• RECIT DES SOUVENIRS D'UNE VIE ANTERIEURE A PALENQUE

    Ce récit, est celui d'une personne ayant le souvenir de plusieurs de ses vies antérieures dont une à Palenque notamment et une autre vie à Tihuanaco. Ce récit, respecte les droits d'auteur. Quoiqu'il soit anonyme, il est retranscrit ici tel que la personne a décrit les évènements et les souvenirs qui la submerge en ce qui concerne la cité royale de Palenque.

    "Je ne sais pourquoi, ni d'où venait un masque en métal se trouvant sur le mur de ma chambre lorsque j'étais jeune. Cet objet disparu au fil des déménagements, me manque encore à ce jour en tant qu'objet précieux ayant marqué mon lointain passé. Si je puis trouvé une ressemblance à ce masque, je puis le retrouver dans la représentation du soleil au travers de plusieurs images. Ce masque semblait être en cuivre et les yeux en pierre semi-précieuse de couleur rouge.

    Image associée

     

     

    Cette très belle représentation vient du site ici

    La ressemblance avec "mon" masque, se trouve dans l'expression du visage. Le visage était allongé, la bouche légèrement ouverte laissant entrevoir des dents légèrement écartées. Il n'y avait aucun "crochet" mais des genres de bouches d'oreille et sur le dessus de la tête des plumes styllisées dont certaines entouraient une partie de la tête. Le masque portait un visage grave à la fois figé et vivant. Il était fascinant. Je n'avais fait aucune lecture sur les civilisations mayas, incas et aztèques. Le mystère de ce masque est que je ne sus jamais d'où il provenait. J'étais adolescente.

    Plus tard, il me vint des images de la cité des rois à Palenque et précisémment ce bâtiment image ci-dessous.

    Image associée

     

     

    Le temple des inscriptions de Palenque

    Et celle-ci :

    Image associée

    Le temple du soleil

    Jamais en cette vie, je n'avais pu voir une représentation picturale de ces constructions et, je me suis mis à voyager dans ce lieu sans l'avoir jamais visité en cette vie présente. Plus tard, il me vint des souvenirs plus élaborés et des images plus précises qui n'apporterons sans doute rien à l'archéologie et à l'histoire car, ce récit peut semblé fantaisiste pour certains et, de mon côté qu'ai je à perdre de raconter ce vécu sur place, dans la cité des rois.

    A mon époque en ce lieu, j'étais un homme. Oui, règnait un roi pacifique, très vénéré et très simple. Il vivait au milieu de la population en sachant qu'en cette cité vivait une population assez réduite et tout le monde se connaissait. Le roi vivait parmi nous mais remontait chaque jour les marches et les descendaient. Il était très actif. Il était mince, ses cheveux noirs, mi-long, le visage fin et sans barbe. Les hommes n'avaient pas un poil sur le visage. Ils étaient bruns de peau. Les femmes jouaient leur rôle dans la vie sociale et se tenaient à l'égalité des hommes dans les travaux divers tous partagés. Les tissus colorés existaient, la couture, les bains, les sources d'approvisionnement d'eau, la vie était extrêmement bien organisées et nous ne manquions de rien. Les métaux travaillés existaient sous forme de bijoux ou oeuvres d'art. Les pierres étaient taillées. Tous les jours, il y avait des cérémonies : le feu tenait une place importante dans notre vie lorsque le soir tombait, il constituait un acte sacré de l'allumer car il nous reliait aux cieux et nous apportait de la lumière sacrée.

