• 67. Dieux et déesses et avatara

     

     

    Ces chants particuliers peuvent être mis en arrêt en cliquant sur la barrette à gauche.

    Dhänvantaram fut douzième avatara fut Dhanvantari et le treisième fascina et leurra les asuras en prenant l'apparence d'une femme d'une beauté exquise qui fit boire aux devas le nectar. Le quatorzième avatara fut Nrsimha qui déchira de es griffes le pissant corps de l'assura Hiranyakasipu et il fit cela aussi facilement qu'un charpentier fend un roseau. Voici ce que nous précise le Verset XVII et XVIII, chapitre 2.

    XIIème avatara : Dhanvantari est un avatar de Vishnu dans l' hindouisme .

    Il apparaît dans les Vedas et Puranas  comme le médecin des dieux ( devas ) et le dieu de l' Aryurveda. . C'est une pratique courante dans l'hindouisme pour les adorateurs de prier Dhanvantari à la recherche de ses bénédictions pour une saine santé pour eux-mêmes et / ou d'autres, en particulier sur Dhanteras ( une fête célébrée 2 jours avant le festival Diwali en Indes,il est célébré le treizième jour lunaire au calendrier hindou de Krisna Paksha).

    Dhanvantari est adoré à l'occasion de Dhanvantari Trayodashi. Dhanvantari est considéré comme l'enseignant de tous les médecins et l'auteur de l'Ayurveda. Bien que Dhanteras soit associée à la richesse et que les gens achètent des bijoux et des ustensiles en or ou en argent ce jour-là, il n'y a aucune association de richesse ou d'or avec Dhanvantari, qui est un fournisseur de bonne santé plutôt que de richesse.

    Une ancienne légende l attribue l'occasion à une histoire intéressante sur le fils de King Hima, âgé de 16 ans. Son horoscope prédit sa mort par morsure de serpent le quatrième jour de son mariage. Ce jour-là, sa femme nouvellement mariée ne lui a pas permis de dormir. Elle a déposé tous ses ornements et beaucoup de pièces d'or et d'argent dans un tas à l'entrée de la chambre à coucher et allumèrent des lampes partout. Ensuite, elle raconte des histoires et chante des chansons pour empêcher son mari de s'endormir. Le lendemain, quand Yama, le dieu de la mort l est arrivé à la porte du prince sous la forme d'un Serpent,  ses yeux étaient éblouis et aveuglés par l'éclat des lampes et des bijours. 

     Yama ne pouvait pas entrer dans la chambre du Prince, alors il montait au dessus du tas de pièces d'or et s'assit là toute la nuit en écoutant les histoires et les chansons. Le matin, il s'en alla silencieusement. Ainsi, le jeune prince fut sauvé des griffes de la mort par l'habileté de sa nouvelle épouse, et le jour fut célébré comme Dhanteras. Le lendemain s'appelait Naraka Chaturdashi ('Naraka' signifie l'enfer et Chaturdashi signifie 14ème). Il est également connu sous le nom de «Yamadeepdaan» comme les femmes de la maison des lampes de  terre légères ou «profondes» et ceux-ci sont brûlés tout au long de la nuit glorifiant Yama, le dieu de la mort. Comme il s'agit de la nuit avant Diwali, on l'appelle aussi «Chhoti Diwali» ou Minw Diwali.  

    Selon une autre légende  populaire, lorsque les dieux et les démons  ont agité l'océan pour Amrita  ou le nectar, Dhanvantari  (le médecin des dieux et une incarnation de Vishnu)  ) a émergé portant un pot de l' élixir le jour de Dhanteras.

    Il semble utile de donner une liste des dieux et des déesses de l'Indes Ce qui nous emmènera directement au VERSET XXIV des avataras afin d'avancer dans cette oeuvre (vers les autres chapitres) avec les résumés suivant : 

     

    Les Dieux et les Déesses

     

    L''hindouisme est particulièrement connu pour ses deux grandes épopées, le Râmâyana et le Mahâbhârata, récits célébrant les deux plus illustres incarnations (avatars) du dieu Vishnu.
    A partir de 500 av. J.-C., les épopées populaires qui racontaient les exploits guerriers et amoureux d'une nouvelle lignée de dieux - relayèrent les Védas.
    De nouvelles croyances apparurent, fondées sur la fervente dévotion et l'action désintéressée.
    De ces textes, spécialement des Purânas (recueils historiques et mythologiques rattachés à la tradition sacrée), naquit la trinité hindoue : la trimûrti.

     

    Dieux de la Trimûrti

     

    BRAHMĀ, le créateur de l'univers.

     

     

    Il incarne la création.
    Né dans une fleur de lotus, elle-même émergeant du cordon ombilical de Vishnu, Brahma possède quatre têtes couronnées et quatre bras.
    Il tient les quatre Védas dans ses mains.
    Sa monture est un cygne. Son épouse est Saraswati.
    Malgré son importance hiérarchique, Brahma est peu vénéré par les hindous.
    Un seul temple lui est véritablement dédié dans tout l'Inde : à Pushkar, au Rajasthan.

