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     Gabriel Fauré en 1875, on entend "Après un rêve" composé par Gabriel.

    « L'effroyable tempête que nous traversons nous rendra-t-elle à nous-même en nous rendant notre sens commun, c'est-à-dire le goût de la clarté dans la pensée, de la sobriété et de la pureté dans la forme, le dédain du gros effet ! »  
    Gabriel Fauré 1915

    On m'a dit souvent que ma musique n'allait jamais jusqu'à la joie ni jusqu'à la douleur. Comporterait elle ce souffle un peu voilé qui "seul est judicieux" ?

    "J'ai grandi, un enfant plutôt calme et bien élevé, dans une région de grande beauté. ... Mais la seule chose que je me souviens très clairement est l'harmonium  dans cette petite chapelle. Chaque fois que je pouvais m'enfuir, je courais là - et je me régalais. ... J'ai joué atrocement ... pas de méthode du tout, assez sans technique, mais je me souviens que j'étais heureux; Et si c'est ce que cela signifie d'avoir une vocation, alors c'est une chose très agréable".

    File:Gabriel Fauré en uniforme de l'Ecole Niedermeyer.jpg

     

     

    Aidé par une bourse de l'évêque de son diocèse d'origine, Fauré a pris l'école pendant 11 ans.  Le régime était austère, les chambres sombres, la nourriture médiocre, et l'uniforme requis élaboré. Les frais de scolarité musicale, cependant, était excellent.  Niedermeyer, dont le but était de produire des organistes et maîtres de chapelle qualifiés, axée sur la musique d'église. Les tuteurs de Fauré étaient Clément Loret pour orgue, Louis Dietsch pour l' harmonie, Xavier Wackenthaler pour le contrepoint et la fugue,  , et Niedermeyer pour piano, plaintchant  et composition.  

    Lorsque Niedermeyer est mort en Mars 1861, Camille Saint Saens  a pris en charge des études de piano et a introduit la musique contemporaine, y compris celle de Schumann, Liszt et Wagner.  Après il fut pris en étude musicale par Camille Saint Saens.

    Fauré a rappelé dans la vieillesse, "Après avoir laissé les leçons à courir sur, il irait au piano et nous révéler les œuvres des maîtres dont la nature classique rigoureuse de notre programme d'études nous a tenus à distance et Qui, d'ailleurs, dans ces années lointaines, étaient à peine connus ... A l'époque j'avais 15 ou 16 ans, et à partir de ce moment date l'attachement presque filial ... l'immense admiration, la gratitude incessante que j'ai pour lui, toute ma vie. "

    D'autres mots ou lettres de sa part viendrons s'ajouter. 

    Il fut aussi considéré comme le plus grand musicien français des Mélodies, un grand Maître qui fut le professeur de Ravel notamment. Il travailla à l'Eglise St Sulpice à Paris et fut aussi Directeur du Conservatoire de Paris.

     

     

     


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    Beaucoup de futilités furent écrites dans différents ouvrages , se répéter d'un livre à l'autre, sur Gabriel Fauré ainsi que sur ses oeuvres, les dates. Aussi des recherches plus approfondies et des auteurs plus scrupuleux, ont pu rassemblé une documentation, des écrits et des témoignages à son sujet représentant le musicien tel qu'il était ainsi que son oeuvre musicale.

    En 1845 nait Gabriel Fauré, entre deux révolutions et les conditions de vie demeurent celles du XVIIIème siècle. Pour se rendre à Pamiers de Paris, il faut prendre la diligence et voyager durant plusieurs jours.  A l'aube de l'ère industrielle, la France se trouve en pleine période romantique et Victor Hugo a quarante ans, Berlioz écrit sa Damnation de Faust et Schumann son Quintette. En 1924 Fauré disparait lorsque la troisième république est au fait de sa puissance internationale. L'éclairage est apparu, l'électricité aussi : l'automobile et l'avion circulent.

    Gabriel Fauré connait parfaitement le langage romantique et apporte d'importantes innovations harmoniques : sans ses audaces, Ravel et Debussy seraient demeurés incompréhensibles c'est pour cette raison que Gabriel est à la fois un musicien romantique du XIXème siècle et classique du XXème siècle. Son écriture à la fin de sa vie n'aurait pas été concevable au XIXème siècle. Il apparait intéressant de suivre son oeuvre de façon chronologique y associant également ses périodes de vie. Gabriel Fauré demeure un compositeur particulièrement original possédant une forte personnalité permettant de le reconnaitre en quelques mesures. Il s'est forgé un langage propre d'une grande liberté ne restant ni dans la tonalité classique ni modal trouvant dans le mélange tonal modal une paradoxale pureté. On y retrouve la marque de son professeur Niedermeyer avec la restauration du plaint chant et l'enseignement harmonique de  Momigny et son école se fondant de par une tonalité non restreinte par les rigueurs du Conservatoire.

