• MUSIQUE et MATHEMATIQUE CHEZ JEAN SEBASTIEN BACH

    MUSIQUE et MATHEMATIQUE CHEZ JEAN SEBASTIEN BACH PART I  (BACH JEAN SEBASTIEN)posté le samedi 31 mars 2007 21:42

    Blog de colinearcenciel :BIENVENUE DANS MON MONDE MUSICAL, MUSIQUE et MATHEMATIQUE CHEZ JEAN SEBASTIEN BACH  PART I

    Le XVIIè siècle accorde une place fondamentale aux mathématiques, qui intéressaient tout autant les philosophes ou les physiciens que les mathématiciens eux-mêmes. Descartes alla même jusqu'à construire un mathesis universalis. Introduire un ordre rigoureux en musique avait toujours été l'intention des savants de tous les temps. Il est donc naturel que ces idées soient reprises au XVIIè siècle tout imprégné de la pensée antique, néo-platonicienne ou néo-pythagoricienne. En 1633, Marin Mersenne publie son Harmonie Universelle, Descartes, à son tour fait paraître un Abrégé de Musique. A peu près à la même époque, Gassendi compose une Initiation à la Théorie de la Musique, dont le manuscrit ne sera découvert qu'après sa mort. A la recherche de la perfection, Bach, particulièrement dans les dix dernières années de sa vie, s'est tourné de plus en plus vers des expériences spéculatives héritées de cette tradition rhétorique et scientifique, encore très vivace à l'Age des Lumières où le fondement de la musique reste le nombre, le numerus, considéré comme un instrument de l'expression, mais aussi comme symbole.

    De nombreux compositeurs prirent l'habitude d'insérer dans leurs compositions des formules hermétiques, reflets des mystères de l'Univers. Mais c'est le génie de Bach d'avoir su donner au plus haut point un contenu spirituel à ces spéculations, expressions d'un ordre nouveau de la musique. Bach explora tous les domaines de l'écriture musicale, sans barrières ni frontières, comme s'il voulait, dans son œuvre reconstituer toute l'histoire de la musique. Tout l'itinéraire de Bach est marqué par la "Théorie des Passions", système de figurae et de topoi, hérité de la rhétorique et codifié par le savant jésuite Athanasius Kircher (1601-1680) dans son monumental traité Musurgia Universalis sive Ars Magna consoni et dissoni (1650) repris au siècle suivant par Mattheson : il fallait que les sons, ou les phrases musicales, reproduisent les différents sentiments ou "passions". Ainsi naquit toute une rhétorique musicale, formant une sorte de lexique sonore dont Bach usa largement. L'on remarque que toutes les manières (ou styles) répertoriées par Kircher, auxquelles correspondent des formes ou des situations déterminées sont présentes dans les œuvres de Bach. Ce concept de "passion" implique que toute œuvre doit correspondre à une structure bien déterminée, à un fundamentum mathematicum essentiel, dans lequel l'ornementation n'est pas un attribut secondaire, mais reflète au contraire l'harmonie divine.

     

    HARMONIA MUNDI

    "Le reflet multiple des astres joue la mélodie et la nature sublunaire danse sur cette musique". Extrait de l'ouvrage de Kepler Harmonices Mundi, cette phrase est le reflet de théories extrêmement répandues au XVIIe siècle, mais issues de l'Antiquité. En réalité, la théorie de l'harmonie des sphères remonte au philosophe grec Pythagore, pour qui l'univers entier se définissait en termes d'harmonie et de nombre.

    D'après lui, l'âme microscopique et l'univers macroscopique sont construits selon des rapports de proportion idéaux qu'on peut ramener à une suite de sons. L'on calculait la hauteur des différentes notes planétaires sur l'échelle musicale d'après le temps que les planètes mettaient à parcourir leur orbite et on mettait les distances en rapport avec les intervalles entre les tons. Kepler compliqua encore ce système en décernant à chaque planète une suite de sons propres. Quant à Kircher, qui représentait Dieu en constructeur d'orgues, il divisait les différentes zones du ciel et de la Terre en octaves, dont les sept degrés englobaient le Monde, puisque le chiffre sept réunit la Sainte Trinité et les quatre éléments.

     

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    Kircher dans sa "Musurgia Universalis", représente Dieu en tant que constructeur d'orgues et qu'organiste, et il y met en parallèle les six premiers jours de la création en rapport avec les six registres de l'orgue.

    Tout comme le fait Fludd, Kircher divise les différentes zones du ciel et de la terre en octaves. L'art de l'organiste consiste à mettre les quatre éléments en accord.

    Lorsque l’on parle des compositeurs et des nombres, il est généralement entendu que l’on parlera de J.S. Bach. Sans déroger à la règle, nous noterons que l’auteur de l’art de la fugue n’a jamais rien écrit ni expliqué qui puissent laisser penser que ses oeuvres étaient basées sur des combinaisons mathématiques.