     

    VISHNU, le préservateur, divinité solaire qui combat pour le bien et descend sur terre pour aider l'humanité.


    Appelé aussi Narayana, il incarne la préservation. Comme Brahma il possède quatre bras.
    Dans une main, il tient une conque (shanka) dans laquelle il souffle pour vaincre les démons;
    dans une autre il tient un disque tournoyant autour de son index, c'est la "spirale de l'éveil" (sudhdarshan chakra) avec laquelle il décapite les forces du mal. Dans la troisième main se trouve une masse d'or (gadha), symbole de son pouvoir, puis dans la quatrième il tient parfois une fleur de lotus. Il porte des vêtements jaunes.
    Sa monture est l'aigle Garuda.
    Il est aussi accompagné d'un serpent à plusieurs têtes (Shesa).
    Son épouse est Lakshmi.
    Vishnu a pour mission de préserver l'ordre du monde.
    Lorsque ce dernier est perturbé, Vishnu s'incarne pour descendre sur terre sous forme d'un avatar.
    Les textes sacrés en recensent dix.

     

    Les avatars de VISHNU

     

    MATSYA, le poisson qui sauva le monde du déluge et qui récupéra les 4 Védas au fond de l'océan.

     

    KÛRMA, la tortue.

    Elle souleva le Mont Mandara au milieu de l'océan avec sa carapace pour que les divinités puissent s'asseoir dessus et ainsi récupérer le nectar de l'immortalité.

     

    VARÂHA, le sanglier

    Pendant 1000 ans, il combattit le démon Hiranyaksha qui avait plongé la déesse de la Terre, Prithivi, au fond de l'océan.

     

    NARASIMHA, l'homme-lion

    Il débarrassa le monde du démon Hiranyakashipu. Brahma, séduit par les offrandes de ce dernier, lui avait accordé l'invulnérabilité. Il ne pouvait être tué ni par un homme, ni par un animal. C'est donc sous une forme mi-humaine,
    mi-animale que Vishnu se manifesta.

     

    VAMANA, le nain.

    Le démon Bali avait réussi à prendre le contrôle de la terre, du paradis et de l'enfer.
    Vamana se présenta devant lui et demanda à Bali de lui donner autant de terrain qu'il pourrait parcourir en trois pas. Bali, amusé par ce nain, accepta.
    En deux pas Vamana couvrit la Terre et le paradis puis, dans sa grande bonté, laissa l'enfer à Bali
    C'est ainsi que Vamana sauva le monde

     

    PARASHURÂMA

    Première incarnation humaine de Vishnu.
    Défenseur de la caste des Brahmanes, il aurait combattu la caste des Kshatriya à cinq reprises,
    remplissant cinq lacs avec leur sang.

     

    RÂMA, héros du Ramayana, est le fils de Dashrata, roi d'Ayodhya.
    Il combattit le tyran Ravana avec l'aide du dieu-singe Hanuman et devint un souverain exemplaire après 14 ans d'exil.

     

    KRISHNA

    C'est l'avatar de Vishnu le plus populaire. Krishna est quasiment considéré comme un dieu à part entière par certains hindous.
    Krishna apparaît dans le Mahabharata et plus particulièrement dans la Bhagavad Gita, aux côtés des Pandava dans leur lutte contre les Kaurava.
    Il est aussi venu sur terre pour défaire le tyran Kansa.
    Son enfance et l'amour qu'il porte à son épouse Radha ont inspiré les poètes.
    Krishna est représenté avec la peau bleue, jouant de la flûte les jambes croisées
    Des paons se trouvent à ses côtés. La vache est son animal de compagnie.

     

    BOUDDHA

    Fondateur du bouddhisme, les hindous le considère comme le neuvième avatar.
    Vishnu prend ici le rôle de professeur.
    Bien que très différent de l'enseignement des brahmanes, le bouddhisme a été intégré par les hindous comme une part de leur culture.
    Bouddha "l'illuminé" est généralement représenté en couleur dorée, avec des grands lobes d'oreilles, les yeux mi-clos et vêtu de vêtements oranges.

     

    KALKI

    C'est la dernière incarnation attendue de Vishnu.
    Il apparaîtra sur un cheval blanc à la fin des temps sombres que nous traversons (kaliyuga).
    L''exterminateur Kalki, d'un coup de pied réduira le globe en poudre et détruira tous les démons pour reconstruire un monde nouveau.

     

    SHIVA

    A la fois créateur et destructeur, Seigneur du Yoga
    En raison de son aspect de destructeur, il est le plus ambivalent des trois dieux de la trimûrti.

    C'est le dieu de la destruction. Il est représenté avec un troisième œil, symbole de sagesse, au milieu du front et avec un cobra autour du cou. Il porte un trident (trishula) et tient un petit instrument de percussion (damaru).
    Il est assis sur une peau de tigre, symbole de l'énergie potentielle.
    Shiva représente en effet la source créatrice en sommeil.

