• Des nouvelles dérangeantes ont fait l’objet d’une fuite à partir du continent géant en bas du Monde. Les chercheurs russes postés près de l’énorme Lac Géant sous glaciaire Vostok au pôle Sud ont signalé des anomalies et des incidents étranges au cours des dernières années qui semblent parfois aux frontières de la folie rampante.

    Des structures artificielles trouvées sous 3 km de glace.

    En avril 2001, un des grands secrets du monde a été révélé : une ancienne structure ou un appareil qui se trouvait enfermé des kilomètres glace dure sur l’Antarctique a été détecté par un satellite espion itinérant. L’armée américaine s’est immédiatement employée à annuler les rapports et cela a été consciencieusement respecté parles médias d’information traditionnels

    Malgré le blackout des informations, des rapports ont encore fait surface selon lesquels un projet de fouilles secrètes avait commencé dans la foulée de la découverte. Certains pays européens ont formellement protesté contre la fouille par l’armée américaine. «Si c’est quelque chose que l’armée américaine a construit là-bas, alors qu’ils violent le Traité International sur l’Antarctique « , a déclaré un assistant de Nicole Fontaine, au moment où elle était présidente française du Parlement Européen.

    “Si non, c’est quelque chose vieux d’au moins 12,000 ans, ce qui est la durée depuis laquelle la glace recouvre l’Antarctique. Cela en ferait la plus ancienne construction faite par l’Homme sur la planète. Le Pentagone doit tenir compte des appels du Congrès et publier ce qu’il cache. La vidéo concertant ces structures a été ôtée ou désactivée il y a très peu de temps à peine, mais voici un site où il parle explicitement de cette découverte : https://area51blog.wordpress.com/2011/05/05/une-decouverte-en-antarctique-pourrait-changer-le-monde/

     

     

    Nos ancêtres ont vu des objets non identifiés et de nombreux témoignages écrits l'expriment. Il y a tellement de planètes qu'il est impossible que nous ne soyons pas seuls dans l'univers et nous sommes si peu évolués parmi énormément de civilisations beaucoup plus avancées. Les documents présentés sont de grandes qualités.  Certaines oeuvres d'art représentent des ovnis, des anges dans le ciel, la bible elle même parle d'apparition d'ovnis. Par exemple, 500 ans avant Jésus Christ, Ezéchiel : la première page de son livre : et voici que quelque chose descend du ciel comme si une roue était en dessous d'une autre roue... et les roues se déplacent et vont là où l'esprit des animaux veut qu'ils aillent". Dans les écrits du "Livre des prodiges" Julius Obséquen de l'an 249 avant Jésus christ à l'an 12 av. J.C. "Un globe de feu tomba sur la terre et puis remonta vers le ciel.... et autres visions directes comme une poutre enflammée s'en allant vers le ciel  On vit comme des javelots s'élevant vers le ciel ; une boule d'une couleur dorée qui serait descendue au niveau du sol et puis elle remonta" et tout est bien détaillé de façon précise de ces observations. "Un bouclier ardent à l'horizon et évoluant dans le ciel"... et bien d'autres témoignages anciens. Donc de tout temps, il y eut des témoignages d'objets dans le ciel. Les boucliers volants du passé restent une énigme pour les scientifiques. Les romains voyaient aussi des choses dans le ciel. Ils cherchaient des explications. Un de ses signes en l'an 312 Constantin voit une croix étrange entourée d'un cercle. Il est persuadé d'être depuis lors d'être protégé par le Christ : cela date de 17 siècles. Certains tableaux représentent clairement des ovnis.

     

    Résultat de recherche d'images pour "Tableaux anciens avec ovni"

     

    Le tableau ci-dessous est intitulé « La Vierge avec Saint Giovannino » et remonte aux alentours du 15ème siècle. Le tableau représente la Vierge Marie au premier plan, et dans le fond, un homme qui regarde avec crainte un objet céleste.