     

    Cependant à son époque déjà le Cantor de Leipzig était reconnu pour écrire de la musique extrêmement savante. Si la production musicale de ses contemporains peut être analysée assez aisément, la musique de Bach résiste à une simplification trop forte et parfois même surprend par les choix qui sont réalisés.

     

    Il y a dans cette façon de garder le savoir faire un mystère, on pourrait penser un secret propre au corporatisme.

    Dans ce sens Bach ne dévoile rien et laisse à ceux qui en sont capables le soin de découvrir.

    Dans le tableau de Haussmann, reproduit sur la figure 8, est significatif puisque l’on y voit Bach tenant à la main du papier à musique où l’on peut lire trois mélodies dont on sait qu’elles sont destinées à l’écriture d’un canon à 6 voix.

     

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    | MUSIQUE ET MATHEMATIQUE CHEZ JEAN SEBASTIEN BACH | PART II |  (BACH JEAN SEBASTIEN)posté le samedi 31 mars 2007 21:43

    Blog de colinearcenciel :BIENVENUE DANS MON MONDE MUSICAL, | MUSIQUE ET MATHEMATIQUE CHEZ JEAN SEBASTIEN BACH | PART II |

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    Bach se garde cependant de donner la solution au problème.

    Une autre approche consiste à penser que les choix de Bach sont dictés par une logique mathématique supérieure. On peut rappeler la théorie de Smend qui vers la moitié du XXme siècle proposait de chercher le nombre 14 dans l’oeuvre de BACH et d’y voir la somme des rangs des lettres composant son nom (B=2 A=1 C=3 H=8).

     

    On voit rapidement la limite de telles recherches, 14 peut également être vu comme 2*7 et on retrouve le chiffre sept porteur de nettement plus de sens pour la chrétienté.

     

    On peut également chercher chez Bach les nombres symboliques. Ainsi dans la passion selon Saint Matthieu au moment de la Cène, Jésus annonce à ses disciples que l’un d’eux va le trahir, le choeur répond : "Herr, bin ichs ?" ("Seigneur, est-ce moi ?" ).  Bach ne répète le motif que 11 fois, le traître se tait.

     

    Extrait du coeur des disciple. « La passion selon St Matthieu »

     

    Au commencement de La passion selon Saint Jean (cf. Fig 10), des trémolos aux cordes semblent figurer des reflets sur la mer. Si l’on considère la longueur de l’oeuvre (153 mesures), on s’aperçoit qu’elle correspond au nombre de la pêche miraculeuse dans l’évangile selon Saint Jean. Bach placerait l’oeuvre immédiatement dans la perspective du "Christ pêcheur d’homme".

    Début de la « passion selon saint jean »

     

    Si ces interprétations sont moins spéculatives que les précédentes, les nombres présents chez Bach restent de l’ordre du symbolique.

    Mais on peut aller plus loin, si l’on considère la suite des 6 concerti Brandebourgeois ainsi que des 4 danses succédant au premier, on s’aperçoit que Bach a utilisé la symétrie des nombres pour construire ne serait ce que les proportions de cette suite dont on rappelle le nombre de mesures de chaque partie.

    Concerto n° 1 2 3 4 5 6
    3 Mouvements 247 322 233 742 586 301
    4 Danses 232          

     

     

    L’oeuvre totale compte 2664 mesures soit 23*32*37 en prenant cette dimension, on s’aperçoit du grand nombre de décompositions possibles ainsi que de l’importance des chiffres 2 et 3.

    -Si on additionne les concerti 2 et 3 on trouve 555, les deux concerti sont donc complémentaires. -Les 4 danses qui succèdent au premier concerto ont 232 mesures, il est donc plus naturel de les grouper avec les concerti 2 et 3, on obtient alors 787 mesures. -Les concerti 1 et 4 avec 247 et 742 mesures sont palindromiques et forment une somme de 888 mesures. -Les concerti 5 et 6 ne laissent pas transparaître de relation triviale mais leur somme fait 989 ce qui suit 787 et 888.

    Conclusion

    Il est évident que sorties de toutes considérations musicales, ces relations n’ont pas véritablement d’intelligence mais il devient clair que l’on ne peut plus supposer que Bach négligeait les constructions mathématiques pour ses compositions.

     

    On retiendra que plus que des relations arithmétiques, Bach utilise les relations "graphiques" entre les nombres, les symétries et les palindromes qui tiennent en musique une place importante.

