• 10. Les voyages de Jésus Christ en Orient par les chercheurs de vérité

     

     

     

     

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    Le monastère de Hémis (orthographié également Himis (1899) où fut remis à Nicolas Notovitch des livres (rouleaux sur la vie d'Issa) après qu'il ait eut un accident à la jambe, il y retourna et enfin un Lama se décida à lui procurer la documentation qu'il possédait. 

     

    Nicolas Notovitch, russe et notre voyageur et écrivain du livre "La vie inconnue de Jésus" a  proposé à quiconque d'organiser une expédition et d'aller vérifier ses dires. La Vie inconnue de Jésus-Christ, provoqua une tempête de controverses, à partir de laquelle la notoriété Notovič se disloqua. Le cardinal Luigi Rotelli (1833-1891) s'opposa à la publication du récit de Notovič. L'attaque principale fut menée à son encontre par l'éminent orientaliste Max Muller. Nicolaj Notovič était en contact avec Ernest Renan.  

    Description de cette image, également commentée ci-après

     

    Ernest Renan dans les années 1870, photographie d'Adam Salomon. Son origine bretonne lui fait écrire un ouvrage sur la Bretagne et d'autres ouvrages nombreux ont été pris très au sérieux, même s'il provoqua la colère de l'Eglise catholique. Ouvrages : L'Âme bretonne (1854) à son texte autobiographique Souvenirs d'enfance et de jeunesse (1883). Prière sur l'Acropole (1865) ; Histoire des origines du christanisme  (7 volumes de 1863 à 1881) dont le premier tome est consacré à la Vie de Jésus (1863). Ernest Renan se montre fasciné par la quête de vérités et le désintéressement, seuls systèmes permettant à la connaissance humaine de se consolider de génération en génération, alors que la perpétuation aveugle des mêmes erreurs et les égoïsmes individuels ont pour résultante de nécessairement s'annuler sous l'effet de forces antagonistes et sont voués à ne laisser aucune trace.

    Ernest Renan a consacré une part essentielle de son œuvre aux religions avec par exemple son Histoire des origines du christianisme  (7 volumes de 1863 à 1881) et sa Vie de Jésus (1863). Ce livre qui marque les milieux intellectuels de son vivant contient la thèse, alors controversée, selon laquelle la biographie de Jésus doit être comprise comme celle de n'importe quel autre homme, et la Bible comme devant être soumise à un examen critique comme n'importe quel autre document historique. Ceci déclencha des débats passionnés et la colère de l'Eglise catholique qui mirent les livres de Renan comme ceux de Nicolas Notovič à l'Index librorum prohibitorum  (index des livres interdits).

     

    Nicolas Notovitch

     



    En 1922 le swami Abedananda, sceptique, organise une expédition et en revient convaincu.  Son livre de voyage, intitulé Kashmir O Tibetti, raconte l'histoire d'une visite de la Gompa de Hemis  et comprend une traduction en bengali de 224 versets, essentiellement les mêmes que le texte cité par Nicolaj Notovič, corroborant l'existence de ces documents.

    En 1925, le philosophe russe Nicolas Roerich  (1847-1947) a également voyagé au monastère. Il a apparemment vu les mêmes documents que Notovič et Abhedananda et le mentionne dans son journal de voyage.

    N Roerich.jpg

     

    Nicolas Roerich 

    Une oeuvre picturale de Nicolas Roerich

    Tsongkhapa 

    Tsongkhapa, Lama Tsong Khapa ou Je Tsongkhapa (1357-1419), de son nom religieux Lobsang Dragpa, né à Tsongkha sur le site du futur monastère de Kumbum dans l'Amdo,  une province du Tibet du nord est, fut un érudit, un professeur vénéré et le fondateur de la branche gelug du bouddhisme tibétain.

