• 91. IIIème Extrait du SECRET SERMENT © ColinearCenCiel

     

    IIIème Extrait du SECRET SERMENT © ColinearCenCiel  posté le samedi 09 septembre 2006 22:59

     

     

     

    Blog de colinearcenciel :BIENVENUE DANS MON MONDE MUSICAL, IIIème Extrait du SECRET SERMENT  © ColinearCenCiel

    Ouvrir la porte de notre coeur

    Là où la vie coule éternellement

    Il faut arriver à prendre la clenche

    Entrer dans cet espace inconnu

    Chercher cette porte existante

    En bannissant tout raisonnement

    Autre que l'inssassiable Amour

    Que tu déployes sur les horizons de l'aube

    Sur les étendues crépusculaires

    Etre vivant en sachant que l'on est mort

    Et que l'on vit d'une autre vie déjà

    Non pas dans les tourbillons étourdissants

    Mais dans la densité de chaque instant

    Ne confondant point cette âme et ce corps unifiés

    En une seule et unique entité.

    Passagère ou passager j'ai des ailes

    Là tout à l'intérieur dans le temple de mon château

    Et toutes fenêtres ouvertes au gré de mon bon gré

    O que bien sûr je puis m'envoler !

    Ainsi nous semble t'il être prisonnier

    Lorsque l'on se compactise dans la confusion

    L'obscurité des angoisses et des lourdeurs

    Les gourmandises, les errements, les insassiables désirs

    Transformés en voracité tenace, le regard fixé sur

    Des choses sans objet

    Fugaces et passe le temps d'une horloge simplement terrestre

    Où l'on se rallie aux sens physiques et sans espace

    Sans rafraîchissement de l'aération

    Aération pleine, souveraine, les ailes...

     

    L'âme subtile, se rappelle à notre intellect

    Et l'intellect transmet à la conscience

    La conscience transmet à l'intelligence

    L'intelligence se rallie à la conscience

    La conscience omniprésente du regard intérieur

    Sur tout cet extérieur, reflet, reflet, simple reflet

    Flou, confus comme une ombre peut l'être

    Et, en un gymnastique gymnopédique

    Les éléments se transmettent les uns autres autres

    Un vase contenant un diamant inaltérable

    Puis le vase se brise, le diamant est un feu dévorant

    Qui jamais ne dévore : non jamais !

    Il enlumine, il rayonne, il éclaire les jours et les nuits

    Il ne s'éteind jamais et jamais ne se meurt

    Il suit sa trajectoire au quatre saisons inaltérablement

    Autour de lui s'accrochent des amas de matières

    Qui fondent et se refondent

    S'agglutinent parfois ou semble s'agglutiner

    Puisqu'il semble disparaître mais ne disparaît pas

    Il n'a qu'une loi pour lui : celle de l'Amour

    La loi du coeur, la loi du Choeur

    Absolue, ultime bonheur,

    Il est le fil conducteur

     

     © Colinearcenciel

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