    Il me fut révélée, il y a de nombreuses années, par quelqu'un du ciel, que l'on était très triste là-haut du comportement de certains qui s'en prenaient à des enfants car ces enfants étaient chers au coeur de Dieu. Je ne comprenais rien à ce message où l'on insistait, par la suite, beaucoup plus tard, j'ai compris tout le sens de ces messages qui me furent donnés durant un mois, chaque jour.

    Extrait du sujet d'un livre de ©ColinearCenCiel


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