     

     

     

    Résultat de recherche d'images pour "Tableaux anciens avec ovni"

     

     

     

     

     

    Image associée

     

    Ces deux tapisseries ont été créées au 14 ème sciècle  Les deux dépeignent la vie de Marie. Des disques en forme de chapeaux ...

    Résultat de recherche d'images pour "Tableaux anciens avec ovni"

     

    Moise était particulièrement en contact avec les choses célestes. On peut voir quatre OVNIs. Cette toile se trouve en Belgique au Château du Conte Dotremond

     

     

    Résultat de recherche d'images pour "Tableaux anciens avec ovni"

     

    Au Japon, une peinture rupestre. On peut y voir des personnes enthousiastes ou apeurées devant un objet sphérique céleste.

    Résultat de recherche d'images pour "Tableaux anciens avec ovni"

    Tableaux anciens de Jésus avec Sphère Bleue mentionnés dans l'émission de David Wilcock

    Résultat de recherche d'images pour "Tableaux anciens avec ovni"

     

    Voici un autre tableau ancien avec le Christ entouré de deux objets

    Image associée

     

     

    Vous verrez d'autres tableaux sur le document vidéo, toute l'histoire des hommes est jalonnée de phénomènes mystérieux. Des navires volants pilotés par des êtres venus d'autres mondes et des êtres parfois ressemblant à des êtres humains et ce, souvent dans des églises. En Belgique à Chevetogne, un petit bâtiment occupé par des religieux orthodoxes, on peut y voir des fresques avec des genres de neffes occupés par des formes humaines. On y trouve également des représentations d'objets tels que l'on voit ici déjà sur cette page dans la représentation du Christ et ces formes d'ovni occupés par ces formes humaines. 

    A la crucifiction, les ténèbres ce jour là ont couvert la terre très tôt. Dans l'église Notre Dame des Baumes, des tapisseries où l'on voit très clairement à des soucoupes volantes. Le financeur de cette oeuvre, le cardinal Jean Romain, ils ont fait broder sa coiffe au dessus de tous les personnages : donc il est périlleux de penser qu'il s'agit d'ovni dans certaines oeuvres du passé.

    Cependant, il y eut des phénomènes inexplicables et on peut consulter des livres expliquant des phénonènes extraordinaires dans le ciel des siècles passés. Un livre rare le "Prodigugnum chronicum" de Conrad Licostène. Un livre en latin édité en 1557 qui est une chronique d'un ensemble de phénomènes extraordinaires ou des phénomènes naturels.

    Parmi ces phénomènes "il y eut trois chars de feu ou des carrosses  qui apparurent dans le ciel, et sortirent des êtres gigantesques avec des écailles ils ressemblaient à des serpents enroulés : les gens étaient si effrayés que certains en moururent le seigneur des lieux ordonna que l'on tira plus de 800 coups de canon !  Ce document se trouve dans les archives communales de Nice et explique l'un des phénomènes les plus incroyables en août de 1808 : cet ouvrage s'intitule " Discours des terribles et épouvantablles signes sur la mer de Gêne" autour de la méditérannée en Italie. Les canons tirèrent et n'effrayèrent aucunement ces machines. Ce livret s'appellait à l'époque "un canard" qui, en général comportait huit pages. Cet évènement ne se retrouve pas dans d'autres documents à Gêne ce qui impliquerait que l'évènement n'a peut être pas eu lieu. On parle aussi de serpents volants dans certains documents de 1608 en novembre à Florence du temps de Cauche Médicis qui se marie avec Marie d'Autriche le 3 novembre 1608 avec une grande fête nautique et l'on retrouve dans les textes de cet évènement, des éléments rappellant les apparitions telles que décrites dans le canard.... Ce livret fut édité en décembre en 1608. Il se peut que ce soit le même évènement en ayant changé les dates... C'est une technique utilisée, on ne sait trouver aucune preuve mais non plus des contre preuves. Il existe des gravures qui représentent des comètes mais l'une d'entre elle, l'auteur et l'observateur, de son grenier, voit ce même phénomène apparaître dans sa ville : ce n'est pas une comète, visible quelques heures au dessus de la ville. C'est un phénomène lumineux qui prend différentes formes, puis se séparent en deux. Au XVIIIème siècle et XIXème siècle notamment en Belgique, on y voit une bande importante dans le ciel qui devint rouge feu qui se contractèrent ensuite et puis une boule rouge qui devint une lumière ébouissante et puis prit de la distance et disparu (aux pays bas). Un autre cas sur la commune de Limier près de Poitier, près de deux mille personnes était réuni dans une cérémonie religieuse : une croix couchée très grande et couchée apparut dans le ciel et son contour était parfaitement nette. 