    De sa chevelure, dans laquelle se trouve un croissant de lune, symbole du cycle du temps, s'écoule le Gange, fleuve sacré de l'hindouisme. Sa monture est le taureau Nandi qui fait lui-même l'objet d'un culte. Shiva est un personnage complexe et contradictoire. Il représente la destruction mais celle-ci à pour but la création d'un monde nouveau. L'emblème de Shiva est d'ailleurs le lingam (un phallus), symbole de la création.
    Il a les yeux mi-clos car il les ouvre lors de la création du monde et les ferme pour mettre fin à l'univers et amorcer un nouveau cycle.

    Shiva est représenté sous différente forme (l'ascétique, le yogi, le mendiant...) et possède, d'après les textes, 1008 noms (Shambhu, Shankara, Pashupati...).
    L'une des plus célèbres est le Shiva Nataraja, danseur cosmique qui rythme la destruction et la création du monde.
    Il est alors représenté avec 4 bras. La main supérieure droite tient une clochette (damaru) qui rythme la création; la main gauche supérieure tient la flamme de la destruction (samhara); la main inférieure droite est tenue dans un geste de protection (abhaya mudra); la main inférieure gauche pointe vers le pied gauche tenu en l'air, il montre ainsi son pouvoir de grâce. Sous son pied droit il écrase un nain-démon symbole de l'ignorance.
    Son immense chevelure montre son pouvoir et il est entouré d'un cercle de feu (prabhamandala).
    Shiva est marié à Shakti, la déesse-mère.
    Elle-même a plusieurs noms suivant la fonction qu'elle occupe
    (Parvati, Durga, Kali...). Il a deux fils, nés de Parvati : Ganesh et Skanda.
    La famille vit au sommet du Mont Kailasa dans l'Himalaya.

     

    SARASWATI, déesse de l'intelligence, de l'écriture et des sciences, épouse de Brahmâ.

    Elle est la déesse de la connaissance et des arts. Elle possède quatre bras. Dans une main elle tient un livre d'écritures sacrées, dans une autre un rosaire. Avec ses deux autres mains elle joue d'un instrument à cordes (vîna), symbole de l'art. Sa jambe droite est posée sur la gauche.
    Vêtue sobrement d'un sari blanc, elle est accompagnée d'un paon ou d'un cygne, symboles de pureté et de beauté. Elle est parfois représentée assise sur un lotus.

     

    LAKSHMI, déesse de la joie, de l'harmonie et de l'équilibre, épouse de Vishnu C : Creator

    Elle est la déesse de la beauté, de la fortune et de la prospérité.
    Elle est la déesse mère bienveillante.
    Elle symbolise l'harmonie, la joie et l'équilibre.
    Elle a quatre mains qui représentent la vertu.
    Des pièces d'or s'écoulent de l'une d'entre elles pendant qu'elle bénit les fidèles de l'autre.
    Elle n'a pas d'attributs particuliers.
    Elle n'est pas armée.
    Couronnée, elle porte un sari rouge et est assise sur un lotus.
    Elle est entourée par deux éléphants blancs, symboles de chance.
    Elle est elle-même vénérée par de nombreux dieux, dont Ganesh.

     

    PARVATI, épouse de Shiva.

    Elle est la fille de Parvataraja, roi des montagnes, et de Menadevi.
    Adoratrice de Shiva dès son enfance, Parvati émit le vœux d'épouser Shiva.
    Celui-ci, ascète, se refusa à elle.
    Pour lui prouver son amour et sa dévotion, elle se retira dans la forêt en signe de pénitence.
    Shiva se déguisa en brahmane et alla voir Parvati pour tester sa volonté.
    Impressionné par sa force spirituelle, Shiva demanda à Parvataraja la main de sa fille.
    Le mariage de Shiva et Parvati fut célébré avec faste.
    Parvati est la forme bienveillante de Shakti, la déesse-mère. Elle est le symbole de l'épouse aimante.
    Elle est la mère de Ganesh et de Skanda. Elle vit au sommet du Mont Kailasa.

     

    GANESH, le sage à tête d'éléphant, fils de Shiva et Pârvatî.

    C'est sans doute la divinité la plus populaire de l'Inde. C'est le dieu du savoir et de la vertu.
    Porteur de chance, les hindous le prient avant d'entreprendre une action importante.
    Fils de Shiva et Parvati (Shakti), il est reconnaissable à sa tête d'éléphant et à son corps obèse.

    Il est assis sur un trône et il porte une couronne. Il tient une hache (parashu) dans sa main et il mange des petites pâtisseries (modouks). Il est parfois représenté avec un nœud coulant et un crochet à éléphants.
    La monture de Ganesh est un rat.

    Ganesh n'est pas né avec une tête d'éléphant.
    Selon la légende, Ganesh a vu le jour alors que son père était parti combattre les démons.
    Quelques années s'écoulent.
    Un jour, sa mère lui demande de garder l'entrée de la maison pendant qu'elle se baigne.
    C'est alors que Shiva revient.
    Ganesh, ne sachant pas qu'il est son père, lui refuse le droit d'entrer.
    Shiva, ignorant qu'il a un fils et furieux de se voir défier par un enfant, lui coupe la tête.
    Parvati, folle de douleur, ordonne à Shiva de ressusciter son fils.
    Il envoie alors ses serviteurs en leur demandant de ramener la tête de la première créature vivante qu'ils croiseront. C'est donc la tête d'un éléphant qu'ils rapportèrent.
    Ganesh est aussi appelé Ganapati et plus rarement Vinayak.

