• 1. Un livre unique et particulier : page 9 à 12

     

    Un livre unique et particulier : page 9, 10, 11, 12

     

    LA VIE DES MAÎTRES de Baird Spalding.

    Il se trouve en PDF mais, je mets le lien mais aussi tout le texte car, ce livre est réellement unique dans la littérature mondiale. Ce livre comporte 721 pages : je mettrai la table des matières après ainsi que le lien. J'espère qu'il s'agit de la version originale comportant des photos. Lors de mon adolescence, j'ai surtout lu des grands classiques. A l'âge de 25 ans, j'ai lu un livre durant dix années tous les soirs avant de m'endormir ou après ma journée de travail en soirée. Je n'ai lu aucun livre tibétain avant de rencontrer le Rinpoche Lama Karta boddhisattva et j'ai acquis simplement les Cent mille chants de Milarépa qui me furent d'ailleurs offerts : je n'ai pas lu entièrement cet ouvrage édifiant. J'ai lu et récité des mantras tibétains avec le bon accent car avant de le lire je le chantais en méditation sans avoir appris le tibétain et sans comprendre les paroles en français. Par la suite, j'ai très peu lu mais surtout écrit : ma vie étant déjà dense et particulière et il me fut conseillé d'écrire plutôt que de lire. Cependant, je lis de temps en temps des passages et ce livre ci reçu par une personne hautement spirituelle et avancée. L'autobiographie d'un yogi de Paramahamsa Yogananda qui devient pour moi très familier et agissant dans un monde spirituel : très actif car, il faut trahi en fin du siècle passé et début de ce siècle par ceux qui soit disant le remplaçait. Cependant tout comme chez les tibétains Kagyu l'enseignement des yogas peut également se faire par télépathie aux âmes sensibles et de manière directe ou acquise de par une ou des vies antérieures. Voyez vous, les techniques existantes, selon le terme du boddhisattva Jésus Christ "il ne faut pas donner de perles aux pourceaux" dans ce monde hyper matérialiste, il serait fait grand tort de livrer par écrit des pratiques très poussées du fait des nombreuses manipulations mentales à des fins de lucre et de manipulation. La vie étant dénaturée dans cette période de Kaliyuga : les enseignements arrivent aux oreilles qui entendent et aux yeux qui voyent : rien de se force : pas un souffle de vent sur le lac de la liberté sereine où tous les éclats du soleil et des astres brillent sur l'eau calme.

    Baird Spalding écrit son livre bien longtemps après avoir vécu l'expérience qu'il décrit, plus de dix années après car, évidemment, son histoire semble incroyable et pourtant... Chacun y puisera quelque chose d'inoubliable. Je reprendrai des passages qui me semblent importants. Je pense cependant, qu'il fut influencé, vers la fin de son livre lorsqu'il en fait une théorie mais la longue partie racontant les faits sont extrêmement intéressants. Je ferai la même chose avec des passages des livres d'Alexandra David O'Neel si le temps est possible et pour les cent mille chant de Milarépa. Chaque chose à la fois car ici nous avons beaucoup à découvrir. J'espère que vous serez nombreux à le relire avec moi et à le méditer.

    ©Colinearcenciel

    Voici les pages 9 à 12..

     

    Un livre unique et particulier

     

    L’Homme ne crée rien, il n’apprend qu’à exploiter que ce qui existe déjà !
    La vie des maîtres
    Ce livre a été écrit au début du XXème siècle. Anticipant sur les progrès spirituels indispensables pour éviter l’effondrement de notre civilisation matérialiste à outrance, ce livre a pu paraître une pure fiction, mais depuis lors les esprits ont assez évolué pour le prendre plus au sérieux.


    La Vie des Maîtres a été ensuite traduite par un polytechnicien, Jacques Weiss, sous le pseudonyme de Louis Colombelle, et a connu une très grande audience auprès d’un public désireux de progresser dans une voie alliant la science et la religion. En raison de son actualité, nous nous faisons un plaisir d’en présenter une nouvelle édition pour satisfaire es nombreuses demandes des chercheurs.