     

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    JEAN SEBASTIEN BACH A L'AGE DE QUINZE ANS - LUNEBOURG 1700-1702 (BACH JEAN SEBASTIEN)posté le mercredi 20 juin 2007 00:17

    Blog de colinearcenciel :BIENVENUE DANS MON MONDE MUSICAL, JEAN SEBASTIEN BACH A L'AGE DE QUINZE ANS - LUNEBOURG 1700-1702

    C' est le 15 mars 1700 que le lycée d'Ohrdruf raie Jean-Sébastien Bach du registre des élèves de Secunda, la seconde (ils se trouvent à courtd'hébergement).

    Il fête son quinzième anniversaire en compagnie de Georg Erdmann avec qui il entretiendra une très longue amitié car il lui a écrit trente ans plus tard une lettre importante.

    Ainsi Jean-Sébastien allalit faire un voyage à pieds de 340 kms sur des routes qui n'étaient pas sûres car à cette époque un dixième de la population allemande n'avait plus de domicile (on se trouve à 50 ans de la fin de la guerre de Trente Ans).  Des milliers de rôdeurs étaient continuellement sur le chemin : des mendiants, des vagabonds, des déserteurs, des pèlerins, messagers, colporteurs, commerçants juifs, bohémiens, prostituées, acrobates, dompteurs, chanteurs, pestidigitateurs, chaudronniers, truands ou bandits de grand chemin et aussi bien sûr des voyageurs.

    Il réussit à faire ce voyage en trois semaines donc à un rythme de vingt kilomètres par jour.

    Sébastien eut une santé de fer toute sa vie et ne fut jamais malade.

    lLunebourg  dominée par l'église qui existe toujours, était considérée comme un centre de musique chorale protestante.

    A l'époque une abbaye bénédictine habitées par des moines luthériens se dressait en ces lieux mais aujourd'hui elle n'existe plus.  Beaucoup de bâtiments d'époque ont disparu.

     

    Lüneburg en 1740

     

    Johan Sebastian Bach Platz

    L'église St Michaël

     

    Pour les dimanches et jours de fête la "Michaeliskirche" disposait d'un Chorus Symphoniacus, un choeur élargi qui exécutait des cantates avec accompagnement orchestral.  Pour le service religieux du matin et du soir, le choeur était composé de douze chanteurs et de trois jeunes instrumentistes.  Les jeunes boursiers comme Bach recevait le gîte et le couvert, le bois de chauffage et les bougies plus encore un thaler tous les deux mois. Avec son bagage d'Ohrdruf Sébastien s'en sortait sans aucune peine au niveau des études classiques de l'époque qui comprenaient du latin, du grec, des éléments de l'hébreu, la religion, de la rhétorique et des introductions à la philosophie et l'art poétique : en fait il allait préparer son baccalauréat classique et on peut comparer ses études aux gréco-latines. 

    Ce fut une belle période pour lui. Même si parfois, il servait de domestiques aux jeunes seigneurs qui ne les traitaient pas toujours avec bienveillanceCes Seigneurs faisaient des études en langues françaises et c'est par eux qu'il apprit le français et les  manières françaises.  Par eux aussi, il faut le seul musicien à être admis dans le corps des hauts fonctionnaires. Sébastien avait une belle voix de soprano et il dût certainement être pris de panique lorsque deux mois plus tard sa belle voix sombra dans une octave inférieure.

    C'est au cours de ces années que Sébastien se familiarisa avec le répertoire polyphonique et se décida à devenir organiste d'église. 

                                

     

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    MERVEILLEUX BENEDICTUS de J.S. BACH page 127  (BACH JEAN SEBASTIEN)posté le dimanche 15 avril 2007 23:29

     

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    Benedictus

     

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               Blog de colinearcenciel : BIENVENUE DANS MON MONDE MUSICAL, MERVEILLEUX BENEDICTUS de J.S. BACH page 127

     

     

     

     

     

     

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    | AGNUS DEI et SANCTUS de J.S. BACH | (BACH JEAN SEBASTIEN)posté le dimanche 15 avril 2007 23:33

     

    Et incarnatus est-

    Crucifixus

    Agnus Dei

    ©Lysdesaron

     

     

     

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    SOMPTUEUX GLORIA IN EXCELSIS DEO de J.S. BACH  (BACH JEAN SEBASTIEN)posté le dimanche 15 avril 2007 23:33

     

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    Gloria in excelsis

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     Deo

     

     Blog de colinearcenciel : BIENVENUE DANS MON MONDE MUSICAL, SOMPTUEUX  GLORIA IN EXCELSIS DEO de J.S. BACH

     

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    KYRIE ELEISON de J.S. BACH de la MESSE en SI mineur  (BACH JEAN SEBASTIEN)posté le lundi 16 avril 2007 00:51

     

                   Blog de colinearcenciel : BIENVENUE DANS MON MONDE MUSICAL, KYRIE ELEISON de J.S. BACH  de la  MESSE en SI mineur

     

    KYRIE ELEISON

     