    Le prêtre parlait de la Victoire de la Croix et c'est dès ce moment que cette croix lumineuse apparut couchée sans Christ au dessus. Les gens se mirent à prier. Elle était à 60 mètres au dessus d'eux et elle était particulièrement nette : elle resta en place durant dix minutes. Tous les gens regardaient la croix et priaient avec ferveur. La croix lumineuse faisait environ 40 mètres de long.

    Cette apparition prit une explication plutôt divine qu'ufologique.

    Beaucoup interprétait ces phénomènes comme des signes. Pour les adeptes de la théorie extraterrestre, reste aussi des signes de civilisations très évoluées ... des signes de toute façon.

     

     

     

     

     

     

     

     

     


    votre commentaire
  • Image associée

     

    Sons de la forêt d'Amazonie et Chants des Indiens d'Amazonie

    LES AVATARAS

    suite du Troisième Chapitre

    Voici le lien d'un précieux dictionnaire sanskrit sur la toile ici  

    VERSET III

    On conçoit que tous les systèmes planétaires de l'univers reposent sur le vaste Corps du Purusa.  Lui même, cependant, n'entre jamais en contact avec les éléments matériels créés ; éternellement. Son Corps existe au niveau spirituel par excellence.

     

    "L'image de la viräta rüpa ou visva rûpa (forme universelle), de la Vérité Suprême et Absolue est particulièrement destinée au néophyte qui éprouve du mal à concevoir la Forme spirituelle et absolue du Seigneur Suprême". Ainsi s'exprime le traducteur sur le contenu troisième verset. Il continue en exprimant que pour le néophyte une forme doit être nécessairement matérielle (ou matérialisée) et appartenir à ce monde ; il faut donc au début une image différente de l'Absolu en Personne sur quoi concentrer son mental, et cette image sera celle du déployement des énergies du Seigneur. Ainsi, les images aident et les matérialisations aussi, ceux qui ne peuvent percevoir le monde subtil ou spirituel de manière directe ou trop éprouvés pour le percevoir ont un accès. Les clés sont également dans les mots prononcés ou pensés.  La forme matérialisée ne diffère pas du Seigneur Lui même mais la forme matérialisée reste distincte du Seigneur.

    Définition de viräta : विराट «Souverain», roi des matsyäs ; sa cour était à Upaplavya ; il possédait de nombreux troupeaux ; Sudesnä  était sa reine, dont le frère Kïcaka commandait son armée; Uttara et Uttarä  sont ses enfants; il hébergea les Pandavas  sous divers déguisements lors de leur 13e année d'exil ; il fut tué lors de la grande bataille par Drona.

    Résultat de recherche d'images pour "Virata pura"

     

    Viräta dans son palais 

     

     

    VERSET V

    Cette seconde manifestation du Purusa est la Semence, la Source impérissable, d'un nombre infini d'avataras dans l'univers, et des différentes émanations, plénières ou partielles, de cette Forme procède divers êtres : devas, humains ou autres.