     

    La popularité de Vishnu et de Shiva est très supérieure à celle de Brahmâ.
    C'est dans le Râmâyana et le Mahâbhârata que le culte de Vishnu atteint son apogée.

    Le Râmâyana, toujours ardent en Inde, raconte l'histoire du voyage de Râma, le septième avatar de Vishnu pour retrouver son épouse Sîtâ, enlevée par le démon Ravana.

    Le Mahâbhârata est sûrement le plus long poème jamais composé. C'est l' histoire d'une guerre entre deux dynasties, opposant les frères Pandava

    La Bhagavad-Gîtâ est l'un de ses passages les plus connus. L'action est axée sur Krishna, le huitième avatar de Vishnu, amoureux malicieux et subtil tacticien, le plus aimé des dieux indiens.

     

    Les avatars de VISHNU

     

    Dans les Védas, Vishnu est le jeune partenaire du grand dieu Indra. Mais il accomplit déjà son plus fameux exploit : "mesurer" l'univers en trois immenses enjambées et le déclarer propriété des humains.
    Ce pouvoir et cette omnipotence furent mis en oeuvre dans d'autres récits, tant et si bien que Vishnu finit par dépasser en puissance Indra et même par lui prêter secours.
    Les purânas décrivent Vishnu comme le Seigneur de l' univers et le protecteur de l'humanité.
    Ses attributs sont le disque (chakra), la conque (shanka), la massue (gada) et le lotus (padma).
    son épouse est Lakshmi, la sublime déesse de la richesse, de l'honneur, de la foi et de l'amour, assise sur un lotus.

    Vishnu est vénéré sous ses multiples incarnations (Avatars) destinées à secourir l'humanité dans sa lutte contre les ténèbres.

    Les dix avatars (littéralement "descentes"), dont le nombre exact est en fait fluctuant, et dont le le Bâghavata Purâna déclare même qu'ils sont innombrables, sont des interventions divines destinées à rétablir sur terre le dharma, et correspondent parfaitement à la fonction protectrice de Vishnu. Rama et Krishna sont ses incarnations les plus connues.

    Les trois premiers avatars Matsya, le poisson, Kûrma, la tortue et Varâha, le sanglier sont des créatures mythologiques, figurant dans les récits cosmogoniques des Védas
    .
    Le quatrième avatar, Narasimha, l'homme-lion, protégea le monde contre l'épouvantable démon "Hiranyakashipu" qu'il éventra.

    Le cinquième, Vamana, n'est autre que le nain qui parcourût l'Univers en trois enjambées et se transforma en géant pour chasser le démon Bali hors de l'Univers.

    Le sixième avatar, Parashurâma,"Râma à la hache", extermina la caste des kshatriya pour venger son père
    Sa présence reflète peut-être les luttes pour le pouvoir entre les brahmanes et les kshatriya.
    Râma et Krishna, les septième et huitième avatars de Vishnu, sont les héros magiques du
    Ramâyana et duMahâbhârata.
    Par leur truchement, Vishnu devient le seigneur et le protecteur de l'humanité.


    Le neuvième avatar est le Boudha.
    La présence du Bouddha montre la capacité de l'hindouisme à évoluer en absorbant et en redéfinissant toute doctrine rivale.

    D'ailleurs, pour certains hindouistes, Jésus lui-même est un avatar de Vishnu, et les missionnaires chrétiens ont eu bien de la peine à lutter contre cette assimilation abusive à leurs yeux.

    Kalki le cavalier au cheval blanc, le futur avatar, apparaîtra pour détruire l'univers à la fin du Kali Yuga, punir les méchants, récompenser les pieux et réintégrer l'univers dans le brahman.

     

    DURGA, l'Inaccessible, épouse de Shiva

    Elle est la conscience transcendante dans toute la connaissance.
    Elle est le vide dans tous les vides. Elle, au-delà de qui il n'est point d'au-delà, est appelée l'Inaccessible.

    Durga est une des formes sous laquelle Shakti, la déesse-mère est apparue à l'appel des dieux pour combattre le buffle- démon Mahisha.

    C'est une guerrière.
    Elle porte un sari rouge symbolisant l'action et la destruction des démons. Elle a plusieurs bras car les dieux lui ont chacun donné une arme pour se battre : le disque de Vishnu, la lance de Kumara, l'arc et la flèche de Surya, le dieu du soleil; la hache de Chandra, le dieu de la lune; une masse de Yama, le dieu de la mort; la hache d'Agni, le dieu du feu; la conque de Vayu, le dieu du vent; le trident de Shiva.
    Ainsi armée, elle partit tuer Mahisha en chevauchant un lion.
    Elle est souvent représentée avec huit bras.