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    |PURE MERVEILLE | CANTATE BWV 140 | JEAN SEBASTIEN BACH |  (BACH JEAN SEBASTIEN)posté le vendredi 28 mai 2010 03:21

     

     

    LE

    CANTATE

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    BWV 140

     

    J.S.  B A C H

     

    Peinture de Le Titien

     

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    LA MUSIQUE BAROQUE ET JEAN SEBASTIEN BACH  (BACH JEAN SEBASTIEN)posté le lundi 30 avril 2007 04:56

    Blog de colinearcenciel :BIENVENUE DANS MON MONDE MUSICAL, LA MUSIQUE BAROQUE ET JEAN SEBASTIEN BACH

    Jean Sébastien BACH personnifie la musique baroque et son apogée. L'époque baroque date de 1600 à 1750.  L'opéra naît et trois types musicaux dominent : les styles français, italien et allemand.La musique baroque exprime les sentiments et les passions des hommes en cherchant à représenter musicalement l'idée ou l'émotion (figuralisme) : par exemple, les enfers seront traduits par des sons graves tandis que les cieux seront joués dans l'aigu.

    L'époque baroque s'intéresse à tous les genres qui peuvent mettre en valeur un soliste, qu'il soit vocal ou instrumental, et va lui imposer une virtuosité (rapidité d'exécution) toujours plus importante. Ainsi en musique vocale profane apparaissent.

    L'opéra, sur des sujets mythologiques et la cantate, opéra en miniature

    Ces genres contiennent tous deux une forme nouvelle, l'air. L'air, d'origine italienne, exprime généralement deux sentiments contradictoires qui se suivent (aria da capo). En Italie apparaît l'opéra séria (sérieux). En France se développe, avec Lully et Rameau, la tragédie lyrique.

    La musique instrumentale

    La sonate, pour un ou deux instruments principaux avec accompagnement de clavecin et de violoncelle (qui forment le "continue" ou "basse continue") ; le concerto, qui oppose un ou plusieurs solistes et un orchestre ; la suite de danses, traitées de manière stylisée, pour un instrument seul ou pour orchestre.

    La musique vocale

    Ce genre n'est pas non plus négligé, même si il ressemble souvent à de l'opéra à peine déguisé, avec la messe (en latin), le motet, sur des textes tirés des psaumes, l'oratorio (histoire tirée de la Bible qui ne s'insère pas dans un office), la cantate, construite autour d'un choral, et pour les protestants comme Jean-Sébastien Bach, la passion (histoire de la mort du Christ).

    Cette époque utilise presque tous les instruments disponibles en n'hésitant pas à essayer quelques mélanges audacieux. Les cuivres (trompettes notamment) restent exceptionnels et réservés à de très grandes occasions. Le pianoforte (ancêtre direct du piano) est inventé au début du XVIIIe siècle mais les premiers exemplaires n'ont pas

    satisfait les musiciens.

    Quelques compositeurs baroques outre Jean Sébastien BACH

    Claudio Monteverdi (1567-1643), Italie, le plus célèbre des inventeurs d'opéras.

    Jean-Baptiste Lully (1632-1687), France, musique de divertissement, opéras Antonio Vivaldi (1678-1741), Italie, 600 concertos, musique sacrée, opéras.

    Jean-Philippe Rameau (1683-1764), grand compositeur d'opéras français (tragédie lyrique), également théoricien de la musique.

    Georg-Friedrich Haendel (1685-1759), Angleterre, tous les genres.

    Source : La musique au collège (éd. Belin).

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    | SUITE en D mineur | BWV 812 | J.S. BACH | CLAVECIN | 1 |  (BACH JEAN SEBASTIEN)posté le mardi 01 mai 2007 23:25

     

     

     

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    SUITE N° 3 en D

     

     

     

     

     

     mineur

     

     

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    | SUITE en D mineur | BWV 812 | J.S. BACH | CLAVECIN | 2 |  (BACH JEAN SEBASTIEN)posté le lundi 31 mai 2010 00:38

     

     

    Interprète

    Keith Jarrett

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    | SUITE en D mineur | BWV 812 | J.S. BACH | CLAVECIN | 3 |  (BACH JEAN SEBASTIEN)posté le lundi 31 mai 2010 00:41

     

     

    Cette série de vidéo concerne la Suite n° 1 de Jean Sébastien Bach car il a créé plusieurs suites.

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    | SUITE en D mineur | BWV 812 | J.S. BACH | CLAVECIN | 4 |  (BACH JEAN SEBASTIEN)posté le lundi 31 mai 2010 00:45

     

     

     

    Cette partie de la suite est le Menuet.

