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               CHOPIN

       Interprété par

                   Valentina Igoshina

     

     

     

     



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    Nocturne op. 72 n°1 

                          Chopin


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    Blog de colinearcenciel :BIENVENUE DANS MON MONDE MUSICAL, | TRES JOLI PRELUDEn° 24 |   CHOPIN |


    CI-DESSUS UN CROQUIS DE LISZT

    Très joli Prélude de Chopin

    PRELUDE

     

    N° 24 EN D

     

     MINEUR DE

     

    CHOPIN

     

      INTERPRETE

    Pollini

     

     



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  • ALLEZ DONC VISITER LE SALON DE MUSIQUE DE GEORGES SAND  sur le site : http://www.georgesand.culture.fr/fr/index.htm

    Fille d'un officier mort accidentellement en 1808 et descendant de Maurice de Saxe, Armandine Lucile Aurore Dupin passe une jeunesse libre au château de Nohant, au fond du Berry dont elle s'imprègne et qu'elle décrira avec poésie plus tard. Elle est élevée par sa grand-mère paternelle, avant d'être envoyée dans un couvent parisien, où elle reste de 1818 à 1820. En 1830, mariée et mère de deux enfants, elle s'installe seule à Paris où elle entame une vie mouvementée. On connaît sa liaison passionnée avec Alfred de Musset qu'elle quitte à Venise ; elle se liera ensuite à Liszt  et à Chopin. Son oeuvre romanesque, qui compte près de soixante-dix titres, est traversée par trois grands courants : le romantisme sentimental, le socialisme humanitaire et la vocation paysanne. Telle "La mare au diable", nombre de ses romans évoquent aussi les paysages du Berry, sa région natale. Georges Sand est aussi l'auteur de nouvelles, de contes, de pièces de théâtre, de critiques littéraires, de pamphlets et d'une volumineuse correspondance. Toute sa vie, cet écrivain au tempérament généreux a prôné l'amour sincère et personnifié les débordements du coeur romantique.

    Klvier auf Mallorca

    LE PIANO DE CHOPIN

    Cover Chopin Ein Requiem

    extrait du site : http://www.onlinekunst.de/februarzwei/22_02_chtlm 

     

    Madame... Monsieur... je ne le sais,

    Je vous remercie bien de vos compliments concernant mon ouvrage... et vous me voyez fort marrie de ce que certains passages vous aient ennuyé. Je ne me lasse jamais de décrire ma belle campagne berrichonne.

    Vous souhaitez, et cela me fait grand plaisir, découvrir d'autres ouvrages. Mais croyez-vous que cela soit de mon ressort de vous en indiquer? Vous avez certainement au bas de votre rue un excellent libraire qui saura vous conseiller.

    Cependant, voici quelques titres qui, je l'espère, sauront vous contenter.

    «François le Champi» et «La Mare Au Diable» sont d'une veine semblable à celui que vous connaissez déjà et font écho à mon amour du Berry. «Indiana», «Un Hiver à Majorque», «Cosima»... et quelques autres. Je ne sais que vous conseiller, tout choix étant une question de goût personnel.

    Bonne lecture.

    Bien à vous,

    George Sand

                               L'école nous obligeait à lire des ouvrages classiques lors de mon adolescence et  j'en ai lu beaucoup et même relu : j'ai beaucoup aimé La petite Fadette ainsi que La mare au Diable, j'aimais tellement bine la petite Fadette que je l'ai relue trois fois.                     

                                                                                                   Colinearcenciel


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  • Dès les premières leçons de Monsieur Zywny à Frédéric, celui-ci s'aperçut des dispositions extraordinaires de l'enfant : il savait déchiffrer les pages les plus difficile de Jean Sébastien Bach et sans la moindre difficulté.

    L'enfant placé devant la partition d'Hedwige, un opéra de Karol Kupsinski qui venait d'être tout juste édité, il en rendit toutes les nuances sans la moindre lecture préalable et triompha de même des Chants Historiques de Lessel et  Szymanowska dont Zywni lui apportait la brochure toute fraîche. Ce qui étonnait encore plus le  brave homme c'était l'aisance avec laquelle Frédéric improvisait, il pouvait le faire pendant des heures tandis que ses petits pieds atteignaient à peine les pédales et ses petites mains les extrémités du clavier.

    Nicolas, son père et son maître de musique lui donnait un thème : par exemple un paysan qui revenait de son champ au printemps dans les campagnes polonaises.

    L'enfant, très sérieux entamait des accords, deux ou trois, très équilibrés et il édifiait sa composition jusqu'à ce qu'il la trouva suffisamment pure. On y entendait un la Majeur, une note isolée (souvent le La) qui vibrait toute une mesure sous le doigts autoritaire et précis de l'enfant après un friselis d'échos mourants, un croquis sonore : le visage de l'enfant était toujours grave mais il y avait l'annonce d'un sourire aux lèvres et tout à coup le miracle se produisait, sous forme d'un déluge de notes aiguës, d'une brassée de rythmes alternés qu'il ramassait, disosait, superposait à sa guise, avec une dextérité et une justesse stupéfiantes ; parfois un grondement jaillissait sous les doigts de sa mains gauche et sa main droite semblait s'acharner à le couvrir sous des cascades folles de sons dorés, cuivrés, arnachés comme chevaux de princes.  Des silences subits, des reprises haletantes,... de temps en temps le thème principal revenait, plus suggéré que redit, et tout empli maintenant par son contexte d'une signification nouvelle qui bouleversait Nicolas et Zywny.

    Sa maman, son papa, Zywny se regardaient avec une angoisse émerveillée : dans quelle zone mystérieuse de l'enfant allait-il puiser ces grandes douleurs, ces éternelles questions déchirantes, ces incoercibles sanglots qui sont la substance même de la condition de l'homme et qui sont la substance même de la condition humaine et la seule façon qu'il ait de réagir aux ukases de son destin.

    Ce visage sur lequel se reflétait tout un tumulte de souffrances et de presciences désenchantées était celui d'un enfant de sept ans...   Il y avait de quoi être effrayé.

    Et il y avait de quoi crier au prodige !


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