• Les Sonates pour piano et, la Sonate du printemps

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    Le premier mouvement interprété par Patrice Fontanarosa : Sonate "Le Printemps" : vous entendrez ci dessous au bas de la page cette même Sonate dans son entièreté avec les quatre mouvements : un vrai délice de romantisme et de délicatesses. (Musique de cette page dont vous pouvez arrêter en cliquant sur la petite barette jaune à gauche si vous souhaitez immédiatement entendre l'oeuvre complète au bas de la page)

    Entre 1795 et 1822, le grand maître Beethoven écrit 32 sonates pour piano. Elles constituent chacune un chef d'oeuvre au point qu'elles constituent l'une des plus importantes séries d'oeuvres dans l'histoire de la musique. Elle fut appellée "Le nouveau testament de la musique par Hans von Bülow tandis qu'il appellait "L'ancien testament" le clavier bien tempéré de Jean Sébastien Bach.

    Ces Sonates étaient bien adaptées à l'interprétation en salle de concert ainsi que pour l'interprétation privée. Ses premières sonates furent fortement influencées par Haydn et Mozart mais, Beethoven étant Beethoven, celui ci a cherché de nouvelles façons de composer de façon  les construire en Quatre Mouvements, ce qui n'existait pas à son époque. Ainsi les quatre premières Sonates de son crû furent construites en quatre mouvements. La Sonate Pathétique a été la première à avoir deux tempos dans le mouvement.

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    Premières sonates

    Opus 2 : Trois sonates pour piano (1795)

    N° 1 : Sonate pour Piano n° 1 en fa mineur

    N° 2 : Sonate pour Piano n° 2 en la majeur

    N° 3 : Sonate pour Piano n° 3 en do majeur

    Opus 7 : Sonate pour piano n° 4 en mi-bémol majeur, « Grande Sonate » (1797)

    Opus 10 : Trois sonates pour piano (1798)

    N° 1: Sonate pour piano n° 5 en ut mineur

    N° 2: Sonate pour piano n° 6 en fa majeur

    N° 3: Sonate pour piano n° 7 en majeur

    Opus 13 : Sonate pour piano n° 8 en ut mineur « Pathétique » (1798)

    Opus 14 : Deux sonates pour piano (1799)

    N° 1 : Sonate pour piano n° 9 en mi majeur (1801) Arrangée par le compositeur pour Quatuor à cordes en fa majeur (H 34)

    N° 2 : Sonate pour piano n° 10 en sol majeur

    Opus 22 : Sonate pour piano n° 11 en si-bémol majeur (1800)

    Sonates du milieu

    Après avoir écrit ses premières treize sonates (jusqu'à op. 28), il écrit à Wensel Krumpholz :

     « à partir de maintenant, je vais prendre un nouveau chemin. »

    Les sonates de Beethoven, à partir de cette période, sont très différentes des précédentes. Il à tendance à abandonner la forme sonate commune héritée de Haydn et de Mozart et la remplace par des moyens plus profonds de générer une sonate. Beaucoup de compositeurs romantiques de la période ont été fortement influencés par ces sonates de Beethoven. Après 1804, Beethoven abandonne les opus en groupes sonates et compose uniquement un opus par sonate. On ne sait pas pourquoi il a fait ainsi.

    Opus 26 : Sonate pour piano n° 12 en la-bémol majeur, « Marche funèbre » (1801)

    Opus 27 : Deux sonates pour piano (1801)

    N° 1 : Sonate pour piano n° 13 en mi-bémol majeur « Sonata quasi una fantasia »

    N° 2 : Sonate pour Piano n° 14 en do-dièse mineur « Sonata quasi una fantasia » (« clair de lune »)

    Opus 28 : Sonate pour piano n° 15 en ré majeur « Pastorale » (1801)

    Opus 31 : Trois sonates pour piano (1802)

    N° 1 : Sonate pour piano n° 16 en sol majeur

    N° 2 : Sonate pour piano n° 17 en mineur « la Tempête »