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    | SUITE en D mineur | BWV 812 | J.S. BACH | CLAVECIN | 5 |  (BACH JEAN SEBASTIEN)posté le lundi 31 mai 2010 00:47

     

     

     

    Ici le Menuet II

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    | SUITE en D mineur | BWV 812 | J.S. BACH | CLAVECIN | 6 |  (BACH JEAN SEBASTIEN)posté le lundi 31 mai 2010 00:49

     

     

     

    La gigue

    VARIATION GOLBERG - CLAVECIN - J.S. BACH  (BACH JEAN SEBASTIEN)posté le dimanche 03 juin 2007 00:52

     

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    VARIATION

                GOLBERG 

              CLAVECIN

      J.S. BACH

     

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    SARABANDE - J.S. BACH  (BACH JEAN SEBASTIEN)posté le samedi 02 juin 2007 23:52

     

    Sarabande

     

    en sol mineur

                          

                         Jean Sébastien BACH

                                 interprété par Louis Pernot

     

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    CONCERTO BRANDEBOURGEOIS N° 3 de Jean Sébastien BACH  (BACH JEAN SEBASTIEN)posté le samedi 09 juin 2007 01:34

     
     
     
     
     
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    CONCERTO
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    BRANDEBOURGEOIS
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     n° 3
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    INVENTION A DEUX VOIX - J.S. BACH (BACH JEAN SEBASTIEN)posté le lundi 25 juin 2007 15:11

     

      INVENTION à 2 VOIX N° 1

                                                      de  J.S. BACH

     

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    LE PRINCE IGOR  (BACH JEAN SEBASTIEN)posté le mardi 03 juillet 2007 17:53

    Blog de colinearcenciel :BIENVENUE DANS MON MONDE MUSICAL, LE PRINCE IGOR
     
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    L'ART DE LA FUGUE AU CLAVECIN page 200  (BACH JEAN SEBASTIEN)posté le vendredi 24 août 2007 15:41

     

     

    L'ART

          DE LA FUGUE

                AU CLAVECIN

     

     
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    CANTATE 169 - J.S. BACH  (BACH JEAN SEBASTIEN)posté le vendredi 24 août 2007 15:51

     

     

     

           CANTATE 169

     

                                  Jean Sébastien Bach

     

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    CANTATE 113 - HERR JESU CHRIST - J.S. BACH  (BACH JEAN SEBASTIEN)posté le vendredi 24 août 2007 16:02

     

     

     

         CANTATE 113

                                 HERR JESU CHRIST

                                                      J. S.  BACH

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    dont voici la partition originale de Bach
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    CANTATE 179 - ARIA LIEBERS GOTT - J.S. BACH  (BACH JEAN SEBASTIEN)posté le vendredi 24 août 2007 16:08

     

    CANTATE 179

                                        LIEBERS GOTT

                                                                    J. S. BACH

     
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    ORATORIO - J.S. BACH  (BACH JEAN SEBASTIEN)posté le vendredi 24 août 2007 16:12

     

     

               

      ORATORIO

     

     

     

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    Blog de colinearcenciel : BIENVENUE DANS MON MONDE MUSICAL, ORATORIO - J.S. BACH
    J. S. BACH
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    MERVEILLE : BEREITE DIT ZION - J. S. BACH  (BACH JEAN SEBASTIEN)posté le vendredi 24 août 2007 16:25

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    BEREITE DIT ZION

     

    chanté par Johan Kowalski

     

     
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    CHACONNE POUR VIOLON SEUL  (BACH JEAN SEBASTIEN)posté le mardi 30 octobre 2007 00:36

     

    CHACONNE POUR

     

     

     

     

     

     

     VIOLON SEUL

     

     

     



     

     

     

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    LE LANGAGE MUSICAL DE BACH  (BACH JEAN SEBASTIEN)posté le vendredi 08 juillet 2011 16:56

    Bach explora tous les domaines de l'écriture musicale, sans barrières ni frontières, comme s'il voulait, dans son œuvre reconstituer toute l'histoire de la musique. Très vite, il se forgea une Ars Musica très personnelle, Ars combinatoria, riche de tout un patrimoine d'idées, de techniques et de styles reçu d'un héritage remontant parfois jusqu'à la Renaissance et exalté par le Baroque.

     

     

    Tout l'itinéraire de Bach est marqué par la "Théorie des Passions", système defigurae et de topoi, hérité de la rhétorique et codifié par le savant jésuite Athanasius Kircher (1601-1680) dans son monumental traité Musurgia Universalis sive Ars Magna consoni et dissoni (1650) repris au siècle suivant par Mattheson : il fallait que les sons, ou les phrases musicales, reproduisent les différents sentiments ou "passions".

    Ainsi naquit toute une rhétorique musicale, formant une sorte de lexique sonore dont Bach usa largement. L'on remarque que toutes les manières (ou styles) répertoriées par Kircher, auxquelles correspondent des formes ou des situations déterminées sont présentes dans les œuvres de Bach.