    Extrait de sa vie : Après avoir quitté New York, les Roerich - avec leur fils Georges et six amis - partent pour une expédition de cinq ans en Asie. Pour reprendre les termes mêmes de Roerich, « partant du Sikkim, l'expédition est passée par le Pendjab, le Cachemire, le Ladakh, les Montagnes de Karakoram, Khotan, Kashgar, Qara Shar, Urumchi, Irtysh, les Montagnes de l'Altaï,  la région d'Oryot de Mongolie, le Gobi central, Kansu, Tsaidam, et le Tibet » avec un détour à travers la Sibérie jusqu'à Moscou en 1926.  Entre l'été 1927 et juin 1928, l'expédition semble perdue, car tout contact a cessé depuis un an. Ils ont été attaqués au Tibet et seule « la supériorité de [leurs] armes à feu a empêché l'effusion de sang.... Malgré leurs passeports mentionnant le Tibet, l'expédition a été arrêtée de force par les autorités tibétaines ». L'expédition est retenue par le gouvernement pendant cinq mois et ses membres sont forcés d'habiter dans des tentes à des températures en dessous de zéro et de subsister avec de maigres rations. Cinq hommes de l'expédition meurent à ce moment-là. Au mois de mars de 1928, ils sont autorisés à partir du Tibet et continuent vers le sud pour s'établir en Inde,  où ils fondent un centre de recherche archéologique, l'Institut de recherche himalayen (The Himalayan Research Institute).

    En 1929, Nicolas Roerich est nominé pour le Prix Nobel de la paix par l'Université de Paris (il recevra une seconde nomination en 1935). Son intérêt pour la paix l'amène à la création de la Pax Cultura, de l'art et de la culture. Son œuvre dans ce domaine amène les États-Unis et les vingt autres membres de l'Union pan-américaine à signer le Pacte Roerich le 15 avril 1935. Le Pacte Roerich est un instrument international présenté comme protégeant la propriété culturelle.

    De nos jours, le Musée Nicolas Roerich (Nicholas Roerich Museum) de New York est le centre artistique des œuvres de Roerich. De nombreuses sociétés Roerich, comme celle de Samara, continuent de promouvoir ses enseignements théosophiques à travers le monde. Sa peinture peut être vue dans différents musées, dont une collection de ses œuvres à la Galerie Tretiakov de Moscou. 


    En 1925,  Nicolas Roerich se rend à Lhassa, et confirme la véracité des propos de Notovitch. 

    Thèse reprise entre autre par H.S. Lewis maitre de la rose+croix (la vie mystique de Jésus).

    Jésus serait allé étudier en Inde durant sa jeunesse, il y aurait fréquenté des brahmanes, des jains et des bouddhistes, il aurait appris à guérir, et développer ses pouvoirs yogiques, puis serait revenu enseigner sa nouvelle religion, à l'âge de 30 ans. Il serait naturellement retourner aux Indes pour fuir les juifs qui le persécutaient. Il aurait atteint un âge avancé, certains parlent de 120 ans. 

    Son tombeau à Srinagar est connu et respecté à la fois des bouddhistes, des hindous, et des musulmans.

    Les lieux sont gardés par une famille musulmane. 

    Le texte hindou qui fait référence à jésus est le "Bhavishya Maha Purana".


    Le Purana a été compilé par Sutta en l'année 3191 de l'ère Kautikia; ce qui correspond à l'an 115. On connaît donc sa date exacte. On croit que Jésus est décédé à l'âge de 120 ans, ainsi ce récit a été compilé 5 ans avant sa mort.

    Jésus est appelé Isa Masih, le messie de Dieu.
    Le texte relate une rencontre entre Jésus et Shalivahan un monarque du nord de l'Inde. Dans le dialogue Jésus dit qu'il vient du pays des Mlecchas, ou il était connu comme le Messie.

    La tradition perse et musulmane est encore plus précise. 

    Sur une colline à l'Est de Srinagar dite "temple de Salomon" une inscription en persan sur une marche de pierre atteste de la présence d'un certain "Yusu prophète d'Israel" en l'an 54.

    Un livre persan le "Tarikhi Kasmir"vers 1400 raconte la vie de Jésus à Srinagar.

