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MAGNIFICAT VI J.S. BACH (BACH JEAN SEBASTIEN)
DEPOSUIT
ESURIENTE
CONCERTO 27
VIOLONS
LES SOLISTES DE VERSAILLES
CONCERTO POUR VIOLON DE J.S. BACH
VIVACE
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CONCERTO
POUR QUATRE
PIANOS
J.S. Bach
CONCERTO
ITALIEN
Bruno Chapuis
IL ETAIT UNE FOIS JEAN SEBASTIEN BACH
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Extrait d'un Film de Jean-Louis Guillermou très bien documenté et réalisé sur ce Grand Homme :
"Il était une fois Jean-Sébastien Bach"
"Bach - BWV 0147 - Jesu, Joy of Man's Desiring"
Münchener Bach Choir et Orchestre dirigés par Karl Richter
Le narrateur , Jean Rochefort , nous conte la vie de JS Bach , ses peines et tourments mais aussi ses joies et surtout le réalisateur nous laisse apprécier assez régulièrement des airs complets , ayant l'intelligence de ne pas les couper par des commentaires inutiles .
Cela reste un Film et les acteurs ne sont pas Musiciens mais restent crédibles .
Présenté par Quarouble
YO YO MA
JOUE BACH
BWV 1007
Courante
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Merci à novaultrano1 de youtube pour cette très belle vidéo
SARABANDE
J.S. BACH
SUITE POUR VIOLONCELLE
BWV 1007
joué par
YO YO MA
ERBAME DICH
MEINE GOTT
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JEAN SEBASTIEN
BACH
Cantata "Ich Habe Genug" (BWV 82):
1. Arie:
Ich habe genug,
Ich habe den Heiland, das Hoffen der Frommen,
Auf meine begierigen Arme genommen;
Ich habe genug!
Ich hab ihn erblickt,
Mein Glaube hat Jesum ans Herze gedrückt;
Nun wünsch ich, noch heute mit Freuden
Von hinnen zu scheiden.
1. Aria:
I have enough,
I have taken the Savior, the hope of the righteous,
into my eager arms;
I have enough!
I have beheld Him,
my faith has pressed Jesus to my heart;
now I wish, even today with joy
to depart from here.
Ensemble Sonnerie.
Soprano: Nancy Argenta.
Dir: Monica Huggett.
Ich habe genug (I have enough) is a cantata by Johann Sebastian Bach. In Wolfgang Schmieder's catalogue of Bach's works, it is BWV 82.
It was written in Leipzig for the Feast of the Purification on 2 February 1727. The Purification commemorates an incident recorded by St. Luke in which Mary takes the baby Jesus to the temple in Jerusalem to offer ritual sacrifices.
The piece is written for oboe, strings, basso continuo and bass soloist. Other versions exist for soprano (as BWV 82a) with the oboe part replaced by flute and slightly altered. In modern practice, the bass part is sometimes replaced by an alto and the soprano is sometimes replaced by a tenor.
Several movements from this cantata can be found transcribed in the Notebook for Anna Magdalena Bach, transposed up a tenth so that they are singable by a low soprano, presumably done by Anna Magdalena Bach for her own use.
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Ce récitatif mis au complet, cette fois, avec les explications page 357.
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LES SUITES
POUR
VIOLONCELLES
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SONATE n° 2
BWV 1003
Jean Sébastien
BACH
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L’ORNEMENTATION
CHEZ
JEAN SEBASTIEN BACH
L’ornementation est l’essence même de la musique vocale ou instrumentale baroque. Bien évidemment, la pratique de l’ornementation était déjà présente dans les compositions de la Renaissance, mais l’on peut faire réellement naître le baroque musical avec Caccini et ses Nuove Musiche, bréviaire de l’art du beau chant, du buon canto, codifiant l’emploi des différentes manières d’embellir l’exécution des notes et de les rendre plus expressives, de donner au chant grâce et noblesse :
C’est après le biais des écrits théoriques que l’on apprend cette grâce très nécessaire,qui ne peut se noter de meilleure manière ni avec autant de clarté pour sa compréhension.
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Elle peut néanmoins s’acquérir parfaitement, à condition qu’après l’étude de la théorie et des règles susdites on la mette en pratique ,par laquelle on se perfectionne dans tous les arts, et particulièrement dans la profession du parfait chanteur ou de la parfaite cantatrice… Nous nous sommes aperçus combien en général il est nécessaire que le musicien dispose d’une appréciation sûre qui doit à l’occasion prévaloir sur l’art, car il y a beaucoup d’éléments utilisés dans la bonne manière de chanter.
L’ornementation n’a cessé d’évoluer tout au long de la période baroque, adoptant d’autre part des formes différentes selon les pays. Ce terme générique recouvre en fait deux concepts bien distincts : les agréments et les ornements.
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Les agréments sont des petits signes placés au-dessus ou en-dessous des notes, écrits par le compositeur et que l’on doit impérativement jouer, chacun ne concernant qu’une seule note.
A l’inverse, les ornements, constitués le plus souvent d’une grande quantité de notes intercalées entre les notes principales d’une mélodie, sont facultatifs et livrés au talent et à la faculté d’improvisation de l’interprète, en particulier pour ce qui est de la cadence, omniprésente dans l’opera seria : le compositeur ne fait que les indiquer par un système de signes.
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Les agréments figurent spécialement dans la musique française baroque, qui utilisait principalement le trillo (ou cadence ou tremblement), le pincé oumordant, le gruppetto,la double cadence,le tour de gosier, le port de voix oul’accent, le port de voix double, le son coupé, l’arpègement ascendant, la tierce coulée…
L’ornementation ,quant à elle, ne fait varier que la partie supérieure d’un morceau,s’appuyant sur les notes essentielles d’une mélodie, comblant en quelque sorte les vides existant entre elles.