    Ce sont : - le style symphoniacus, purement instrumental - le style dramaticus - le style melismaticus - le style madrigaliscus, celui des compositions vocales autres que l'opéra - le style ecclesiasticus, austère, majestueux, dit encore canonicus lorsqu'il suivra la technique du canon - le style motecticus - le stylephantasticus - le style hyporchematicus, celui de l'expression de l'allégresse et des formes dansées.



    Ce concept de "passion" implique que toute œuvre doit correspondre à une structure bien déterminée, à un fundamentum mathematicum essentiel, dans lequel l'ornementation n'est pas un attribut secondaire, mais reflète au contraire l'harmonie divine.

    Trop longtemps négligée, la rhétorique musicale est pourtant la clé essentielle, sinon unique, pour pénétrer l'univers musical de J.S. Bach, dont l'œuvre constitue certainement l'apogée de la pensée rhétorique dans la musique occidentale.

     

     

    "Le reflet multiple des astres joue la mélodie et la nature sublunaire danse sur cette musique".

    Extraite de l'ouvrage de Kepler Harmonices Mundi, cette phrase est le reflet de théories extrêmement répandues au XVIIe siècle, mais issues de l'Antiquité. En réalité, la théorie de l'harmonie des sphères remonte au philosophe grec Pythagore, pour qui l'univers entier se définissait en termes d'harmonie et de nombre. D'après lui, l'âme microscopique et l'univers macroscopique sont construits selon des rapports de proportion idéaux qu'on peut ramener à une suite de sons. L'on calculait la hauteur des différentes notes planétaires sur l'échelle musicale d'après le temps que les planètes mettaient à parcourir leur orbite et on mettait les distances en rapport avec les intervalles entre les tons. Kepler compliqua encore ce système en décernant à chaque planète une suite de sons propres. Quant à Kircher, qui représentait Dieu en constructeur d'orgues, il divisait les différentes zones du ciel et de la Terre en octaves, dont les sept degrés englobaient le Monde, puisque le chiffre sept réunit la Sainte Trinité et les quatre éléments.

    Blog de colinearcenciel : BIENVENUE DANS MON MONDE MUSICAL, LE LANGAGE MUSICAL DE BACH

     

    Le XVIIè siècle accorde une place fondamentale aux mathématiques, qui intéressaient tout autant les philosophes ou les physiciens que les mathématiciens eux-mêmes. Descartes alla même jusqu'à construire unmathesis universalis.

    Introduire un ordre rigoureux en musique avait toujours été l'intention des savants de tous les temps. Il est donc naturel que ces idées soient reprises au XVIIè siècle tout imprégné de la pensée antique, néo-platonicienne ou néo-pythagoricienne. En 1633, Marin Mersenne publie son Harmonie Universelle, Descartes, à son tour fait paraître un Abrégé de Musique. A peu près à la même époque, Gassendi compose une Initiation à la Théorie de la Musique, dont le manuscrit ne sera découvert qu'après sa mort.

    A la recherche de la perfection, Bach, particulièrement dans les dix dernières années de sa vie, s'est tourné de plus en plus vers des expériences spéculatives héritées de cette tradition rhétorique et scientifique, encore très vivace à l'Age des Lumières où le fondement de la musique reste le nombre,le numerus, considéré comme un instrument de l'expression, mais aussi comme symbole.

    De nombreux compositeurs prirent l'habitude d'insérer dans leurs compositions des formules hermétiques, reflets des mystères de l'Univers. Mais c'est le génie de Bach d'avoir su donner au plus haut point un contenu spirituel à ces spéculations, expressions d'un ordre nouveau de la musique.

    Sur ce site, nous trouvons des articles intéressants sur les constances expressives du langage musical de Bach :http://musique.baroque.free.fr/constantes.html

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    LA VIE DE JEAN SEBASTIEN BACH  (BACH JEAN SEBASTIEN)posté le vendredi 08 juillet 2011 17:02

     

     

                          

    Jean Sébastien BACH est né à Eisenach le 21 mars 1685 dans une famille de musicien de plusieurs générations avec des chantres, des organistes et son père Johann Ambrosius Bach était un violoniste de grand talent. Son père avait huit enfants et joua un rôle important dans l'éducation de Johann ainsi que l'organiste de Einsenach qui lui a enseigné l'orgue.

    A la mort de sa mère  Johann alla vivre chez son frère aîné qui lui apprit réellement l'orgue et le clavecin à Ohrdurf.

    Le 15 mars 1700, Johann Sebastian quitte Ohrdurf pour aller à Lunenburg et  il y demeure jusqu'en 1702. À la fin de cette courte période, Johann Sebastian semble être devenu un virtuose de l'orgue. Aucun registre ne fait mention spécifique quant aux professeurs qu'il aurait pu rencontrer ni des leçons qu'il y aurait reçues. Au cours des vacances estivales de 1701, il marcha jusqu'à Hambourg (48km) pour entendre Johann Adam Reinken and Jan Pieterszoon Sweelinck.

    En mars 1703, à l'âge de 18 ans, Johann Sebastian devient serviteur et violoniste à la cour du duc Johann Ernst of Saxe-Weimar. En août de la même année, il devient organiste à l'église d'Arnstadt.

     

     

     

    Ici, comme dans ses positions ultérieures, ses tendances de perfectionniste et de ses hautes attentes de la part d'autres musiciens - par exemple, le choeur de l'église - ont choquées certains de ses collègues. Il fût partie prenante dans bon nombre de disputes durant son séjour. C'est en octobre 1705 que Johann Sebastian obtint un congé de 4 semaines pour se rendre à Lubek, à pied (une marche de 330km) pour y entendre jouer Dietrich Buxtehude. Son congé se prolongea jusqu'en janvier 1706, ce qui eut pour effet d'irriter les autorités tant civiques que religieuses. Dès lors, il devint évident que son séjour à Arnstadt allait prendre fin rapidement.

     

    Suite à un concours tenu le jour de Pâques en avril 1707 et ce dans le but de  remplacer l'organiste Johann Georg Ahle décédé le 2 décembre 1706, Johann Sebastian obtient, en juin, à l'âge de 22 ans, le poste prestigieux d'organiste, cette fois, à l'église St. Blasius à Muhlhausen. Le 17 octobre de la même année, il épouse sa cousine, Maria Barbara Bach. Ainsi, après plus d'un an , Bach se dirige maintenant vers Weimar où il occupera le poste d'organiste et de maître de concert à la chapelle ducale. Il y restera 9 ans. Cette période verra naître ses trois premiers enfants.A ce stade dans la vie, Bach avait une réputation d'être un musicien au brillant talent mais d'un caractère quelque peu inflexible. Sa maîtrise de l'orgue n'avais pas d'égale en Europe. Il était régulièrement invité comme soliste virtuose. Sa maîtrise grandissante des formes de compositions, telles la fugue et le canon, suscitait l'intérêt du monde musical qui était, en ces temps, l'église luthérienne.  Sa candidature au poste de maître de chapelle "Kappelmeister" ayant été ignorée en 1716, il réagit en quittant Weimar en décembre 1717 pour prendre le poste de directeur de la musique à la cour de Anhalt-Cothen.

    Il a à cette période beaucoup de cantates et se tourne surtout vers la musique instrumentales entre autres : les célèbres concertos Brandebourgeois, le Clavier bien tempéré, les suites anglaises et française pour clavier.

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    Sa femme, Maria Barbara, meurt le 7 juillet 1720. Il se marie à nouveau, le 3 décembre 1721, avec Anna Magdalena Wilcken qui était de 15 ans sa cadette. Il eut 13 enfants - dont seulement 6 survivront - avec sa nouvelle femme et ce, ajoutés aux 4 qu'il eut avec sa première femme. Plusieurs de ses enfants deviendront de bons compositeurs, à leur propre mérite, surtout trois de ses fils: Wilhelm Friedmann, Carl Philipp Emmanuel et Johann Christian.

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    Après avoir, pendant sept ans, dirigé l'orchestre de la cour à Cothen et avoir composé pour lui, Johann se voit offrir et obtient, le 5 mai 1723, le poste prestigieux de directeur de la musique (cantor) à l'église St. Thomas de Leipzig après que ce poste eut été refusé par deux autres compositeurs (Georg Philipp Telemann et Christoph Graupner). Le poste était très exigeant: il devait composer des cantates pour les 4 églises de Leipzig (St. Thomas, St. Nicolas, St. Peter, Neue Kirche), diriger les choeurs et enseigner le latin à l'école du choeur de St. Thomas. Ici encore, ses relations avec les autorités de l'église de Leipzig lesquelles devinrent souvent houleuses et graduellement, il devint insatisfait avec son poste tant au niveau financier qu'en terme de facilités musicales. Tout de même, il persistera, polissant le contenu musical des offices liturgiques et continuant à composer des oeuvres de tout genre avec un niveau d'adresse et d'habileté et une profondeur émotionnelle qui lui sont propres.

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    À partir de mars 1729, Johann assume la direction du Collegium Musicum et se concentre de plus en plus à de nouveaux projets musicaux. Durant cette période, il compose bon nombre de cantates religieuses et profanes ainsi que divers oratorios (Noël, Pâques, Ascension).