    La langue sanskrite, très subtile, mérite qu'on s'attache aux différents aspects des assemblements de mots par exemple mahat tattva dont le traducteur va nommer l'expression dans ses explications :

    महत् mahat  mahatī grand (en espace, en temps, en quantité); haut, vaste, éminent, important chose importante; connaissance sacrée —  [mahātattva]  (samkhya l'essence ; tattva :  de l'Intellect (buddhi), ou pouvoir de discrimination (discernement); c'est le premier stade d'évolution de prakrti, où apparaît la distinction de la qualité (guna) | personne éminente, grand homme : supérieur d'un temple ou d'un monastère . Purusa signifie les différentes incarnations et vies, les émanations plénières. Ainsi le premier purusa est Garbhodakasayi Visnu., c'est pourquoi le traducteur dit ceci :

    Après avoir créé d'innombrables univers dans le sein du mahat tattva,le premier purusa entre en chacun sous la forme seconde de Garbhodakasayi Visnu. La première forme n'est simplement que notre corps physique du petit être ou bhakta que nous sommes. Ce passage est très érudit sur le plan spirituel. N'oublions pas que le traducteur nous parle des innombrables univers spirituels et planètes spirituelles,ceux qui pourtant jouissent d'une vie des plus enviables dans un contexte matérialisé avec une "matière" plus subtile n'étant pourtant aucunement dépouillés de leurs dons sublimes qu'ils nous font partager au travers de tels enseignements de par les cultures millénaires où tant d'évènements se sont passés et tant d'expériences accumulées et, bénéficier de telles écrits demeure édifiant. C'est pourquoi, il nous faut retourner en arrière et relire les versets précédants. Différentes dimensions ne se mesurent par leur proximité que de quelques centimètres s'il faut parler de mesure :l'univers étant chiffré et parfois indéchiffrable par notre langage limité, il est utile de savoir également que nous sommes prédisposés, selon l'expérience de chacun à arborer ces enseignements : leur assimilation, pour certains domaines, ne viennent que par la pratique pour en comprendre la remarquable teneur.

     

     

     

     

     


    votre commentaire
  • Résultat de recherche d'images pour "Burgmuller souvenir de bellini"

     

    Mitsuru Nagai, piano


     Confidence

    Les perles

    Retour du pâtre

     bohémiens

    La source

     L'enjouée

    Pour arrêter la musique entendue, cliquez sur la barrette jaune à gauche du mp3. Pour avoir les partitions, je peux vous fournir le titre du livre à acquérir. 

     

    25 Études faciles et progressives Op.100 for Piano

    00:08 Étude No. 1 La Candeur
    01:29 Étude No. 2 Arabesque
    02:27 Étude No. 3 Pastorale
    03:37 Étude No. 4 Petite réunion
    05:06 Étude No. 5 Innocence
    06:04 Étude No. 6 Progrès
    07:08 Étude No. 7 Courant limpide
    08:03 Étude No. 8 La gracieuse
    09:19 Étude No. 9 La chasse
    10:30 Étude No. 10 Tendre fleur
    12:07 Étude No. 11 La bergeronette
    12:57 Étude No. 12 Adieu
    14:04 Étude No. 13 Consolation
    15:33 Étude No. 14 La styrienne
    17:29 Étude No. 15 Ballade
    18:50 Étude No. 16 Douce plainte
    20:11 Étude No. 17 Babillarde
    21:12 Étude No. 18 Inquiétitude
    21:55 Étude No. 19 Ave Maria
    23:39 Étude No. 20 Tarentelle
    25:24 Étude No. 21 Harmonie des Anges
    27:18 Étude No. 22 Barcarolle
    28:53 Étude No. 23 Retour
    30:04 Étude No. 24 L'hirondelle
    31:06 Étude No. 25 La chevaleresque

     

    Ces petites études sont jolies et agréables à jouer.

     

     


    votre commentaire
  •   

    Les lunes de Saturne

    Image associée

     

     

     

     

     

     

    Résultat de recherche d'images pour "Saturne"

    Les satellites de Saturne

    Résultat de recherche d'images pour "les satellites de Saturne"

     

    Image associée

    Jusque Rhéa

    Saturne est la sixième planète du Système solaire par ordre de distance du Soleil et la deuxième après Jupiter tant par sa taille que par sa masse. 