Ce type d’ornementation trouve son origine dans les « diminutions » pratiquées à la Renaissance (appellation due au fait que la valeur des notes originales était diminuée), présentes dans d’innombrables oeuvres de grande virtuosité pour toutes sortes d’instruments (flûte, violon, viole de gambe, cornet à bouquin…)
Tout bon interprète devant savoir normalement improviser en respectant le caractère de l’oeuvre, les ornementations n’étaient presque jamais écrites. Cependant, pour aider les artistes
-inégalement doués !- les éditeurs prirent assez vite l’habitude de proposer des éditions d’oeuvres instrumentales comprenant des ornementations possibles. Les compositeurs eux-mêmes
pouvaient imposer ces variations ornementales et Bach peut être considéré comme le maître en la matière. Dans son Orgelbüchlein écrits d’une certaine façon, mais rendent un effet contraire l’un l’autre, d’où l’on dit qu’un tel chante avec plus ou moins de grâce…
(Petit Livre d’orgue), terminé en 1716, il donne
une véritable leçon sur l’art de la variation instrumentale ! faisant varier de deux manières le choral O Mensch, BWV 622 (voir portée ci-dessus). Et ci-dessous un chant Amoi dio parto de Giulio Caccini.
L’ornementation des reprises, dans des pièces musicales le plus souvent de forme binaire, étant devenue un élément fondamental dans la musique des XVII° et XVIII° siècles (période baroque suivie de la période classique), les compositeurs prirent l’habitude d’écrire et publier des « doubles » qui devaient être joués lors de la reprise.
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Parfois même, plusieurs doubles étaient offerts, comme dans la seconde courante de la première Suite Anglaise pour clavecin.
Ici, Bach fait beaucoup plus que de composer un double de la partie supérieure : il varie également la main gauche du clavier, ce qui est extrêmement rare.
Les notes essentielles demeurent, seul change le trajet entre elles. Bien entendu, une exécution intégrale de ces trois pièces serait injustifiée ; à l’interprète de choisir « sa » version du double qu’il placera lors de la reprise.
Ces deux exemples, en même temps qu’ils montrent le génie particulier de l’ornementation que possédait Bach, prouvent combien agrémentation et ornementation étaient intimement liées et complémentaires et pouvaient cohabiter dans une même pièce musicale.
D’ailleurs, Bach, à la fin de sa vie, prit de plus en plus l’habitude de noter systématiquement les ornementations qu’il souhaitait, laissant ainsi peu de place aux qualités d’improvisation de l’interprète, tendance que l’on retrouvera progressivement chez la plupart des compositeurs.
Explication des différents signes ainsi que l’art de les interpréter
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Si Bach pratiqua avec un immense talent l’art d’ornementer aussi bien ses oeuvres vocales que leurs accompagnements ou ses compositions purement instrumentales, il ne fut pas un doctrinaire, ni un théoricien, comme se plaît à le souligner Mattheson, qui voyait en lui un grand musicien et non le chef de file d’une Ecole.
C’est principalement en terre française que Bach puisa ses principales techniques ornementales, en particulier celles présentes dans toutes les oeuvres de Cöthen, où les compositions destinées à la Cour appartiennent au style galant, inspirées de Marais, Couperinou d’Anglebert.
Il existe ainsi une liste des principaux ornements utilisées par Bach, ainsi que leurs désignations sur les portées en introduction de son Klavierbüchleincommencé le 22 janvier 1720 à Cöthen, à l’intention de son fils Wilhelm Friedmann.
l’art de l’ornementation du Cantor (complète la figure de l'article précédent)
Commentaire de phrygien sur l'article précédent (je le mets car phrygien est un musicien extrêmement doué et prometteur pour l'avenir notamment pour la composition voir son blog :
"Articles intéressants ! Ces indications que tu proposes ci-dessus sont en effet indispensables à l'exécution des Inventionen und Sinfonien (Inventions à 2 et 3 voix). Ce tableau a d'ailleurs supplanté les ornements de Rameau et Couperin (avec des aspirations, suspensions, tremblements continus, pincé simple, etc...). Pour les germanistes, je mets un petit extrait d'un exposé que j'ai fais sur Bach : « Zu Beginn des Clavierbüchleins erklärt J.S. Bach, wie die verschiedenen Verzierungszeichen ausgeführt werden sollen. Es enthält eine Tabelle mit den für Bach wichtigsten Verzierungen als Zeichen und in je einem Beispiel in Noten ausgeführt. Die Verzierungen sind mit französischen Bezeichnungen versehen. Dargestellt sind Triller, Mordent, Triller mit Nachschlag, Doppelschlag, verlängerter Doppelschlag von unten und von oben, verlängerter Doppelschlag mit Nachschlag von unten und von oben, steigender und fallender Vorhalt, Mordent mit Vorhalt, Triller mit Vorhalt von unten und von oben. Akzente wurden allerdings nicht benutzt so oft wie Mordent oder Triller. » Enfin, il faut préciser que TOUS les ornements de Bach sont mesurés (il utilisa même les mathématiques dans sa musique comme le fameux nombre d'or ou en faisant des énigmes cf Invention n°14 et le livre « Bach et les Nombres » pour ceux voulant aller plus loin).
Ce n'est qu"à partir du romantisme, où les compositeurs ne mesures plus les trilles, grupettos, etc... "
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