    En 1736, il est nommé "Kappelmeister" et compositeur auprès de l'Électeur de Saxe, Frederick Augustus II à Dresde. Contrairement à Leipzig, Dresde possède une vie musicale intense avec beaucoup de musiciens (Johann Georg Pisendel, Pierre Gabriel Buffardin, Jan Dismas Zelenka, Johann Adolf Hasse, etc.). Durant cette période, il produit entre autres, la Messe en si mineur, les Variations Goldberg, les Variations canoniques, le Clavier bien tempéré II, et l'Art de la fugue (incomplet au moment de sa mort).

     

    Il restera à son poste à Leipzig jusqu'à sa mort, le 28 juillet 1750. Il a été un génie créateur jusqu'à la fin, et ce, malgré les problèmes de cataractes qui le rendirent presqu'aveugle. Selon la tradition, sa dernière composition, un prélude de choral intitulé: "Devant ton trône, je me présente, Seigneur" a été dicté à son gendre (Johann Christoph Altnickol) peu avant sa mort.

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    BACH est un de ces rares compositeurs dont le génie ne peut être égalé même approximativement et de quelque façon que ce soit. Il était le maître suprême du contrepoint, de la fugue, de l'écriture vocale, de la composition de chambre, du répertoire pour intrument solo... la liste est sans fin. Ses Passions sont, sans contredit, les plus grandes compositions créées pour un ensemble de voix et orchestre. Ses oeuvres pour instrument solo (violon, violoncelle) sont d'une telle beauté et d'une forme tellement parfaite que leur secrets n'ont jamais été totalement découverts, même pas par les plus grands virtuoses de ces instruments. Ses oeuvres pour clavier - les Variations Goldberg, et le Clavier bien tempéré, entre autres, révèlent une habileté insurpassée de combiner une structure musicale compliquée avec une pure force spirituelle; en fait, les principaux musiciens sont d'accord pour affirmer que leur but ultime était tout simplement de parvenir à maîtriser ces oeuvres.

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    BACH a été le plus grand maître du baroque et probablement de toute la musique classique. Tout amateur ou étudiant de musique doit commencer - et finir - son aventure musicale dans les gloires de la musique classique avec lui.

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    Son écriture

     

    Nous reviendrons plus en détail sur la vie de Jean Sébastien BACH ainsi que sur ses oeuvres au cours des pages qui suivent.

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    J.S. BACH - LA PASSION DU CHRIST SELON ST JEAN  (BACH JEAN SEBASTIEN)posté le mercredi 05 décembre 2007 23:42

     

     

     

         

     

     

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    ARIOSO - interprété par Julian Lloyd Webber au violoncelle  (BACH JEAN SEBASTIEN)posté le dimanche 26 août 2012 22:53

     

     

     

    ARIOSO

     

     

     

     

     

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    MAGNIFICAT - J. S. BACH - page 295 (BACH JEAN SEBASTIEN)posté le mardi 04 mars 2008 03:39

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    MERE UNIVERSELLE

    ...

    Un souffle de paix du bleu azur

    Où son image céleste et pure

    Apparaît aux âmes sensibles

    Elle vous enveloppe de son manteau de douceur

    Et lorsque vous lui offrez un regard, une parole du coeur

    Elle se montre généreuse

    Immaculée elle ouvre la porte au Roi salvateur

    ______________

    Avant je ne la connaissais pas et je n'y croyais pas

    Jusqu'au jour où je la vis

    Sur la colline de Medjurgorje

    Un souffle léger tourbillonnant sur mon visage

    Elle apparut  en hauteur et ses vêtements

     Flottaient secoués par ce vent léger

    Ensuite durant un mois

    Après mon retour dans ma jolie maison

    Elle vint me parler tous les jours quelques minutes

    Tout fut noté et je ne comprenais pas pourquoi elle me parlait d'un tel sujet qui ne me concernait pas

    Par la suite, j'ai compris sa prévenance.

    Elle est tant chérie et maintenant je sais pourquoi

    Personne ne peut remplir le rôle qui est le sien

    Hommage à la toute remplie de grâce

    ____________

     

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    MAGNIFICAT II - J. S . BACH  (BACH JEAN SEBASTIEN)posté le mardi 04 mars 2008 09:52

    Blog de colinearcenciel :BIENVENUE DANS MON MONDE MUSICAL, MAGNIFICAT II - J. S . BACH

     

    MAGNIFICAT

     

     

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    MAGNIFICAT III J.S. BACH  (BACH JEAN SEBASTIEN)posté le mardi 04 mars 2008 09:56

     

     

    MAGNIFICAT III

     

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    Quia respexit

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    Blog de colinearcenciel : BIENVENUE DANS MON MONDE MUSICAL, MAGNIFICAT III  J.S. BACH

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    MAGNIFICAT V - QUIA FECIT MIHI - J.S. BACH - Suis ton Coeur  (BACH JEAN SEBASTIEN)posté le mardi 04 mars 2008 10:01

     

     

    Quia fecit mihi

    du Magnificat

     

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