    La notion la plus importante à retenir pour comprendre l'art de Fauré est celle de la persistance du sentiments tonal chez l'auditeur analogue à la persistance rétinienne des images et ce, en dépit des altérations temporaires, de notes étrangères au ton qu'il ne faut pas analyser comme des modulations. Il exprime à son ami et condisciple Eugène Gigout :

    "Comme Saint Saens l'a bien fait remarquer, Niedermeyer en enseignant l'art d'harmoniser, selon leurs vrais caractères, les modes du plain chant donnaient à nos musiciens des procédés harmoniques nouveaux. Il n'avait pas songé qu'ils puissent être utilisés hors de l'accompagnement des chants liturgiques".

    SICILIENNE pour piano&violoncelle Op. 78 de Gabriel Fauré

     

    Voici le portrait d'un professeur qui a marqué Gabriel Fauré : Louis Niedermeyer

     

    Voici un lien qui explique le terme sicilienne dans le rythme : un bon site pour apprendre ou revoir des notions de solfège :

    http://www.apprendrelesolfege.com/comprendre-et-jouer-un-rythme

    La sicilienne (ou siciliana) est une danse traditionelle probablement originaire de la Sicile mais rien ne le prouve. Cette musique possède un caractère pastoral, souvent en 6/8 ou 12/8. Elle fait partie des danses gayes, avec la forlane et la gigue. .

    Attestée en Italie dès la fin du XIVème siècle , elle s'affirme aux XVIIème et XVIIIème siècles dans la musique instrumentale et vocale. Les airs utilisés dans les opéras sont plus lents que la danse d'origine.

    Plusieurs compositeurs célèbres, tels Bach ou Gabriel Fauré ont écrit des partitions sur cette forme (6/8 ou 12/8) et les ont baptisées « Sicilienne ». 

     

     

     

     

     

     


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    BELLE QUI TIENT MA VIE    

    Belle qui tient ma vie ,Captive dans tes yeux

    Qui m'a l'âme ravie D'un sourire gracieux

    Viens tôt me secourir Ou me faudra mourir. 

    Pourquoi fuis-tu mignarde Si je suis près de toi

    Quand tes yeux je regarde Je me perds dedans moi

    Car tes perfections Changent mes actions.

    Tes beautés et ta grâce Et tes divins propos

    Ont échauffé la glace Qui me gelait les os

    Et ont rempli mon cœur D'une amoureuse ardeur.

    Mon âme voulait être Libre de passions

    Mais amour s'est fait maître De mes affections

    Et a mis sous sa loi Et mon cœur et ma foi.

    Approche donc ma belle Approche-toi mon bien

    Ne me sois plus rebelle Puisque mon cœur est tien

    Pour mon mal apaisé Donne-moi un baiser. 

    Je meurs mon angelette Je meurs en te baisant

    Ta bouche tant doucette Va mon bien ravissant

    A ce coup mes esprits Sont tous d'amour épris.

    Plutôt on verra l'onde Contre mont reculer

    Et plutôt l'œil du monde Cessera de brûler

    Que l'amour qui m'époint Décroisse d'un seul point

     

     

    PAVANE

     

      

    GABRIEL FAURE

    Il est le plus jeune des six enfants de Toussaint-Honoré (1810-1885) et de Marie-Antoinette-Hélène Lalène-Laprade (1809-1887). En 1849 la famille s'installe près de Foix, à Montgauzy où Toussaint-Honoré est nommé directeur de l'Ecole normale. Il prend l'habitude de jouer de l'harmoniuam à la chapelle, jouxtantl'école, il est conseillé par une vieille dame aveugle.

     

    En octobre 1854, après avoir obtenu une bourse, Gabriel Fauré entre à l'Ecole de musique classique et religieuse de Paris, communément appelée École Niedermeyer. En plus des études générales, il suit des cours d'orgue (Clément Loret), d'harmonie (Louis Dietsch), de contrepoint et de fugue (Xavier Wackenthaler), de piano de plain-chant et de composition (Niedermeyer).

     

     

     

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    1860

     

     

    Le 28 juillet 1865, après avoir régulièrement obtenu des premiers prix de piano et de composition, il quitte l'école les études achevées, en remportant le premier prix de composition avec Le Cantique de Jean Racine (opus11).

    Il obtient son premier poste d'organiste à la basilique Saint-Sauveur de Rennes, qu'il occupe de janvier 1866 à mars 1870. Il donne également quelques leçons de piano et compose intensément. En 1868 assure la partie d'harmonium dans le  Faust de Gounod au Grand Théâtre de Rennes.

