Ce sont des êtres humains, hommes, femmes et enfants menés par d'autres humains (appellés comme tels du moins) à la torture et à la mort ...

A Henri KICHKA dont le lievre "UNE ADOLESCENCE PERDU DANS LA NUIT DES CAMPS" nous émeut à jamais.

Un merci public et personnel à toi Henri pour le cadeau que tu nous as fait et la dédicace dont je mets une partie sur ce blog ! Touchées nous fûmes au plus profond de notre coeur.

Dédicace qu'Henri Kichka nous a faite en nous offrant son livre "UNE ADOLESCENCE PERDUE DANS LA NUIT DES CAMPS" où lui seul survécu parmi sa famille et ses amis... Si je la mets ici c'est pour honorer cet homme. Par discrétion, je n'ai pu photographier toute sa dédicace, mais il est une phrase qu'il met et que nous sommes à même de comprendre :"Ces mémoires d'un horrible passé qui pour moi hélàs sera toujours présent !..." car, ceux qui n'ont pas vécu l'enfer, ne peuvent comprendre qu'il faut continuer à vivre et qu'oublier est impossible : il faut oser dénoncer tout ce qui est crime contre l'humanité". 

Et dans son livre une phrase me touche énormément et bien d'autres aussi... Il écrit ce livre à l'âge de 70 ans : en 2006 il en avait 81 ans lorsque j'ai écrit cet article. Il dit que s'il a pu se remettre en santé morale et autre "c'est grâce à la tendresse, à la douceur et aux bons soins et à la délicatesse de ceux qui l'ont entouré".

Il est des personnes qui ont subi la torture morale ou physique, ou les deux et qui ensuite ne sont crus par personne et sont rejetés par leurs aspect triste et misérable ou du fait qu'ils se sont retirés de la société ; ils sont même publiquement outragés, méprisés et piétinés par préjugés et sont pris pour des affabulateurs mais l'atrocité et Henri le sait, existe bel et bien encore de nos jours sous différentes formes ainsi que la torture physique et morale là où on ne peut l'imaginer. Malgré tout ce qu'il a souffert, Henri Kichka délivre un message de paix.

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