    Des écrits bouddhistes et böns contiennent des révélations sur les voyage de Jésus dans la région hymalayenne.

    Certains sont conservés au monastère de Hémis. 

     

    Traduction de livres des notes de Notovitch sur la vie de Issa traduction des versets du Monastère d'Hémis (suite des pages précédentes)

    2. Pendant tout ce temps, les serviteurs déguisés du gouverneur Pilate l'observèrent étroitement, mais sans entendre rien dire qui ressemblât aux rapports qu'avaient adressés jadis les chefs des villes sur Issa.

    3. Mais le gouverneur Pilate, s'effrayant de la trop grande popularité d'ISSA qui, à en croire ses adversairs, voulait soulever le peuple, pour se faire nommer roi, ordonna à un de ses espions de l'accuser.

    4. Alors on chargea des soldats de procéder à son arrestation, et on l'enferma dans un cachot souterrain où on lui fit subir des supplices varié dans l'intention de le forcer à s'accuser lui même, ce qui permettrait de le mettre à mort.

    5. ISSA ne songeant qu'à la béatitude parfaite de ses frères, supporta les souffrances au nom de son créateur..

    6. Les serviteurs de Pilate continuèrent à le torturer et le réduisirent à un état de faiblesse extrême ; mais Dieu était avec lui t ne permit pas qu'il mourût.

    7. Apprenant les souffrances et les tortures qu'en durait leur "saint", les principaux prêtres et ls savants vieillards allèrent prier le gouverneur de mettre ISSA en liberté à l'occasion de la grande fête qui était proche.

    8.. Mais le gouverneur le refusa net. Ils le prièrent de faire comparaître ISSA dans le tribunal des Anciens afin qu'il fût condamné ou acquittté avant la fête ; ce à quoi consentit Pilate.

    9. Le lendemain le gouverner fit réunir les principaux capitaines, prêtres, vieillards savants et légistes dans le but de leur faire juger ISSA.

    10. On amena ISSA de sa prison ; on le fit asseoir devant le gouverneur entre deux brigands qu'on jugeait en même temps que llui, et pour montrer à la foule qu'il n'était pas le seul à être condamné.

    11. Et Pilate, s'adressant à ISSA lui dit : "O homme ! est il vrai que tu soulèvs les habitants contre les autorités dans l'intention de devenir toi même roi d'Israël ?

    12. ISSA répondit : "on ne devient pas roi de sa propre volonté et l'on t'a menti en t'affirmant que je soulevais le peuple. Je n'ai jamais parlé que du Roi des Cieux et c'est Lui que j'apprendrai au peuple d'adorer.

    13. Car les fils d'Israël ont perdu leur pureté originelle et s'ils n'ont pas recours au vrai Dieu, ils seront sacrifiés et leur temple tombera en ruine.

    14. Le pouvoir temporel maintient l'ordre dans le pays ; je lelur apprenais donc à ne pas l'oublier : je leur disais : Vivez conformément à votre situation et à votre fortune, ain de ne pas troubler l'ordre public et je les exhortais aussi à se souvenir que le désordre régnait dans leur coeur et leur esprit.

    15. Ainsi le Roi des cieux les a t'il punis et a t'il supprimé leurs rois nationaux ; cependant, leur disais je, si vous vous résignez à votre sort, en récompense le royaume des cieux vous sera réservé.

    16. A ce moment, on introduisit les témoins et l'un d'eux déposa ainsi :" Tu as dit au peuple que le pouvoir temporel n'était rien auprès de celui du Roi qui devait bientôt affranchir les Israélites du joug païen".

    17. Bénis sois tu , dit ISSA, pour avoir dit la vérité : le Roi des cieux est plus grand et plus puissant que la loi terrestre, et son royaume surpasse tous les royaumes d'ici bas.

    18. Et le temps n'est pas très éloigné où, conformément à la volonté divine, le peuple d'Israël se purifiera de ses péchés, car il est dit qu'un précurseur viendra annoncer la délivrance du peuple et le réunira en une seule famille.