     

     

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     1868

     

    Entre mars et août 1870 il est organiste (orgue de chœur) à l'église Notre-Dame-de-Clignancourt de Paris, il s'enrôle dans la Garde Impériale le 16 août  (guerre franco-prussienne) et participe à plusieurs engagements dans la région parisienne.

    Le 25 février 1471, un mois après la capitulation, il participe à la création de la Société Nationale de Musique (avec : César Franck, Ernest Guiraud, Camille Saint-Saëns, Jules Massenet, Henri Duparc, Jules Garcin Théodore Dubois, Paul Taffanel et Romain Bussière). Il habite alors avec son frère Arnaud à Paris (45 rue des Missions). Il est démobilisé le 9 mars 1871.

    Il est pendant quelques semaines organiste de l'église Saint-Honoré d'Eylau dans le XVIe arrondissement de Paris. Pendant la Commune de Paris il réside à Rambouillet, l'été, il enseigne la composition à Cours-sous-Lausanne (en Suisse), où l'École Niedermeyer est réfugiée.

    Il est de retour à Paris en octobre, et loge à l'emplacement actuel du 167 boulevard de Saint-Germain (qui était alors le 19 rue Taranne). Il tient l'orgue du chœur de l'église Saint-Sulpice, où Widor tient le grand orgue.

    Il fréquente le salon de Saint-Saëns où se rencontre la société musicale parisienne, et au cours de l'année 1872, Saint-Saëns l' introduit dans le salon de Claudine Viardot, où il rencontre, en plus des fondateurs de la Société Nationale de Musique, Renan, Gounod, George Sand ou Flaubert.

    En 1874, il est suppléant de Saint-Saëns à l'église de la Madeleine (Messager le remplace à Saint-Sulpice), et il déménage rue de Parme. Il est élu le 22 novembre 1874, Secrétaire de la Société Nationale de Musique.

    En avril 1877 Théodore Dubois remplace Saint-Saëns au grand orgue de la Madeleine, Gabriel est nommé maître de choeur. En 1877, il déménage rue Mosnier (IXe arrondissement de Paris). Il est fiancé quelques temps à Marianne Viardot, la fille de Pauline. Il compose à cette époque sa Première sonate pour violon, son Premier quatuor avec piano et la Ballade pour piano.

     

     

     

     

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    Les frère de Gabriel en 1878. De gauche à droite :
    Albert, lui , Armand, Fernand

     

     

     

    En décembre 1877 il est à Weimar où il rencontre Liszt qui trouve sa Ballade trop difficile à jouer.

    En avril 1879 il est à Cologne où il assiste à la représentation de l' Or du Rhin et de La Walkyrie. Il passe l'été 1881 à Villerville en Normandie et y compose sa Messe basse pour chœur de femmes. En 1882, il rencontre de nouveau Liszt à Zürich.

    Il se marie le 27 mars 1883 avec Marie Frémiet, la fille d'un sculpteur en vogue. Ils s'installent dans le XVIIe arrondissement de Paris, 93 avenue de Niel. Ils ont deux fils, Emmanuel (1883-1971) et Philippe (1889-1954).

    Pour subvenir aux besoins de sa famille, il organise un service journalier à la Madeleine (son «travail de mercenaire»), et donne des leçons de piano et d'harmonie.

    Ses musiques lui rapportent peu, son éditeur, qui vend ses partitions 50 francs pièce, ayant le tout des droits.

    En 1886, il achève son second quatuor avec piano et déménage au 154 boulevard Malesherbes.

     

     

     

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    Marie Frémiet
    1824-1910

     

     

     

    En 1885 l'Institut lui décerne le prix Chartier pour sa musique de chambre.

    Le 16 janvier 1888, il dirige des esquisses de son Requiem à l'occasion des obsèques de H. Lesoufaché à l'église de la Madeleine. En mars 1888, il fait un premier voyage à Bayreuth en compagnie de Messager et y retrouve Debussy et Bréville.

    En mai-juin 1891, il séjourne à Venise, où il est reçu par la princesse de Polignac, puis demeure brièvement à Florence. Il a une liaison avec Emma Bardac, qui sera la seconde épouse de Debussy. Il lui dédicace La bonne chanson et le Salve regina.

    Le premier juin 1892, il est nommé inspecteur des conservatoires nationaux en province, en remplacement d'Ernest Guiraud. Il entame une longue série de voyages à Londres, où il se rendra chaque année jusqu'en 1900 (où ses amis les Maddisons, Frank Schuster et John Singer Sargent organisent des concerts privés).