    Lorsque je lis que nous pratiquions des sacrifices humains, je suis horrifié. Cependant, le roi un jour commit une erreur dont je parlerai plus loin. Sur les photos actuelles de ce site, je ne vois aucun autel ou table. Pourtant à quelques mètres des escaliers du temple des inscriptions et de divers constructions, existaient des tables de pierre. Egalement devant le temple du soleil. Parfois ces tables étaient creuses car on y allumait un feu en hauteur : les branches et branchages y étaient soigneusement rassemblés pour allumer ce feu. Nous utilisions une poudre pour que s'embrase le feu. Nous n'avions pas de briquet comme on en voit tant de nos jours. Il existait un homme qui était l'allumeur du feu, il avait sa technique qui se transmettait de père en fils. Une technique de frottement élaboré provoquant des étincelles embrasant la poudre qui elle-même embrassait les brindilles et branchages. Nous utilisions aussi de l'huile afin que le feu brûle longtemps et nous avions des récipients qui nous servaient de lampes.

    Aux alentours, des villages entrenaient des liens pacifiques avec la cité royale. Tous pouvaient aller et venir. La cité était sacrée et tous le savait. Mais il n'y avait pas besoin de gardes pour la protéger à mon époque. Il fallait bien sûr que le respect soit une valeur vitale dans notre façon de vivre et, la vie était harmonieuse. Nous avions tout ce dont nous avions besoin pour vivre pleinement dans l'harmonie et de ce fait, rares étaient les conflits.

    Notre nourriture, principalement légumières et fruiteuses suffisait à notre santé. Les habitants pouvaient vivre vieux. Les vieillards, protégés par leur famille, transmettaient tout leur savoir. Les hommes et les femmes vieillissaient bien sûr et les rides envahissaient leur  visage. Les dents ne se remplaçaient pas. Elles étaient précieuses : nous le savions tous. Les familles gardaient toujours au moins une dent de leurs ancêtres et aussi une mèche de cheveux.

    D'ailleurs, à l'âge de trente ans, une cérémonie de "la mèche de cheveux" se célébrait car nous comptions les jours de vie.

    Chaque enfant élevé de par ses capacités avait toute son importance. Aussi un fils de cultivateur pouvait devenir écrivain ou érudit si telles étaient ses capacités. L'apprentissage se faisait en fonction des capacités de chacun veillant à l'épanouissement de tous.

    S'il y avait un roi à notre époque, il vivait parmi les gens mais avaient ses aides autour de lui ; il était vénéré comme un être supérieur ou comme un prêtre. Il devait montrer l'exemple et être écouté sans abus d'autorité. Instinctivement, les gens savaient à qui ils avaient affaire.

    Les hommes devaient protéger les femmes et les enfants mais les femmes devaient apprendre  à pouvoir se défendre des dangers que pouvaient procurer certains animaux prédateurs. Aussi la "science des soins" se transmettaient de génération en génération ainsi que les précautions nécessaires à la protection de chacun. Bien sûr, les accidents pouvaient arriver, une chute, ou autres. Dès ce moment, il était possible de soigner les fractures et de diminuer les fièvres procurées par quelques insectes ou bestioles que ce soit. L'immunité, connue, était entretenue par des soins réguliers connus de chaque famille.

    Parfois, il pouvait y avoir des conflits ou des discussions lorsqu'une erreur avait été commise par l'un ou l'autre. Un conseil pouvait alors se réunir comme une cérémonie où le silence et le respect demeurait une valeur sûre. Il se tenait toujours lorsque le soleil se couchait et parfois jusqu'au lever du soleil : entre le coucher et le lever du soleil. Celui-ci devait obtenir la résolution du problème. Le jour suivant, il ne fallait pas dormir mais se reposer dans l'après-midi. Le lendemain, souvent prêtait à rire car chacun avait parlé et exprimé ses convictions ou ses revendications : le lendemain, la bonne humeur règnait. Le problème trouvait une résolution favorable à ce que la paix revienne et la sérénité.

    Nous avions un code de communication élaboré par le rythme. Ainsi les nouvelles importantes se transmettaient par le son : les musiciens tenaient un rôle extrêmement important à cet égard. Les musiciens, nombreux, jouaient divers instruments et les sons apportaient un langage ayant la capacité de se propager au lointain. Les grands oiseaux, nos amis, transmettaient également des messages chiffrés car les chiffres chez nous, permettaient également un langage codé. Tout enfant apprenait ces langages divers. Et déjà, l'écriture ne se gravait pas uniquement dans la pierre :, les encres existantes, permettaient d'écrire sur les écorces d'arbres, les feuilles séchées de grands formats constituaient des supports d'écritures et d'art ainsi que les tissus.