    N° 3 : Sonate pour piano n° 18 en mi-bémol majeur, « La Chasse »

    Opus 49 : Deux sonates pour piano (composées en 1795/56, publiées en 1805)

    N° 1: Sonate pour piano n° 19 en sol mineur

    N° 2: Sonate pour piano n° 20 en sol majeur

    Opus 53 : Sonate pour piano n° 21 en do majeur « Waldstein » (1803)

    WoO 57 : Andante Favori — Original du mouvement centrale de la sonate « Waldstein » (1804)

    Opus 54 : Sonate pour piano n° 22 en fa majeur (1804)

     
     
     

    Opus 57 : Sonate pour piano n° 23 en fa mineur « Appassionata » (1805) ici : 

    Opus 78 : Sonate pour piano n° 24 en fa-dièse majeur « A Thérèse » (1809)

    Opus 79 : Sonate pour piano n° 25 en sol majeur (1809)

    Opus 81a : Sonate pour piano n° 26 en mi-bémol majeur « Les adieux / Das Lebewohl » (1810)

    Opus 90 : Sonate pour piano n° 27 en mi-mineur (1814)

    Dernières sonates

    Les dernières sonates de Beethoven sont parmi les œuvres les plus difficiles du répertoire. Une nouvelle fois, sa musique trouve un nouveau chemin. À cette époque, son style Classique et son ouïe ont complètement disparu, remplacés par les origines de la musique Romantique. La Sonate "Hammer klavier" a été jugée par le Maître comme la sonate la plus difficile.. En fait, elle était considéré comme injouable, jusqu'à ce qu'un garçon de presque 15 ans la joue en concert : Franz Liszt.  

    Avec ces cinq dernières sonates, Beethoven soliloques et s'élève à l'universel ; il devient selon Stravinski « pour toujours notre contemporain ».

    Opus 101 : Sonate pour piano n° 28 en la majeur (1816)

     
     
     
    L'Adagio de l'opus 106.

    Opus 106 : Sonate pour piano n° 29 en si-bémol majeur, « Hammerklavier » (1819)

    Opus 109 : Sonate pour piano n° 30 en mi majeur (1820)

    Opus 110 : Sonate pour piano n° 31 en la-bémol majeur (1821)

     
     
     

    Opus 111 : Sonate pour piano n° 32 en ut mineur (1822)

     

    Voici maintenant : la Sonate du printemps qui est la plus populaire des sonates pour violon de Beethoven avec la Sonate à Kreutzer, et d'une de ses œuvres les plus poétiques.

    La dédicace, cette fois,  alla au comte Moritz von Fries, mécène du compositeur auquel Beethoven dédia également, dix ans plus tard, sa Septième symphonie.

    Elisabeth Vigée-Lebrun - Moritz von Fries - WGA25087.jpg

     

    Le Comte Morrizt von Fries (né le 6 mai 1777 à Vienne et partile 26 décembre 1826). Il fut l'amie de Ludwig et le soutient financièrement comme il l'a fait également pour Franz Schubert. Il sert aide durantt quelque temps à servir d'intermédiaire  dans les négociations de Beethoven avec l'éditeur écossais George Thomson. Fries commande à Beethoven le Quintette opus 29 et bien probablement les sonnates 23 et 24 dont Beethoven lui dédiera et de meme que la VIIème Symphonie qui lui fut dédicacée par Ludwig.

    La Sonate du printemps à laquelle nous revenons comporte quatre mouvements :

    Allegro

    Adagio molto espressivo

    Scherzo. Allegro molto

    Rondo. Allegro ma non troppo

     

    Voici la merveilleuse

    Sonate pour Violon N° 5, Op. 24

     interprétée par David Oistrakh, musicien virtuose.

     

    Nous parlerons de la forme sonate et de la Sonate dans la rubrique CONCEPT MUSICAUX, rubrique en cours de construction, que vous trouverez à la gauche de cette page.

     

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