     

    DEVI - la déesse-mère

    Devî est le terme générique sanscrit désignant les déesses, contreparties féminines (Shakti) des Dieux (Deva).
    Si le terme et le concept même de Shakti n'est pas extrêmement ancien, bien qu'il se soit considérablement développé et étoffé vers la fin du premier millénaire avec le tantrisme, le concept de la Déesse-Mère Divine est aussi vieux que l'humanité.
    Devî signifie littérallement "brillante". La parèdre (contrepartie féminine) d'un Dieu n'est pas "en soi", différente de Lui; elle n'est pas une autre entité, mais une autre expression : elle est sa puissance de création, on peut aussi dire sa force spirituelle.
    « Les dieux assemblés s'approchant de la Grande Déesse lui demandèrent : « Qui es-tu ? »
    Elle leur répondit :
    « Je suis la forme apparente du principe ultime, le Brahman.
    De moi sont issus la Nature et la Personne qui constituent l'univers. »
    On considère souvent les devî comme autant d'épithètes de la Grande Déesse, c'est-à-dire autant de formes ou aspects, d'émanations ou manifestations de la Devî.

     

    KALI, la Noire, la Terrible, épouse de Shiva

    Kali est une incarnation de Durga, née de Brahma, Vishnu et Shiva, afin de détruire les démons. Chaque goutte de sang des démons tombée à terre faisait naître d'autres démons. Pour les vaincre, Durga s'incarna en Kali qui avala le démon afin que le calme règne de nouveau sur Terre.
    On célèbre chaque année la Durga Puja, la victoire sur le mal, surtout au Bengale où le culte de Kali est très présent.
    Sa représentation est terrible, avec une longue langue pendante rouge et une guirlande de crânes autour du cou.
    De sa main gauche, elle tient souvent une tête coupée ce qui veut signifier l'annihilation de la force du mal.

      

    Dieu guerrier du panthéon védique

     

    INDRA, dieu de la foudre, du ciel et des pluies, roi des dieux, le guerrier du panthéon védique.

    Dieu-roi suprême du ciel, de l'atmosphère, de la foudre, des orages et de la pluie.
    Considéré aussi comme le dieu de la fertilité, grâce à l'eau qu'il apporte à la terre.
    Extraordinaire buveur du soma (le dieu soma représente le liquide, la fraîcheur et la lune, personnification d'une plante hallucinogène, liqueur magique) "breuvage d'immortalité"et nourriture rituelle des dieux.
    Indra, dernier des dieux guerriers représente la force et la puissance.
    Le mythe le plus fameux du Rig-Véda est la victoire d'Indra sur le démon géant Vritra, qui bloquait les eaux dans la montagne.
    Indra lança la foudre sur Vritra, libérant du même coup les eaux et le soleil.

     

    Dieux secondaires

     

    AGNI, dieu du feu dans le panthéon védique.

    Agni est le dieu du Feu, représentant les forces de la lumière, il est souvent associé à Indra la divinité du soleil.
    Il est la flambée qui réchauffe chaque maison.
    Il est l'étincelle de la vie détenue dans chaque être vivant.
    Il est invincible et réduit ses ennemis en cendres.
    Incarnant le sacrifice, Agni est considéré comme un médiateur entre les mortels et les dieux à qui il transmet les offrandes.
    Il monte un bélier (animal sacrificiel)
    Plus de deux cents hymnes du Rig-Véda lui sont consacrés.

     

    SKANDA, dieu de la guerre à six têtes.

    Deuxième fils de Shiva et de Parvati, Skanda, connu aussi sous les noms de Kumara, Murugan, Subrahmaniam, Guha, Shadannana ou Sanmukha parce qu'il a six têtes.
    Dieu de la guerre et de la chasteté, créé pour détruire les démons.

    Skanda est un dieu plein de force et d'ardeur. Il est le plus féroce de tous les Dieux.
    Il obtient tout ce qu'il veut par son courage et sa volonté.
    Il combat les ignorants et offre sa force à qui veut rechercher la spiritualité.

    D'une main il tient une lance appelée sakti symbolisant les tendances de destruction et les pulsion négatives de l'humanité. Mais de l'autre main il bénit toujours ses adorateurs.
    Il chevauche un paon qui est capable de détruire les serpents nuisibles
    Ses temples et son culte sont interdits aux femmes.

     

    SOMA, dieu de la lune et de l'inspiration, assimilé à la boisson qui porte son nom.

    Le dieu Soma est la liqueur d'immortalité, nourriture rituelle des dieux.
    Le dieu Soma représente le liquide, la lune et la fraîcheur, il est la personnification d'une plante hallucinogène pressée et bue durant le rituel, dont la préparation se trouvait au coeur du sacrifice védique.
    L'identité de cette plante a provoqué bien des commentaires peut-être s'agit-il de l'Amanita muscaria utilisée durant des millénaires par les chamanes sibériens pour susciter des états extatiques.
    Ce champignon qui pousse en Sibérie et en Afghanistan était sans doute connu des Aryens.
    Cependant il fut remplacé par une autre substance peu à peu car il n'existait qu'en petites quantités dans la vallée de l'indus et les plaines du nord de l'Inde.