    Quand vous fermerez La Vie des Maîtres, et si vous désirez approfondir les énigmes offertes à vos méditations, le traducteur se permet de vous signaler un autre ouvrage qu’il a traduit plus récemment intitulé La Cosmogonie d’Urantia. Il apporte aux habitants d’Urantia (notre planète) la connaissance du cosmos (univers) avec son nombre prodigieux de planètes habitées.
    Vous y trouverez une réponse valable au grand problème de l’humanité : Pourquoi sommes-nous sur Terre et quelle est notre destinée ? 

    Préface du traducteur
    C’est en 1928 que M. Paul Dupuy, alors directeur du journal Le Petit Parisien, me fit cadeau de l’édition originale américaine de La Vie des Maîtres. Ce livre me passionna au point que je ne songeai guère à manger ou à dormir pendant les trois jours nécessaires à sa lecture initiale. J’écrivis ensuite à l’auteur et aux éditeurs sans jamais obtenir de réponse, malgré les efforts conjugués d’amis américains durant de longues années.
    J’avais traduit le livre en 1937, et j’avais fait circuler une douzaine de copies dactylographiées. Sachant par cette expérience que le public français lui ferait bon accueil et en avait réellement besoin, je publiai en 1946 la première édition sans l’autorisation de Spalding en me disant que le seul risque encouru consisterait à lui régler le pourcentage d’usage, ce que j’étais tout prêt à faire.
    Un an plus tard en 1947, après dix-neuf ans de patience je me trouvais seul dans mon bureau de Paris quand une voix du monde invisible m’informa que si je partais sans délai pour les États-Unis, j’y rencontrerais Spalding et que si je n’y allais pas, l’occasion serait manquée pour le reste de ma vie. La voix se répéta trois jours de suite à la même heure, avec une autorité qui m’imposa la conviction qu’elle était supra-humainement valable. Je fis alors un grand acte de foi et partis par le premier avion disponible.


    Je ne devais pas être déçu. Une étonnante suite de coïncidences « fortuites » me valut rapidement de rencontrer Spalding à New-York, de le présenter à mes amis sceptique et de passer une bonne semaine avec lui. Il approuva la publication de ma traduction française en posant comme seule condition que je répondrais à tout le courrier de langue française et que je recevrais toutes les personnes réellement intéressées.


    Depuis lors, quatre éditions se sont succédé et m’ont valu un important courrier. L’une des questions le plus souvent posées est la suivante : « Le livre est-il une fiction ou la narration d’un voyage réel ? » À quoi Spalding répond systématiquement : « Que chacun prenne dans mon livre ce qui est bon pour lui et croie ce qui est approprié à son degré d’évolution. »

    Étant ingénieur et habitué à contrôler chaque fois que possible la matérialité des faits concernant les notions nouvelles, je fis une étude des trois principaux modes de preuves, la preuve matérielle, la preuve par témoins, et la preuve par l’esprit et je décrivis dans la préface de la quatrième édition l’importance majeure de la preuve par l’esprit. En ce qui concerne La Vie des Maîtres, ma première estimation fut que les trois modes de preuves coïncidaient en faveur de la véracité du récit.


    Mais peu à peu un doute s’insinua dans mon esprit. Après tout je n’avais pas d’autre preuve matérielle que l’existence d’un réseau de personnalités dont l’une m’avait guidé vers l’introuvable Spalding. Quant à la preuve par témoin, je n’en avais pas, puisque Spalding refusait d’affirmer formellement la véracité de son récit Il m’avait bien dit que si j’allais aux Indes, je trouverais les traces de son passage chez un Maître habitant dans les montagnes près du port de Cocanada, sur le golfe du Bengale.