    Plus lointaine des planètes du Système solaire observables à l'oeil nu dans le ciel nocturne depuis la Terre ; elle est connue depuis la préhistoire et correspond au Phaénon  (Φαίνων (Phaínōn)) de l'astronomie grecque , au Zohal (زُحَل) de l'astronomie arabe  ainsi qu'au Tuxïng  (土星 / « étoile de la terre ») de l'astronomie chinoise. 

     Son symbole  , d'origine ancienne représenterait la faucille du dieu Saturne  Néanmoins, l'Union astronomique internationale recommande le S pour la représenter. 

    Saturne est une planète géante tout comme Jupiter, Uranus et Neptune. Elle est une géante gazeuse.

    D'un diamètre d'environ neuf fois et demi celui de la Planète bleue, la Terre,  elle est majoritairement composée d'hydrogène et d'hélium.

    Sa masse  vaut 95 fois celle de la Terre et son volume est de 900 fois celui de notre planète.

    Sa période de révolution est d'environ 29 ans.

     

    Saturne a un éclat bien plus faible que celui des autres planètes observables à l’œil nu. 

    Sa distance à la Terre varie de 1,66 à 1,20 milliards de kilomètres.

    Saturne possède un système d'anneaux, composés principalement de particules de glace et de poussière. Saturne possède de nombreux satellites,  dont cinquante-trois ont été confirmés et nommés.

    Titan est le plus grand satellite de Saturne et la deuxième plus grande lune du Système solaire après Ganymède autour de Jupiter. Titan  est plus grand que la planète Mercure  et est la seule lune du Système solaire à posséder une athmosphère significative.

    La vitesse du vent sur Saturne peut atteindre 1 800 kms par heure. 

    L'étude d'une planète demande un investissement de temps énorme au vu de la complexité de son fonctionnement, de sa structure et de la manière dont elle évolue. Le but est d'en avoir un aperçu. J'utilise des outils simples afin de résumer.

    J'ai ajouté cette vidéo qui est mal titrée, car la vie sur Saturne apparaît, à priori impossible ! Aussi, ce document explique ce qui semble possible dans les planètes se trouvant dans notre système solaire.

    Les révélations de contacts directs semblent plus intéressantes et sont diverses étant donné que la science actuellement ne maîtrise pas toutes les dimensions qui s'interpénètrent, et ne peut maîtriser ce qui n'apparaît pas sur des clichés cinématographique ou sur les radars ou autres instruments. Mais les faits sont pourtant là : la vie existe bel et bien ailleurs et les communications avec les humains existent elles aussi. Le tout est de canaliser l'enrichissant intellectuellement et surtout spirituellement. Le lien est nécessaire entre les mondes matériels et les mondes spirituels. La recherche est nécessaire mais je suis assez d'accord de la phrase dite :"Tout ce qui est en haut est comme ce qui est en bas" mais j'irai plus loin en exprimant que les multiples dimensions s'interpénètrent. Ce que l'on nomme "miracle" est un phénomène naturel bienveillant venant d'une source vers un support réceptacle. La position de réceptacle dans ce cas, est confortable. Nous n'avons pas la capacité de tout connaître de cette Intelligence supérieure car nous demeurons trop compact si nous nous arrêtons à notre aspect matériel alors que nous avons cette capacité d'être abreuvé de connaissances autres que celles enseignées par les humains. Ceci est sans doute un ressenti ou un vécu parmi bien d'autres exprimé dans la plus grande simplicité. Dans le monde compliqué, la simplicité demeure sans nul doute, la chose devenue elle aussi la plus compliquée à vivre étant donné la sophistication "électronique et robotique" ou lavage de cerveau dont la plupart sont victimes enfermés dans des schémas ou ce que l'on appelle la matrice.

    ©Colinearcenciel


    1 commentaire
  •  

    Dans la partition autographe de Bach, dans la page 4 de la partie I, on voit le modèle barré « Tönet, ihr Pauken ! Erschallet Trompeten ! » de la cantate BWV 214 et remplacé par les paroles du chœur « Jauchzet, frohlocket, auf, preiset die Tage » initial :

    BWV248.jpg
     

     

     

    L’Oratorio de Noël (Weihnachtsoratorium BWV 248-I à 248-VI) composée en  1734, fut écrite pour être chantée à l'église, avec orchestre, pendant le temps de Noël.