     

    SURYA, dieu védique du soleil.

    Dieu soleil, fils d'Āditi et de Kashyapa. Il a quatre épouses, Saljnâ, la connaissance, Râjnî, la souveraineté, Prabhâ, la lumière et Châyâ, l'ombre. C'est le père de Manu , le premier homme et le législateur de l'humanité, mais aussi deYama, le dieu de la Mort et de Yamî qui deviendra, après sa mort, la rivière Yamunâ, un des trois fleuves les plus sacrés de l'Hindouisme

    Sûrya se déplace dans un char conduit par Aruna et tiré par sept chevaux ou un cheval à sept têtes, représentant les jours de la semaine.

     

    RUDRA, le "hurleur", dieu du tonnerre dans le panthéon védique qui brandit la foudre destructrice.

    Rudra est la deuxième facette de Shiva, appelé parfois Shiva-Shankar, la face sombre de Shiva;
    Dieu des animaux, de la mort, des orages. Dieu hurleur effrayant et dieu des tempêtes. Il représente le côté le plus mystérieux du grand dieu, il n'intervient que dans certaines incarnations (avatars de Krishna) pour rappeler à Shiva
    qu'il n'y a pas de dualité en lui (puisque Shiva est une conscience pure)

     

    VARUNA, dieu védique de la mer, seigneur des eaux cosmiques.

    Varuna est à la fois un asura (esprits démoniaques) et un deva (puissance agissante qui se manifeste dans les phénomènes naturels et mentaux)

    Il est le maître du rta, l'énergie qui permet de maintenir l'ordre de l'univers. Dieu "aux mille yeux", il possède un caractère violent, et ses colères sont redoutées des hommes. Divinité lunaire, il est parfois représenté comme un homme à la peau claire portant une armure en or ainsi qu'un "lasso" fait à partir d'un serpent. Il chevauche un makara, monstre marin qui lui sert de monture.
    Varuna est aussi un dieu de la mort et peut accorder l'immortalité. Il est également associé à l'élément liquide, lorsque celui- ci se trouve en masse (cours d'eau, lacs, océans), tandis que la pluie est surtout associée à Mitra.
    Après qu'Indra lui eut ravi sa place de maître de l'univers, Varuna devint le dieu des océans et des rivières, et le gardien des âmes des noyés. Il est servi par les nagâs, êtres mi-hommes, mi-serpents.

     

    VAYU, dieu védique du vent.

    Vâyu est le dieu du vent et gardien du nord-ouest.
    Il est également nommé Vata. Il est le souffle des dieux, va où il veut et ne peut être vu.
    Vâyu accorde la renommée et la richesse à ses adorateurs, disperse leurs ennemis et protège les faibles.
    Il est représenté juché sur une antilope (rapide comme le vent). Son attribut est généralement un étendard.
    L'antilope est le symbole animalier de la quatrième chakra : anahata chakra.
    L'élément adjoint à ce confluent énergétique est l'air.

     

    MITRA, dieu de la lumière.

    Mitra représentait la souveraineté sur le plan terrestre et Varuna sur le plan surnaturel. Mitra, dont le nom signifie "contrat", était le garant de l'amitié et des accords entre les hommes, tandis que Varuna était le garant de l'ordre cosmique.
    Mitra était toujours présenté comme amical, tandis que Varuna était un dieu violent, aux colères terribles.

    En fait, dans le personnel divin de la fonction souveraine, Mitra incarnait en quelque sorte le chapelain, tandis que Varuna incarnait le roi.
    Il était donc plus étroitement associé aux prêtres (Brahmanes) alors que Varuna était plus proche des guerriers (Kshatriya).

     

    USHAS, déesse du ciel et de l'aurore.

    Dans le Rig-Veda, la Déesse Usha = Ushas est identifiée à l'Aube, l'Aurore.
    Elle se révèle quotidiennement avec la venue du jour. C'est une jeune fille au teint resplendissant qui, traversant le ciel sur son char doré tiré par cent chevaux, précède Suryâ.
    Elle dissipe les noirceurs de la nuit et, du même coup, écarte les démons.
    Elle stimule la vie et met le monde en mouvement. Elle accorde force et renommée. Elle est associée à l'énergie vitale, au souffle des créatures vivantes et à tout ce qui meut le rita (l'ordre cosmique social et moral). La régularité de son retour souligne la force qui, en elle, participe de l'ordre cosmique, au détriment du chaos qui, toujours, menace l'univers.

    Usha est donc une déesse bénéfique associée à la lumière et à l'abondance.
    On la compare parfois à une vache.
    D'ailleurs, dans le Rig- Veda, on la désigne sous le nom de "Mère des vaches". Bien qu'elle figure toujours sous les traits d'une belle jeune fille, on la dit "Mère des dieux", "Mère des Ashwins", et aussi, "Mère du foyer".