    Dans chaque village existaient le sage qui, en général savait répondre à toutes les questions de la vie. Les femmes accouchaient avec l'aide des meilleurs conseillers et lorsque l'heure arrivait de mettre au monde, ils se retiraient pas loin pour laisser les femmes entre elles. J'étais un homme, à l'époque : les femmes se débrouillaient bien pour leur corps, pour nourrir les enfants. Nous étions en bonne santé ; la maladie n'existait presque pas. Ce qui donne la nostalgie de ces moments, car une vie sur terre ne dure pas, oui, ce qui donne la nostalgie : ce sont les complications du monde actuel. La période dans laquelle j'ai vécu sur cette terre-là est un sentiment de véritable nostalgie. Bien sûr nul n'était à l'abri de commettre une erreur et le roi en commis une qu'il regretta par la suite amèrement. Ce ne fut pas un sacrifice, loin de là, mais un acte de barbarie par quelque chose qui nous dépassait. Un agitateur comme nous n'en n'avions jamais vu semait le désordre et se blessait lui-même ; il était d'une grande violence, ce qui était rarissisme et jamais vu. Il fut immobilisé et mit à mort sur l'une de ces tables creuses dont je vous ai parlé et il fût brûlé car le roi, hors de lui, ne le supportait plus. Ce fut un mauvais présage. Plus tard, nous furent attaqués par des étrangers et j'y perdis la vie en recevant un choc par une attaque où je perdis mon corps mais pas mon âme.

    Ainsi, je témoigne d'une période de quelques dizaines d'années car je mourus jeune vers la quarantaine. Ce que je puis vous affirmer c'est que la longévité des personnes étaient telles qu'ils pouvaient être en bonne santé mentale et physique jusqu'à l'âge minimum de 120 ans.

    L'esclavage n'existait pas. L'idéal animait les coeurs, la spiritualité était vive en relation avec le ciel et les êtres qui y habitent et nous avons été témoins de nombreuses communications avec le ciel. Cet incident grave dont je vous ai parlé, a été un signe de grand malheur car l'homme fou, devait ressentir quelque chose de violent pour se comporter ainsi : perdant la raison, la communication était impossible. Tout le monde se rendit compte combien le présage, ce signe marquait un changement et probablement la fin de notre quiétude.

    Nous ne nous battions pas pour des biens matériels, nous travaillions ensemble et de communs accords pour réaliser nos idéaux. Et nous avons vu nos idéaux se réaliser en cette période bénie. Certaines images ont été traduite de manière inadéquate ainsi que les textes. Nous n'avions pas une grande science mais nous n'en n'avions pas besoin. Nous étions nourris de la science des sages et non manipulés : ce que nous construisions, nous l'avons fait avec conviction et la force nous habitait sans chanceler car nous formions une cohésion en groupe et individuellement, les pensées allaient profond vers l'âme. De même la communication avec les dieux étaient puissantes ce qui permettaient de capter les connaissances dont nous avions besoin. Tout avait un sens hormis la guerre et la division".

    Voilà une partie de ce témoignage sur quelques dizaines d'années de vie comme le témoigne cette personne "voyageant" en souvenir d'une de ses vies antérieures.

    Bonne journée à tous ceux qui passent par ici. Merci pour votre visite.

    ©Colinearcenciel ©Karma Samten Tcheu Dreun.

    Un très beau document, peut être aurons-nous l'avis de la personne qui a vécu à Palenque. Si c'est le cas, j'ajouterai ses remarques.

     

    Voici encore un lien intéressant "Non les mayas n'étaient pas des crétins" 

     

     

     


    votre commentaire


    Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
    Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique