C'est que l'on envoyait des cartes postales il y a près d'un siècle et ce devait être bien bon de voir passer le facteur et d'ouvrir les enveloppes et découvrir le doux mot et les beaux motifs. Avec ces beaux motifs, découvrons ou redécouvrons ce que nos grands ou arrières grands parents écoutaient et chantaie
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CARTES POSTALES D'EPOQUE
Il y a même plus d'un siècle voici une chanson qui vous fera rire et sourire datant de 1909. Chanson qui devait se chanter de bouche à oreille aux fêtes !Et comme dirait l'auteur du post ""La bédouine et le tuba" chanson chantée par Charlus en 1909. Les paroles de cette chanson sont d'une beauté alarmante... Y'a plus de chansons comme celle-là de notre monde américanisé...
Le pauvre homme est obligé de mettre sa jolie bédouine à la porte de peur de tomber dans le coma, tellement qu'elle joue bien du tuba"Mais oui, il s'agit bien de la musique de Scott Joplin jouée dans les années folles joué en Nouvelle Orléans avec l'orchestre HALFWAY HOUSE ORCHESTRA qui interprète "Maple Leaf Rag" enregistré par la Columbia record company en Septembre le 25 en 1925. Je ne sais pas où va se retrouver l'article soit milieu de Mozart ou Haendel ou encore Beethoven mais dès que tout sera rentré dans l'ordre au niveau des bugs actuels, le reclassement sera possible, ce qui ne nous empêche pas, pour l'instant de nous régaler musicalement. Bon dimanche à vous. Coline.
AL CAPONE eut un lien important avec beaucoup de musiciens et il en inspira lui aussi
Al Capone est un des plus grands gansters connus dans le monde. Il eut cependant un lien étroit avec la musique qu'il aimait et encouragea des musiciens dont certains furent inspirés par sa personnalité. Voici un document qui parle de sa vie : dans la rubrique des années 1920
Image publiée avec les données permises
Détails de la licence
PD-USGOV.http://fr.wikipedia.org/wiki/Al_Capone#mediaviewer/Fichier:Al_Capone%27s_Home.jpgJAZZ MAFIA des années folles
Ici on voit Al Capone toujours très élégant arborant le costume à la mode Borsalino. Et nous entendons une musique de jazz très belle, un extrait de l'époque puisqu'il finança aussi des musiciens et les aida à se produire avec la fortune qu'il avait amassée. La qualité musicale de ces oeuvres de jazz ne sont pas à contester.
Du bon son qui bouge du temps d'Al Capone. Nous rentrerons plus dans les détails des compositeurs et interprètes qu'il aida en ces temps-là. On dit que la musique réunit et apaise : il est vrai que pour arriver à pouvoir interpréter des oeuvres et à connaître une certaine notoriété et faire fortune, certains ont été amené à fréquenter de grands gansters, mais le talent est à reconnaître dans ces oeuvres toutes nouvelles pour l'époque et avangardistes et reconnaître aussi que beaucoup de baroqueux aiment également le jazz.
Paroles de Ch.Pothier - Musique de Ch. Borel Clerc
interprétation : Ludovic Huot (1939)
Sur la grande route, hier, bordée de moissons blondes
Aujourd'hui, dévastée par les soudards germains
Un homme fuit, hagard, l'allure vagabonde
Tandis que le canon tonne encore au lointain
Il a des gestes fous, des sursauts de colère
Ce paysan que le fer a chassé de chez lui
Au milieu du chemin, il clame sa misère
Écoutez ce qu'il dit :
J'avais, là-bas dans mon village,
Une ferme où j'étais heureux
J'y travaillais avec courage
Pour le pain d' la femme et des vieux
J'ai trimé pendant des années
Pour acquérir ce petit bien
Puis la guerre s'est déchaînée
Et de tout ça je n'ai plus rien
Dans la flamme et dans la fumée,
Mon pauvre toit s'est abattu
Et ma raison s'est envolée
Emportant mon bonheur perdu
Mais que vois-je au lointain dans un lugubre rêve ?
C'est lui, l'empereur sinistre. Ah, j'aperçois son glaive !
Dans son ample manteau soutaché de fils d'or
En génie malfaisant, il va, semant la mort
Arrière, bandit !
Souverain maudit !
Regardez-le chevaucher dans l'espace
Voilà l'homme rouge qui passe
J'avais une femme jolie
Qui me donna deux chérubins
Je les aimais à la folie
Ma Claudinette et mes bambins
Mais vinrent les brutes affinées
Ivres de carnage et de sang
Ils ont pris ma femme adorée
Et tué mes petits enfants
Dans la flamme et dans la fumée,
Mon pauvre toit s'est abattu
Et ma raison s'est envolée
Emportant mon bonheur perdu
Et toi, dictateur, la face grimaçante,
Tu chemines en riant sur les ruines fumantes
La camarde te suit, fauchant tes régiments
N'entends-tu pas les râles et les cris des mourants ?
Arrière, bandit !
Souverain maudit !
Regardez-le chevaucher dans l'espace
Voilà l'homme rouge qui passe
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