    La Vie des Maîtres avait pris une telle importance dans ma pensée que je formai le projet d’aller contrôler sur place l’affirmation de Spalding. Il me fallut encore dix ans de patience pour que l’occasion se présentât de réaliser ce projet soit vingt-neuf ans depuis ma première lecture du livre et mon premier désir de participer à une aventure semblable. Un jour, je pris un repas à Paris avec un Français âgé qui avait été aux Indes et me dit qu’il connaissait Cocanada qu’il y avait rencontré des Maîtres et que, si j’y allais, un homme en blanc viendrait me guider, et que cet homme serait Jast ; l’un des Maîtres décrits dans le livre.


    Quelques mois plus tard, vers la fin de 1957, je décidai de tenter l’aventure en abandonnant ma vie d’affaires pendant deux mois. Je pris mon billet à l’agence Cook comme un touriste quelconque, avec un itinéraire faisant le tour des Indes de Bombay à Bombay en passant par les Himalayas et Cocanada. Une dizaine de jours après mon arrivée dans ce sous-continent où je ne connaissais strictement personne, plusieurs hasards heureux et des coïncidences inexplicables m’avaient déjà valu de rencontrer de grands yogis fort remarquables. Je compris qu’un réseau d’entités invisibles était à l’oeuvre pour me guider, et je me laissai faire en observant de mon mieux tous les signes rencontrés en chemin. J’eus par exemple la chance d’être reçu par le principal collaborateur du Dalaï-Lama dans un temple d’une contrée exclue de mon passeport Je fus également reçu en audience par l’un des quatre papes des Indes le Sankaracharia de Kanchi, dont j’ignorais absolument l’existence avant de quitter la France. En ce qui concerne Cocanada, l’homme en blanc vint me trouver une heure après mon arrivée et s’occupa de moi pendant la majeure partie de la semaine.

    Quand je lui demandai qui l’avait guidé vers moi il me répondit simplement : « C’est naturellement Dieu. » Je ne pus tirer aucune autre réponse de ce personnage annoncé à Paris comme devant être Jast ; et qui était le plus beau caractère qu’il m’ait jamais été donné de rencontrer sur notre planète. Il se présenta sous le nom de Krupa Rao et me conduisitdans les montagnes du voisinage auprès d’un grand Yogi chef d’un Ashram. Ce grand Yogi me reçut, fort amicalement en me demandant si je resterais dix jours ou dix ans avec lui pour apprendre à transcender la pensée humaine et à entrer dans l’extase du samadhi. Je fus bien obligé de répondre que mon taxi m’attendait ; que je n’avais aucun bagage avec moi, et que mes obligations familiales et professionnelles me contraignaient à rentrer bientôt en France. J’acceptai toutefois son hospitalité jusqu’au lendemain, 1er janvier 1958, et je passai sous son toit une fin de journée et une nuit exquises. Il avait connu Spalding et me montra des documents rappelant son passage vers 1935. 

    La présente préface étant destinée à aider le lecteur à se faire une opinion sur la véracité littérale du récit de Spalding plutôt qu’a raconter les détails de mon voyage, je précise bien que je n’ai jamais vu de personnes se dématérialiser ou se rematérialiser sous mes yeux. Cependant, je suis intimement persuadé que ce genre de chose est possible. Nos traditions en  relatent beaucoup. Citons entre autres l’apparition de l’Ange de l’Annonciation à Marie mère de Jésus et à Elisabeth mère de Jean le Baptiste, la venue sur terre de Melchizédek au temps d’Abraham ; les anges qui roulèrent la pierre scellée fermant le tombeau de Jésus ceux qui ouvrirent de manière surnaturelle les portes des prisons des Apôtres Pierre et Paul, sans compter ceux qui se manifestèrent simplement par leur voix à Jésus ou à Jeanne d’Arc.
    Il se peut que des scènes de ce genre aient été montrées à Spalding par des êtres susceptibles d’élever sa vision jusqu’au plan astral ou de l’aider à entrer en extase, ou de provoquer chez lui des rêves, ou simplement de lui raconter des récits dont il prenait note, ou encore de le renseigner.

     

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