• La folie des années folles, l'extravertion des sentiments d'oppression après la guerre et les femmes qui ont tant souffert de l'absence des hommes et les hommes qui ont tant souffert et vu souffrir au champ de bataille.

    C'est aussi la femme qui prend une sorte d'indépendance affirmant ouvertement sa féminité bien qu'elle ne soit jamais privée de l'affirmer au cours des siècles. La différence dans l'hIstoire c'est que nous en retrouvons des traces filmées dans ce relâchement et ces jeux, ces danses exentriques qui caractérisent cette époque extravertie, joyeuse, originale et parfois farfelue.

    Il existe une ambiance bien particulière que vous pourrez apprécié de diverses manières. L'habillement est très raffiné autant chez les femmes que chez les hommes. Les femmes ôtent leurs longues robes et changent les maillots de bain. Les sous vêtements également. Cependant, il reste des matières de tissus nobles et chatoyants, un luxe vécu dans la sobriété des gens de la société et non de la haute nécessairement.

    Au travers de ces relâchements, il reste une sévérité à cette époque où les habits sont ceux du dimanche et ceux de la semaine. Un soin particulier était donc porté aux vêtements déjà bien avant cette époque. Le chapeau chez les hommes, et chez les femmes tant de chapeaux différents. En 1920, le corps se dénude chez les femmes, revenant à respirer et a s'ébattre auprès de l'eau sans toutes ces lourdeurs de tissus. Et la femme affirme sa sensualité au travers des images qui bougent. Ces films restent des chefs d'oeuvre de spontanéité ou de mise en scène minutieuse. Le tout est bien soigné avec ce parfum particulier. Les cigarettes sont fumées avec des fumes cigarettes.

    La musique devenue jazz est raffolée, dénoue les raideurs du corps. Les danses sont harmonieuses et aussi bien dansées en couple et excellement bien dansée, voire acrobatiques. Il règne de la joie de vivre et de la mondanité. Ce n'était pas pour tout le monde et pourtant.... Dans les rues qui savait avoir de l'audace dansait. C'est après la deuxième guerre, que le monde mondain devient plus guindé. Les années folles demeurerons uniques par leur style à la fois osé et d'où émane une certaine fraîcheur.

     

     

     

     

     

     

     

     

     


    votre commentaire
  •  

    ....J'AI DU BOIRE UN PEU TROP 

     

    J'ai dû boire un peu trop...

     

     

     

    LE VENT M'A DIT UNE CHANSON 

     

     

    Le vent m'a dit une chanson

     

    Nice en 1900

     Le 11 novembre est le 315e jour de l'année (316e en cas d'année bissextile)du calendrier grégorien.

    Il reste 50 jours avant la fin de l'année.

    1918 : Fin de la première Guerre mondiale ; l'Allemagne signe l'armistice et restitue l'Alsace et la Lorraine à la France, après quatre ans d'hostilités, qui ont fait quelque dix-neuf millions de morts.

    PREMIERE GUERRE MONDIALE 

     

    Il y a bientôt cent ans, un conflit qui allait durablement marquer l'Histoire et ouvrir la porte à une guerre encore plus violente... Une guerre terrible, sanglante, à main nue, les terribles tranchées dans des hivers les plus froids, comme si la nature elle-même la sentait et puis, de nos jours encore,

    sur les arbres, ou plutôt à  l'intérieur des arbres s'inscrivent dans la coupe des troncs ces années-là, de même que pour la deuxième guerre mondiale : la nature elle aussi a souffert de nos souffrances, de celles de nos ancêtres. Elles se marquent par un resserement de ces alvéoles, une croissance plus difficile de nos arbres des plus remarquables : c'est une chose que j'ai pu observer à l'oeil, avec un botaniste chercheur dans une université belge.

    Cela fait réfléchir, d'autant, que de nos jours, les leçons ne sont pas tirées car, la guerre existe encore dans le monde ainsi que les génocides.

    ARCHIVES DE LA PREMIERE GUERRE MONDIALE  posté le mardi 10 novembre 2009 23:51

    La vie dans les tranchées, c'était l'enfer... Tout cela pour sauver la "liberté" de tout un chacun, beaucoup se sont sacrifiés. Souvenons-nous avec respect, de tous les sacrifiés et tous les sacrifices.

     

    LA PRIERE DES RUINES  posté le mardi 10 novembre 2009 23:57

    La prière des ruines (Prayer of ruins),chantée par Christ'Yan, 1917. Mélodie de René de Buxueil, poésie de Roland Gaël.

    Semaine "Première Guerre Mondiale"
    Pendant la Grande Guerre, specialement pendant la bataille de Verdun, 9 villages ont été totalement détruits par les combats. A la fin de la guerre. le gouvernement décida de ne pas les reconstruire, et de les déclarer "Morts pour la France", afin de ne pas oublier les ravages de la Guerre.

    LE CRI DU POILU, 1916  

    Le cri du poilu (The Poilu's scream), Nine Pinson, 1916. Paroles et musique de Vincent Scotto.

    Semaine "Première Guerre Mondiale"
    "Poilu" est le surnom donné aux soldats français pendant la Première Guerre mondiale. Ce surnom fut donné du fait des conditions de vie des soldats dans les tranchées.

    Ils laissaient pousser barbe et moustache et, de retour à l'arrière, paraissaient tous « poilus ».
    Cette chanson a été reprise en 1969 par Les Parisiennes

     


    votre commentaire


    Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
    Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique