• CONCERTO DE JEAN SEBASTIEN BACH

    MAGNIFICAT VI J.S. BACH  (BACH JEAN SEBASTIEN)

    posté le mardi 04 mars 2008 10:06

     

     

     

     

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    MAGNIFICAT VII  (BACH JEAN SEBASTIEN)posté le mardi 04 mars 2008 10:49

    Blog de colinearcenciel :BIENVENUE DANS MON MONDE MUSICAL, MAGNIFICAT VII

    Fecit potentiam

     

     

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    MAGNIFICAT VIII - J.S. BACH  (BACH JEAN SEBASTIEN)posté le mardi 04 mars 2008 10:50

     

     

    DEPOSUIT  

        

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    MAGNIFICAT IX - J.S. BACH  (BACH JEAN SEBASTIEN)posté le mardi 04 mars 2008 10:51

     

    ESURIENTE

     

     

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    CONCERTO POUR VIOLON I DE J.S. BACH (BACH JEAN SEBASTIEN)posté le samedi 15 mars 2008 22:32

    Blog de colinearcenciel :BIENVENUE DANS MON MONDE MUSICAL, CONCERTO POUR VIOLON  I DE J.S. BACH

     

    CONCERTO

     

     POUR VIOLON

     

    J.S. BACH

    Isaac Stern au violon

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      |CONCERTO 27 VIOLONS - J.S. BACH (BACH JEAN SEBASTIEN)

    posté le samedi 15 mars 2008 23:01

     

    CONCERTO 27

     

     

     VIOLONS

     

     

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    LES SOLISTES DE VERSAILLES  (BACH JEAN SEBASTIEN)posté le dimanche 16 mars 2008 13:31

    LES SOLISTES DE VERSAILLES

     

    CONCERTO POUR VIOLON DE J.S. BACH

    VIVACE


    _____________
     
     
     
    ....
    Avocatier
    Manguier
    Nous avions deux paillottes dans notre jardin comme celles que l'on voit sur cette plage.
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    CONCERTO POUR QUATRE PIANOS - J.S. B A C H  (BACH JEAN SEBASTIEN)posté le dimanche 16 mars 2008 14:45

    ...

    CONCERTO

     

     POUR QUATRE

     

     PIANOS

     

    J.S. Bach

     


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    CONCERTO ITALIEN  (BACH JEAN SEBASTIEN)posté le dimanche 16 mars 2008 14:56

     

    CONCERTO

     

     ITALIEN

     

    Bruno Chapuis

     

     

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    IL ETAIT UNE FOIS JEAN SEBASTIEN BACH page 322  (BACH JEAN SEBASTIEN)posté le samedi 22 mars 2008 00:25

     

     

    IL ETAIT UNE FOIS JEAN SEBASTIEN BACH

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    Extrait d'un Film de Jean-Louis Guillermou très bien documenté et réalisé sur ce Grand Homme :
    "Il était une fois Jean-Sébastien Bach"

    "Bach - BWV 0147 - Jesu, Joy of Man's Desiring"
    Münchener Bach Choir et Orchestre dirigés par Karl Richter

    Le narrateur , Jean Rochefort , nous conte la vie de JS Bach , ses peines et tourments mais aussi ses joies et surtout le réalisateur nous laisse apprécier assez régulièrement des airs complets , ayant l'intelligence de ne pas les couper par des commentaires inutiles .

    Cela reste un Film et les acteurs ne sont pas Musiciens mais restent crédibles .

    Présenté par Quarouble

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    PURE BEAUTE - YO YO MA JOUE BACH (BACH JEAN SEBASTIEN)posté le samedi 22 mars 2008 00:30

     

     

    YO YO MA

     

     JOUE BACH

     

    BWV 1007

    Courante

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    .
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    SUITE N° 1 - J.S. B A C H SUR DES TABLEAUX DE DALI  (BACH JEAN SEBASTIEN)posté le samedi 22 mars 2008 15:09

     

    Merci à novaultrano1 de youtube pour cette très belle vidéo

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    SARABANDE  (BACH JEAN SEBASTIEN)posté le samedi 22 mars 2008 00:35

    SARABANDE

     

    J.S. BACH

     

    SUITE POUR VIOLONCELLE

    BWV 1007

    joué par

     

    YO YO MA

     


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    ERBARME DICHMEIN GOTT - J.S. BACH page 325  (BACH JEAN SEBASTIEN)posté le dimanche 23 mars 2008 19:56

     

     

    ERBAME DICH

    MEINE GOTT

    .

     
    LE CASTRAT

    Avec sa voix d'ange, il troublait hommes et femmes. Créature énigmatique au charme androgyne, le castrat était entouré de prétendantes toutes plus belles les unes que les autres. Une seule cependant avait retenu son attention, pour qui il éprouvait les mêmes feux. Amputé de sa partie profonde, il n'en aimait que plus passionnément cette femme : l'organe vital qu'il sentait battre dans sa poitrine était entier, lui. N'était-ce pas l'essentiel ?

    Cet amour exempt de corruptions charnelles l'enivrait et le chagrinait tout à la fois. L'amante quant à elle était éprise de chasteté, de beauté, d'idéal, éprise de cet eunuque à la voix d'oiseau qui incarnait ses plus chères aspirations amoureuses... Leur hyménée asexué était beau et tragique, pitoyable et sublime. Le sopraniste avait remplacé son mâle argument par un céleste substitut, consolateur et exquisément éthéréen. Sa voix de flûte valait la plus flatteuse des virilités, au moins auprès de la gent raffinée.

    Émotions supérieures, pureté du coeur, élévation des sentiments liaient les amants dans leur ascension amoureuse. Leur union chaste était une oeuvre d'art dédiée à la Musique, à la Beauté, à la Poésie. Envié, admiré, jalousé de tous, le couple passait des nuits exaltées et brillantes où l'Art présidait à leurs émois esthètes et vertueux.

    L'amant à la voix séraphique souffrait toutefois de ne posséder que son attribut vocal pour toute séduction. Ornement suprême à la portée des initiés et des intrigantes parmi les plus belles, lui conférant gloire et prestige certes, mais signature irréparable de sa mâle déchéance. Le sacrifice était beau... Et cruel. N'était-ce pas ce qui en faisait le prix ?

    Hôte des princes, statue vivante affranchie des pesanteurs de ce monde, le demi-homme était traité comme un demi-dieu. Las ! Le baume de la renommée ne parvenait pas à l'apaiser.

    Conscient de ses hauteurs comme de ses limites, l'asexué aspirait à des ivresses qui eussent pu contenter les féminines ardeurs, des plus nobles aux plus triviales, des plus légères aux plus profondes. Il se languissait de ne pouvoir se ranger sous les lois naturelles de l'amour. Alors que tous louaient sa particularité vocale et que, porté par la grâce, il échappait au commun, sa condition quasi angélique lui était devenue odieuse. A l'abri des misères de la chair, il n'en était pas moins privé de ses éclats.

    S'épanchant vers l'élue, celle-ci ne pouvait que recueillir ses larmes d'orphelin, émue par ce jeune chêne à qui l'on avait ôté la sève. Privé de sa virilité, l'éploré était bouleversant dans les bras de la belle : doucement, tout doucement il sanglotait, sanglotait avec sa voix d'enfant dans le giron de l'aimée...

    Et c'est là, inconsolable et pathétique, que le chant du roseau devenait le plus beau.

    Texte de Raphaël Zacharie de Izarra

     

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    ICH HABE GENUG - BWV 82 - J. S.BACH (BACH JEAN SEBASTIEN)posté le dimanche 23 mars 2008 20:09

    Blog de colinearcenciel :BIENVENUE DANS MON MONDE MUSICAL, ICH HABE GENUG - BWV 82 - J. S.BACH

     

     

     JEASEBASTIEN

     

     BACH

     

     

    Cantata "Ich Habe Genug" (BWV 82):

    1. Arie:

    Ich habe genug,
    Ich habe den Heiland, das Hoffen der Frommen,
    Auf meine begierigen Arme genommen;
    Ich habe genug!
    Ich hab ihn erblickt,
    Mein Glaube hat Jesum ans Herze gedrückt;
    Nun wünsch ich, noch heute mit Freuden
    Von hinnen zu scheiden.

    1. Aria:

    I have enough,
    I have taken the Savior, the hope of the righteous,
    into my eager arms;
    I have enough!
    I have beheld Him,
    my faith has pressed Jesus to my heart;
    now I wish, even today with joy
    to depart from here.

    Ensemble Sonnerie.

    Soprano: Nancy Argenta.

    Dir: Monica Huggett.

    Ich habe genug (I have enough) is a cantata by Johann Sebastian Bach. In Wolfgang Schmieder's catalogue of Bach's works, it is BWV 82.

    It was written in Leipzig for the Feast of the Purification on 2 February 1727. The Purification commemorates an incident recorded by St. Luke in which Mary takes the baby Jesus to the temple in Jerusalem to offer ritual sacrifices.

    The piece is written for oboe, strings, basso continuo and bass soloist. Other versions exist for soprano (as BWV 82a) with the oboe part replaced by flute and slightly altered. In modern practice, the bass part is sometimes replaced by an alto and the soprano is sometimes replaced by a tenor.

    Several movements from this cantata can be found transcribed in the Notebook for Anna Magdalena Bach, transposed up a tenth so that they are singable by a low soprano, presumably done by Anna Magdalena Bach for her own use.

     

     

    ..

     

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    ICH HABE GENUG II de JEAN SEBASTIEN BACH  (BACH JEAN SEBASTIEN)posté le vendredi 26 août 2011 19:49

     

    Ce récitatif mis au complet, cette fois, avec les explications page 357.

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    ICH HABE GENUG III de JEAN SEBASTIEN BACH  (BACH JEAN SEBASTIEN)posté le vendredi 26 août 2011 19:50

     

     

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    ICH HABE GENUG IV de JEAN SEBASTIEN BACH - BWV 82a  (BACH JEAN SEBASTIEN)posté le vendredi 26 août 2011 19:51

     

     

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    LES SUITES POUR VIOLONCELLES BWV1007- ROSTROPOVITCH au Violoncelle  (BACH JEAN SEBASTIEN)posté le dimanche 23 mars 2008 20:00

     

    LES SUITES

     POUR

     

     VIOLONCELLES

     

     
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    SONATE n° 2 pour violon BWV 1003 Part One  (BACH JEAN SEBASTIEN)posté le vendredi 26 août 2011 20:02

     

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    SONATE n° 2 BWV 1003 Jean Sébastien BACH  (BACH JEAN SEBASTIEN)posté le vendredi 26 août 2011 20:05

     

     

     SONATE n° 2

    BWV 1003

     

     Jean Sébastien

    BACH

     

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    ORNEMENTATION CHEZ BACH I - LES AGREMENTS page 327 et suivantes.... (BACH JEAN SEBASTIEN)posté le dimanche 28 août 2011 14:19

     

     

     L’ORNEMENTATION

     CHEZ

    JEAN SEBASTIEN BACH

     

    L’ornementation est l’essence même de la musique vocale ou instrumentale baroque. Bien évidemment, la pratique de l’ornementation était déjà présente dans les compositions de la Renaissance, mais l’on peut faire réellement naître le baroque musical avec Caccini et ses Nuove Musiche, bréviaire de l’art du beau chant, du buon canto, codifiant l’emploi des différentes manières d’embellir l’exécution des notes et de les rendre plus expressives, de donner au chant grâce et noblesse :

    C’est après le biais des écrits théoriques que l’on apprend cette grâce très nécessaire,qui ne peut se noter de meilleure manière ni avec autant de clarté pour sa compréhension.

     

    ..

    Elle peut néanmoins s’acquérir parfaitement, à condition qu’après l’étude de la théorie et des règles susdites on la mette en pratique ,par laquelle on se perfectionne dans tous les arts, et particulièrement dans la profession du parfait chanteur ou de la parfaite cantatrice… Nous nous sommes aperçus combien en général il est nécessaire que le musicien dispose d’une appréciation sûre qui doit à l’occasion prévaloir sur l’art, car il y a beaucoup d’éléments utilisés dans la bonne manière de chanter.

    L’ornementation n’a cessé d’évoluer tout au long de la période baroque, adoptant d’autre part des formes différentes selon les pays. Ce terme générique recouvre en fait deux concepts bien distincts : les agréments et les ornements.

     

    ...

    Les agréments sont des petits signes placés au-dessus ou en-dessous des notes, écrits par le compositeur et que l’on doit impérativement jouer, chacun ne concernant qu’une seule note.

    A l’inverse, les ornements, constitués le plus souvent d’une grande quantité de notes intercalées entre les notes principales d’une mélodie, sont facultatifs et livrés au talent et à la faculté d’improvisation de l’interprète, en particulier pour ce qui est de la cadence, omniprésente dans l’opera seria : le compositeur ne fait que les indiquer par un système de signes.

     

    ...

    Les agréments figurent spécialement dans la musique française baroque, qui utilisait principalement le trillo (ou cadence ou tremblement), le pincé oumordant, le gruppetto,la double cadence,le tour de gosier, le port de voix oul’accent, le port de voix double, le son coupé, l’arpègement ascendant, la tierce coulée…

    L’ornementation ,quant à elle, ne fait varier que la partie supérieure d’un morceau,s’appuyant sur les notes essentielles d’une mélodie, comblant en quelque sorte les vides existant entre elles.

    Ce type d’ornementation trouve son origine dans les « diminutions » pratiquées à la Renaissance (appellation due au fait que la valeur des notes originales était diminuée), présentes dans d’innombrables oeuvres de grande virtuosité pour toutes sortes d’instruments (flûte, violon, viole de gambe, cornet à bouquin…)

    Tout bon interprète devant savoir normalement improviser en respectant le caractère de l’oeuvre, les ornementations n’étaient presque jamais écrites. Cependant, pour aider les artistes

    -inégalement doués !- les éditeurs prirent assez vite l’habitude de proposer des éditions d’oeuvres instrumentales comprenant des ornementations possibles. Les compositeurs eux-mêmes

    pouvaient imposer ces variations ornementales et Bach peut être considéré comme le maître en la matière. Dans son Orgelbüchlein écrits d’une certaine façon, mais rendent un effet contraire l’un l’autre, d’où l’on dit qu’un tel chante avec plus ou moins de grâce…

    (Petit Livre d’orgue), terminé en 1716, il donne

    une véritable leçon sur l’art de la variation instrumentale ! faisant varier de deux manières le choral O Mensch, BWV 622 (voir portée ci-dessus). Et ci-dessous un chant Amoi dio parto de Giulio Caccini.

     

     

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    ORNEMENTATION CHEZ BACH II - LES DOUBLES  (BACH JEAN SEBASTIEN)posté le dimanche 28 août 2011 14:20

    Blog de colinearcenciel :BIENVENUE DANS MON MONDE MUSICAL, ORNEMENTATION CHEZ BACH II - LES DOUBLES

    L’ornementation des reprises, dans des pièces musicales le plus souvent de forme binaire, étant devenue un élément fondamental dans la musique des XVII° et XVIII° siècles (période baroque suivie de la période classique), les compositeurs prirent l’habitude d’écrire et publier des « doubles » qui devaient être joués lors de la reprise.

    ...

    Parfois même, plusieurs doubles étaient offerts, comme dans la seconde courante de la première Suite Anglaise pour clavecin.

     Ici, Bach fait beaucoup plus que de composer un double de la partie supérieure : il varie également la main gauche du clavier, ce qui est extrêmement rare.

     

    Les notes essentielles demeurent, seul change le trajet entre elles. Bien entendu, une exécution intégrale de ces trois pièces serait injustifiée ; à l’interprète de choisir « sa » version du double qu’il placera lors de la reprise.

    Ces deux exemples, en même temps qu’ils montrent le génie particulier de l’ornementation que possédait Bach, prouvent combien agrémentation et ornementation étaient intimement liées et complémentaires et pouvaient cohabiter dans une même pièce musicale.