    Bach a écrit trois Oratorios: celui de Noël, celui de Pâques  BWV 249 et celui, moins connu, de l'Ascension BWV 11.

    Cette œuvre, formée de six cantates  consacrées aux trois jours de fête de Noël, au nouvel an (fête de la Circoncision  du Christ), au premier dimanche de l'année et à l'Epiphanie (6 janvier).

    Les textes en allemand s'inspire directement du Nouveau Testament  soit des évangiles selon Saint Luc Chapitre 2, versets 3 à 21, et selon Saint Matthieu  Chapitre 2, versets 1 à 12). Le texte biblique, confié aux récitatifs, est entrecoupé d'arias et de chœurs dont les textes pourraient être attribués pour certains à Picander  (Christian Friedrich Henrici) ; un doute subsiste quant à leur auteur véritable.

    L'oratorio est en partie constituée de pièces composées antérieurement par Bach : 17 numéros (sur les 64 que comportent l'œuvre) proviennent d'origines diverses (cantates sacrées ou profanes), BWW 213, 214 et 215 notamment. C'est un exemple particulièrement sophistiqué de parodie musicale. .

    L'exécution de la partition dans son intégralité dure près de deux heures et demie. On donne souvent les six parties en deux concerts.

    La structure de l'histoire est définie par les exigences particulières du calendrier religieux pour le Noël de 1734. Bach abandonna sa pratique usuelle pour les cantates basées sur l'évangile du jour. S'il avait suivi strictement le calendrier, l'histoire se serait déroulée ainsi :

    La naissance et l'annonce aux bergers

    L'adoration des bergers

    Prologue à l'évangile selon Jean 

    Circoncision et Nom de Jésus

    La Fuite en Egypte 

    L'arrivée et l'adoration des Rois mages

    La fuite en Égypte aurait eu lieu avant l'arrivée des mages ce qui aurait nui à la cohérence du projet. Bach décida de supprimer le contenu du troisième jour et de couper l'histoire des deux groupes de visiteurs en deux :

    La naissance (première cantate chantée le 25 décembre)

    L'ORATORIO a été écrit pour la saison de Noël de 1734 incorporant la musique des compositions antérieures, y compris trois cantates profanes écrites pendant 1733 et 1734 et une cantata d'église maintenant perdue, BWV 248a. La date est confirmée dans le manuscrit autographe de Bach. La prochaine représentation ne fut que le 17 décembre 1857 par la Sing-Akademie zu Berlin sous Eduard Grell. L'Oratorio de Noël est un exemple particulièrement sophistiqué de musique parodique. L'auteur du texte est inconnu, bien qu'un collaborateur probable ait été Christian Friedrich Henrici (Picander).
    L'œuvre appartient à un groupe de trois oratorios écrits vers la fin de la carrière de Bach en 1734 et 1735 pour les grandes fêtes, les autres étant l'Ascension Oratoire (BWV 11) et l'Oratorio de Pâques (BWV 249). Toutes les compositions parodie plus tôt, bien que l'oratorio de Noël est de loin le travail le plus long et le plus complexe.
    L'oratorio est en six parties, chaque partie étant destinée à l'exécution de l'une des grandes fêtes de la période de Noël.

    La pièce est souvent présentée dans son ensemble ou divisée en deux parties égales. Le temps total de fonctionnement de l'ensemble du travail est de près de trois heures.
    La première partie (pour le jour de Noël) décrit la naissance de Jésus, la deuxième (pour le 26 décembre) l'annonce aux bergers, la troisième (pour le 27 décembre) l'adoration des bergers, la quatrième (pour le jour de l'an) la circoncision Et la nomination de Jésus, le cinquième (pour le premier dimanche après le Nouvel An) le voyage des Mages et le sixième (pour l'Epiphanie) l'adoration des Mages.