    Le 21 janvier 1893, une première version de son Requiem est donnée à l'église de la Madeleine (il ne sera finalisé dans son orchestration qu'en 1900), et le 26 octobre, pour les obsèques de Charles Gounod, il dirige la maîtrise alors que Saint-Saëns tient le grand orgue.

    Le 19 mai 1894, il est candidat à l'Institut, mais Théodore Dubois est élu par 20 voix contre 4.

    Le 10 Janvier 1896, il tient le grand orgue pour les obsèques de Paul Verlaine, et le 2 juin il succède à Théodore Dubois. Il subit un nouvel échec à l'Institut, Charles Lenepveu est élu par 19 voix contre 4.

    Le 2 juin 1896 il succède à Théodore Dubois au grand orgue de l'église de la Madeleine, en octobre il succède à Massenet à la classe de composition du Conservatoire de musique. Ce poste lui avait été refusé quatre ans auparavant, car Ambroise Thomas trouvait sa musique trop révolutionnaire. Il a comme élèves :  Ravel, Florent Schmitt, Koechlin, Louis Aubert, Roger-Ducasse, Enescu, Paul Ladmirault, Nadia Boulanger, Émile Vuillermoz.

    En 1898, il compose une musique de scène pour la version anglaise de Pelléas et Mélisande de Maeterlinck (pour petit orchestre, qui est orchestré par Koechlin). Le 12 juillet, dans le cadre de l'Exposition universelle, son Requiem dans sa version chœur et orchestre est donnée sous la direction de Paul Taffanel.

     

     

     

     

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    Gabriel Fauré
    Fusain de son ami John Singer Sargent (1898)


     

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    Représentation de Prométhée (1er acte) à Béziers en 1900

     

     

     

    Les 27 et 28 août 1900 il crée Prométhée à Béziers, dans un théâtre de plein-air devant 15.000 spectateurs. Cette œuvre est conçue pour trois ensembles de cuivres, 100 cordes, 12 harpes, chœurs et solistes. Cette œuvre sera redonnée au même endroit les 25 et 27 août 1901, et à Paris les 5 et 15 décembre 1907. Avec l'aide de Roger Ducasse, il en réalise une version pour orchestre symphonique qui est créée à l'Opéra de Paris le 17 mai 1817. C'est au cours de la première, à Béziers qu'il rencontre la pianiste Marguerite Hasselmans (sœur du violoncelliste et chef d'orchestre Louis Hasselmans) qui restera sa compagne.

     

    De 1903 à 1921 il est critique musical au Figaro.

    Le 5 avril 1903 il est fait Officier de la Légion d'honneur. Pendant l'été, il est sujet aux premiers troubles auditifs.

    Entre 1904 et 1913 il enregistre une série de rouleaux pour la société Hupfeld and Welte-Mignon dont on a conservé ou réédité : 3e Romance sans paroles, 1ère Barcarolle, 3e Prélude, Pavane, 3e Nocturne, Sicilienne, Thème et variations, 1ère, 3e et 4e Valses-caprices.

    Le 15 juin 1905, il succède à Théodore Dubois à la direction du conservatoire de musique de Paris. Il y entreprend quelques réformes qui lui valent le surnom de «Robespierre».

    Il est élu en 1909 à l'Institut au fauteuil laissé vacant par Ernest Reyer.

    En 1910 il entreprend un tournée de concerts qui le mène à Saint-Petersburg, Helsinki et Moscou.

    La première de Pénélope le 10 mai 1913 à Paris est un triomphe, mais la faillite du Théâtre des Champs-Élysées, au mois d'octobre, interrompt les représentations, et  la première guerre mondiale ne laisse pas envisager une reprise dans un autre théâtre.

     

     

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    En 1917 il est élu président de la Société Nationale de Musique. Le 26 avril il est fait Grand officier de la Légion d'honneur, et le premier octobre suivant quitte la direction du Conservatoire. Le 20 juin 1922, on lui rend un hommage nationale à la Sorbonne.

    Le 31 janvier 1923 il reçoit la Grande croix de la Légion d'honneur

     

     

     

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    Au piano, chez Isaac Albéniz (à gauche)

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  • La vie est une aventure sublime lorsque l'âme communie avec le tout et que l'esprit s'illumine de tant de beautés ; les chutes aux enfers démontrent un ciel magnifié, vivant en toute éternité au travers de la pensée frémit l'enfant divin au fond du coeur.

     ©ColinearCenCiel


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    Voles petit oiseau de mon coeur vers les cîmes de l'âme du monde où se trouve ce paradis où règne la paix et le bonheur, où l'amour se condense en une flamme devenue étoile et que toutes les petites flammes du monde se rejoignent pour que descende en ce monde un nouvel Eden.

    ©ColinearCenCiel Janvier 2009


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