La musique de Sibelius reçut assez tôt un accueil très favorable et cel, particulièrement en Allemagne. Mais lorsque le pouvoir nazis pris de l'ampleur et dès 1933 les autorités s'interrogent surr les idées politique de Sibélius.
Certains pensent qu'il est un sympathisant à part entière et des archives essentiellement allemandes soutient la thèse d'un Sibelius plus que complaisant avec les autorités nazies.
Des 1934, une association pour la promotion de la musique nationale-socialiste, récipiendaire de la médaille Goethe en 1935, création d'une société Sibelius en 1942, Sibelius ne rejeta point les honneurs du régime nazi.
Pour sa défense Veijo Murtomaki, professeur d'histoire de la musique à l'académie Sibelius, rejette toutes ses accusations en notant que la thèse de Jackson uniquement documentaliste est surprenante pour des Finlandais qui connaissent mieux que quiconque la situation économique et culturelle de la Finlande de 1933 à 1945, que Sibelius était un homme d'orgueil très flatté par sa grande popularité en Allemagne et qu'il a tout fait pour en tirer le maximum de profit personnel, notamment financier et qu'en définitive on ne peut pas présenter Sibelius comme un soutien du régime nazi. En attendant, il composait merveilleusement et voici son oeuvre : le concerto pour violon.
Sibelius son frère et sa sœur jouant de la musique de chambre