    19. Et le gouverneur s'adressant au juges :"Entendez vous ? L'israélite ISSA avoue le crime dont il est accusé. Jugez le donc d'après vos lois et prononcez contre lui la peine capitale".

    20. Nous ne pouvons le condamner répondirent les prêtres et les Anciens ; tu viens d'entendre toi même qu'il faisait allusion au Roi des cieux et qu'il n'a rien prêché aux fils qui constituât une insubordination contre la loi.

    21. Le gouverneur manda alors le témoin qui, à l'instigation de son maître Pilate, avait trahi ISSA ; cet homme vint et s'adressant à ISSA : "Ne te faisais tu pas passer pour le roi d'Israël quand tu disais que celui qui règne aux cieux t'avait envoyé pour préparer son peuple ?"

    22. Et ISSA l'ayant béni lui dit :" Tu seras pardonné, car ce que tu dis ne vient pas de toi !" Puis , s'adressant au gouverneur :" Pourquoi humilier ta dignité, et pourquoi apprendre à tes inférieurs à vivre dans le mensonge, puisque, même sans cela, tu as le pouvoir de condamner un innocent ?"

    23. A ces mots, le gouverneur entra dans une violente colère, et ordonna la condamnation à mort de ISSA et par contre l'acquittement des deux brigands.

    24. Les juges s'étant consulté entre eux dirent à Pilate :"Nous n'assumerons pas sur nos têtes le grand péché de condamner un innocent et d'acquitter des bandits, chose contraire à la loi"..

    25. "Fais donc ce qu'il te plaira". Ayant dit, les prêtres et les savants vieillards sortirent et se lavèrent les mains dans un vase sacré en disant :"Nous sommes innocents de la mort du juste".

    XIV

    1. Sur l'ordre du gouverneur, les soldats se saisirent d'ISSA et des deux brigands qu'ils conduisirent sur le lieu du supplice où on les cloua sur des croix qu'on avait dressées en terre.

    2. Tout le jour, les corps d'ISSA et des deux bandits restèrent suspendus, dégouttant de sang, sous la garde des soldats ; le peuple se tenait debout à l'entour ; les parents des suppliciés priaient et pleuraient.

    3. Au coucher du soleil, les souffrances d'ISSA prirent fin. Il perdit connaissance et l'âme de ce juste se détacha de son corps pour aller s'anéantir dans la Divinité.

    4. Ainsi l'existence terrestre du reflet de l'Esprit éternel, sous forme d'un homme qui avait sauvé des pécheurs endurcis et supporté tant de souffrances.

    5. Cependant Pilate s'effraya de son action et fit endre le corps du saint à ses parents qui l'enterrèrent près de l'endroit de son supplice ; la foule vint prier sur sa tombe et remplit l'air de sanglots et de gémissements.

    6. Trois jours après, le gouverneur envoya ses soldats pour enlever le corps d'Issa et l'inhumer dans quelque autre endroit, de peur d'un soulèvement populaire.

    7. Le lendemain la foule trouva le tombeau ouvert et vide ; aussitôt le bruit se répandit que le Juge Suprême avait envoyé ses anges enlever la dépouille mortelle d'ISSA en qui avait résidé sur terre une partie de l'esprit divin.

    8. Quand ce bruit parvint à la connaissance de Pilate celui ciii se fâcha et défendit sous peine d'esclavage et de mort de ne jamais prononcé le nom d'ISSA et de prier le Seigneur pour lui.

    9. Mais le peuple continua à pleurer et à glorifier tout haut son maître ; aussi beaucoup furent emmenés en captivité, soumis à la torture et à la mort.

    10. Et les disciples d'Issa abandonnèrent le pays d'Israël et s'en furent de tous les côtés chez les païens, prêchant qu'il leur fallait abandonner leurs erreurs grossières songer au salut de leur âme et à la félicité parfaite qui attend les humains dans le monde immatériel et plein de clarté où, en repos, et dans toute sa pureté, réside une majesté parfaite du grand Créateur.