     

    D’ailleurs, Bach, à la fin de sa vie, prit de plus en plus l’habitude de noter systématiquement les ornementations qu’il souhaitait, laissant ainsi peu de place aux qualités d’improvisation de l’interprète, tendance que l’on retrouvera progressivement chez la plupart des compositeurs.

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    ORNEMENTATION CHEZ BACH III et L'ART de les interpréter  (BACH JEAN SEBASTIEN)posté le dimanche 28 août 2011 14:22

    Blog de colinearcenciel :BIENVENUE DANS MON MONDE MUSICAL, ORNEMENTATION  CHEZ BACH  III et L'ART de les interpréter

    Explication des différents signes ainsi que l’art de les interpréter

    °°°°°°°°°°°°°°

     

    Si Bach pratiqua avec un immense talent l’art d’ornementer aussi bien ses oeuvres vocales que leurs accompagnements ou ses compositions purement instrumentales, il ne fut pas un doctrinaire, ni un théoricien, comme se plaît à le souligner Mattheson, qui voyait en lui un grand musicien et non le chef de file d’une Ecole.

    C’est principalement en terre française que Bach puisa ses principales techniques ornementales, en particulier celles présentes dans toutes les oeuvres de Cöthen, où les compositions destinées à la Cour appartiennent au style galant, inspirées de Marais, Couperinou d’Anglebert.

    Il existe ainsi une liste des principaux ornements utilisées par Bach, ainsi que leurs désignations sur les portées en introduction de son Klavierbüchleincommencé le 22 janvier 1720 à Cöthen, à l’intention de son fils Wilhelm Friedmann.

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    ORNEMENT MUSICAL CHEZ BACH - IV- et le commentaire de Phrygien sur le III (BACH JEAN SEBASTIEN)posté le dimanche 28 août 2011 14:23

    Blog de colinearcenciel :BIENVENUE DANS MON MONDE MUSICAL, ORNEMENT MUSICAL CHEZ BACH - IV- et le commentaire de Phrygien sur le III

    l’art de l’ornementation du Cantor (complète la figure de l'article précédent)

    Commentaire de phrygien sur l'article précédent (je le mets car phrygien est un musicien extrêmement doué et prometteur pour l'avenir notamment pour la composition voir son blog :  

    http://phrygien.musicblog.fr  

    "Articles intéressants ! Ces indications que tu proposes ci-dessus sont en effet indispensables à l'exécution des Inventionen und Sinfonien (Inventions à 2 et 3 voix). Ce tableau a d'ailleurs supplanté les ornements de Rameau et Couperin (avec des aspirations, suspensions, tremblements continus, pincé simple, etc...). Pour les germanistes, je mets un petit extrait d'un exposé que j'ai fais sur Bach : « Zu Beginn des Clavierbüchleins erklärt J.S. Bach, wie die verschiedenen Verzierungszeichen ausgeführt werden sollen. Es enthält eine Tabelle mit den für Bach wichtigsten Verzierungen als Zeichen und in je einem Beispiel in Noten ausgeführt. Die Verzierungen sind mit französischen Bezeichnungen versehen. Dargestellt sind Triller, Mordent, Triller mit Nachschlag, Doppelschlag, verlängerter Doppelschlag von unten und von oben, verlängerter Doppelschlag mit Nachschlag von unten und von oben, steigender und fallender Vorhalt, Mordent mit Vorhalt, Triller mit Vorhalt von unten und von oben. Akzente wurden allerdings nicht benutzt so oft wie Mordent oder Triller. » Enfin, il faut préciser que TOUS les ornements de Bach sont mesurés (il utilisa même les mathématiques dans sa musique comme le fameux nombre d'or ou en faisant des énigmes cf Invention n°14 et le livre « Bach et les Nombres » pour ceux voulant aller plus loin).

    Ce n'est qu"à partir du romantisme, où les compositeurs ne mesures plus les trilles, grupettos, etc... "

    °°°°°°°°°°°°°°

     

     

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