    L'annonce aux bergers (deuxième cantate chantée le 26 décembre)

    L'adoration des bergers (troisième cantate chantée le 27 décembre)

    La Circoncision et le nom de Jésus (quatrième cantate chantée le 1er janvier)

    Le voyage des Rois mages (cinquième cantate chantée le dimanche suivant le 1er janvier)

    L'adoration des Rois mages (sixième cantate chantée pour l’Épiphanie)

    La fuite en Égypte a lieu juste après la fin de l'œuvre (Matthieu 2:13).

     

    Bach voyait les six parties comme un tout unifié : l'édition a un titre unique Weihnachtsoratorium qui relie les six parties ensemble, mais même les numéros des sections se suivent de 1 à 64.

    Bach exprime l'unité de toute l'œuvre à l'intérieur de la musique elle-même, en partie à travers son usage des tonalités.

    Les parties I et III sont écrites en ré majeur, la partie II dans sa  sous dominante  en sol majeur. Les parties I et III sont de la même manière orchestrées avec des trompettes exubérantes, tandis que la partie II, pastorale en référence aux bergers, est, par contraste, orchestrée pour instruments à vents  et ne comporte pas de chœur initial. La partie IV est écrite en fa majeur (la relative  de ré mineur) et marque le point musical le plus éloigné de la tonalité du début de l'oratorio, elle est orchestrée avec des cors. Bach part alors pour un voyage de retour vers la tonalité initiale, via la dominante   la majeur de la partie V jusqu'à la réapparition jubilatoire du ré majeur dans le final, formant un arc au-dessus du morceau. Pour renforcer ce lien entre le début et la fin de l'œuvre, Bach réutilise la mélodie du choral de la partie I Wie soll ich dich empfangen? dans le chœur final de la partie VI, Nun seid ihr wohl gerochen ; cette mélodie de choral est la même que celle de O Haupt voll Blut und Wunden, que Bach a utilisé cinq fois dans sa Passion selon Saint Matthieu. 

    La musique montre une technique de la parodie particulièrement sophistiquée, par laquelle une musique existante est adaptée à un nouveau dessein. Bach a pris la majorité des chœurs et des arias dans des œuvres écrites quelque temps auparavant. La plupart de ces musiques étaient profanes, c'est-à-dire écrites à la gloire de souverains ou de notables locaux, hors de la tradition de l'exécution dans une église.

    Les cantates profanes qui fournissent la base de l'Oratorio de Noël, sont :

    BWV 213 – Laßt uns sorgen, laßt uns wachen (Le choix d'Hercule)

    chantée le 5 septembre 1733 pour le onzième anniversaire de Frédéric IV de Saxe.

    BWV 214 – Tönet, ihr Pauken ! Erschallet, Trompeten !

    chantée le 8 décembre 1733 pour l'anniversaire de Marie-Josèphe d'Autriche, reine de Pologne et Électrice de Saxe.

    BWV 215 – Preise dein Glücke, gesegnetes Sachsen

    chantée le 5 octobre 1734 pour le couronnement de l'Électeur de Saxe Auguste III comme roi de Pologne.

    En outre, on pense que la sixième cantate a été prise presque entièrement dans une cantate aujourd'hui perdue, BWV 248a. On croit que le trio de la partie Ach, wenn wird die Zeit erscheinen? vient aussi d'une source perdue, et le chœur de la même partie Wo ist der neugeborne König vient de 1731 Passion selon saint Marc (BWV 247).

    Un exemple : le vers de l'air no 4 « Hâte-toi d'aimer ardemment ton fiancé ! » est la parodie de l'air no 9 de la cantate BWV 213, où Hercule chante « Depuis longtemps je les ai écrasés et mis en pièces».

     L'air no 4 de l'oratorio de Noël (en haut l'original)

     

     


    votre commentaire



    Suivre le flux RSS des articles
    Suivre le flux RSS des commentaires