    11. Les païens, leurs rois et leurs guerriers écoutèrent les prédicateurs, abandonnèrent leurs croyances absurdes, délaissèrent leurs prêtres et leurs idoles pour célébrer les louanges du très sage créateur de l'univers, du Roi des Rois dont le coeur est rempli d'une miséricorde infinie.

    Fin des traductions des rouleaux du monastère de Hémis reçu par Nicolas Notovitch.

    Remarque : Nous n'en n'avons pas fini de découvrir encore et encore au sujet du Christ Jésus. Lorsque l'on pense que Soeur Faustine vit le Christ qui lui fit savoir à quel point son coeur était miséricordieux : il fut écrit il y a deux mille ans que Jésus était d'une miséricorde infinie. Mais ce ne fut pas révélé tandis que des rouleaux anciens et des milliers de documents et autres, restent cacher pour la population, y compris les chrétiens baptisés, estimés sans doute qu'il fallait ne pas dire la vérité, toute la vérité. L'apparition du Christ Jésus à toutes les époques y compris contemporaine et son action demeure de tous les temps. Tous les aspects doivent être connus de tous mais la vérité ultime se trouve dans l'Intelligence Suprême qui sait tout de chaque élément de l'univers, son histoire, ses sources et ses devenirs. C'est pourquoi, il demeure en nous certains mystères car notre intelligence est étroite et notre âme beaucoup plus large ; il est donc intéressant de s'occuper de notre âme afin qu'elle puisse faire parvenir à notre intelligence le savoir, la sagesse et la conduite en toute circonstance. Cependant, notre condition de vie sur cette sphère, cette planète n'est certainement pas des plus faciles car nous sommes confrontés à des forces diverses, contradictoires et chaotiques. C'est pourquoi le Christ Jésus pleurait souvent durant sa vie sur terre, selon les témoins proches, lors de sa vie publique, et les êtres sensibles pleurent souvent aussi et souffrent de la souffrance de l'incarnation. Il s'est fait chair afin de vivre de notre vie et apporter un grand message d'Amour bien souvent mal interprété. Il fut confronté aux forces du mal au travers de la maltraitance qu'il subit de la part des autorités politiques qui ont toujours besoin de gérer les pays afin de dominer et de s'enrichir, ces forces du pouvoir devenues bien souvent abusives. Les êtres sincères ne se lancent pas dans la politique. Son calvaire fut commandé par des gens de pouvoirs et s'Il a exprimé :"Pardonnez leur car ils ne savent pas ce qu'ils font", c'est qu'en effet, il s'agissait d'une folie des grandeurs et de forces dominées par le mal et la vulgarité car Il a dit :"Ce monde est dominé par le Mal". Ainsi beaucoup ne savent pas qu'ils sont en proie avec des forces du mal qui domine leur âme. C'est pourquoi, il est nécessaire et Il l'a dit, de prier Dieu afin de nous relier à la force de la Bonté et du Bien et de prier c'est à dire ouvrir son coeur et son âme à la Bonté et à l'Intelligence de Dieu car, sur cette sphère où règnent conflits, mensonges et bien d'autres calamités, il est indispensable de garder les énergies utiles à notre cheminement. Energies que nous trouvons aussi avec la foi naturelle où il n'est pas question de Dieu, mais où des êtres purs au fond d'eux mêmes ont compris que la Nature est la Source de la Vie. Car, il n'est pas question pour moi de convaincre qui que ce soit : chacun est libre de sa façon de voir pourvu que le discernement soit clair au niveau de la Conscience ouverte automatiquement reliée aux forces du bien, à la positivité, sensibilité et Ouverture. "Par l'Ouverture et le Contentement tu trouveras le Lama dans ton coeur". Le Maître est en soi dans le Connais toi toi même".

    PS : il manque de trait d'union dans les textes mais je bénéficie actuellement d'un clavier sans trait d'union. 

     ©Colinearcenciel

     

     

     

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