    Eclairant le monde, elle voit les faits et gestes de chacun : elle est l'oeil des dieux, mais elle ne juge rien des erreurs humaines.

    Le tilak (appelé aussi tika, bindi ou pottu) est une marque portée sur le front par la plupart des hindous.
    Quand il n'est pas tout simplement une marque censée porter bonheur, apposée au cours d'une cérémonie religieuse ou en guise de bienvenue, le tilak indique l'appartenance à un groupe religieux pour un homme ou la situation maritale pour une femme.
    La plus ancienne référence au tilak connue provient du Rig-Veda. La déesse Usha, première épouse du dieu Sûrya,
    y apparaît portant une marque rouge vif sur le front, symbole du soleil levant.

     

    KAMA, dieu de l'érotisme.

    Kamadeva ou Kama (désir) est le dieu de l’érotisme et du désir amoureux. Jeune, décrit comme le plus beau des dieux, il porte un arc fait de canne à sucre, la corde est une chaîne d'abeilles. Ses flèches sont faites des cinq fleurs qui inspirent l’amour : le jasmin, le champaka, le shirisha, le lotus bleu et la fleur de manguier. Il possède deux ou huit bras. Il est entouré d'oiseaux, de jeunes nymphes et de musiciens. Ainsi, tout en lui évoque le printemps, saison des amours.

    Mentionné dans le Rig-Veda comme le plus puissant des dieux, il symbolise le moteur qui pousse les hommes à la perpétuation de leur espèce.

     

    KRATU, dieu de l'inspiration intelligente,  fils de Brahmâ

     

    SHIVA NATARAJA, dieu de la danse cosmique

    Shiva accomplit la danse cosmique de la destruction et de la création de l’univers.

    La danse cosmique symbolise le renouvellement périodique du monde, en un rythme infini de dissolutions et de naissances.

    Pour les hindous, la danse est plus ancienne que le monde lui-même car c’est précisément en dansant sur le mont Kailasa que Shiva créa le cosmos et notre Âge, en prenant cette posture au moment de la création, posant le pied droit sur la tête du démon primordial, Apasmârapurusa, symbole d’ignorance et de cécité, et le tue.

    Sa chevelure se déploie sauvagement tandis qu’il danse, transporté par le rythme du petit tambour en forme de sablier ou de clepsydre (damaru) qu’il tient dans la plus haute de ses mains droites. Ce rythme est la pulsation du cosmos (mâyâ) qui naît à la vie grâce à l’action bénéfique de la danse créatrice, en créant, à chaque battement, l’air, le feu, l’eau et la terre, et réveillant ainsi la vie ; mais c’est de cette même danse que jaillira l’étincelle qui détruira le monde. Le cosmos est figuré par le cercle qui contient la divinité ; il jaillit des bouches fertiles du makara placé sur le socle de la statue.

    Le moment de la création du cosmos est donc associé à sa destruction simultanée, symbolisée par les flammes qui bordent le cercle et la flamme unique que le Dieu tient dans sa main gauche supérieure. Cette flamme unique réduit tout à néant : elle fait écho au tambour créateur de la main droite supérieure. (Wikipedia)

    Suivant la tradition ancienne, Shiva est adoré sous trois formes ou murthi : Sivalingam, Ardhanarisvara, et Nataraja. Shiva Natâraja est le dieu Shiva en tant que Danseur cosmique.

    Sa danse de tandava représente ses cinq puissances en action : création, préservation, dissolution, grâce obscuratrice, grâce révélatrice.

    Chaque geste du dieu a une signification :
    la main postérieure gauche montre la fin du monde par les flammes,
    la main postérieure droite tient le tambour qui émet le son "primordial" qui préfigure le monde purifié,
    la main antérieure droite invite à la non-crainte en tournant sa paume vers les fidèles,
    le pied droit : Shiva foule l’ignorance représentée par le démon Muyalaka et l’empêche ainsi de progresser,
    la jambe gauche qui se lève suggère la libération de l’âme une fois l’ignorance vaincue.

    Sa chevelure
    Les mèches de la chevelure, qui se dénouent sous la vigueur du mouvement de la danse, symbolisent le grand fleuve Gange.

     

    HANUMAN, dieu-singe du Râmâyana, incarnation de la bhakti (dévotion). Il est le fils de Vayû.

