• Le survol du contenu de la suite du chapitre nous emmènera dans le coeur profond de ces traditions millénaires et divines.

    Le temps y passe trop vite et ne suspend pas si facilement que cela. Aussi, certains se lasserons des répétitions. Pour les dévôts, lire un verset tous les jours : pourquoi pas ? Mais il faut acquérir l'ouvrage du Srimad Bhagavatam. La substance de la "crème" de ce lait divin, peut t'elle être raccourcie ? Du moins, en donner les grandes lignes est possible. Nous allons procéder ainsi bien que la teneur et portée de chaque verset vaillent la peine d'être lue dans les détails. Nous mettons la traduction exacte de chaque verset sanskrit. Rappellons l'importance de cet ouvrage védique et son ancienneté (quelques milliers d'années).

     

    Survol  du contenu

     

    VERSET XII

    Seul réalise la Vérité Absolue le sage disciple qui S'en enquiert avec sérieux et qui, par la pratique du service de dévotion et l'écoute du Vedanta sruti, s'arme du savoir et du détachement.

    Srutis ont été diversement décrit comme une révélation par anubhava (expérience directe), ou des origines primordiales réalisées par les anciens Rishis.  Dans la tradition hindoue, ils ont été appelés apauruṣeya ( sans auteur).  Le Sruti textes eux - mêmes affirment qu'ils ont été habilement créés par les Rishis (saints doués de dons), après la créativité inspirée, tout comme un charpentier construit un char.

    Les six écoles orthodoxes de l'hindouisme acceptent l'autorité de Sruti,  mais de nombreux chercheurs dans ces écoles ont nié que les Srutis soient divins.Les philosophies telles que les Carvakas  n'ont pas accepté l'autorité du srutis et considéré qu'elles sont d'imparfaites œuvres humaines. 

    Sruti diffère des autres sources de la philosophie hindoue. Ces travaux couvrent une grande partie de l'histoire de l' hindouisme, en commençant par les plus anciens textes connus et se terminant dans la période historique précoce avec les Upanishads plus tard.  De la Srutis, les seuls Upanishads sont largement connus, et les idées centrales de la Srutis Upanishads sont au cœur spirituel des hindous. 

    ps : le mot shruti signifie musique. Une seule lettre change la signification d'un mot.

     

    Pour revenir à l'explication de ce verset XII : on compte quatre ordres d'hommes selon les Vedas : les karmis, les jnanis, les yogis et les bhaktas. Les karmis sont matérialistes et les trois autres groupes sont spiritualistes.

    Le bhakta représente l'homme le plus spiritualisé qui a réalisé la Personne Suprême,  il représente le niveau le plus élevé. 

    Le yogi a partiellement réalisé l'émanation plénière de la Personne Suprême,représente le spiritualiste de second niveau.

    Les Jnanis, qui réalisent à peine leur nature spirituelle, se trouve au troisième niveau.

    Le bhakta peut avoir différents niveaux : le bhakta matérialiste néophyte qui ne détient que peu de savoir, il ne s'en tient qu'aux préliminaires et plus aux bienfaits matériels. Il est nécessaire de quitter rapidement ce stade inférieur de la dévotion pour s'élever au niveau dévotionnel intermédiaire.

    A ce second niveau,le bhakta peut discerner quatre catégories d'êtres : le Seigneur Suprême, ses dévôts, les ignorants, ou innocents, et les envieux, ou démoniaques. 

    La progression au troisième niveau le bhakta puise dans les instructions nécessaires pour l'accomplissement du service de dévotion à des sources sûres et l'assimilation du pur message des Ecritures védiques permettra de voir en nous mêmes et constamment, l'aspect localisé et omniprésent du Seigneur Suprême.

    Et tel est le Samadhi.

     

    Survol  du contenu

     

     

     

    L'idée de la révélation, et je veux dire plus particulièrement "livre révélation", ne constitue pas une idée moderne, ni une idée particulière au christianisme. Dans aucun pays, je crois, a la théorie de la révélation été si minutieusement élaboré comme en Inde. Le nom de la révélation en sanskrit est shruti, ce qui signifie l'audition; et ce titre a distingué les hymnes védiques et, à un moment plus tard, les Brahmanes aussi, de toutes les autres œuvres, qui pourtant sacré et autorité à l'esprit hindou, sont admis avoir été composée par des auteurs humains.
    Mais permettez-moi de dire à la fois qu'il n'y a rien dans les hymnes eux-mêmes pour justifier de telles théories extravagantes. Dans beaucoup un hymne, l'auteur dit clairement que lui ou ses amis fait pour plaire aux dieux; qu'il a, en tant que charpentier fait un char (Rv 1.130.6; 5.2.11), ou comme un beau vêtement (Rv 29/05/15); qu'il a façonné dans son cœur et l'a gardé dans son esprit (Rv 1.171.2).

    Max Muller
     
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    LE SAMADHI
     
    Samadhi est l'unité avec l'objet de méditation. Il n'y a pas de distinction entre l'acte de la méditation et l'objet de méditation. Samadhi est de deux sortes,  avec et sans l' appui d'un objet de méditation. 
    Rendez-vous compte que le terme samadhi est à la source de tous les autres termes dans les autres courants religieux ou philosophiques. Y compris dans la religion chrétienne, et catholique qui utilise le terme "Oraison" (voir "le château intérieur" de Thérèse d'Avila,voir aussi les écrits de Saint Jean de la Croix, nommés tous deux "Docteur de l'église") : nous y reviendrons plus tard. Or, bien avant eux, les rishis, les sages instruisent du Samadhi. Le Zen découle également du Mahäyäna. Ces enseignements anciens, permettent de s'approcher plus encore de l'objet de la dévotion : ce mot contient le mot "Rassembler" ou "unir".
     

    Les premiers textes existants Mahāyāna indiennes mettent l'accent sur les pratiques ascétiques et la forêt demeure, et l'absorption dans les états de l'unité méditative. Ces pratiques semblent avoir occupé une place centrale au début de Mahāyāna, aussi parce qu'ils "peuvent avoir accès donné aux nouvelles révélations et de l' inspiration." 

    Dans les traditions indiennes Mahāyāna le terme est également de se référer à des formes de "samadhi" autre que dhyana. L' article 21 de la Mahâvyutpatti enregistre même 118 samādhi.  Le Samadhiraja Samadhi  par exemple , a comme thème principal un samādhi appelé «le samadhi qui se manifeste comme l'identité de la nature essentielle de tous les dharma» (sarva-dharma-svabhavā- samatā-vipañcita-samādhi). 

    Le Zen est pratiqué en Chine, au Japon, aux Etats Unis et bien ailleurs. Il trouve sa source dans les Ecritures Sacrées védiques.
     
     

    Le Dhyana indienne a été traduit par chán en chinois, et le zen en japonais. Le ZEN traditionnel souligne le Prajna et la perspicacité soudaine ; mais dans la Prajna réelle de la pratique et de samadhi, ou un éclairage soudain et la culture progressive, sont appariés à l'autre. 

    Dhyana définition : 

    Le terme Dhyana apparaît dans Aranyaka et brahmanes des Vedas , mais avec une signification claire, alors qu'au début des Upanishads , il apparaît dans le sens de " la contemplation, la méditation» et une partie importante du processus de connaissance de soi.

    Dhyana (sanskit :  ध्यान,Pali : झान) signifie « la contemplation, de réflexion» et «profonde méditation abstraite". 

    La racine du mot est Dhi, qui , dans la première couche de texte des Vedas  se réfère à la «vision imaginative» et associée à la déesse Saraswati ayant le pouvoir de la connaissance, la sagesse et l' éloquence poétique dhyana, ou «méditation». 

    Dhyana, déclare Thomas Berry, est " une attention soutenue» et « l' application de l' esprit au point de concentration choisie". Dhyana envisage, en réfléchissant sur ​​ce que Dharana a mis l' accent sur. Si , dans la sixième branche du yoga l'un se concentre sur une divinité personnelle, Dhyana est sa contemplation. Si la concentration était sur ​​un objet, Dhyana est non-jugement observation, non présomptueux de cet objet.  Si l'accent était mis sur un concept ou une idée, Dhyana envisage ce concept ou  idée dans tous ses aspects, les formes et les conséquences . Dhyana est le train ininterrompu de la pensée, le courant de la cognition, le flux de la conscience. 

    Un terme connexe est Nididhtasana , la contemplation de déclarations Upanishads. Il est un composite de trois termes, à savoir dhyai, upasana  ( «habitation sûre»), et bhavana ( «cultiver»).

     

    Ainsi, pour développer certaines religions et pratiques religieuses, les écrits datant de plus de 5.000 ans ont été utilisés venant des hindous et de l'Himalaya et, ce bien avant le XVIème siècle. Les êtres hypermatérialistes ont utilisé ces données spirituelles ne pouvant pas les mettre en application pratique. Certains êtres se réincarnent avec la connaissance innée du samadhi. S'ils n'ont pas accès par des écrits, ils y ont accès par les archives spirituelles dans les mondes spirituels extérieurs à la planète bleue et s'interpénétrant dans les multidimensions non cernées par la science matérialiste. 

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    Dans le sikhisme , le mot Samadhi est utilisé pour faire référence à une action que l' on utilise à retenir et fixer son esprit et l' âme sur le Seigneur Tout Puissant. Le Sri Guru Granth Sahib  informe: 

    • "Rappelez-vous dans la méditation du Seigneur Tout-Puissant, à chaque instant et à chaque instant, méditer sur Dieu dans la paix céleste de Samadhi." 
    • «Je suis attaché à Dieu céleste Samadhi." 
    • "Le plus digne Samadhi est de garder la conscience stable et concentré sur lui." 

    Le terme Samadhi se réfère à un état ​​d'esprit plutôt qu'une position physique du corps. Les Ecritures expliquent:

    • «Je suis absorbé dans céleste Samadhi, amoureusement attaché au Seigneur pour toujours. Je vis en chantant les louanges glorieux du Seigneur» 

     

    • "Nuit et jour, ils ravissent et profitent du Seigneur dans leur cœur, ils sont intuitivement absorbés dans Samadhi"

     

     

     

     

    Samadhi est le dernier des huit éléments du Noble Sentier Octuple.  Le Noble Octuple Sentier est une condensation de descriptions plus élaborées de ce chemin, qui commence par un propriétaire qui entend le dhamma et quitte la maison, et après les pratiques préparatoires commence par la pratique de dhyana.  Samadhi se réfère ici aux jhanas  , les niveaux d'approfondissement progressif de la méditation. Le Canon Pali  décrit huit états progressifs de jhāna: quatre méditations de forme(rūpa Jhana), et quatre méditations informes (Arupa jhāna). Une neuvième forme est Nirodha samâpatti. 

    Selon Bronkhorst, le jhāna quatre rūpa peut être une contribution originale du Bouddha dans le paysage religieux de l' Inde.  Ils ont formé une alternative aux pratiques ascétiques douloureuses du jaïns.  Les jhāna de Arupa ont été incorporés de non traditions ascétiques bouddhiste. Selon Crangle, le développement de pratiques méditatives dans l' Inde ancienne était une interaction complexe entre les traditions védiques et non-védiques. 


    Première jhana 

    Majjhima Nikaya 26: 34-42, Ariyapariyesana Sutta, «La  Noble recherche", donne la description suivante des quatre jhanas de Rupa ( «forme de jhanas»), les quatre jhanas de arupha ( les «jhanas informes»), et nirodha-samâpatti, la cessation de la perception et le sentiment: 

    "Supposons qu'un cerf sauvage vit dans un désert. Il marche, sans soucis , il se tient, insouciant il est assis, insouciant , il se couche. Pourquoi? Parce qu'il est allé au - delà de la portée du chasseur.  ​​Dans le même ainsi, un moine très retiré des plaisirs sensuels, retiré de malhabiles qualités-pénètre et demeure dans le premier jhâna:ravissement et plaisir  nés de la retraite.  Ce moine  a détruit la vision de Mara et est devenu invisible pour le Malin.

    Deuxième jhana

    Puis à nouveau le moine, avec l'apaisement des pensées et des évaluations dirigées, entre et demeure dans le second jhana : ravissement et plaisir,unification de la conscience libre de la pensée dirigée et assurance de l' évaluation interne Ce moine est dit avoir aveuglé Mara, il a détruit la vision de Mara et est devenu invisible pour le Malin.

    Troisième jhana

    Puis à nouveau le moine, avec l'estompement du ravissement, il reste équanime, attentif, et alerte, et détecte le plaisir avec le corps. Il entre et demeure dans le troisième jhâna, dont les Nobles déclarent, 'Equanime et attentif, il a un constant agréable. Ce moine est dit avoir aveuglé la vision de Mara, il a détruit Mara et est devenu invisible pour le Malin.

    Quatrième jhana

    »Puis à nouveau le moine, avec l'abandon du plaisir et de stress comme la précédente disparition de l'euphorie et de détresse entre et demeure dans le quatrième jhana:. Pureté de l'équanimité et de l'attention, ni-plaisir-ni-douleur Ce moine est dit avoir aveuglé Mara il a détruit la vision de Mara et est devenu invisible pour le Malin.

    L'infinitude de l'espace

    "Puis à nouveau le moine, avec le dépassement complet des perceptions de la forme [physique],] 'espace infini, pénètre et demeure dans la dimension de la infinitude de l'espace. Ce moine est dit avoir aveuglé la vision de Mara, il a détruit Mara et est devenu invisible pour le Malin".

    L' infinitude de la conscience

    "Puis à nouveau le moine, avec le dépassement complet de la dimension de l'infinitude de l'espace, perçoit la conscience infinie, pénètre et demeure dans la dimension de l'infinitude de la conscience. Ce moine est dit avoir aveuglé Mara  , il a détruit la vision de Mara et est devenu invisible pour le Malin".

    La dimension du néant

    "Puis à nouveau le moine, avec le dépassement complet de la dimension de l'infinitude de la conscience, [percevoir,]« Il n'y a rien, entre et demeure dans la dimension du néant. Ce moine est dit avoir aveuglé Mara : il a détruit la vision de Mara et est devenu invisible pour le Malin".

    La dimension de ni perception ni non-perception

    "Puis à nouveau le moine, avec le dépassement complet de la dimension du néant, entre et demeure dans la dimension de ni perception ni non-perception. Ce moine est dit avoir aveuglé Mara, il a détruit la vision de Mara et est devenu invisible le Malin".

    La cessation de la perception et de la sensation

    "Puis à nouveau le moine, avec le dépassement complet de la dimension de ni perception ni non-perception, entre et demeure dans la cessation de la perception et de la sensation. Et, après avoir vu [que] avec discernement, ses fermentations mentales sont complètement terminées. Ce moine est dit avoir aveuglé Mara : il a détruit la vision de Mara et est devenu invisible au Malin. Après avoir traversé, il est détaché dans le monde ; il marche, insouciant il se tient, insouciant il est assis, il se trouve sans soucis vers le bas. Pourquoi? Parce qu'il est allé au-delà de la portée du Malin ".

     

    Bon Dharma

    ©Colinearcenciel

    Ici un extrait sur les Jhänas  (accès direct) venant du site dont cette page complète à lire afin de bien remettre dans le juste milieu ce qu'il en est réellement

    : http://www.dhammadana.org/dhamma/jhana_nibbana.htm

    Les jhāna

    Les états de bonheur intense

    Nous pouvons arriver – comme les humains aiment à le faire depuis des millénaires – à travers des exercices spirituels, à expérimenter des états de grâce, des états de conscience qui sont limpides et dans lesquels il n’y a pratiquement rien qui se manifeste. Ce sont des états de conscience qui ont la capacité de demeurer limpides, clairs, immobiles. Ils sont accompagnés d’une profonde sensation de bien être et sont vides de sensations pénibles. On cite de telles expériences dans de nombreuses littératures du passé, dans des littératures mystiques du soufisme, de l’hindouisme, du mahayana, du bouddhisme et d’autres traditions.

     

    Survol  du contenu

     

    VERSET XIII

     

    Ainsi a t'il été conclu, ô meilleurs des deux fois nés, que la plus haute perfection que l'on puisse atteindre en s'acquittant de ses devoirs dans l'institution du varnasrama est de satisfaire le Seigneur Sri Hari.

     

    "En ce monde, partout, la société humaine se divise en quatre varnas sont constitués par le groupe intellectuel, le groupe administratif et militaire, le groupe productif, et le groupe ouvrier. Ce qui détermine l'activité, ou l'appartenance de chacun à l'un ou l'autre des varnas, ce n'est pas l'hérédité, mais les qualités de l'individu et la nature de son occupation. Quant aux asramas, il s'agit des quatre stades de l'existence, correspondant à la période des études, puis de la vie familiale, de la retraite et de la pure vie dévotionnelle. Ces divisions doivent exister, dans le plus grand intérêt de tous ; sans elles, aucune institution sociale ne peut croître sainement Et pour chacun de ces vanas et asramas, le but doit être de satisfaire le Maître absolu, Dieu.

    On désigne ce système social, mode purement naturel du développement d'une société civilisée, du nom de varnäsramadharma. L'institution varnasrama est précisémenet conçue pour permettre de réaliser graduelement la Vérité Absolue, et non pour favoriser la domination injustifiée d'un groupe par rapport aux autres (les rapports de force ne sont pas "sains" mais plutôt destructeurs).

    Mais lorsque, par un trop grand attachement aux plaisirs des sens, le but de l'existence quitte la mémoire comme nous l'avons déjà montré, des égoïstes mésusent de ce système et se dressent en dominateurs sur des groupes plus faibles. Si ce genre de calamité est déjà chose courante dans le Kali yuga, l'âge de la discorde, les hommes encore sains d'esprit savent très bien , eux , que la division de la société en varnas et asramas a pour unique but d'harmoniser les rappots sociaux et de favoriser de cette manière des pensées d'ordre supérieur, de faciliter la réalisation spirituelle".

    Ce message est confirmé dans la Bhagavad gita, au verset 13 du IVème chapitre".

     

    Ce message "sociétal" pourrait semblé idéal pour une société s'il n'y avait l'orgueil et la vanité, le plaisir des sens et ce besoin primitif, chez les êtres humains, de domination et de rapport de force créant la division et le chaos : pour les plus forts d'exploiter les plus faibles jusqu'à l'esclavage même dans les sociétés dites civilisées. La sphère bleue nommée "la terre", cette planète si peu évoluée par rapport à d'autres sphères où l'harmonie règne. Cependant, les alliés sont avec nous et manifestent des signes encourageants et les pratiques spirituelles nous soutiennent dans les tâches et souffrances liés à notre incarnation, en sachant d'autre part, que nous ne sommes pas seuls.

    ©Colinearcenciel.

     

     

     

     


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    Révélation de différentes personnalités sur l'existence réelle des OVNI et des E.T.

    Le document comporte dans sa partie supérieure une gravure de grand format coloriée à la main, en-dessous un texte en altdeutsche Schrift, une écriture médiévale allemande. Le tout est l'œuvre de Hans Glaser, le texte est rédigé en allemand.

    A gauche est représentée la ville de Nuremberg, à droite le quartier (à l'époque autonome) de Saint-Léonard. On distingue l'église éponyme de Saint-Léonard en flammes, des boulets semblent tomber sur le toit. Depuis une maison derrière l'église dépasse un canon, deux colonnes de fumée s'élèvent. À l'arrière-plan on distingue d'autres quartiers. Le soleil levant implique que le spectateur regarde vers l'est. Au centre du tableau se trouve le soleil à visage humain, son regard se dirige légèrement vers la droite. Derrière le soleil se trouvent deux croissants de lune, et autour d'eux de nombreuses sphères, croix et cylindres. Les cylindres contiennent de trois à cinq sphères, certaines s'en échappant. Sous le soleil s'allonge un immense fer de lance, la pointe à gauche en direction de la ville.

    L'imprimé est conservé à la Bibliothèque centrale de Zurich. Pour des raisons inconnues, il a été découpé en deux et collé sur un support en papier. D'après les données de la bibliothèque, il provient de la collection d'imageries populaires Wickiana  de l'homme d'église protestant Johann Jakob Wick (de) (1522 - 1588) (merci wikipédia).

     

    Impression sur bois par Samuel Coccius, Bâle, Suisse (1566) sur le phénomène céleste de 1561 au-dessus de Nuremberg.

    Révélation de différentes personnalités sur l'existence réelle des OVNI et des E.T.

     

    Le Phénomène céleste de Nuremberg en 1561 est un événement rapporté au XXIème siècle par le graveur et éditeur Hans Glaser  dans un prospectus (Flugblatt) illustré en couleurs imprimé en 1561. Le document présente une illustration et le récit d'un phénomène céleste au-dessus de la ville de Nuremberg à l'aube du 14 avril 1561.

    Ce récit est l'objet de débats en histoire, en météorologie, en psychologie, mais aussi dans les sciences marginales. En ufologie, il est interprété comme une bataille entre ovnis. En météorologie, on y voit la représentation artistique d'un effet de halo.

    Les historiens y voient la fusion imagée de plusieurs événements historiques et phénomènes naturels non reliés entre eux et embellis par une interprétation religieuse et une transmission orale. Le Flugblatt de Nuremberg n'est pas le seul de son genre, de telles publications avec des récits de « prodiges » étaient largement répandues et appréciées, particulièrement aux XVème et XVIème siècles.

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    En décembre 2012, alors qu'il est hors antenne, une caméra de télévision continue de filmer et enregistre à son insu le Premier Ministre Russe Medvedev qui confirme à une journaliste l'existence des Extraterrestres sur Terre... Explicitement, il exprime que les E.T. sur terre sont surveillés mais que le sujet n'est pas révélé au public. Lorsque l'interview se montre un peu plus poussée et qu'on lui pose la question s'il en existe beaucoup sur terre : il ne répond pas exprimant le fait que cela provoquerait un grand mouvement de panique dans les populations et qu'il faut regarder le document sur les hommes en noir. (Document que nous avons déposé sur l'article précédent celui ci).

     

    Une des meilleures vidéos sur le phénomène OVNI sous-titrée en Français. L'évidence est là, sous nos yeux, des visiteurs venant d'autres lieux de l'Univers nous rendent visites ? Vidéos, photos, témoignages de pilotes, d'officiers de l'Air Force, de contactés, d'astronautes, révèlent une vérité encore cachée au niveau officiel. Dans tous les pays, les observations se multiplient. A chacun de s'informer pour découvrir la plus grande révélation de notre époque, NOUS NE SOMMES PAS SEULS DANS CE VASTE UNIVERS, et nous ne l'avons jamais été ! A vous de juger au travers de ces quelques reportages...Les émanants.

     

    Voici encore un très bon document sur les ovnis et les visiteurs.

     

     

     


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    VERSET IX

    Toute occupation de l'homme doit avoir pour but ultime la libération, aucune ne doit être accomplie en vue de quelque bienfait matériel. D'autre part, celui qui emprunte la voie de l'occupation ultime, du service suprême, ne doit jamais utiliser pour sa satisfaction des sens les bienfaits matériels qui s'offrent à lui. Voilà ce qu'affirment les grands sages.

     

    Il n'est pas contraire au corps matériel de pratiquer des exercices sur le corps essentiel : l'âme. Celui ci aura des répercussions positives sur les autres corps. L'insistance des sages à l'aspect matériel est fondé sur le fait que nous vivons dans une ère d'hypermatérialisme.

     

     

    VERSET X

     

    Notre désir ne doit pas être de vivre pour la satisfactions des sens, mais uniquement de mener une vie saine, accordée à la forme humaine, laquelle doit conduire à rechercher la Vérité Absolue. Et tel devrait être l'unique objet de tout acte.

     

    Les valeurs spirituelles étant les valeurs essentielles de notre existence car les jouissances sensorielles de plus en plus marquées en ces âges, ce verset explique bien les conséquences liées aux excès et corruptions attenantes,  aux bouleversements que nous connaissons de nos jours. Dans la teneur et portée, il est donné un exemple :

     

    "Et à tous niveaux, qu'il s'agisse de politique, de service social, d'altruisme, de philanthropie ou même de religion et de salut, on retrouve la même tonalité de jouissance sensorielle, de plus en plus marquée. Sur le plan politique, les leaders luttent entre eux pour satisfaire chacun ses désirs propres. Les électeurs, quant à eux, ne favorisent tel ou tel dirigeant qu'en fonction de ses promesses de facilités matérielles. Et dès qu'ils éprouvent quelques instatisfactions au niveau des sens, ils détrônent simplement les chefs politiques. Ainsi, l'insatisfaction étant fréquente, les bouleversements politiques s'accumulent. Dans tous les domaines, un mécanisme identique se répète. Personne ne s'attache aux vrais problèmes de l'existence". D'autres explications sont exprimées à propos de ce verset. Mais il ne s'agit pas de plagier cette oeuvre monumentale mais tout de même de mettre en valeur sa richesse spirituelle remarquable.

     

    VERSET XI

     

    Les doctes et les sages spiritualistes qui connaissent la Vérité Absolue nomment cette substance unique, au delà de toute dualité, du nom de Brahman, Paramätmä ou Bhagavän.

     

    Ce verset revient sur l'Essence même du but de la vie et l'expression "Vérité Absolue" en exprimant que l'âme spirituelle appartient à l'énergie supérieure du Royaume Absolu matière est constituée d'énergie inférieure : il existe donc une dualité entre le matériel et le spirituel. Souvenez vous qu'il a été dit qu'il existait des planètes spirituelles et des planètes matérielles. Il n'existe par contre, aucune différence entre l'énergie et sa source mais on distingue néanmoins des différences de qualités d'énergies. Trois formes d'énergies émanent en fait de la Source Suprême. Ce qui a des conséquences c'est lorsque l'être distinct entre au contact avec de l'énergie inférieure, il tombe sous le coup de l'illusion, laquelle lui fait croire qu'il appartient à lui même à l'énergie inférieure, d'om le concept de relatiité, présent dans l'univers matériel. Dans l'Absolu, aucun sentiment de distinction n'existe entre le connaissante et le connu, et par la suite, tout y est absolu.

     

     

                   ©Colinearcenciel


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    VERSET VII

     

    Qui sert le Seigneur Suprême, Sri Krsna, avec amour et dévotion, acquiert aussitôt, par grâce, le savoir et le détachement.

     

    Ceci est la traduction du verset de la langue sanskrite. Malheureusement, cette langue très ancienne a été rayée de la traduction google, ce qui est bien dommage. On peut résumé la teneur de ce verset par le fait que la pratique du bhakti offre au bhakta l'occupation suprême et ne l'attache plus aux raisonnements stériles, ne ne l'empêtre dans les énergies inférieures. Le savoir qualifié est accessible que par la grâce du Tout Puissant.

    Il est souhaitable de lire dans l'ouvrage toutes les subtilités qui s'y trouvent en sachant que le Srimad Bhagavatam est la crème des enseignements védiques. Et de le garder précieusement comme l'un des ouvrages spirituels les plus élevés de cette sphère bleue.

     

     

    VERSET VIII

    Les occupations, les devoirs, de l'homme, accomplis par chacun selon sa position, sont autant d'efforts inutiles s'ils ne suscitent en lui un attrait pour le message du Seigneur Suprême.

     

    Il est des étapes à la vie spirituelle où le dévôt est allaité par le Divin comme un enfant et reçoit des faveurs jusqu'au moment où il va mûrir et devenir adulte dans sa croissance spirituelle et peut dès lors connaître de lourds poids matériels à supporter. Grâce à sa pratique persévérante, malgré les obstacles, il recevra un soutien actif spirituel et plus encore. Il est des êtres nés avec des acquis des vies antérieures permettant les douceurs de l'allaitement divin dès leur plus jeune âge dans ce monde où, revenu dans l'ère de Kali, il poursuit sa vocation et son travail ou dharma avec facilité et tout contribue à ce qu'il soit dans cette voie spirituelle au milieu du monde très matérialiste endurcipar son approche grossière où rien ne peut selon lui,rien n'existe que les sens peuvet percevoir. Il ne vise qu'au confort du corps avec aussi les intellectuels qui "planent" au niveau du mental avec mille spéculations dans le but de satisfaire égoïstement ou égocentriquement le corps et le mental, demeurant dans l'ignorance d de leur âme assoupie et inactive. Or, l'âme a ses besoins. Ces êtres ne sont jamais satisfaits et vivent dans l'avidité jamais assouvie mais aussi sous d'autres formes que nous trouvons dans la psychologie tibétaine tellement subtile et profonde, la plus développée qui soit sur la sphère de la planète bleue. L'image donnée est celle de l'oiseau vivant dans une cage et qu'il faut veiller aux besoins véritables de l'habitant de la cage.

     

    "L'âme a besoin de liberté totale et d'être libérée de l'oppression totale de l'univers matériel pour étancher sa soif de liberté totale. L'âme peut franchir les murs de l'Univers, et voir l alibre lumière et elle rencontrele Tout spirituel complet, le Seigneur Suprême". Il est ajouté ceci, et d'importance ! :

    "Même si le bas matérialiste, s'élève jusqu'à Svargaloka (1) ou Svarga loka, le système planétaire le plus élevé de l'univers matériel, il n'y trouvera pas de refuge permanent pour son âme assoiffée de bonheur. Il ne peut la satisfaire que par la méthode scientifique et parfaite du service du dévotion pure".

     

    "La religion enseigne l’auto discipline et encourage le bien-être de tous. Elle renforce le pouvoir spirituel de chacun Et le fait rayonner. Si les hommes vivent sans connaître Son intime secret, La société et sa culture Déclinent et souffrent". Extrait "LE TEMPS EST DIEU" dont voici le lien en PDF : http://www.sadhana.ca/pdf_1991.pdf

     

      (1) Svargaloka : le ciel, le paradis brillant, ...

     

    "Nous savons que le ciel est le domaine des dieux védiques et que les hommes espèrent aller au ciel (pour une période bien circonscrite). Le ciel, c'est dyáu : le ciel du jour illuminé par le soleil (srya-); il est aussi appelé svàr "lumière, soleil" ou svargá- loká- "le monde brillant", ainsi qu'on traduit habituellement. Il est bien connu que les Indiens gvédiques attachaient beaucoup d'importance à certains phénomènes célestes majeurs: le lever du soleil, précédé de l'aurore (uás-), et la marche de la lune à tra- vers les constellations (nákatra-), et aussi le passage des mois et des saisons (tú-) d'une année. L'importance de la première apparition de l'aurore du Nouvel An a été également étudiée, mais il est moins connu que les Indo-Iraniens et les Aryens (g)védiques observaient beaucoup d'autres phénomènes du ciel diurne et du ciel nocturne, par exemple les levers (et couchers) diurnes du soleil pendant une année : pratiquement, ils ont lieu chaque fois à un endroit différent, variant du Nord-Est (solstice d'été) au Sud-Est (solstice d'hiver). Il y a un certain nombre d'autres observations, qui se trouvent dans les textes védiques et qui n'ont pas été bien comprises. Ici, je me propose de traiter d'un seul aspect du ciel nocturne, celui du mouvement des étoiles en général (bien décrit par l'hymne RV 1.105 et celui de la Voie Lactée en particulier". Extrait de "Chemin du ciel" dont voici le PDF : http://www.people.fas.harvard.edu/~witzel/CheminDuCiel.pdf

     

     

    Les connaissances astronomiques étaient très élaborées et donc, extrêmement avancées chez les hindous depuis des milliers d'années. La poésie et les hymnes, également élaborés : nous nous pencherons sur ces deux domaines védiques.