    Hanuman est le dieu-singe fidèle à Rama. Ses autres noms sont Hanumat ou Pavan-Sutra. Sa bravoure est relatée dans le Ramayana.
    Selon cette épopée, il est ainsi décrit : sa face est aussi rouge que le plus brillant des rubis, sa queue est d'une interminable longueur.
    Hanuman est un être parfait.
    Personne ne peut l'égaler dans la compréhension et le sens des écritures.
    Il rivalise avec le précepteur des dieux Vrihaspati.
    Hanuman est le fils de Vayu, le dieu du vent.
    Il est souvent représenté avec une massue d'or (gaddha) dans la main ou devant les images de Rama et Sita.
    Il se tient sur un haut rocher et peut hurler comme le tonnerre.
    Il vole au dessus des nuages et peut s'agrandir ou se rapetisser.
    Un jour, avalé par un démon, il devint si petit qu'il put s'échapper par l'oreille du monstre.
    A 10 ans, il était capable de soulever des collines.
    Il symbolise la force et l'intelligence, il est vénéré des combattants.
    Après la délivrance de Sita, Sigriva, le roi-singe demanda à Hanuman de rejoindre l’armée des singes.
    Celui ci refusa et pour preuve de son respect, il ouvrit sa poitrine où se trouvaient les images de Sita et de Rama.
    Il incarne ainsi la dévotion (bhakti) et l'humilité.
    Lorsqu' Hanuman était encore tout jeune, il prit le soleil pour un fruit mûr. Il sauta, le saisit et le mit dans sa bouche. Les dieux étaient effrayés car sans l'astre, le monde était en péril, toute vie devenait impossible. Il prièrent alors le dieu-singe de recracher la soleil, ce qu'il fit. La Terre fut sauvée des ténèbres.

     

    YAMA, dieu des esprits et des morts.

    Yama (ou Yamaraja ou Dharmaraja, Shinjé en tib.) : seigneur de la mort

    Seigneur de la mort à tête de taureau ou buffle, symbole du pouvoir absolu du karma et souverain des pretas, esprits affamés des enfers. Brandissant dans les mains un septre surmonté d'une tête de mort et d'une corde terminée par un crochet et un anneau, il se tient debout sur un taureau couché en union avec un humain, ce qui représente la domination des obstacles.

    Les flammes autour de lui sont l'expression de son caractère irrité, non qu'il soit en colère mais il cherche ainsi à brusquer le pratiquant afin de lui faire comprendre plus rapidement certains points du Dharma.
    La majorité des déités protectrices du Dharma (dharmapalas) sont pour cela des déités irrités.
    Il est parfois accompagné de sa soeur Yami (Shinjéma en tib.) encore appelée Chamundi.

    Le symbolisme des attributs de Yama est le suivant : - septre à tête de mort : c'est le symbole le plus évident de sa domination sur la mort et par extention le temps qui passe. La tête de mort symbolise aussi parfois le monde des dieux sans forme (par opposition à au monde du désir et du monde de la forme) ou aussi le Corps absolu (dharmakaya).
    - corde : la corde est souvent terminée par un vajra et un anneau, parfois d'un crochet qui
    servent soit à attraper et attacher les hordes démoniaques, soit à "attacher" la sagesse à
    l'esprit du pratiquant.

     

    L'hindouisme est la plus vieille des principales religions du monde, son origine remonte à la civilisation de l'Indus qui naquit vers 2500 av. J.-C. Avec plus de 900 millions de fidèles, l'hindouisme est actuellement la troisième religion du monde. À l'inverse des autres religions principales, l'hindouisme n'a pas été fondé par un prophète et ne dépend pas d'un dogme central, sa pratique étant issue d'une tradition très ancienne. L'hérésie n'existe donc pas. C'est donc une religion dynamique, un ensemble de concepts philosophiques issues d'une tradition remontant à la protohistoire indienne, dotée d'une capacité à assimiler les croyances, et les philosophies, sans les opposer. Les nombreuses conquêtes et invasions qui se sont déroulées sur le sous-continent indien ont favorisé le mélange des idées et des connaissances. L'hindouisme a beaucoup évolué au cours du temps passant du védisme aryen polythéiste, au brahmanisme triadique. L'hindouisme ancien dépassait le simple cadre religieux, au-delà du syncrétisme théologique, l'hindouisme était un vecteur pour toutes les sciences ; le droit,la politique, l'architecture, l'astrologie, la philosophie, la médecine, etc., comme tant d'autres savoirs qui avaient en commun le substrat religieux.

     

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  • Commentaires

    2
    Dimanche 20 Août 2017 à 15:09

    Bonjour Philippe : ceci est une synthèse et donc, oui complexe mais pas essentiel. Je poursuis malgré tout de façon à ce que ce soit plus lisible et à ma façon car, au fond, tous ces noms peuvent apporter une certaine confusion et vers ce quoi l'on aspire et plus de clarté. L'on peut simplement dire à son propos que l'on pourrait parler de culture générale mais qui a donc la mémoire pour retenir tous ces noms. Néanmoins, je compte poursuivre avec le Sri Bhagavatam sans plus faire de synthèse comme celle-ci car elle me paraît plutôt ennuyeuse : chacun des avatars ayant été cité. Je reverrai le tout plus tard , là je vais poursuivre dans les versets et dans l'ordre. Et comme tu le dis, pour grandir, s'élever. Amitié cher Philippe et à bientôt.

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    1
    Philippe
    Samedi 27 Mai 2017 à 00:08

    Cela me semble si complexe pour mon humble personne... Je pense que c'est dû au fait de mon autre éducation chrétienne.... Mais je reste persuadé que chaque croyance a la même Source.... Qui à chacun son niveau d'évolution lui convient .... Pour grandir .... S'élever.....

    Merci Coline.... amitiés à toi et ta famille ...A+++

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