    ©Colinearcenciel

    Bonne lecture à vous qui passez par ici.



     

     


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    Jiva Goswami ( sanskrit :. जीव गोस्वामी, Jiva Gosvami; c 1513-1598) est l' un du philosophe le plus prolifique et important et saint de la Gaudiya Vaishnava  école de Vedanta  , la production d' un grand nombre d'ouvrages philosophiques sur la théologie et la pratique du Bhakti yoga , Vaishnava Vedanta et disciplines associées. Il était un membre  le neveu des deux figures de proue : Rupa Goswami et Sanatana Goswami.. Il a écrit de très nombreux ouvrages sur ces sujets visant à l'évolution des êtres vers la connaissance. Il a voulu rencontré dès sont plus jeune âge Catanya mais ne l'a jamais rencontré. Jiva Goswami est une grande figure de sainteté hindoue.

     

    Revenons dès à présent à propos du Srimad Bhagavatam chapitre II, verset VI

     

    VERSET VI

     

    L'occupation suprême pour l'homme est celle qui le conduit à serir l'Absolu Seigneur avec amour et dévotion. Et quant à ce service de dévotion, il doit, pour combler l'âme, se faire initerrompu et immotivé.

     

    Dans ce verset, Srila Suta Gosvami répond à la première question des sages de Naimisaranya. Il avait été prié de présenter l'ensemble des écrits réduites à leur essence, de façon à ce que les âmes déchues, qui forment la masse des hommes, puissent facilement y adhérer.

     

    "Les Vedas indiquent deux sortes d'actions pour l'homme : l'une inférieure, qu'on appelle pravrttimarga ou voie de la satisfaction des sens et l'autre supérieure qui prend nom de nivtti marga, ou voie du renoncement, du sacrifice pour la Cause Suprême.

     

    L'existence matérielle est d'une part est en réalité produite pour une activité spirituelle ; cette condition est morbide dans ses conditions : la vie sur terre n'est guère facile en entraîne vers un matérialisme éffréné dont l'être devient prisonnier : cette existence est éphémère, fertile en souffrance, le bonheur n'y est que la cessation momentané de la souffrance. L'occupation supérieure spirituelle peuvent se mêler des activités qui la souillet, la perturbent.

     

     

     

    D'autre part si l'intention est de pratiquer le bhakti yoga (service de dévotion) en vue d'en retirer un bienfait matériel, on crée un obstacle de développement progressif". J'ajoute ceci : les jouissances matérielles sont remplacées par des jouissances spirituelles vivantes au fur et à mesure de la progression du bhakta (le dévôt,le pratiquant du bhakti yoga) tout en sachant que le bhakti yoga est toujours préliminaire au kryia yoga. Depuis Paramahamsa Yogananda, la succèssion des dits "maitres" ne répond pas aux critères de sainteté et d'avancement spirituel mais plutôt à des buts lucratifs bassement matériels. La sensibilité du dévôt à la vie spirituelle s'affine et lui permet de recevoir les éléments utiles à tous ses corps en se confiant au divin et, s'abandonnant à la dévotion, des transmissions peuvent se faire de manière télépathique, des éléments de nourriture essentielle agissent sur tous les corps et même sur le corps matériels puisque nous touchons à l'essence même de l'être tout comme la lignée kagyu chez les tibétains où des enseignements sont transmis par télépathie. La méditation décrite dans le bardo Thödol permet aux êtres d'expérience, à atteindre l'essence même de l'être. Tout se rejoind donc, au travers des êtres purs, intermédiaires entre le divin et l'être incarné. Ceci n'est pas une course "aux pouvoirs surnaturels" mais bien un retour vers la source de bienfaits permettant de rendre le passage sur terre à son véritable but, sa véritable vocation aux esprits sensibles. C'est pour cela qu'il est écrit dans la teneur et portée du verset VI :"Ainsi, chacun devrait emprunter la voie supérieure, celle du service de la dévotion pure,  affranchi de tout désir futile, de toute action intéressée, de toute spéculation intellectuelle, car c'est ainsi seulement, qu'on y trouvera l'éternel consentement".

     

    Le choix de ce verset dans ces commentaires est d'exprimer la signification du dharma traduit par "occupation",car la racine indique"ce qui soutient l'existence". Et d'ajouter :

     

    "Chaque être possède une forme éternelle sur le plan spirituel, et rsna est pour tous l'éternel Objet d'attraction".

    C'était donc la réponse à la première question donnée aux sages.

     

    Jiva Goswami présenté, et la réponse des sages à la première question

     

     ©Colinearcenciel

    Bonne lecture à vous qui passez par ici.

     

     

     


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